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Un garage pas comme les autres

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Lue : 1269 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/09/2021

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Tout a débuté un samedi après-midi, en tout début, sur le coup de treize heures. Après une dure semaine, j’aime aller me balader. J’habite depuis deux ans, mutation oblige, dans une zone rurale, et rien ne me plait plus que de profiter de petits villages, de découvrir leur richesse, leur originalité. Il faut savoir regarder simplement.
Je me laisse guider par le hasard.
Ce jour-là, je suis donc parti de chez moi.
J’étais sur une départementale quand j’ai entendu un bruit métallique qui m’a vraiment inquiété. Sous la voiture. Un objet qui cognait régulièrement. Ce n’était pas normal.
J’étais à deux kilomètres de la ville voisine. 12 000 habitants, une ancienne ville industrielle, spécialisée dans le textile, avec aujourd’hui pas mal de friches. Pour y être déjà passé, je me souvenais qu’il y avait un garage S…
Le samedi c’est pas évident. La plupart des garages sont fermés. J’ai pris le risque. Par chance, il était ouvert.
J’ai pénétré sur le parking. Il n’y avait pas grand monde, mais la garage était bien ouvert. Avec deux blocs, les bureaux et le commercial d’un côté, la partie technique de l’autre.
Je me suis glissé à l’intérieur. Personne en vue. Je me suis posé dans un coin pause ou attente, c’est selon. Des sièges confortables, une table basse.
Elle a fait son apparition, sortant de l’un des huit box alignés le long du mur. Ils étaient sombres, on ne voyait pas à l’intérieur, et je n’avais pas vu qu’il y avait quelqu’un.
J’ai été sans doute moins secoué par l’incident qui m’avait vraiment tracassé, je redoutais déjà le pire, que de la voir.
J’ai toujours pensé qu’il n’y avait pas de beauté ou d’absence de beauté, mais plutôt des filles qui savaient se mettre en valeur et d’autres non.
Et parmi les filles qui se mettaient en valeur, il y avait celles qui étaient classiques, et celles qui se faisaient vraiment troublantes, mettant leur féminité en avant.
Je n’oublierai pas cette première apparition, pas plus que les suivantes.
Je peux sans aucun doute la décrire, mais le tableau final ne sera pas à la mesure de la charge érotique qu’elle portait, et du trouble qu’elle m’a inspiré.
Elle n’était pas très grande, j’aurais dit un mètre soixante-dix, peut-être même un peu moins, avec, c’est possible, un complexe de taille, puisque je ne l’ai jamais vue autrement qu’avec des talons qui la grandissaient, au minimum 8 cm au maximum 12…Ca lui allait bien d’ailleurs, d’autant que ça la cambrait, et ça rehaussait ses formes, que les vêtements qu’elle portait soulignaient à l’extrême, n’en laissant rien ignorer du dessin. Elle était châtain, une masse de cheveux qui coulait autour de son visage, encadrant un minois aux traits fins, éclairé par des yeux bleus.
Ce jour-là, elle portait une simple robe noire très collante, qui la soulignait, très courte aussi, descendant à peine en dessous de son pubis, avec un collant qui enveloppait ses jambes, dont ne voyait qu’une partie, parce que très vite, des cuissardes prenaient sa jambe, des cuissardes couleur fauve, très évasées mais qui venaient ensuite se resserrer autour de sa jambe, avec des talons fins qui tapaient sur le carrelage, et brisaient le silence de cathédrale du lieu.
Elle n’aurait laissé aucun homme indifférent.
Ca n’a pas été mon cas. J’ai été troublé des les premières secondes.
Elle avait un dossier à la main, et elle ne m’a pas aperçu dans un premier temps. Elle ne m’avait pas vu arriver, et puis les lieux étaient vastes.
Elle a avancé jusqu’à moi, en me disant:
—Pardon, je ne vous avais pas entendu. On s’occupe de vous? Sans doute que non, le samedi il y a moins de personnel.
Elle s’est posée juste devant moi. L’odeur de son parfum, quelque chose d’hyper agréable, fruité et capiteux a envahi mes narines.
—Un bruit métallique sous la voiture, j’étais pas loin d’ici.
Je lui ai tendu la clef. Nos doigts se sont frôlés un instant.
—Notre mécano regarde ça. On fera un dossier si nécessaire.
Je pense que vous connaissez les termes, cinématographiques ou photographiques, qui définissent les angles de vue. Pour simplifier on va dire qu’en plongée on voit les choses par dessus et en contre-plongée par dessous. Et donc là, vu ma position, j’étais assis, vu aussi qu’elle avait une robe vraiment très courte, j’avais une vision très nette de son sexe et de son pubis. Si j’avais pu être troublé par sa silhouette érotique, je l’étais encore plus par la vision de son intimité.
J’avais déjà eu pas mal de petites copines, et remarqué que, quand elles mettaient des collants, elles faisaient des choix diversifiés. Certaines mettaient très classiquement un slip sous leur collant, d’autres s’en affranchissaient. Il y avait des collants avec une partie slip, on ne voyait rien, pour certains collants, une partie plus sombre, ronde, ou en losange, supposée cacher le sexe, mais qui ne dissimulait pas grand chose, mal ajusté, ou finalement transparent, pour d’autres encore, le collant en lui-même était un parement suffisant, qui les protégeait du froid, et elles se moquaient bien sans doute qu’on puisse les voir. Il est vrai que sous une robe, une jupe, on est masqué. Ce qui n’était pas son cas.
Il y a deux catégories de personnes: ceux qui aiment les chattes, et ceux qui ne les aiment pas. Une question de mode, de génération, mais les courants transcendent ces divisions. Je suis jeune, et j’aime qu’une fille ait des poils, je trouve ça hyper excitant. Un sexe nu m’inspire moins, même si je ne dis pas non.
Elle avait apparemment fait le choix de conserver une vraie toison, même si elle était délimitée avec un rasoir ou un épilateur. Ca laissait quand même un triangle bien fourni en poils. Ce qui rendait ma vision plus troublante, c’était sans doute, mais le vêtement valorise toujours, modifie, met en avant, que le nylon écrasait les poils, et j’aimais cette image, de poils écrasés, tout comme l’image conséquente, celle qui voyait une main, la mienne peut-être tirer vers l’avant le nylon, et les poils, libérés, s’épanouir.
Juste en dessous de cette toison, il y avait son sexe, très renflé, coupé en deux par une fente dont sortaient deux bouts de lèvre, qui s’épanouissaient à l’air libre.
Je me suis dit que ce serait un moment parfait. Monter ses mains le long de ses jambes bien dessinées, mains électrisées par le lycra, venir attraper le rebord de ce collant au niveau de son ventre, le descendre jusqu’à ses genoux, et qu’elle vienne s’asseoir sur ma queue. J’étais tout dur…Prendre ainsi du plaisir, jouir l’un et l’autre.
Mais ça n’était possible que dans une dimension parallèle, pas dans cette réalité. Elle a donc simplement dit: ‘Nous allons faire de notre mieux’ et, la clef a la main, elle s’est éloignée, ses fesses qui n’étaient pas vraiment maintenues par le lycra dansant sous le tissu serré.
Elle est repassée après, retournant dans le bureau. Repassant à nouveau. Elle est enfin revenue près de moi. Son visage disait clairement que les choses n’allaient pas aussi bien qu’elles auraient pu, et que les dommages tendaient vers le pire plutôt que vers le meilleur.
—Heureusement que vous passiez par là, et qu’on était ouverts.
Elle n’avait pas mis de culotte entre temps, et elle m’offrait toujours une vision très sympathique de son anatomie. Ca a d’ailleurs atténué les mauvaises nouvelles.
—Vous avez fait une révision il y a peu de temps, non?
—Il y a un mois.
—La personne qui vous a fait la vidange n’a sans doute pas suffisamment revissé le bouchon… Avec les vibrations, il s’est défait petit à petit. Le bruit métallique que vous entendiez, c’est le bouchon qui tapait et rebondissait contre la plaque. Le problème c’est que l’huile s’est vidée petit à petit. Il vous restait deux litres d’huile sur les sept. Vous vous seriez arrêté plus tard et plus loin, il fallait changer le moteur. On va revisser, nettoyer, tout remettre en place. J’ai pris des photos, si vous voulez vous retourner contre le garage qui vous a fait la vidange…En tout cas, on va faire un dossier. Venez avec moi.
Il y avait un grand comptoir, avec un ordinateur. Elle est passée derrière, s’est calée dans un fauteuil. Moi je suis resté devant. Cette fois en plongée, ce qui m’a permis d’admirer son intimité sous un autre angle. Je ne voyais plus qu’un petit bout de toison, mais bien son sexe lui-même, avec ces deux lèvres qui vivaient leur vie propre, sorties d’elle, chacune ayant un dessin particulier. Je lui ai donné les informations dont elle avait besoin, avant de retourner m’asseoir, en conservant l’image sur ma rétine. Décidément, j’aurais passé un après-midi spécial, en tout cas bien loin de mes intentions d’origine. Entre cette défaillance à laquelle je ne m’attendais pas, et cette fille si désirable…
J’ai attendu encore un certain temps, avant que le mécano ne revienne.
—Tout est arrangé. Mais rien n’est résolu pour autant. Il restait deux litres, il se peut quand même que le moteur ait été endommagé. Ce que je vous conseille, c’est, dans les prochains quinze jours, d’écouter très attentivement votre moteur, et, quand vous roulez, d’être attentif à d’éventuels problèmes dans la conduite. Vous revenez à ce moment-là. Il faudra sans doute changer des pièces voire le moteur tout court. Il faut que vous preniez d’ores et déjà contact avec votre assurance.
Tout était dit. Il s’est éclipsé. J’avais apparemment été le seul client de l’après-midi, en tout cas je n’avais vu passer personne. Il ne me restait plus qu’à payer. Je me suis levé et approché du comptoir, pendant qu’elle allait sortir. Ca n’a pas été le cas.
Je pouvais attendre.
Il y a eu un temps de latence, pas forcément très long, avant que je n’entende le premier gémissement. Quelque chose de très court, sec, suivi par autant de gémissements identiques. Je me suis tourné vers ma gauche, puisque ça venait par là. Et j’ai fait quelques pas.
La porte du bureau était entrouverte, ce qui me permettait d’entendre les gémissements. Il n’y avait pas de lumière artificielle allumée, en cette fin d’après-midi, seulement la lumière naturelle, qui pénétrait par fenêtres et baies vitrées, et tout n’était pas totalement net, une pénombre qui permettait de voir à peu près tout. Sans doute que l’imagination complétait.
Elle se tenait debout devant, ou derrière, ça dépendait comment on considérait les choses, un bureau. J’ai eu du mal à comprendre la situation avant de réaliser qu’elle avait retroussé sa robe de quelques centimètres, elle était tellement courte que ça n’était pas vraiment difficile, et elle se frottait contre l’angle arrondi de la table dans un mouvement répétitif, hypnotique, la répétition étant le gage de sa jouissance. Je ne voyais pas son sexe, je pouvais l’imaginer, c’était peut-être mieux, par contre je voyais son visage, le masque d’une personne qui est dans un cycle de jouissance, yeux mi clos, de la félicité sur les traits, visage en évolution, jusqu’à un orgasme qui l’a figée.
Sortie de ce moment de plaisir, elle a rabaissé sa robe, et est sortie du bureau, me trouvant positionné devant le comptoir.
J’ai réglé ce que je devais, en même temps que je la matais. Car bien sûr, comme elle s’était rassise, elle me dévoilait à nouveau son intimité, mais cette fois une intimité métamorphosée par l’excitation et la jouissance. L’intérieur du collant était maculé de ses liquides intimes, qui faisaient scintiller celui-ci sur une large zone, et ses lèvres étaient à présent plus sorties, mais aussi nettement plus gonflées, épaisses et longues,repoussant le nylon pour se faire de la place.
Je serais bien resté, simplement à la mater, mais ça n’était pas possible. Je lui ai dit au revoir. On aurait pu penser qu’elle avait l’esprit ailleurs. Encore dans sa jouissance?
Je suis parti avec pas mal d’images en tête. Des moments que je n’oublierais pas, et auxquels je penserais dans mes moments de creux. Penser aux femmes, à leur corps, au sexe, me permettait souvent d’apaiser certains tourments, certaines tensions…
Je n’imaginais pas que deux jours plus tard, j’allais avoir quelques sueurs froides.
Du mal à passer les reprises, l’impression de ralentissements quand j’accélérais.
Pour aller de mon travail à chez moi, je passais pas loin de ce garage, j’ai fait un détour et je suis arrivé sur le coup de six heures.
Hasard? Chance? C’est elle qui m’a accueilli. Elle était au comptoir.
—Vous avez encore des ouvriers?, j’ai demandé en m’approchant d’elle.
Elle m’a reconnu.
—Vous avez eu des problèmes?
—Je suis un peu inquiet. J’ai l’impression que le moteur ne fonctionne pas correctement.
Je l’ai retrouvée avec un plaisir qui m’a surpris. Différemment aujourd’hui, elle était aussi sexy et désirable que deux jours plus tôt. La robe avait été remplacée par une chemise rouge et une jupe courte en vinyle qui collait à ses formes. Elle avait apparemment un goût particulier pour les bottes, les cuissardes avaient été remplacées par des bottes couleur fauve, qui montaient haut, d’un cuir froissé.
—Je vais le chercher.
Elle a disparu dans les ateliers, pendant que je me posais sur l’espace attente. Pour revenir deux minutes plus tard:
—Nico s’en occupe. Il va tout inspecter. Une demi-heure minimum.
Il y a eu une latence, avant qu’elle ne me dise, sur un ton dégagé, et sans gêne aucune:
—J’ai vu que je vous plaisais, et vous me plaisez aussi. Vous avez envie d’un moment de sexe?
C’est peu que de dire que j’ai été décontenancé. Dans la vie habituellement, à de rares exceptions, on fantasme devant quelqu’un, et puis ça reste de l’ordre du fantasme. Et là…
—J’en ai très envie, j’ai finalement avoué.
Ca a été très rapide. On est partis ensemble pour le deuxième bureau à partir de la droite. Elle a bloqué la porte. Le verre des baies était sombre. Etait-ce suffisant pour nous masquer? Elle semblait en tout cas prête à prendre le risque.
J’ai exploré du regard la pièce. Il y avait deux espaces de travail, bien sûr, elle ne travaillait pas seule, même si je n’avais pas encore vu sa collègue.
Elle a pris quelques choses dans un tiroir. Une boite de préservatifs.
—Assieds-toi sur le canapé. Ce sera le mieux. Je vais venir m’asseoir sur ta queue. A moins que tu ne préfères une autre position?
—Ca sera très bien comme ça.
Ca a été tellement vite, de toute façon que je n’ai pas eu le temps de poser des questions. Je me suis calé sur le canapé, elle est venue s’asseoir à côté de moi. Elle a mis sa main sur mon pantalon, et elle m’a caressé doucement à travers le tissu.
—Je vois que tu as envie de moi. Ca fait plaisir.
—Tout le monde a envie de toi, non?
—Ne crois pas ça.
—Tu es magnifique, hyper sexy…
—Les choses ne sont pas si simples.
Je me suis laissé faire pendant qu’elle me défaisait. Elle avait des mains chaudes et habiles. Un contact très agréable, issu aussi bien d’un réel goût pour le sexe que d’une pratique que j’imaginais être fréquente. Elle a caressé doucement ma queue, comme s’il s’était agi d’un bien précieux, ses mains allant et venant sur ma chair, sans en négliger aucune partie, montant jusqu’au gland, mais descendant aussi jusqu’aux couilles. Elle est venue ensuite faire courir sa bouche sur moi, frôlant ma chair, de ses lèvres, comme elle l’avait frôlée de ses doigts. Me donnant du plaisir. Une sorte de rêve éveillé, et un moment que je n’aurais pas osé imaginer deux jours plus tôt. Comme quoi, l’espoir est parfois permis.
Elle a déchiré l’emballage du préservatif, et elle a posé la rondelle de latex contre ses sens. Se penchant, elle est descendue sur ma queue, l’avalant totalement, sensation de chaleur, avant de remonter sans prolonger sa caresse buccale. Ma queue était entièrement enveloppée de latex, jusqu’à la base.
Elle s’est redressée, et devant moi, elle a descendu la fermeture éclair, qui, sur le côté, permettait de tenir sa jupe à sa taille. L’accroche défaite, le tissu a glissé sur le sol. Dessous, contrairement au samedi, elle n’était pas cul nu. Une simple culotte de coton blanche, mais qui n’en était pas moins excitante, gonflée par le renflement de son pubis, et celui de son sexe. Elle a descendu le slip le long de ses jambes, pour l’ôter carrément.
Il y avait quelque chose d’intense et de rayonnant sur son visage, on comprenait bien que le sexe lui apportait un réel bonheur.
Elle s’est approchée de moi et elle a glissé sur moi, attrapant ma queue pour la guider vers sa vulve. Le contact entre nos deux corps, s’est fait facilement et rapidement. J’ai apprécié autant de la sentir sur moi et contre moi que de sentir son sexe gainer ma queue. Il y avait dans ce moment un mélange de fraicheur et d’intensité qui me plaisait. On peut garder des souvenirs mitigés de rapports sexuels, ce ne serait pas le cas, quelle que soit l’issue.
Le fait de sentir mon sexe en elle, et de se faire bouger dessus semblait la transporter.
—C’est bon d’avoir une queue dans le ventre, et de se caresser avec.
Mais c’était très bon pour moi aussi.
Il y avait quelque chose d’intense en elle, dans son désir de prendre du plaisir, et dans sa manière de l’obtenir, mais aussi d’un rien désespéré, comme si le sexe et la jouissance étaient quelque chose qu’elle cherchait mais qui se dérobait.
Si elle avait gémi en se masturbant contre l’angle du bureau, là elle haletait.
Elle a enfin dépassé le seuil de la jouissance, explosant en se tordant, et se retenant, apparemment, de crier, alors qu’elle s’agitait au dessus de moi, son plaisir accompagné de ce qui ressemblait à des éjaculations qui sortaient autour de ma queue et mouillaient ma chair. Je voulais retarder ma jouissance à moi, pour profiter de ce moment, le faire durer, mais il y a eu un stade où je n’ai plus rien contrôlé, jouissant en elle d’un orgasme intense qui m’a apporté autant de bonheur qu’elle en avait eu à jouir.
Elle a enlevé soigneusement le préservatif qui enveloppait ma queue encore dure. J’aurais bien pris de prolonger ce moment, mais ce n’était pas prudent.
Elle a pourtant pris le temps de laper le sperme au fond du préservatif, en étirant le latex. Elle s’est rapidement rajustée, en me disant:
—Sors le premier…
De la chance sans doute, je venais à peine de me recaler sur le fauteuil quand le mécano est sorti des ateliers. Il semblait perplexe.
—Ecoutez, je comprends bien que vous ayez entendu des bruits étranges, et que ça ne fonctionne pas parfaitement. Mais je ne vois rien. Ce que je vous propose, c’est que vous reveniez demain. Vous êtes libre?
—J’ai mon après-midi.
—J’ai un collègue qui est vraiment un expert. A écouter simplement un moteur, il sait détecter ce qui ne colle pas. Je n’ai pas son talent.
J’ai dit oui, moins parce que je voulais faire examiner ma voiture, même si cela me préoccupait, évidemment, que parce que je me disais que ça serait l’occasion de la revoir. On n’aurait peut-être pas forcément de rapport sexuel, mais je pourrais la voir. Ce serait déjà ça. Elle me plaisait énormément.
Le lendemain, une fois le travail fini, je suis arrivé sur le coup de quatorze heures.
Ca a été l’occasion de faire la connaissance du patron. C’est lui qui m’a accueilli. Il n’était apparemment pas là tous les jours. J’imaginais qu’il allait à des réunions, pour divers motifs, à travers le pays…Un type d’une cinquantaine d’années, pas très grand, chauve, avec des lunettes, plutôt chaleureux. Il se tenait en tout cas au courant de tout, parce qu’il m’a parlé de mon dossier.
—On va regarder. De toute façon, si ça va mal, moi je vous conseille de porter plainte, aidé par les assurances, et de vous retourner contre nos collègues.
Je me suis calé sur ce fauteuil que je connaissais bien. Sans l’apercevoir encore. Les souvenirs de la veille avaient tourné dans ma tête toute la journée.
Elle est arrivée dix minutes plus tard. Elle portait un pantalon en simili-cuir ultra-moulant, qui soulignait ses formes avec beaucoup de précision, avec une paire de cuissardes rouges, dont la couleur tranchait nettement avec le noir du pantalon, un débardeur rouge, sous lequel elle ne s’était apparemment pas encombrée d’un soutien-gorge, ainsi qu’un perfecto, noir lui. Elle a fait comme si elle ne me voyait pas, pourtant, deux minutes plus tard, elle se glissait près de moi, et elle me disait:
—Viens avec moi.
Et je l’ai suivie, intrigué. Elle ne m’emmenait pas, c’était bien certain, dans la pièce dans laquelle avaient eu lieu nos brefs ébats la veille.
On a commencé un périple labyrinthique. Elle m’a fait traverser l’énorme bâtiment, et on est arrivés à l’autre bout, devant une porte vitrée, de taille réduite, par laquelle on est passés pour sortir à l’extérieur. On s’est retrouvés à l’arrière. Le terrain n’était pas clôturé. Elle a désigné un petit chemin de terre, qui longeait, d’un côté les magasins et entrepôts construits dans cette zone autrefois totalement rurale, et de l’autre une nature encore vierge, qu’elle soit laissée en friche ou à l’état de champs et de prairies.
—Tu m’emmènes où?, j’ai demandé alors qu’on avançait côte à côte…
—Tu le verras bien…
Et pour me rassurer quant à ses intentions, elle a pris ma main, et elle l’a amenée contre son sexe. Malgré le cuir, ou simili-cuir et la culotte qu’elle portait dessous, j’ai bien senti, pour quelques instants, le renflement de son sexe, son ouverture, mais aussi l’humidité qui disait son excitation et son envie.
—Ma chatte te fait toujours envie, j’espère?
—Tu n’as pas idée à quel point.
—Alors, on va passer un bon moment ensemble.
On a longé un magasin de pièces détachées, un magasin de bricolage, avant qu’elle ne sorte sur la gauche. On a débouché sur un hôtel bon marché construit en deux blocs. Elle a longé le premier, s’arrêtant devant la porte d’une chambre. Dans la poche arrière gauche de son pantalon, il y avait son téléphone portable, dans celle de droite, une carte qu’elle a fait passer devant la serrure. Une lueur verte a marqué la fine bande en haut du carré métallique sous la poignée. Il suffisait d’ouvrir, et on s’est retrouvés dans une chambre sans réelle originalité, fade mais qui accueillerait parfaitement nos ébats, comme elle devait accueillir les ébats de nombreux couples. Un grand lit au centre, avec un couvre-lit couleur tabac. Elle s’y est laissée tomber, en même temps qu’elle défaisait le bouton qui tenait son pantalon à sa taille, et elle l’a descendu jusqu’à ce que ses cuissardes le bloquent. Elle s’est contorsionnée pour faire descendre le zip de celles-ci, les a faites glisser le long de ses jambes, les faisant tomber sur le sol. Ca a été plus facile. Elle a ôté le pantalon. Il ne restait plus qu’un string noir, mais revenant se placer à quatre pattes, elle m’a dit:
—Le string, c’est toi qui l’enlève…
J’ai glissé sur le lit. Le fin cordon du string voir venait se glisser entre ses deux fesses rondes, tendues vers moi, avant de s’élargir pour couvrir sa vulve. Sur ce tissu plus large, une large tâche d’humidité était visible, disant son excitation. J’ai fait glisser mes mains de ses hanches à sa taille et j’ai attrapé le tissu, pour le descendre et retrouver cette anatomie que je connaissais déjà bien. Mais dont mon visage n’avait pas été aussi près. Juste devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, je pouvais distinguer très nettement les plissements de son anus, marqués dans sa chair, et plus bas, la boursouflure de sa vulve, ouverte, laissant sortir ses lèvres gonflées d’excitation, dans un état intermédiaire entre leur neutralité quand je les avait aperçues pour la première fois, et leur dilatation quand elle s’était caressée. Ses chairs étaient en tout cas luisantes de ses sécrétions qui avaient coulé alors qu’on avançait vers cet hôtel.
J’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai approché ma langue de son sexe. Son goût m’a envahi immédiatement. Elle a gémi alors que ma langue se déplaçait sur elle, son commentaire:
—C’est bon…
me laissant entendre que j’étais capable de donner du plaisir à une fille qui devait avoir connu bien d’autres amants, c’était une évidence. Je me suis appliqué à la fouiller, parcourant l’espace de ses lèvres avec application, remontant à hauteur de son clitoris, qui s’était décalotté d’excitation, poussant ma langue en elle. J’ai élargi la zone de ma caresse, venant sur ses aines, cédant enfin à mon envie pour remonter dans son sillon fessier, une caresse que je n’avais jamais osée sur aucune femme, m’arrêtant au niveau de sa muqueuse anale pour venir appuyer sur ses plissements. Ce devait être bon, j’ai senti en tout cas son corps se cambrer et se tendre. Elle m’a dit:
—Continue encore, c’est délicieux par là.
J’ai remarqué qu’elle avait amené sa main sur son sexe, et qu’elle se caressait en même temps que je tournais sur la chair au goût sucré.
On s’est maintenant dans ce moment de plaisir jusqu’à ce qu’elle me dise:
—J’ai envie de ta queue maintenant. Il y a des préservatifs dans la poche de mon pantalon.
J’en ai trouvé plusieurs. Un suffisait, dont je me suis gainé. Pendant que je me préparais, elle continuait de se caresser, et cette vision, celle de cette main qui bougeait sur elle a donné plus de force à mon envie encore. Pourtant, après avoir appuyé mon gland sur ses lèvres, je suis rentré très lentement en elle. Je voulais qu’elle me sente la remplir. Elle a lâché une sorte de long cri rauque qui s’est prolongé jusqu’au moment où mon gland est venu taper contre son utérus. On est restés comme ça un moment, unis par nos sexes. Je trouvais fort le contraste entre le lieu, si banal, et l’intensité de notre accouplement. Et étrange le fait que, alors que tout nous séparait, on ait pu la veille, et on puisse encore aujourd’hui éprouver quelque chose d’aussi intense. Il y a des moments de sexe très pauvres, d’autres au contraire vont puiser leur racines dans nos corps et nos âmes et prennent une dimension quasi mystique. C’était un de ces moments que je vivais.
Je l’ai fouillée longtemps, lui donnant du plaisir, un plaisir que je ressentais à chaque vibration de son corps, à des gémissements, des soupirs.
Je n’ai pas été vraiment surpris quand elle a dégagé ma queue de son vagin, m’expulsant d’une contraction, et que, la prenant de la main, elle amène ma queue contre son anus.
Malgré le latex, je sentais parfaitement sa muqueuse contre moi, sensation plus que plaisante pour quelqu’un qui n’avait que très rarement sodomisé une femme.
—N’aie pas peur, je me suis déjà faite prendre par là plein de fois, tu ne me feras pas mal.
Elle n’avait pas fini sa phrase que, non pas mu par son encouragement, mais par l’envie, j’avais déjà poussé quelques centimètres en elle. La suite est venue naturellement. J’ai glissé en elle, appréciant énormément l’étroitesse de son canal anal, avant d’exercer le même mouvement qui avait été le mien plus bas. J’ai aussitôt senti que pour elle, c’était autre chose, et qu’elle préférait même peut-être se faire sodomiser que prendre de manière plus classique. La manière dont elle réagissait disait un plaisir intense. Il y a eu une sorte de contagion qui a fait que son plaisir a basculé d’elle à moi et on a joui tous les deux, en décalé, mais avec une harmonie que j’ai rarement connue avant ou après.
Pourtant après ce premier plaisir, on avait encore envie. Elle est venue chercher ma queue, encore bien dure, sa bouche a glissé dessus. Je l’ai attirée sur moi, on s’est retrouvés dans un 69 qui était aussi bon que ce qui avait précédé, elle calée au dessus de moi, m’offrant son intimité pendant qu’elle dévorait ma queue.
Il y a eu beaucoup de plaisir, d’autres orgasmes, jusqu’à ce qu’elle finisse par me dire, après avoir jeté un oeil à sa montre:
—Il faut partir maintenant, l’examen du moteur sera bientôt fini.
Avait-elle, à force de travailler au garage, une perception du temps qu’il fallait pour accomplir une tâche, ou s’était-elle mis d’accord avec le mécano? J’aurais pu me poser pas mal de questions, qui d’ailleurs m’avaient effleuré, mais j’avais choisi de les repousser pour profiter pleinement de ce moment.
On a repris le chemin inverse.
Ce qui m’intriguait, par exemple, c’était qu’elle était très habituée à ce chemin. Le suivait-elle avec d’autres hommes? Avait-elle réservé la chambre pour l’après-midi ou bien la payait-elle à l’année, s’y rendant quand elle trouvait un homme qui lui plaisait?
On s’est séparés en approchant du garage.
Effectivement, un quart d’heure plus tard, le garagiste venait me trouver.
—Le moteur va bien. On l’a essayé, et regardé attentivement. Vous pouvez repartir tranquille. Par contre, il y avait un problème d’arrivée d’essence. C’est réglé.
Je suis parti payer. Le patron était là. Il m’a sorti la facture. J’ai réglé.
Je n’avais plus de raison de revenir. De la revoir. Il me resterait le souvenir de ces moments intenses.
Je m’entends vraiment bien avec mon voisin, Dorian, plus âgé que moi. Je lui ai raconté ce qui m’était arrivé.
—Tu as été ou?
—Au garage S…
Il a souri.
—Ah ,le garage S…On y passe de bons moments…Tu as eu cette chance?
—De quoi tu parles?
J’ai bien compris que ça tournait autour d’elle…Ou alors…
—Oh, tout se sait dans le département…C’est petit ici…Enfin, moi je ne m’y suis jamais rendu, tu sais que j’ai une voiture d’une marque concurrente, et puis ce n’est peut-être pas vrai…Tu as rencontré le patron?
—La dernière fois où je m’y suis rendu.
—Il a une cinquantaine d’années. Il était marié avec la patronne du garage, du même âge que lui, mais il s’est épris d’une fille qui a vingt ans de moins que lui. Il a foutu sa femme dehors en lui donnant une somme d’argent énorme, et il s’est installé avec sa nouvelle épouse. Remarque, il n’a rien perdu au change. Son ex était une feignasse. La nouvelle est une acharnée de travail. C’est elle qui fait tourner le garage.D’ailleurs il s’en est rendu compte, et il s’éloigne de plus en plus de ce qui a constitué longtemps sa raison de vivre. L’inconvénient, c’est qu’elle aime énormément le sexe. Et apparemment il n’assurait pas trop de ce côté là. Tu l’as vue quand tu y étais?
—Je l’ai croisée, j’ai répondu, évasif.
—Elle est très jolie et elle sait se mettre en valeur. Et elle est vraiment friande de partenaires. Enfin, c’est pas à des gars comme toi ou moi que ça risque d’arriver d’avoir une aussi jolie femme sur notre route.
—Ca non, j’ai répondu.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Un garage pas comme les autres


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