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Lola (3)

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Lue : 609 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/09/2021

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Nous prîmes l’ascenseur et descendîmes directement au garage pour prendre ma cox cabrio. Une fois assise, la jupe de Lola remonta et fit apparaitre légèrement le haut de ses bas. Elle essaya de tirer dessus mais elle était un peu trop courte. Je la rassurai en lui montrant que la mienne aussi remontait. Elle me sourit et me dit :

- On risque de créer une émeute si on croise un bus !

- Il y a des chances oui, rigolai-je .

Nous traversâmes les rues de Paris et à cette heure, il y avait encore pas mal de bouchons. Les camions, les bus, les SUV avaient une vue plongeante sur l'habitacle, d'autant plus que j'avais décapoté.

Et en effet, nous eûmes droit à un nombre impressionnant de coup de klaxon, de petits compliments très sympathiques, d'autres plus graveleux, de regard de désapprobation surtout de la part de la gente féminine.

Je m'extirpai rapidement de la circulation en prenant des raccourcis que je connaissais bien car je voyais que Lola n'était pas très à l'aise.

Nous arrivâmes devant le Liberty bar mais, manque de bol, celui-ci était exceptionnellement fermé. Je décidai donc d'aller dans un autre bar que je connaissais très bien mais il se trouvait à l'autre bout de la ville. Nous en avions bien pour 3/4h de route . J'informai Lola qui me dit :

- C'est pas grave. Comme ça tu auras le temps de me raconter tes vacances. Elles ont été mouvementées à ce que j'ai compris, me fit-elle en tournant la tête dans ma direction et en me faisant un clin d’œil.

- Euh... je ne sais pas si je peux raconter à une jeune fille de bonne famille comme toi.

- Allez, s'il te plaît , tu me l'as promis tout à l'heure fit-elle avec une voix de petite fille sage mais un regard qui en disait long.

- Ok, Ok. De toute façon, il faut bien se passer le temps en attendant d'aller jusque là bas.

Et je commençai donc à raconter mes aventures aux Maldives à ma cousine en essayant de ne pas oublier trop de détails. Elle voulait savoir, et bien elle saurait....tout.

Nous arrivâmes devant le Living Room, un bar qui faisait également club, un peu select. Un voiturier, plutôt mignon d’ailleurs, vint à notre rencontre. Il était grand, les cheveux noirs coupés courts , les yeux verts, un sourire d’ange, il portait un ensemble chemise/pantalon blanc et des baskets blanches avec une fine couture rouge.

Il m’ouvrit la porte en premier et se présenta :

- Bonsoir mademoiselle, je m’appelle Javier et c’est moi qui m’occuperai de votre voiture ce soir.

Il me tendit la main pour m’aider à sortir. Une fois debout, je réajustai légèrement ma robe.

Il jeta un coup d’œil en direction de Lola et marqua un léger temps d’arrêt. Je regardai également et je constatai que sa jupe était relevée plus que nécessaire. On pouvait, en effet, admirer la dentelle ornant le haut de ses bas et peut être même le tissu de son string. Il fit alors rapidement le tour de la voiture afin d’ouvrir sa porte et constater de plus près. Mais Lola avait été plus rapide et elle avait déjà baissé en partie sa jupe. Il lui tendit également la main pour l’aider à sortir et lui demanda :

- Vous allez bien, mademoiselle ? Vous avez l’air toute essoufflée ?

- Oui oui ça va je vous remercie, lui dit-elle avec un petit sourire gêné.

Il pouvait se poser la question. Lola était cramoisie, essoufflée et je pouvais voir son chemisier légèrement collé par la sueur au niveau de la colonne vertébrale. Cela devait être la chaleur du cuir du siège, accentuée par mes aventures aux Maldives.

J’avais commencé par lui expliquer le rôle de Tony dans mon émancipation sexuelle et elle avait été choquée au début. Mais je l’avais vite rassurée en lui disant qu’il n’avait jamais aussi bien fait et qu’il avait réussi à libérer mes envies cachées au plus profond de moi. Elle était surprise mais commençait à comprendre, se calmait surtout quand je lui certifiai que si j’avais succombé à Bertrand, c’était parce que je l’avais voulu.

Quand je lui racontai notre première rencontre avec Marc, elle écarquilla les yeux puis au fur et à mesure de mon récit, elle se décontracta. Je la vis se mordre les lèvres ou passer le bout de sa langue dessus pour les humidifier. Elle serrait les cuisses l’une contre l’autre de plus en plus fort, les croisant et les décroisant. Quand je lui racontai mon orgie au bar avec Amadou et Isa, elle me demanda si j’allais l’entrainer dans ces extrêmes, un soupçon de crainte dans la voix. Je lui répondis que jamais je ne la forcerais à faire quoi que ce soit, mais que je serais là pour la guider dans toutes ses envies.

Elle me fit un grand sourire, me demanda de continuer et s’affala un peu plus dans son siège ce qui eut pour conséquence de faire remonter sa jupe, découvrant le haut de ses bas, la naissance de sa peau nue et le tissu de son string, qui d’ailleurs me semblait légèrement humide.

Je lui narrai ensuite la partie où Tony joua les dominants . Elle releva alors une jambe et la posa sur le tableau de bord, découvrant cette fois totalement son shorty/string. Elle avait un doigt dans la bouche, qu’elle suçait, et son autre main caressait du bout des ongles son bas qui crissa légèrement, me faisant frissonner au passage, et remontait vers l’intérieur de sa cuisse, caresser sa peau nue et s’arrêter à la barrière de son shorty/string.

Puis ce fut la soirée avec Jess. Elle fit glisser le doigt qu’elle suçait le long de son cou et sur le haut de poitrine. Sa main défit un bouton de son chemisier et glissa dessous, venant caresser son sein. Il s’entrebâilla assez pour que je puisse voir subrepticement son téton érigé. Elle le titilla et le prit entre son index et son pouce pour le pincer. Elle laissa échapper un léger gémissement.

J’avais beaucoup de mal à me concentrer sur ma conduite d’autant que je sentais mes tétons durcir et mon antre s’humidifier.

La main sur sa cuisse vint se poser sur son intimité et d’un doigt caressa ses lèvres à travers le bout de tissu puis passa dessous pour venir titiller son clito. Sa respiration s’accéléra encore et ses gémissements s’intensifièrent.

Je n’avais même pas remarqué qu’ arrêté à côté de nous à un feu, un chauffeur livreur nous matait, la langue bien pendante et sûrement la main dans le jean. Il n'eut pas le temps de descendre la vitre que je repartais en trombe au feu vert.
Nous rîmes comme deux folles et je lui dis de se calmer et de remettre en état ses vêtements car nous étions en approche du bar. Elle fit une légère moue de déception mais je lui promis de continuer à l’intérieur.

Javier ne quitta pas Lola des yeux et je dus la prendre par le bras pour l’en détacher. Javier revint sur terre et nous ouvrit la porte du bar.
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