Un drôle de trio

Je suis dans mon bureau, le visage dans les mains.
Je pense à ce message anonyme que je viens de recevoir, et qui confirme mes doutes. Vincent, mon époux, me trompe. Et ce, après dix ans de mariage.
Tout ça, parce que soit disant, je ne le satisfait plus au lit.
Plusieurs fois, il m’a averti.
«Attention Ambre, un jour, j’irai chercher ailleurs.»

Ce samedi, nous fêtons le départ en retraite d’un cadre. J’avoue avoir un peu poussé sur le rosé. Malgré les avances d’un collègue de travail, qui voulait m’emmener chez lui, pour me baiser, je décide enfin, de rentrer à la maison.
Ce que je ne pouvais pas prévoir, c’est qu’il avait invité sa maîtresses à passer le week-end à la villa. Je les surpris au lit, enlacés sous les draps. Sur la table de chevet, deux flûtes, et une bouteille de champagne, au frais dans un seau.

-Tiens, Ambre, mais rentre ma chérie...je te présente Francesca, ma nouvelle secrétaire.
-Bonjour madame, dit la jeune femme.
-Bonjour, bégaye-je surprise. Ne vous dérangeaient pas, je vais prendre un bain.

A peine rentré dans mon bain, que la porte s’ouvre. C’est Francesca, entièrement nue. Elle est d’une beauté à couper le souffle, avec se longs cheveux noirs, roulant sur ses épaules.
Elles s’approche, s’assied sur le rebord de la baignoire.

-Je sais que vous êtes déçu, dit-elle, c’est Marc qui tenait à m’emmener ici.
-Ici ou ailleurs, ça change quoi, il me trompe.
-Mais il est hors de question, que je prenne vôtre place.

En disant cela, elle dirige une main sur mes seins. D’abord surprise, je la repousse.

-Hum... ils sont beaux, dit-elle en revenant à la charge.

Est-ce l’effet du rosé...toujours est-il, que je ne repousse pas la deuxième tentative. Je pousse même un petit gémissement, quand elle fait rouler les bouts entre ses doigts. Elle prend le risque de plonger une main sous l’eau débordante de mousse, vers un endroit précis de mon intimité.
Là aussi, je n’offre aucune résistance. Le doigt passe sur ma fente, remonte jusqu’au clitoris. La jeune femme ne me quitte pas des yeux, attend ma réaction.

-Détendez-vous madame.
-Mais que faites-vous, dis-je en fermant les yeux.
-Je vous masse la chatte, madame, on vous l’a jamais fait. Ca délasse vous savez. Laissez-vous faire...vous serez mieux après.

Non seulement, je me laisse faire, mais je participe, en me cambrant sur les pieds, pour mieux m’offrir. Au bout d’un moment, je lui arrache la main quand j’atteins un léger l’orgasme.

-C’est bon, hein madame...on peut faire mieux, si vous le souhaitez. Venez nous rejoindre au lit, on pourrait jouer tous les trois. Allez...peut-être à tout à l’heure.

Je ne reviens pas de ce qu’il vient de m’arriver. Me faire doigter par une jeune fille, et en plus, avoir pris du plaisir.
Je reste dans l’eau du bain, en train de réfléchir.
Les rejoindre, veut dire que j’accepte une partie à trois. Et quitter la villa, n’est pas une solution.
J’enfile un peignoir, et décide de les rejoindre. J’ai comme l’impression qu’ils m’attendaient.
Francesca se lève, me prend les lèvres. Lentement, elle fait glisser le peignoir au sol. Elle me prend la main, et m’entraine jusqu’au lit.

-Viens ma chéri, dit Marc, prenons du bon temps.
-Mettons la entre nous, propose Francesca.

Je suis aussitôt prise en charge, par les mains vicieuses de Francesca. Elle visite toute les parties de mon corps. Je me laisse faire, prise d’un soudain désir. Les doigts sont experts, savent ou caresser. Petit à petit, je m’abandonne totalement.

-Ouah, Marc...ta femme à l’air d’aimer ça...hein que vous aimez qu’on vous caresse. Vas-y, écartez vos jambes que je trempe mes doigts dans vôtre chatte...allez, obéissez…
-Mais elles sont écartées, vous pouvez les tremper.

Les doigts pénètrent ma chatte, entament de lents va et vient. Ma respiration s’accélère. Francesca devine un orgasme proche. Il arrive dans un cri de plaisir, sous le rire soutenu de mon mari et sa maîtresse.

-Mon dieu ma chérie, dit Marc, comme elle t’a fait jouir. T’as aimé te faire branler la chatte.
-Tu as bien vu salaud...
-Maintenant, c’est vôtre mari qui va s’occuper de vous.
Installer vous à quatre pattes, il va vous prendre en levrette. Regardez comme il bande.

Telle une soumise, j’obéis à Francesca. Mon mari se met en position derrière moi. Francesca prend sa queue, la passe sur ma fente, mon clitoris.

-On va commencer par la chatte, surtout qu’elle est bien mouillée, bien ouverte. Elle a envie la dame.
-Oh oui, s’il vous plaît...enfoncé là...
-Comme ça...Allez, la chatte est bien ouverte, le clito bien décalotté, la queue bien raide, les couilles bien pleines. Tout est réunis pour passer un agréable moment.

La queue me pénètre, m’arrachant un gémissement de plaisir. Elle se met en mouvement dans ma chatte. Mon corps suit la cadence sur la bite qui me baise. Je ne peux retenir un cri quand je jouis.

-Ben voila, sourit Francesca, on va pouvoir s’occuper du petit trou. Vous allez voir comme vôtre mari va bien vous enculer.

C’est Francesca elle même qui guide la queue de mon mari, contre mon œillet encore vierge. Mon corps reçoit avec plaisir l’imposant calibre. Comme pour atténuer la douleur, Francesca a glissé une main sous mon ventre, décalotté mon clitoris, le doigte.
Je suis envahie par une folle envie de jouir. Jusqu’à maintenant, j’ai toujours protégé mon petit trou. Mais si c’est un atout pour sauver mon couple, je veux bien me faire sodomiser. Après tout, c’est mon mari.
Suite à cette torride relation, je reprends goût au sexe. Grace à Francesca. C’est au cours du ramonage de mon petit trou, que j’atteins la jouissance. Au même moment, je sens le sperme chaud de mon mari, gicler dans mon ventre.
Après avoir bien jouit, nous nous écroulons sur le lit.
En se relevant, on s’aperçoit que Francesca a disparu.

-Ou est Francesca…
-Elle est parti ma chérie.
-A bon, et ça fait longtemps que c’est ta maîtresse.
-Mais, ce n’est pas ma maîtresse, on a jamais couché ensemble.
-Mais...je suis pas folle, je vous ai vu au lit.
-Il ne s’est rien passé. C’est une mise en scène avec une Escort Girl que j’ai payé pour la journée. C’était pour te réveiller, pour te faire voir de quoi je suis capable.
-Enfoiré, dis-je en m’empalant sur sa queue, moi aussi je vais te montrer de quoi je suis capable.

Les retrouvaille au lit, sont exceptionnelles. On a fait l’amour une grande partie de la nuit.