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Un gode qui voyage partie 3 Clotilde

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/11/2024

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PARTIE 3
CLOTILDE
Clotilde se glissa dans la maison de Sara une heure après que les jeunes adultes l'aient quittée. Elle avait au bout des doigts un panier contenant ses dernières récoltes. Clotilde était maraîchère et elle gérait au bout est de la ville un terrain de plusieurs hectares sur lequel elle faisait pousser des légumes sans engrais ni pesticides. De beaux légumes, qui contredisaient l'idée selon laquelle des produits étaient nécessaires pour avoir une production de qualité, qu'elle vendait cinq matins par semaine sur divers marchés. Tout partait très vite, mais une à deux fois par semaine, elle mettait de côté un panier qu'elle amenait, gratuitement à Sara.
Clotilde était une grande fille blonde, avec une silhouette qui en aurait fait se damner plus d'un, à la fois fine et pourvue de charmes bien charnus, de ceux qu'aimaient les hommes. Le problème, si c'en était un, c'était qu'elle n'était pas du tout intéressée par ceux-ci. Quelques expériences malheureuses à l'adolescence l'avaient définitivement convaincue que c'était mieux avec des filles, et elle n'avait jamais réellement envisagé de changer d'avis. Elle était d'ailleurs totalement convaincue que les plaisirs qu'elle éprouvait avec des filles étaient sans commune mesure avec ceux qu'on pouvait éprouver avec des hommes, quelque chose de supérieur, et d'exquis, bien plus fort que lorsqu'une queue vous fouillait sans répit ni égard pour vous
Cela faisait des mois qu'elle rêvait d’entraîner Sara dans son lit. Elles s'étaient connues parce que Sara avait, durant la période du confinement, acheté des paniers bio qu'elle allait chercher toutes les semaines à un point de dépôt, et elle y avait à faire à Sara. Les deux femmes avaient sympathisé et étaient restées en contact depuis. Avec une évolution en ce qui concernait Clotilde, qui passait ses soirées, celles où en tout cas elle n'était pas avec une fille, à se masturber en pensant à Sara, qu'elle appréciait de plus en plus, et dont tous les charmes, et ils étaient infinis, lui plaisaient.
Elle sentait bien, pourtant, que ce n'était pas évident de séduire Sara. Qu'il y avait en elle, elle l'avait d'ailleurs plus ou moins évoqué, un rejet d'un partenaire, quel qu'il soit.
Elle posa le panier dans la cuisine. De magnifiques légumes. Elle avait une tendresse particulière pour le concombre. Elle aurait bien aimé, si elle en avait eu le courage, proposer à Sara qu'elles se livrent à quelques jeux avec ce magnifique concombre. Plein d'images, de situations, s'écrivaient dans sa tête.
C'est en relevant les yeux qu'elle aperçut l'objet.
Elle sut immédiatement ce que c'était car l'une de ces anciennes partenaires avait une collection impressionnante de vibros, et, même si elles ne l'avaient jamais utilisé ensemble, elle avait le même modèle, mais blanc.
Elle fut très surprise que Sara ait cet objet à sa disposition. Elles n'avaient jamais parlé sexe ensemble, si ce n'était que Sara lui avait dit clairement qu'elle ne souhaitait plus avoir de rapport avec des hommes.
L'envie la saisit, intense, d'essayer le vibro. Sara ne se rendrait sans doute pas immédiatement compte de la disparition de l'objet, et avant qu'elle ne s'en rende compte, elle l'aurait ramené.
Elle avait fini sa journée, elle pourrait se masturber tranquillement. Ces derniers temps, elle n'avait pas trop de petites copines, de plus, elle était obnubilée par Sara, ce qui ne rendait pas forcément possible le développement d'une relation.
Elle disparut avec le vibro.
Il était quinze heures. Elle rentra chez elle, il fallait quinze minutes pour sortir de la ville et arriver à la ferme. Elle n'avait pas de rangement à faire, les légumes partaient à une vitesse incroyable. 'Ils sont bons et bio', lui avait dit une cliente. Elle monta s'allonger dans sa chambre. Enlevant son jean et sa petite culotte, le ventre nu, elle se laissa glisser sur le lit. Elle prit la mesure de l'état de son sexe, glissant sa main entre ses cuisses. Il y eut une coulure d'humidité. Son sexe s'entrouvrit légèrement. Un début d'excitation à penser au plaisir qu'elle allait avoir avec le vibro.
Elle ne l'utilisa d'ailleurs pas tout de suite, faisant le choix de se masturber d'une manière on ne peut plus classique, faisant tourner ses doigts réunis dans un mouvement circulaire, englobant ses lèvres et son gland clitoridien. Elle eut du plaisir, comme à chaque fois qu'elle en avait quand elle se masturbait, ses liquides intimes coulant d'elle.
Elle avait estimé que c'était un passage obligé que d'amener un minimum d'excitation à son sexe avant d'attaquer sur un niveau supérieur. Car contrairement à d'autres, elle voulait attaquer au niveau 3. Elle mit l'appareil sur ON et passa au niveau trois. Une vitesse de rotation plus rapide, elle pensait qu'elle allait décoller très vite.
Ce fut le cas. Elle posa l'appareil contre sa vulve, et, au bout de quelques secondes seulement, elle explosa dans un orgasme foudroyant, qui s'accompagna d'un grand jaillissement de liquide qui vint se perdre sur les draps. Elle garda le vibro contre elle, fut bientôt secouée par d'autres orgasmes. Elle ne relâcha pas la pression. C'était bon que ça se passe comme ça, cette succession d'orgasmes, de plus en plus forts, jusqu'à ce qu'épuisée, elle écarte la machine, vibrante. Les draps étaient trempés. A bout de forces, elle s'écroula immédiatement et s'endormit.

XXXX
Ce fut la sonnette qui la réveilla. Elle jeta un œil au cadran de son téléphone. 17 heures.
Elle eut un moment de flottement, avant de se rappeler de tout. Les draps étaient encore humides. Elle attrapa sa culotte, son jean, les passa et alla ouvrir.
Elle fut surprise, et son cœur battit immédiatement plus vite, quand elle vit Sara en face d'elle. Elle était toujours resplendissante, et elle avait toujours autant envie d'elle. Il restait encore du liquide dans son ventre, même si elle en avait craché pas mal, parce qu'elle sentit très nettement qu'elle mouillait.
Curieusement, Sara avait un concombre à la main. L'un des concombres, sans aucun doute, qu'elle lui avait amené dans le panier.
— Dis-moi, j'avais ramené un vibro ce matin...Et il a disparu...Ce ne serait pas toi qui l'aurait pris par hasard ?
Clotilde devint toute rouge.
— J'avais envie de m'en servir.
— Et si on utilisait plutôt un de tes concombres? A deux? C'est 100 pour cent bio, bon pour la planète...Tu en as envie depuis un bon moment, non? Et si c'était maintenant?
Et pour lui montrer que ce n'était pas du bidon, Sara approcha le concombre de ses lèvres et en prit quelques centimètres dans sa bouche, faisant aller et venir celle-ci sur la partie du légume qu'elle maîtrisait.
— On peut faire des centaines de choses avec un concombre, tu ne crois pas ?
En guise de réponse, Clotilde attrapa l'autre bout du long concombre, et le prit dans sa bouche. Il y eut un moment de trouble, intense, alors que les deux filles se reliaient, le concombre entre elles, et qu'elles accomplissaient une sorte de fellation sur le légume, yeux dans les yeux, en pensant aux possibles qui pouvaient s'écrire entre elles. Avec en corollaire, une joie immense pour Clotilde que quelque chose se concrétise enfin.
— Viens...
Clotilde entraîna la jeune femme vers le living, pensant à une sorte de honte si Sara voyait les draps encore humides. De toute façon, elle devait bien imaginer que Sara les avait testés.
Ce fut Sara qui prit l'initiative, et cela plut énormément à Clotilde. Dans les scénarii qu'elle avait écrits, c'était Sara qui venait vers elle et qui la baisait. Ce qui se produisit dans les minutes qui suivirent. Déterminée, Sara défit le jean, tira sa culotte vers le bas, enlevant les vêtements, puis elle en fit de même pour le hoodie et le soutien-gorge qui contenait une poitrine lourde et ferme.
— Mmm, tu es vraiment belle dit Sara en venant prendre la bouche de Clotilde et en la fouillant avec sa langue. Clotilde répondit et leurs langues s'accrochèrent, en même temps que leurs ventres se remplissaient de chaleur, que leurs sexes s'ouvraient, et se mettaient à couler.
— Ca fait longtemps que tu as compris que j'avais envie de toi?
— Plus que tu ne crois...Mais il y a eu une période de ma vie où je n'avais absolument pas envie d'aller vers quelqu'un...Et puis...Baiser tout le temps seule...Même si c'est bon de se masturber...Elle vient de se terminer aujourd'hui.
Elle récupéra le concombre et le balada sur la chair de Clotilde, parcourant tout son corps, mais aussi insistant sur des zones sensibles, tournant en cercles autour des aréoles, avant de venir les frotter et de s'attaquer aux tétons qui s'érigeaient d'une manière magique. Elle déploya les mêmes cercles concentriques autour du nombril de Clotilde. Avec en ligne de mire, juste en dessous, son sexe, dilaté, que cette caresse, alors qu'elle ne touchait pas sa vulve proprement dite, ouvrait jusqu'à la béance. Sara, sans doute aussi troublée et excitée qu'elle, vit son gland clitoridien se décalotter, et s'allonger dans des proportions impressionnantes. Tout en continuant de faire tourner le concombre sur elle, elle ne résista pas à l'envie qui la tenait, et vint laper les liquides intimes qui coulaient d'elle de manière abondante. Elle s'enivra du goût, buvant tout ce qu'elle pouvait, même si les jus étaient tellement abondants qu'il s'en perdait, ce qu'elle regrettait. Elle aurait voulu tout boire.
— Pénètre-moi avec le concombre, ce sera comme si tu avais une queue.
— On va faire mieux que ça, proposa Sara.
Clotilde se demanda où Sara voulait en venir, la regardant alors qu'elle se déshabillait, enlevait son caleçon, son slip, puis son pull et son soutien-gorge, révélant ce corps dont elle avait souvent rêvé, qu'elle avait imaginé, fantasmé, sans jamais le voir nu. Jusqu'à cet instant. Elle se reput déjà de la vision de ce corps, fin, mais pourvu de formes pleines devant lesquelles il était difficile de ne pas craquer, des seins lourds, mais haut et fermes, des hanches bien marquées, de vraies hanches de femme, et aussi la pente de son pubis, marquée du même rouge que sa chevelure. Sara se laissa glisser sur le lit, s'approcha de Clotilde pour prendre sa bouche, lui laissant voir son sexe, sans doute aussi dilaté d'excitation que le sien.
Clotilde comprit ce à quoi Sara avait voulu en venir. Même si elle avait pensé à des possibilités différentes. Dans un geste qui la troubla énormément, Sara prit une des extrémités du concombre, et le fit pénétrer dans son sexe. Ce ne fut pas tellement difficile. Sara était dilatée, bien ouverte, et bien liquide. Elle enfourna un bon morceau de concombre avant de bloquer celui-ci dans sa chatte. Il en restait...Deux bons tiers. Elle glissa sur le divan et vint enfourner l'autre extrémité dans la vulve de sa partenaire. Il en restait maintenant encore un bon morceau entre elles.
Sara proposa:
— Tu me laisses faire, et, si ça te dit, tu feras pareil.
Clotilde comprit au fur et à mesure. Sara avait rentré suffisamment du concombre en elle pour pouvoir resserrer ses muscles vaginaux autour, et ainsi contrôler le légume. Ca lui faisait une queue, artificielle, dont elle se servit, d'abord très lentement, ensuite plus rapidement, pour fouiller la vulve de Clotilde. Pour celle-ci, le plaisir fut immédiat, physique mais aussi cérébral. A la joie immense d'être enfin devenue la maîtresse de Sara, il y avait le plaisir d'être ainsi caressée. Ce n'était pas une queue, ce n'était pas chaud, et capable de juter, mais c'était justement parce que rien ne rappelait une queue dans le légume que Clotilde avait du plaisir. Ce concombre, c'était vraiment quelque chose qui appartenait à Sara, qui lui était propre.
Elle s'arrêta, et dit à Clotilde:
— Et si tu essayais?
Sara s'était positionnée à genoux, dans une position du missionnaire. Clotilde l'attrapa pour qu'elle vienne se caler au-dessus d'elle. Une vision excitante, celle du concombre, pour partie dans sa chatte, pour partie dans celle de sa petite copine, l'espace non absorbé réduit, semblait-il. Clotilde se mit à bouger, des mouvements de bassin pour faire aller et venir le concombre dans le vagin de Sara, Sara qui gémit de plaisir. Quand Sara n'eut plus de forces, Clotilde prit la suite, se faisant monter et descendre sur la queue de plastique.
Les deux jeunes femmes, hors du temps, toutes entières dans le plaisir, expérimentèrent diverses positions, chacune prenant momentanément l'ascendant et fouillant l'autre, même si au final, ça restait plutôt une relation dans l'égalité. Il y eut un moment enfin où le plaisir devint jouissance et les deux partenaires furent secouées par des orgasmes accompagnés d'éjaculations puissantes. Qui souillèrent le divan comme celles de Clotilde avaient pu tremper les draps.
Les deux filles s'endormirent dans les bras l'une de l'autre.
Sara se réveilla quelques heures plus tard. Il était temps qu'elle rentre chez elle. Sa fille était seule à la maison, et elle se faisait du souci pour elle.
Elles se reverraient, Clotilde et elle. Ca avait été tellement agréable, tellement harmonieux.
Elle récupéra le vibro. L'expérience avec le concombre l'avait convaincue qu'elles n'en auraient pas besoin. Ce concombre, ou un autre légume, feraient bien l'affaire.
XXXXX
Charline R... avait 25 ans, et c'était une très jolie fille. Grande, blonde, avec un corps voluptueux. Elle venait d'être engagée au poste de clerc de notaire dans une étude locale, un poste difficile à obtenir, et elle savourait d'avoir enfin un travail.
Elle vivait seule. Il y avait eu une période de sa vie où elle aurait fait n'importe quoi pour une queue, et puis finalement les soucis professionnels l'avaient emporté. Elle devait avoir un boulot, ses deux parents étant malades et son seul soutien risquant de disparaître. Par chance, ils s'étaient remis et elle avait eu à la fois son diplôme et un boulot.
Elle était très heureuse.
Une seule chose manquait à sa vie: le sexe avec un ou une partenaire.
Elle s'était trop éloignée du monde de la séduction et ne savait plus comment le réintégrer.
Pour le moment, elle se masturbait. Cela faisait des années qu'elle ne s'était pas masturbée, cela remontait aux premiers temps de l'adolescence. Assez curieusement, comme elle était ravissante, et sollicitée par des garçons, elle avait renoncé très vite à ce plaisir. Elle avait masturbé, puis pris dans sa bouche beaucoup de queues, et elle avait trouvé une technique particulière pour jouir. Pendant qu'elle branlait une queue ou qu'elle la suçait, elle frottait ses cuisses l'une contre l'autre. Elle jouissait sans les mains.
Et puis, en évoluant, elle avait basculé sur pilule plus capote, double protection, et elle avait connu le plaisir, une véritable drogue, d'accueillir des sexes d'homme en elle. Jusqu'à cette rupture.
Elle ne savait pas vers quoi elle avait envie d'aller. Elle avait eu une frénésie de sexe, accumulant les partenaires. Elle rêvait de quelque chose de plus apaisé.
Mais elle avait terriblement envie, et elle avait trouvé la solution de se donner du plaisir.
Le matin, elle se masturbait juste avant de partir travailler, mais l'envie revenait très vite. Elle s'isolait dans les toilettes. Ca ne lui suffisait pas. Elle y retournait, et en rentrant la première chose qu'elle faisait c'était de s'accorder une plage de plaisir solitaire.
Sans honte.
Ce qu'elle aimait, c'était être sur le fil du rasoir. Juste avant de partir, et alors qu'elle se fixait une deadline, remonter une robe, descendre une jupe, une culotte, et se masturber. Généralement, elle jouissait très rapidement et partait à temps. Le matin, elle avait toujours envie de sexe, sans se fixer un cadre d'ailleurs. Elle aurait bien accepté qu'une fille lui lèche la chatte. Mais aussi de rentrer une queue en elle.
Elle marchait dix minutes à pied, avant de prendre le bus, et de descendre deux stations plus loin.
Elle était alors arrivée.
Elle avait déjà remarqué que les gens déposaient souvent, sur les bacs verts et jaunes, des cartons contenant des affaires en parfait état, à récupérer. Elle y jetait toujours un coup d' oeil, et ça lui avait permis de récupérer, une fois, deux belles vestes qui lui allaient parfaitement.
Ce fut sa couleur, ce violet flashy, qui attira son attention.
Un vibro dernière génération, avec une de ces énormes têtes qui massaient super bien et donnaient un maximum de plaisir. Elle le savait parce qu'elle l'avait essayé l'année précédente avec une bonne copine. Elles se faisaient des séances de masturbation, avec des jouets que Caro achetait. Elle revoyait Caro, installée face à elle, cul nu comme elle, se donnant du plaisir avec le jouet, avant de venir le poser entre les cuisses et de lui donner aussi du plaisir.
Elle vérifia s'il n'était pas cassé. Mais, sur ON, il vrombissait.
Elle le glissa dans son sac.
Ses séances de masturbation allaient prendre une autre dimension.


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Histoire de JamesB

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