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Un clitoris pour la soirée

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/05/2022

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UN CLITORIS POUR LA SOIREE

Je l'ai levée dans un bar. C'était un vendredi soir. J'avais des journées vraiment longues et difficiles, et le vendredi soir, je n'étais pas la seule d'ailleurs, je relâchais la pression. Je gérais le secrétariat d'un cabinet de dentisterie, et le travail ne manquait pas. J'étais seule. Il aurait sans doute fallu quelqu'un d'autre. Je faisais face courageusement, parce que le patron disait qu'il n'y avait pas assez d'argent pour embaucher une seule personne. Bref, le vendredi soir, j'étais tellement lessivée que je cherchais à la fois de la détente et du plaisir.
Je me calais dans l'un des bars de la ville, je les avais tous expérimentés, j'allais dans les plus chaleureux, ceux qui avaient de l'originalité, et où on trouvait un plus. De la musique, un service plaisant, une piste de danse, un barman qui savait faire des cocktails...J'aimais bien les cocktails, il y avait quelque chose de festif dans un cocktail, et justement, je m'étais calée dans une boite dont le barman les réussissait bien, il avait même gagné des prix dans des concours. L'endroit était simple mais chaleureux, des petites tables, une déco années 60, des lumières douces...
Et puis je l'ai aperçue. Elle m'a aussitôt plu. Dire pourquoi...Il y a toujours quelque chose d'imprécis dans la séduction, sans doute parce qu'elle ne tient pas tant au mental qu'aux sens.
Elle était calée au bar, sur un tabouret. Ce sur quoi mon œil a d'abord ripé, ça a été une crinière brune, épaisse, fournie, qui coulait sur ses épaules. J'aimais les beaux cheveux, les toucher, laisser ma main se perdre dedans, les caresser longuement. Les siens descendaient loin sur son dos, pleins de vie, épais, luisants. Un élément de séduction soigneusement travaillé ou non, en tout cas, ca suffisait pour me faire envie.
Je la voyais de trois-quarts. Et je pouvais admirer sa silhouette, Des seins lourds, une taille fine, une croupe charnue dont le rebondi était évident sur le tabouret sur lequel elle était posée. Sa robe dégageait nettement ses jambes, elle était remontée quand elle s'était installée sur le siège. Après la lisière de la robe, on apercevait un bout de cuisse gainé de nylon, et juste en dessous, elles étaient prises par une cuissarde noire et luisante, neuve, peu portée, ou soigneusement entretenue.
L'ensemble était irrésistible.
Elle me plaisait en tout cas suffisamment pour que j'aie envie de passer un bout de la soirée avec elle.
La question, c'était de savoir si elle, elle en avait envie.
Au gré de mes vendredis soirs, j'allais vers des hommes ou des femmes, sans exclusive, et en n'imaginant pas sacrifier l'un pour l'autre. J'aimais sentir une queue fouiller mon ventre mais j'aimais aussi sentir la bouche d'une fille sur mon sexe. Pour rien au monde je n'aurais exclu un plaisir pour l'autre.
Je me suis levée. La réponse, je l'aurais très rapidement. J'aimais les attaques directes. Ca permettait de ne pas perdre de temps. Il suffisait que j'aille jusqu'à elle. Si elle disait oui, ce serait une bonne soirée. Si elle disait non...Je rentrerais seule. Je savais très bien me donner du plaisir, et contrairement à ce que pas mal de monde disait, le plaisir solitaire peut être aussi fort, sinon plus, que le plaisir à deux.
Elle avait presque fini son verre, donc l'entrée en matière était facile.
--Votre verre est vide...Ca vous dirait d'en prendre un deuxième avec moi?
Elle s'est retournée, et nous avons été face à face, à quelques centimètres l'une de l'autre.
Ce que son profil promettait, son visage le tenait. Elle avait un visage harmonieux, une harmonie que son maquillage, subtil et pas trop poussé soulignait, mettant en valeur les points de force, de grands yeux et une bouche charnue en particulier. Elle avait vraiment du charme. Mon sexe a validé cette impression, que j'ai senti s'ouvrir et commencer à mouiller. Des images se sont dessinées, comme autant de scenarii possibles, mettant en scène des jeux érotiques entre elle et moi.
--Je n'avais pas envie de passer la soirée seule.
J'ai commandé un deuxième cocktail pour moi, et un autre Cointreau pour elle, et elle est venue à ma table. A peine assise, elle a collé sa jambe contre la mienne. Le message était clair.
--Je m'appelle Eléanor, elle m'a dit. Je suis instit. Je viens me détendre ici le vendredi soir. Et toi ?
On s'est engagées dans une conversation qui devait nous permettre d'un peu mieux nous connaître, et en même temps de respecter les usages, de sembler civilisés, plutôt que de céder tout de suite à la tentation. C'était du moins en partie vrai, parce que sous la table, elle frottait sa jambe contre la mienne avec une ardeur qui disait qu'elle avait envie, ou besoin, ou les deux, d'une partenaire pour la soirée. Je sentais le poids de son genou et du haut de sa jambe contre moi, dont l'épaisseur et la chaleur me pénétraient. C'était très bon, et ça me donnait déjà du plaisir. Je ne mettais pas forcément de slip, ce soir-là j'en avais mis un et j'avais bien fait, pour absorber mes liquides intimes.
La sentant si bien disposée, j'ai glissé ma main sous la table, et je suis venue caresser cette jambe qui faisait appui sur moi. Elle l'a posée, m'a laissée faire. Mon premier contact a été celui du cuir, souple et chaud, mais pas autant que sa chair, lorsque j'ai dépassé la lisière de la botte. Je suis restée figée, traversée par une onde de plaisir à ce simple contact. Sous mes doigts il y avait cette chaleur intense, qui est remontée dans mon bras, et dans tout mon corps, et l'élasticité électrique du nylon. Je suis revenue sur ses cuissardes. J'aimais le contact du cuir. Je devais être un peu fétichiste parce que j'avais toujours aimé les filles qui avaient des bottes ou des cuissardes. Pour moi, c'est un élément érotique puissant. J'avais envie de lui demander, si on avait des rapports sexuels, qu'elle les garde.
Puis je suis remontée, pendant qu'on parlait de tout et de rien. Je suis revenue sur sa cuisse.
La robe, je ne l'avais pas vue, mais je le sentais, s'était calée à peu près au même niveau auquel elle était quand elle s'était installée sur le tabouret. Elle collait à son corps, mais il y avait quand même suffisamment d'espace pour que ma main puisse glisser dessous. Je l'ai remontée lentement, la caressant, jusqu'à ce que j'aie la surprise de découvrir une partie plus épaisse. J'ai compris qu'il s'agissait de l'attache d'un bas stay-up, et effectivement, en poussant un peu plus loin, j'ai touché sa peau nue.
--Tu aimes les garçons ou juste les filles ?, elle m'a demandé.
--Les deux. Ca dépend de l'humeur. Et ce soir, j'ai envie d'une chatte.
--Je suis comme toi. Et moi aussi ce soir, j'ai envie d'un corps de fille. Bon, on s'est bien trouvées. Je vois que tu as fini ton verre. Moi aussi. Si on allait chez moi ? J'habite pas loin. On peut prendre ma voiture, et je te ramène après...
Elle m'a mis la main aux fesses alors qu'on partait. Ca m'a fait une sensation de chaleur qui s'est étendue dans mon ventre et qui m'a fait encore plus mouiller. Elle avait très envie d'un corps de femme, d'une étreinte, de plaisir. Et moi aussi. Elle me l'a en tout cas montré quand on a été à sa voiture. Elle a libéré le véhicule avec la télécommande, c'était une crossover, m'a ouvert la portière. Je venais juste de m'installer, sans avoir encore basculé mes jambes, qu'elle s'est penchée sur moi.
--Viens, j'ai envie de te lécher la chatte. J'ai pas vu de chatte depuis trop longtemps. Tu vas voir, je me débrouille bien, ma langue, je vais te l'enfoncer jusqu'à l'utérus...
Si elle avait une robe, moi, j'étais en tailleur. J'aimais bien porter des tailleurs. J'ai toujours trouvé que ça faisait classe et sexy à la fois. La jupe était remontée quand je m'étais installée. Comme elle, j'avais des bas. J'aimais me faire coquette quand je sortais, pas forcément dans un désir de séduction d'ailleurs. Et j'avais aussi de jolis sous-vêtements, rouges, en dentelle. Je me suis soulevée, sans qu'elle le demande, pour qu'elle puisse m'enlever mon slip.
--Elle est bien mouillée cette culotte, dis donc...Il y a une grande tâche dessus...Remarque je suis pas mieux...J'ai pas eu de sexe depuis deux semaines, et j'ai envie...D'autant que tu es très séduisante.
Elle a fait glisser la culotte jusqu'à mes chevilles, l'a récupérée, avant de plonger son visage dedans. Elle a respiré longuement, avant de me dire:
--Hmmm, j'aime l'odeur de ta mouille...Et son goût aussi...Viens, j'ai envie de te goûter.
Elle était garée dans une rue transversale, déserte. J'ai amené ma jambe droite sur le tableau de bord pour mieux m'ouvrir et bien lui donner accès à ma chatte. Je me sentais toute dilatée, ouverte, encore plus ouverte une fois que j'ai posé ma jambe en hauteur, et coulant avec abondance. Et puis ça m'excitait de savoir que dans cette ruelle de courts immeubles et de maisons épaisses, on pouvait nous voir. J'imaginais des hommes frottant leur queue et se donnant du plaisir en regardant deux lesbiennes faire l'amour.
Elle s'est avancée vers le siège, et sa langue est venue pour un premier contact sur ma chatte. Un simple coup de langue, en travers de mes lèvres. Je n'ai pas pu m'empêcher de gémir. Une sensation de plaisir très forte, un trait de chaleur qui est monté dans mon corps, alors même que mon ventre était déjà en feu. Dans les minutes qui ont suivi, j'ai totalement perdu le contrôle, me laissant emporter par une vague de plaisir, une submersion totale. Il fallait dire que ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas léché aussi bien. Elle était hyper habile. On comprenait bien que ce n'était pas la première chatte qu'elle caressait de la langue. Un savoir-faire indéniable. Elle se posait, caressait, mais repartait rapidement sur un autre espace...J'ai cru que j'allais jouir, mais elle s'est sans doute interrompue avant que je n'explose, laissant dans mon ventre une frustration qui était excitante, et permettrait de rebondir sur la suite. Mais elle avait envie aussi de plaisir en retour. Elle a tiré sur une fermeture-éclair que je n'avais pas remarquée, sur le côté de sa robe, et fait glisser la tissu jusqu'à sa taille, avant d'amener ses mains dans son dos pour dégrafer un soutien-gorge noir. Dessous, elle avait deux seins bien charnus, et qui se dressaient fermement, comme tendus vers moi. Une offrande à laquelle je ne me sentais pas de dire non. Mes mains sont venues caresser sa chair, pendant que ma bouche se resserrait sur ses tétons, encore peu érigés. J'ai enchaîné plusieurs manœuvres, envelopper le téton de mes lèvres, aller et venir dessus, appuyer la pointe de ma langue sur le bout, puis un léger mordillement. Elle a poussé un gémissement dont j'ai bien compris qu'il était de plaisir et d'approbation, qui ne pouvait que m'encourager à continuer dans ce sens, sentant ce bout de chair spectaculairement se durcir et s'allonger.
On s'est trouvées à peu près au même niveau d'excitation l'une l'autre quand elle s'est reculée, à enlevé son soutien-gorge, mais remonté sa robe, contournant la voiture pour venir prendre le volant.
Elle connaissait le quartier sans doute mieux que moi. En tout cas, elle s'est déplacée sans difficulté dans un entrelacs de petites rues que moi, je ne connaissais même pas.
On a fini par s'arrêter devant une maison toute carrée, avec un jardinet. Il y avait un peu de murs, rouges, et beaucoup de baies vitrées.
--Les années 70's?
--Hmm...Tu es forte, dis donc.
--J'adore l'architecture.
On avançait sur les dalles qui délimitaient le chemin entre le portail et la maison quand elle m'a dit :
--Je tiens à te prévenir...Je suis spéciale...
Je me suis tourné vers elle.
--Ne me dis pas...Tu es un trans...J'étais convaincue que j'allais tomber sur ça tôt ou tard...
--Ah non, c'est pas ça du tout...Mais je suis quand même un peu spéciale. Bon, je vais t'expliquer.
Elle a fermé la porte sur nous et on s'est retrouvées collées l'une à l'autre, bouches accrochées, nos mains sur les fesses de l'antagoniste. Les explications allaient attendre un peu.
Quand on s'est dégagées l'une de l'autre, elle m'a emmenée vers le divan qui était l'élément central de la grande pièce, meublée de manière assez dépouillée.
On a glissé sur le divan pour s'embrasser et se caresser à nouveau, sur nos vêtements, puis en déshabillant l'autre petit à petit.
--J'ai envie que tu gardes tes cuissardes et tes bas, je lui ai dit...
--Tu es fétichiste...Alors moi je veux que tu gardes tes escarpins et tes bas...Ca me trouble aussi.
J'ai fait passer sa robe par dessus ses épaules. Elle a fait glisser ma veste, ôté mon débardeur, défait mon soutien-gorge. Je n'avais pas la même poitrine qu'elle, elle avait du volume, mais elle était plutôt ronde. Chaque poitrine est unique. En tout cas, elle a eu l'air de lui plaire.
--Au fait tu voulais me dire quoi ?, je lui ai demandé, en tendant les mains vers son slip.
--Ca, elle m'a répondu alors que je descendais le slip le long de ses jambes.
Je me suis figée au niveau de ses genoux. En fixant le CA.
--Je ne suis pas un trans,mais je suis sûre que j'ai un atout plus gros que la bite de certains d'entre eux. Qu'est-ce que tu en penses ?
Chaque sexe de femme est unique. Le sien était très particulier.
Je comprenais bien en quoi elle était 'spéciale', selon son aveu.
Même de nos jours où les corps sont exposés sans aucune retenue, et voir un acte sexuel est la chose la plus facile qui soit, on ignore encore comment est faite l'anatomie féminine, et quels sont les chemins du plaisir. J'avais découvert pas mal de choses que j'ignorais totalement en lisant sur divers supports. Et en particulier concernant le clitoris. Dans l'opinion publique, le clitoris, c'est ce qui est en haut des lèvres et qui sort. On appelle ça le gland en fait, comme le gland d'une bite d'homme...Le clitoris c'est toute cette partie cachée, qui entoure le sexe, et qui est un prodigieux pourvoyeur de plaisir. De là, l'opposition classique entre vaginale et clitoridienne ne tient plus. C'est un seul bloc. Et c'est une prodigieuse zone de plaisir, puisqu'il y a 80 000 nerfs dans cette partie.
Tout cela je le savais bien. Elle, peut-être. Donc pas de surprise. Non la surprise, c'était ce fameux gland clitoridien.
Dans mes relations avec des femmes, j'en avais déjà vu pas mal des glands clitoridiens. Chaque anatomie est unique, et j'en avais eu des petits, des moyens, sous la langue, les doigts.
Celui qui sortait, là sous mes yeux était vraiment impressionnant. Je ne savais pas s'il était en pleine érection ou si celle-ci était partielle, mais il était d'une longueur et d'une épaisseur impressionnantes. J'aurais dit cinq à six centimètres de long, et peut-être trois de diamètre. J'avais déjà vu des photos de micro-pénis. Ce qu'elle avait là, c'était une sorte de bite, et immédiatement, j'ai pensé à la fois au plaisir qu'elle pouvait éprouver, mais aussi à certaines possibilités qui pouvaient se développer dans les minutes qui ont suivi.
--Je comprends mieux ce que tu voulais dire...
--La nature m'a bien dotée...
--Et au niveau plaisir ?
--Mon plaisir est à la taille de cette partie de mon anatomie...
Rien au monde n'aurait pu m'empêcher de venir sur elle, et c'était bien ce qu'elle attendait. Elle était bien ouverte, et j'ai glissé vers elle. Un rien intimidée sans doute, je ne suis pas venue immédiatement sur ce clitoris qui était là posé devant moi, impressionnant à vrai dire, mais j'ai attaqué plus classiquement sue ses lèvres, comme elle l'avait fait quelques minutes plus tôt. Elle était bien ouverte et elle mouillait abondamment. Ses liquides sucrés ont coulé dans ma bouche pendant que je baladais ma langue sur l'ouverture de son sexe. Si son clitoris était volumineux, sans doute que la partie cachée de son clitoris était elle aussi bien développée, et d'autant plus porteuse de plaisir. Sans gêne, elle s'est mise à gémir. Je me suis dit que si j'avais les mêmes attributs sexuels qu'elle, j'aurais moi aussi gémi...
J'hésitais, et puis j'ai franchi le Rubicon. J'en avais trop envie. D'abord un léger coup de langue. Histoire d'apprivoiser la bête. Mais son clitoris n'avait pas une texture, une épaisseur différentes de ceux que j'avais plus croiser avant. Il était simplement plus charnu, plus long dans sa sortie à l'extérieur...Et il lui donnait du plaisir. Elle a eu un frémissement...
C'était surtout ma manière de l'aborder qui allait être différente. J'ai commencé par donner des coups de langue dessus, Elle s'est abandonné au plaisir, tremblante et gémissante. Ses jus intimes sortaient en un écoulement continu.
Cette expérience m'excitait terriblement, une excitation sans doute à la mesure de la sienne. J'ai amené ma main entre mes cuisses pour me caresser, pour accompagner mon plaisir et me soulager.
Ca me tentait, c'était une évidence... Je me suis dit que le clitoris, il fallait que je le prenne comme j'aurais pris une queue. C'était une option ultra excitante. Et sans doute ce qu'elle attendait.
Ca m'a énormément troublée de le prendre dans ma bouche. Des queues j'en avais pris déjà pas mal dans ma bouche. Il y en avait qui n'avaient pas la consistance, ni l'épaisseur de ce clitoris. Il m'a remplie, long, épais, j'ai même cru un instant que j'allais jouir tellement c'était décalé et excitant.
J'ai fait de mon mieux pour lui donner du plaisir, et je ne devais pas être totalement mauvaise, à en juger par sa réaction. Elle était dans une bulle de plaisir. Son gland clitoridien, je faisais aller et venir ma bouche dessus, je le frottais de la langue, je le mordillais, je le laissais puis je le reprenais..Tout un arsenal de techniques qui semblaient la combler...
On avait deux anatomies radicalement différentes, mais au moins un point commun. On mouillait autant l'une que l'autre. Sa jouissance se manifestait aussi par cet écoulement continu, abondant, de plus en plus abondant, me semblait-il, de ces liquides auxquels je me suis abreuvé plusieurs fois, lâchant son clitoris...J'avais toujours adoré boire mes partenaires, laisser leurs jus couler dans ma gorge...Et moi aussi, je coulais abondamment contre ma main qui me frottait...Je devais me retenir pour ne pas jouir...Jusqu'au moment où il y a eu un orgasme qui est monté dans mon ventre, qui m'a traversé, alors que je la suçais encore, orgasme qui m'a traversée, me laissant groggy pour quelques secondes, en précédant d'autres...
La suite, j'en avais envie, et en même temps elle me faisait un peu peur, parce que je savais qu'elle allait être très forte. Mais ça s'est fait tout naturellement. Je me suis dégagé de ce clitoris que j'aurais pu encore caresser buccalement pendant des heures, et je me suis laissée aller dans le divan, m'ouvrant pour qu'elle vienne sur moi et me pénètre de son clitoris.
J'ai pensé que l'une et l'autre, on mouillait le cuir rouge...Que ça ne devait pas être la première fois et que ça ne serait pas la dernière que des liquides féminins s'y déposeraient. Il devait être saturé d'odeurs des jus qui s'y étaient accumulés et qui avaient séché là. Je me suis vue un instant reniflant le canapé.
Ce qui m'a excitée au plus point et faite jouir alors qu'elle me pénétrait, puis encharner les orgasmes dans les minutes qui ont suivi, comme je n'avais sans doute jamais joui, ça a été la part d'irréalité de ce moment. Elle est venue sur moi comme un homme qui aurait voulu me pénétrer, elle est rentrée dans mon ventre comme un homme l'aurait fait avec sa queue, à part qu'elle, c'était avec son clitoris. Je n'aurais jamais imaginé vivre un tel moment. Les sensations, après un léger temps de latence, m'ont envahi. Le gland clitoridien m'habitait, me remplissait, il s'est mis à me caresser à l'intérieur, une caresse unique. C'était comme une queue, et en même temps, c'était radicalement différent. Et je me suis mise à jouir. Jouir de la sentir en moi, puis jouir quand elle s'est mise à bouger en moi, allant et venant comme un homme l'aurait fait de sa queue. Je ne savais pas ce qui m'excitait le plus, le fait d'être dans une expérience si particulière, les frottements de son gland clitoridien démesuré contre mes parois internes...Un signe de réel plaisir, de jouissance, c'est quand on perd le contrôle, et là, je le perdais clairement. Quand elle est sortie de moi, son gland clitoridien avait quasiment doublé de volume, et il dégoulinait de mes jus intimes...Elle n'avait pourtant pas joui. Je me suis penché sur elle, et je l'ai reprise dans ma bouche. C'était presque trop gros pour moi. Je l'ai sucée avec plus ardeur, une sorte de hargne pour la faire jouir. Je me demandais si j'allais arriver à mes fins, et puis, il y a eu une sorte de déclic...Elle s'est mise à se tordre dans tous les sens, explosant dans une série d'orgasmes, qui ont fait s'agiter son corps dans des spasmes très forts, en même temps qu'elle criait. Elle a éjaculé, crachant des jets de liquide qui ont éclaboussé nos chairs...
On avait encore envie de sexe...Une faim qui, chez moi, avait été attisée par ces conditions si particulières...Je voulais encore goûter ce corps, ce sexe si différents...
On est parties sur son lit, pour de nouveaux jeux érotiques...Le plaisir poussé à son paroxysme, jusqu'à ce que totalement épuisées, on s'endorme, enlacées.
Je me suis éclipsée sur le coup de quatre heures du matin. Je voulais éviter les réveils parfois pleins de gêne. Ca avait été parfait comme ça. Autant rester sur du positif.
Cette soirée a traîné longtemps dans ma tête. Comme un moment parfait. Rien que d'y penser, j'avais le ventre en feu... Je me caressais plusieurs fois par jour, repensant à ces moments, et jouissant quasi immédiatement.
J'avais une envie. Mais je n'osais pas. Je me disais qu'il fallait rester sur ce moment...
Et puis, finalement, je me suis rendue de nouveau, deux semaines après, dans ce bar.
Elle était là. Pas de robe, ce soir-là, mais un tailleur fuschia.
Elle ne m'a pas entendu arriver. Je me suis calée tout près d'elle, avant de lui dire :
--J'ai envie d'un énorme gland clitoridien qui me fouille bien...
Elle s'est tournée. M'a dédié un sourire immense.
--Ca, ça peut toujours s'arranger.
Elle est descendue du tabouret, pour venir se caler à deux centimètres de moi. Se moquant de ceux qui nous entouraient, elle est venue prendre ma bouche.
--J'avais envie de te revoir.
--Ben voilà, je suis là. On prend un verre ensemble ou on va directement chez moi?
--Je suis trop impatiente...
--Alors...
On s'est éclipsées en se tenant la main. J'étais heureuse de la retrouver et de retrouver ce clitoris qui me rendait folle.

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Histoire de JamesB

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