La fille des voisins

- (M) Je m’appelle Maëlys, j’ai 18 ans et suis lycéenne en terminale quand débute cette aventure. J’habite chez mes parents au 4ème et dernier étage d’un petit immeuble neuf n’ayant que deux appartements par étage allant du T2 au T4. Nous y avons emménagé il y a un an. L’appartement face au nôtre vient d’être occupé par un jeune couple.
- (J) Je m’appelle Julien. Ma copine Karine et moi venons d’emménager ensemble. Elle a 26 ans et moi 27, nous venons tous les deux de décrocher un CDI. Nous sommes ensemble depuis presque 2 ans et nous nous entendons bien. Sur le plan sexuel, j’ai ‘’éduqué’’ Karine en l’aidant à se décoincer… Depuis que nous sommes ensemble, elle accepte les cunnilingus et les fellations et aime mes fessées qu’elle s’emploie à mériter. Par contre elle refuse toujours la sodomie et a toujours du mal à être nue pour le seul plaisir de ma vue ; de même, elle refuse mon envie de la voir avec une autre fille. Nos ‘’rythmes’’ sont très proches, les relations n’étant pas cantonnées au lit lors du coucher… Nous pouvons exprimer nos envies à tout moment de la journée et en tout lieu de l’appartement. Seule exception et pour des raisons de sécurité, au moment où l’on cuisine.
- (K) Je m’appelle Karine et suis très amoureuse de Julien. Je ne suis pas jalouse mais je n’aimerai pas le voir avec une autre c’est pourquoi j’accède à beaucoup de ses demandes. Nous étions ensemble depuis un peu plus de deux mois lorsqu’il m’a fessée pour la première fois ; nous étions dans mon studio et je lui avais refusé de mettre nue pour ranger en l’insultant copieusement. Il m’a rapidement coincée et fessée en me déculottant en cours de route. Au début de cette fessée je me suis débattue et lui ai promis de le quitter… A la fin, j’ai tellement joui quand il m’a fait l’amour que je n’avais qu’une envie : recommencer !
- (J) Nous sommes allés nous présenter à tous les habitants de l’immeuble : sur les trois premiers étages, des couples sans enfants entre 40 et 70 ans, tous très sympathiques et heureux de voir des jeunes s’installer ; à notre étage, le seul couple avec enfant ; ils ont une petite quarantaine et leur fille Maëlys est lycéenne. Ils nous ont aussitôt invités à un petit apéro histoire de faire mieux connaissance.
- (M) Les parents ont invité les nouveaux voisins à l’apéro. Ça va encore durer des plombes et je ne pourrai même pas aller m’isoler dans ma chambre…
- (K) La soirée chez les voisins a été très sympa. Leur fille Maëlys est restée avec nous et participait activement à nos conversations. Je me demande si elle n’a pas essayé de faire les yeux doux à Julien qui n’y a rien compris. La semaine suivante, nous les avons invités à manger ; Maëlys qui, d’habitude, ne les accompagne jamais est venue trop contente de trouver des gens proches en âge. La soirée s’est terminée fort tard mais dans le calme même si l’immeuble est bien insonorisé.
- (M) Finalement super ces voisins. Karine est adorable et Julien est très beau mais il semble très autoritaire et m’intimide. Mon emploi du temps cette année est génial ; excepté le lundi, je finis tous les jours à 15 h et suis de retour à 15 h 30, tranquille des parents jusqu’à 19 h.
- (J) Mon travail est très agréable et, même s’ils sont chargés, mes horaires sont sympas : 5 h – 13 h tous les jours. Dès 14 h, je suis chez moi. Je travaille du lundi au vendredi.
- (K) Je travaille dans la restauration et ai des horaires spéciaux mais que j’aime : 10 h – 14 h et 18 h – 21 h ; je peux donc être chez nous de 14 h 30 à 17 h 30. Je travaille du mardi au samedi.

Une dizaine de jours plus tard, un vendredi après-midi, les voisins sonnent. Ils doivent tous les deux partir rapidement à l’autre bout de la France pour régler des problèmes familiaux. Ils seront absents une dizaine de jours et nous demandent si nous pouvons prendre soin de Maëlys, en particulier pour les repas. C’est un oui immédiat.

- (M) Comme si les parents ne pouvaient pas me laisser seule… Mais bon, les voisins sont tellement sympas que je vais quand même me faire plaisir. J’espère que Julien m’intimidera moins… Quant à Karine, je la kiffe trop
- (K) Je suis contente de recevoir Maëlys. J’espère qu’elle ne fera pas trop de rentre dedans à Julien mais je sais qu’on va s’entendre. Elle mangera avec nous tous les soirs et à tous les repas du week-end.
- (J) Nous sommes vendredi soir et Maëlys mange avec moi. Elle est sortie de chez elle, toute de blanc vêtue, vers 17 h pour me rejoindre et pouvoir saluer Karine avant qu’elle ne parte. Nous discutons jusque vers 18 h 30 et je m’apprête à préparer le repas : tomates en salade, quiche. Maëlys tient à m’aider et s’empare des tomates au moment où je mets un tablier. Je lui ordonne de ne pas le faire mais elle n’écoute pas. Bien entendu, elle se tache très rapidement.
- (M) Plutôt que de le regarder faire, j’attrape les tomates et un couteau. La seconde rondelle glisse brusquement et, après s’être plaquée sur mon tee-shirt, atterrit sur mon pantalon. Sur le blanc, bonjour les dégâts. C’est un désastre ! Je ne sais même pas si je pourrai récupérer mes vêtements.
- (J) [de façon véhémente] Bravo ! Tu as gagné ! Quand je dis quelque chose, tu dois obéir. Maintenant il va falloir que je m’occupe de tes vêtements immédiatement pour que les taches ne s’incrustent pas. Déshabille-toi !
- (M) J’ai commencé à dire que j’allais chercher d’autres vêtements mais il s’est fâché en m’ordonnant de me déshabiller immédiatement pour pouvoir détacher. Il m’a dit que je n’avais qu’à l’écouter avant et que mes simagrées et ma pudeur il s’en fichait. Tout était dit sans crier mais d’une manière tellement sèche que j’en étais effrayée. J’ai commencé à enlever mon tee-shirt dont il s’est aussitôt emparé en me pressant d’enlever mon pantalon. Je reste bloquée et ne le retire que lorsqu’il menace de le faire lui-même. Me voici en culotte et en soutien-gorge rouge de honte.
- (J) Elle s’est enfin déshabillée et, sans le laisser paraître, je me dis qu’elle est mignonne. Elle veut rentrer chez elle chercher d’autres vêtements. Je le lui interdis. Elle attend immobile, le visage rouge jusqu’à la racine des cheveux. Je prends un yaourt nature dans le frigo et m’occupe des taches avant de me tourner vers elle.
- (M) Il a mis du yaourt sur mes vêtements, je ne sais pas pourquoi. Il s’assoit sur une chaise qu’il éloigne de la table et commence à m’expliquer que j’ai fait une bêtise en lui désobéissant et que cette bêtise lui ayant donné du travail supplémentaire je dois être punie.
- (J) Ta punition va être une fessée. Comme tu ne me connais pas encore et que c’est ta première désobéissance, tu n’auras que 10 claques. Maintenant viens t’allonger sur mes genoux.
- (M) Ce mec est dingue ! Je refuse d’avancer et voilà il me promet 2 claques de plus. Mon esprit est tétanisé, mon corps avance quand ma tête me dit de fuir… Je m’allonge sur ses genoux, sa main se pose sur mes fesses à peine protégées par ma fine culotte de coton.
- (J) Je vais commencer, tu devras compter à voix haute. Si tu oublies ou que tu te trompes, on repart du début. A toi de choisir.
- (M) Un… Deux… Il alterne d’une fesse à l’autre. Trois… ça fait mal. Quatre… Je ne peux m’empêcher de gémir. Cinq… Mes jambes battent à chaque claque. Huit… Je pleure sans pouvoir m’arrêter. Neuf… Ce n’est pas la douleur mais plutôt la honte. Dix… C’est sûr, je ne lui désobéirai plus. Onze… Douze. Enfin. Il me caresse les fesses comme pour calmer ma douleur puis m’aide à me relever. Je sèche mes larmes en me jetant dans ses bras.
- (J) Voilà c’est terminé. Je te pardonne. Maintenant je vais pouvoir laver tes vêtements.
- (M) Il a mis la machine en route puis nous a préparé le repas. Je suis restée sage sans même penser à retourner chercher d’autres vêtements. Pendant le repas, il m’a dit que j’étais belle et qu’il m’aimait beaucoup en sous-vêtements ; ça m’a fait chaud au cœur et je lui ai souri. Au moment de partir, il m’a pris dans ses bras et m’a caressé les fesses en m’affirmant qu’elles ne devaient même plus être rouges puis il m’a rappelé qu’il fallait obéir sinon il me donnerait une nouvelle fessée et que la prochaine serait une vraie c’est-à-dire cul nu ! Là c’est mon visage qui est devenu rouge. Je lui ai promis d’obéir. Il m’a embrassée tendrement dans le cou. Avant de m’endormir, je me suis caressée et ai fortement joui.
- (J) La voici partie et il me reste deux heures avant que Karine ne rentre. J’ai hâte de l’avoir dans mes bras et de la déshabiller mais, en l’attendant, je n’oublie pas d’étendre le linge propre : les taches sont parties.
- (K) Rentrée du travail, je trouve Julien dans le canapé et me penche vers lui pour l’embrasser. Il en profite pour me saisir par les fesses et me faire m’assoir sur ses genoux. Il m’embrasse comme un fou tout en me déshabillant. Je suis nue avant même d’avoir pu lui demander quoi que ce soit. Sa bouche et ses mains me parcourent, m’excitant au plus haut point. Je ne reste pas inactive et le déshabille. Je commence à le sucer mais rapidement il m’arrête, me fait mettre en levrette sur le canapé et me prend merveilleusement.
- (J) Quand Karine est rentrée c’est sauvagement que je me suis occupé de son corps. Après, je lui ai raconté la fessée de Maëlys puis nous sommes partis au lit et avons refait l’amour de manière beaucoup plus tendre. Karine m’a remercié de l’avoir attendue pour soulager mon sexe et m’a dit qu’elle voudrait bien voir Maëlys se faire fesser. Elle m’a surpris surtout quand elle a ajouté qu’elle la goûterait bien.
- (M) Il est à peine 8 h quand je me lève ce samedi matin. J’ai superbement bien dormi et me sens reposée comme si j’avais fait une grasse matinée. En me déshabillant pour me doucher, je repense à la fessée d’hier. J’ai honte mais je crois qu’il a eu raison. Et puis, il faut oublier. Aujourd’hui je vais être tranquille, Karine est là.
- (K) Maëlys arrive pour le petit déjeuner juste après que Julien soit rentré avec le pain frais. Elle est vêtue d’une simple robe à bretelles larges et avec un décolleté relativement prononcé. Elle me sourit et vient m’embrasser puis va saluer Julien qui s’empresse de lui montrer ses vêtements propres et détachés. Elle lui saute au cou et il en profite pour l’embrasser dans le cou et lui caresser le dos et les fesses.
- (M) Je suis trop heureuse que mes vêtements soient détachés. Julien en profite un peu mais je reste collée à lui. Karine me claque légèrement une fesse en disant qu’il ne faut pas que je drague son mec. Je lâche Julien en rougissant et Karine éclate de rire. Elle vient me faire un câlin et, elle aussi, me caresse les fesses.
- (J) Je suis aux anges de voir Karine et Maëlys s’entendre si bien et surtout de voir Karine commencer à caresser une autre fille… Nous passons à table et le déjeuner se passe dans la bonne humeur.
- (K) Au moment de débarrasser, je demande à Maëlys si ses fesses n’ont pas trop souffert de la fessée. Elle rougit et devient même cramoisie. Je la prends dans mes bras, lui caresse les fesses à nouveau et lui dis que parfois Julien exagère. Il me regarde avec l’air courroucé. J’insiste en reprochant à Julien cette fessée.
- (J) Que Karine me désapprouve devant Maëlys ça commence à bien faire. Je lui dis que cette façon de me remettre en question me semble anormale et m’échauffe grandement.
- (M) Alors que je suis dans les bras de Karine, Julien se fâche. Il arrive derrière moi et me prend par le bras en m’entrainant dans la salle où il me fait assoir sur une chaise en côté du canapé. Simultanément, il dit à Karine de venir et lui annonce 40 et s’installe au milieu du canapé.
- (K) Julien, je te demande pardon. S’il te plait, pas maintenant. Quand nous serons seuls si tu veux…
- (J) Veux-tu que je passe à 80 ?
- (M) Je n’y comprends rien mais Karine rougit, se dandine puis, devant l’air déterminé de Julien, retire son pantalon ; Julien lui précise qu’il la veut entièrement nue… Elle obtempère et j’admire son corps. Elle vient aussitôt se coucher sur les genoux de Julien qui immédiatement commence à la fesser. Elle compte mais ne peut s’empêcher de gigoter des jambes. Plus les chiffres avancent, plus son cul rougit, plus ses jambes s’écartent dévoilant son intimité. Je suis hypnotisée par la vue. Je sens en moi la chaleur se répandre dans mon ventre et atteindre mon intimité. J’ai envie de toucher la sienne, et redoute qu’une telle fessée m’advienne un jour…
- (J) Voilà, c’est fini mon amour. Maintenant, Maëlys ne gémira plus comme une gamine et tu n’auras pas à prendre sa défense contre moi.
- (M) Je ne sais plus quoi dire ni faire ; je suis honteuse et gênée pour Karine et j’ai envie d’aller la consoler.
- (K) Je me relève et me tourne vers Maëlys la sachant gênée. Julien me caresse les fesses alors que je tends mes bras à Maëlys. Elle vient s’y pelotonner en mettant ses mains dans mon dos. Julien lui dit qu’elle ferait mieux de me caresser les fesses pour me soulager… Elle le fait et j’adore.
- (J) J’aime cette scène d’autant plus que Karine semble y prendre goût. J’ajoute alors qu’il me paraitrait normal que Karine punisse Maëlys pour l’avoir entrainée à me désapprouver en sa faveur.
- (K) Tout en caressant la joue de Maëlys qui garde ses mains fraiches sur mes fesses, je lui dis que je vais lui donner 10 claques. Elle me regarde étonnée puis acquiesce en me souriant. Je lui demande de retirer sa robe.
- (M) Je le fais pour plaire à Karine. Je sais ce qui m’attend mais suis surprise quand Karine m’emmène à côté de la table et me demande d’y poser mes épaules en tenant les bords. Je me couche sur le plateau de la table. Elle m’ordonne de retirer ma culotte. Là, c’est trop, je dis non. Karine est derrière moi et c’est elle qui me l’enlève en me disant que je dois obéir quand je suis en faute. Me voici les fesses à l’air et elle commence à me fesser pendant que Julien la caresse et ça m’excite. Je n’oublie pas de compter. Je gigote moi aussi même si je sais qu’ils vont tout voir mais je ne peux pas m’en empêcher. Je pleure aussi mais je sens mon sexe suinter de plus en plus…
- (K) Je suis troublée car c’est la première fois que je vais fesser quelqu’un mais en même temps j’en ai envie. Je m’approche et me mets en côté. Julien se poste derrière moi et me caresse les seins et la chatte. Je lui en veux un peu de le faire en présence de Maëlys mais sa fessée m’a tellement échauffée que j’en ai envie. Envie d’autant plus forte que la vue de Maëlys m’excite.
- (M) Arrive la dernière claque. Je me relève en larmes. Karine est à côté de moi. Elle dégrafe mon soutien-gorge car elle me veut nue comme elle. Karine me caresse les joues puis les seins. Mes fesses sont brûlantes. Puis elle me serre contre elle. Nos seins déjà durs se frottent. Elle m’embrasse à pleine bouche puis elle s’agenouille, m’écarte les jambes et me lèche pendant que Julien vient m’embrasser à son tour en me caressant les seins. Je suis emportée par un orgasme fantastique.
- (K) Julien me fait prendre la place de Maëlys en appui sur la table et lui demande de me caresser les seins. Il se déshabille et me prend en levrette. Ça rentre tout seul tant je suis excitée. L’orgasme m’emporte sans qu’il ait joui. Il demande alors à Maëlys de le sucer. Je m’agenouille à côté d’elle pour la guider tant elle semble hésitante. En même temps je la caresse. Julien se retire à temps pour ne pas jouir dans sa bouche et se vide sur nous. Maëlys semble heureuse.
- (M) Karine m’entraine dans leur chambre et, après m’avoir passé une crème hydratante sur les fesses, me fait à nouveau jouir. Je m’endors sans demander mon reste. Julien vient me réveiller à midi. Il me caresse les seins ; c’est doux, j’aurais envie qu’il continue mais il me dit qu’il faut que je garde des forces pour mon travail pour le lycée et il m’invite à le suivre. Il me dit de m’habiller et de les rejoindre pour le repas.
- (J) Après le repas, je renvoie Maëlys chez elle pour qu’elle travaille et je m’installe dans la chambre avec Karine. Alors que nous commençons à nous caresser, elle m’avoue qu’elle a aimé lécher Maëlys.
- (K) Alors que Julien m’entraine vers le plaisir, je lui demande s’il veut me voir faire l’amour avec Maëlys. Bien entendu, il le veut ! J’ajoute qu’il n’aura pas le droit de la pénétrer.
- (M) En fin d’après-midi, je les rejoins pour la soirée. Après un petit verre de vin en guise d’apéritif et un repas joyeux, Karine vient m’embrasser à pleine bouche. Je suis heureuse de répondre à son baiser. Nous partons tous les trois vers leur chambre. Julien, nu, s’assoit dans un fauteuil pendant que Karine me dénude tout en se déshabillant. Nous nous échauffons rapidement. Je suis allongée sur le dos, Karine au-dessus de moi en 69 me masturbe merveilleusement et je le lui rends bien quand Julien vient la prendre. Je suis à la première loge et le spectacle m’échauffe tant que je jouis très vite.
- (K) Après ce doux intermède, nous discutons tous les trois, de sexe bien entendu. Nous avouons à Maëlys qu’elle nous a permis une première dans notre couple. Elle nous dit son plaisir immense, ses craintes, sa virginité, ses envies…
- (M) La nuit est passée sans le moindre rêve et, au réveil en ce dimanche, après m’être douchée, je passe ma robe sans mettre de sous-vêtements. J’aime les caresses de Karine et j’ai aussi aimé sucer Julien.
- (J) Nous en avons parlé avec Karine ; elle accepte me voir faire l’amour avec Maëlys si elle participe. J’espère que Maëlys acceptera.
- (K) Maëlys arrive pour le petit déjeuner. Je remarque tout de suite son absence de soutien-gorge et, alors que je passe la main sur ses fesses en l’embrassant, je m’aperçois qu’elle n’a pas mis de culotte. J’éclate de rire et lui dis qu’elle n’est qu’une petite cochonne !
- (M) Julien soulève la robe avant de m’embrasser. Il m’embrasse à pleine bouche et me dit que je serai mieux nue. J’hésite un instant puis je me déshabille en me disant que je ne vais pas tarder à jouir.
- (J) Nous déjeunons en caressant souvent le corps de Maëlys. Je vois que Karine y prend du plaisir. Le repas fini, je prends Maëlys dans mes bras et, en l’embrassant, lui demande si je peux lui faire l’amour.
- (M) Je suis bien avec eux mais suis surprise de la demande de Julien ; j’avais cru comprendre que Karine se le gardait… Je n’ose pas répondre et me tourne vers elle.
- (K) Je suis heureuse de la réaction de Maëlys, elle ne veut pas semer de discorde dans notre couple. Je lui dis de faire comme elle veut mais l’informe que si elle dit oui je vais la fesser.
- (M) Terrible dilemme mais qui ne dure pas. J’ai trop envie de jouir. Ils m’emmènent dans leur chambre et se déshabillent. Julien s’allonge sur le lit et me dit de me pencher pour le sucer. Alors que je le prends en bouche les premières claques tombent avec l’ordre de sucer sans gémir. Les larmes me montent aux yeux mais je sens le sexe de Julien gonfler dans ma bouche. Bientôt, il m’arrête et la fessée cesse en même temps. Julien m’allonge à ses côtés et m’embrasse en me caressant les seins pendant que Maëlys me caresse l’intérieur des cuisses. Mon envie de jouir est telle que je ne tiendrai pas longtemps.
- (K) Voilà Julien la pénètre et je me caresse en les regardant. Maëlys crie de bien être et je la sens emportée par la jouissance. Julien se retire à temps pour lui jouir sur le ventre. Je me mets alors à cheval sur la tête de Maëlys pour qu’elle me fasse jouir avec sa bouche. Mon orgasme est extraordinaire…