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D'une main à l'autre partie 2 Marjolaine
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D'UNE MAIN A L'AUTRE
PARTIE 2
MARJOLAINE
Sara avait quitté la maison à 13 heures, sa fille Marjolaine arriva sur le coup de 13 heures 15.
Sara et Marjolaine ne se ressemblaient pas. Marjolaine avait tout hérité du côté paternel. Elle était plus petite que sa mère, blonde avec des formes très opulentes. Elle dégageait quelque chose de très sensuel qui mettait les garçons, et pas mal de filles, sens dessus dessous. Elle avait 22 ans, et était étudiante. Intelligente et douée pour les études, elle n'avait pas encore trouvé sa voie. Elle avait entamé un cursus de droit, et en ce moment suivait en parallèle des études d'économie avec une prépa pour devenir infirmière.
Contrairement à sa mère qui se trouvait bien seule, Marjolaine avait une envie de sexe que rien ne parvenait à calmer. Elle était insatiable, que ce soit avec des garçons ou des filles. Le sexe pour elle, c'était une joie immense, un diamant avec de multiples facettes, un territoire vierge dont l'exploration lui semblait sans fin. Malgré un emploi du temps bien chargé, elle trouvait toujours des partenaires avec qui apprécier les plaisirs du sexe, et faire de nouvelles découvertes.
Elle avait donné rendez-vous au garçon qui l'intéressait actuellement. Elle l'avait croisé au self du campus il y avait trois semaines de cela.
Quand quelqu'un lui plaisait, Marjolaine n'hésitait pas. Elle faisait le premier pas très rapidement, plutôt que d'attendre que l'autre le fasse.
Elle avait aperçu Barnabé à une table, avec deux amis à lui. Et il lui avait plu. Alors elle avait été vers lui, lui avait dit:
— Donne-moi ton téléphone que je marque mon numéro. Si tu as envie...
Il fallait croire que oui, il avait envie, car il l'avait appelée une heure après. Ils s'étaient donnés rendez-vous très vite. Le soir même, après un verre au bar à deux cent mètres de son appartement, elle s'empalait sur sa queue. Elle aimait bien aller droit au but. En tout cas, c'était hyper agréable avec lui, il y avait un feeling qui passait entre eux. Raison pour laquelle ils se revoyaient dès qu'ils avaient un moment.
Marjolaine portait une robe noire ultra-courte qui lui arrivait juste sous les fesses, et des cuissardes en cuir luisantes. Arrivée chez elle, entraînant Barnabé à sa suite, elle souleva la robe pour lui montrer qu'elle portait juste un string dessous, noir lui aussi, qui laissait ses fesses libres. Certains s'en étaient d'ailleurs largement rendus compte le matin même, alors que, par exemple, Marjolaine se penchait en avant.
Elle descendit le string, se retrouvant le bas-ventre nu sous le regard plus qu'intéressé de Barnabé. Elle engagea un mouvement double. Elle commença par se pencher en avant, s'offrant ainsi à lui. Elle appuya sur ses fesses pour que celles-ci s'ouvrent encore plus que le mouvement ne le permettait. Observant du coin de l'oeil Barnabé. Il était bon public. Les yeux lui sortant des orbites et la queue tendant son pantalon. Mais Marjo ne considérait pas son intérêt avec mépris, comme l'auraient fait bien des femmes ('tous des dégueulasses...') Au contraire...C'était ce qu'elle voulait, un partenaire qui aimait le sexe comme elle.
Ensuite, elle bascula en arrière, sur une chaise, lui présentant sa partie face. Les jambes relevées, elle lui offrit sa muqueuse vaginale, même si sa muqueuse anale restait toujours visible, mais sous un autre angle. Avec une audace dont elle était coutumière, Marjo enfonça ses deux index dans son sexe et s'ouvrit autant qu'elle le pouvait, donnant à voir à son amant d'un moment ses muqueuses roses jusqu'à son utérus.
— Tu y penseras quand tu seras seul et que tu te branleras.
Elle resta comme ça un moment, pour qu'il en prenne bien plein les mirettes, Avant de se caler dans une position plus normale et de lui dire:
— Donne-moi ta queue. J'ai envie de la prendre dans ma bouche.
Ils avaient une bonne heure avant de devoir repartir. 20 minutes de bus pour un cours, chacun dans son domaine. Une heure ça donnait bien le temps d'avoir du plaisir.
Il s'approcha et elle le défit. Sa queue jaillit comme un diable de sa boite.
Marjolaine avait une excellente mémoire, qui s'appliquait aussi au sexe, d'autant plus que ce domaine la passionnait. Une mémoire photographique. Son cerveau fonctionnait comme un ordinateur, il y avait plein de dossiers, de sous-dossiers. Dans l'un de ces dossiers il y avait les images de toutes les queues, en érection bien sûr, qu'elle avait pu voir et avec lesquelles elle avait généralement pu jouer. Force était de constater qu'il n'y en avait pas deux pareilles, contrairement à ce qu'on aurait pu penser. Des grandes, des moyennes, de petites, des droites, des tordues, des épaisses, des très épaisses, des qui avaient un gland proéminent, d'autres non...
Elle n'avait jamais vu de queue vraiment moche.
Et la queue de Barnabé lui plaisait bien. Elle était courbe, elle se redressait vers le haut quand il bandait, Très épaisse sur son premiers tiers, elle devenait fine sur la dernière partie.
Encore une queue à mémoriser.
Marjo vint balader sa langue dessus, faisant immédiatement gémir Barnabé. Elle avait démarré le sexe très tôt, et, de la sorte, elle avait une habileté qui tenait aussi à son attrait profond pour le sexe, à son imagination, et à quelque chose d'atavique, ancré chez les êtres humains. Elle se balada sur lui, faisant encore se dilater sa queue. Elle finit par lui dire:
— Attends, je vais aller chercher des capotes dans la salle de bains. Je vais t'en mettre une sur la queue, et tu viendras dans ma chatte.
Marjo se leva et partit en direction de la salle de bains, sentant le regard de Barnabé sur ses fesses. Sa mère lui avait parlé très tôt de sexualité, et elle mettait à disposition de sa fille ce dont elle pouvait avoir besoin, dont ces préservatifs. Ce qu'elle regrettait, elle, c'était qu'elle ait choisi de renoncer aux hommes. Elle évoquait le sujet quand elle le pouvait. 'Tu sais, maman, tu te prives de pas mal de choses...Même si les relations hommes-femmes ne sont pas toujours formidables, tu peux au moins avoir du plaisir.'
Marjo entra dans la salle de bains et repéra immédiatement le vibro violet. Il était positionné bien en évidence sur une pile de serviettes.
Contrairement à sa mère, Marjo connaissait. Tout ce qui était lié au sexe l'intéressait, et elle avait déjà vu ce type d'objet, à la fois sur des sites qui le vendaient, parce qu'elle regardait tous les gadgets sexuels, sans forcément pouvoir se les payer, mais aussi parce qu'elle matait énormément de porno, Elle avait bien vu des filles se branler, dans des vidéos où elles faisaient des solos, avec ce type d'instrument. Elle savait même qu'il s'agissait, à la base, d'appareils qui n'avaient pas du tout été conçus pour donner du plaisir, mais simplement masser des parties douloureuses. Il avait été détourné, mais pour le meilleur. L'appareil, qu'elle n'avait jamais encore essayé, était supposé procurer du plaisir, peut-être plus que d'autres gadgets sexuels.
Elle était surprise. En effet, il n'y avait qu'une personne qui avait pu poser l'objet là. Sa mère. S'était-elle acheté cet objet pour avoir du plaisir, plus de plaisir? Marjo savait qu'elle se masturbait, l'ayant surprise plusieurs fois, sans l'avoir cherché, par une porte entrouverte, entrain de se donner du plaisir. Ce qui la réjouissait. Elle se disait que, si sa mère avait renoncé aux hommes, elle n'avait pas renoncé au sexe.
Elle attrapa dans une main la boite de capotes, dans l'autre l'appareil, après avoir vérifié qu'il marchait.
Barnabé était déjà passé dans la chambre. La queue toujours aussi raide.
— Regarde, j'ai trouvé un gadget sympa. Tu sais ce que c'est?
Il ne répondit pas en parlant, mais son regard dit clairement qu'il savait ce que c'était. Comme tous les hommes, il était fan de porno. Ce qui ne choquait pas outre mesure Marjo.
— Viens, on va jouer avec.
Elle fit passer sa robe par dessus ses épaules, dégrafa son soutien-gorge, et nue, se glissa sur le lit pour rejoindre Barnabé. Elle mit immédiatement le vibro en marche, et, cuisses ouvertes, elle vint le poser contre elle. Elle l'avait mis au niveau 1, mais elle ressentit immédiatement la caresse, et le plaisir de la caresse. Elle sentit qu'elle se dilatait, comme si elle avait voulu happer la tête du vibro, et aussi qu'elle arrosait l'objet. C'était vraiment bon. Elle eut la vision de sa mère, les cuisses ouvertes, se masturbant avec le vibro au lieu de le faire avec ses doigts.
Elle le détacha d'elle. Elle ne voulait pas jouir tout de suite, même si, comme toute fille, elle avait la capacité d’enchaîner les orgasmes. Elle voulait les enchaîner, oui, mais avec la queue de Barnabé dans le ventre.
— Tu veux essayer?, elle lui demanda, en reculant le vibro d'elle, autant pour maîtriser la chose que parce qu'elle avait effectivement envie de balader le vibro sur la queue de Barnabé.
Il eut un moment d'hésitation, et puis il dit oui. Il faisait confiance à la jeune femme, qui l'avait ouvert à un sexe différent, de celui, très classique, qu'il pratiquait habituellement. Elle approcha la tête vibrante de la queue de Barnabé, et la fit glisser dessus. Ca devait être très bon pour lui aussi. Il poussa un gémissement de plaisir en fermant les yeux et sa queue grossit d'une manière surprenante en quelques secondes. Elle se dit que c'était une baguette magique. Capable de lui faire atteindre des dimensions qui n'auraient pas forcément été siennes sans l'objet.
Elle continua de le caresser, et effectivement il se dilata bien, comme elle n'avait jamais vu sa queue. Vraiment impressionnant. La queue qu'elle allait prendre dans le ventre n'aurait pas les mêmes dimensions que celle qui avait pu la remplir les fois précédentes.
Elle ramena le vibro à elle. Elle avait peur que Barnabé ne jouisse. Et puis elle voulait encore le plaisir du vibro.
Ils profitèrent de ce moment pour, en alternant, explorer une autre facette du sexe. Mais le temps passait. Il allait falloir partir. Marjo coupa le vibro et bascula à quatre pattes.
— Viens...Baise-moi comme une chienne...
L'un comme l'autre, ils avaient très envie. Barnabé vint derrière elle, et il glissa sa queue, dilatée et encapotée, dans la vulve de sa copine, aussi béante que dégoulinante. Il se mit à la fouiller avec sa queue, et le plaisir fut très vite au rendez-vous. Il ralentit, accéléra à nouveau. Pour elle, le bonheur, intense de sentir la queue la caresser sur l'une des parties les plus sensibles de son corps, pour lui, celui de sentir autour de sa verge la gaine d'un sexe féminin, qui l'enveloppait, le frottait, le caressait. Un plaisir basique, mais si fort.
Etait-ce un coup de génie ? Peut-être plus simplement une bonne idée. Il tendit la main vers le gros vibro violet et le remit en marche. Il l'amena sur la zone où leurs sexes se rencontraient. Où sa queue rentrait et sortait de la vulve offerte. Et il passa sur leurs chairs, le pourtour de la vulve, sa queue...Il parvint même, avec un léger effort, à remonter jusqu'au gland clitoridien, aussi exceptionnellement dilaté que sa queue...Marjo gémit, mais il ne valait pas mieux, même sans gémissements. Il sentit qu'elle se mettait à jouir, secouée de spasmes, éjaculant autour de sa queue, avant que lui aussi ne jouisse, ne pouvant plus se maîtriser, crachant son sperme dans le préservatif.
Vingt minutes après, ils quittaient la maison, laissant derrière eux le vibro violet. Marjolaine, à la fois maniaque et tête en l'air, avait nettoyé le vibro, mais elle avait posé celui-ci dans la cuisine au lieu de le remettre dans la salle de bains.
PARTIE 2
MARJOLAINE
Sara avait quitté la maison à 13 heures, sa fille Marjolaine arriva sur le coup de 13 heures 15.
Sara et Marjolaine ne se ressemblaient pas. Marjolaine avait tout hérité du côté paternel. Elle était plus petite que sa mère, blonde avec des formes très opulentes. Elle dégageait quelque chose de très sensuel qui mettait les garçons, et pas mal de filles, sens dessus dessous. Elle avait 22 ans, et était étudiante. Intelligente et douée pour les études, elle n'avait pas encore trouvé sa voie. Elle avait entamé un cursus de droit, et en ce moment suivait en parallèle des études d'économie avec une prépa pour devenir infirmière.
Contrairement à sa mère qui se trouvait bien seule, Marjolaine avait une envie de sexe que rien ne parvenait à calmer. Elle était insatiable, que ce soit avec des garçons ou des filles. Le sexe pour elle, c'était une joie immense, un diamant avec de multiples facettes, un territoire vierge dont l'exploration lui semblait sans fin. Malgré un emploi du temps bien chargé, elle trouvait toujours des partenaires avec qui apprécier les plaisirs du sexe, et faire de nouvelles découvertes.
Elle avait donné rendez-vous au garçon qui l'intéressait actuellement. Elle l'avait croisé au self du campus il y avait trois semaines de cela.
Quand quelqu'un lui plaisait, Marjolaine n'hésitait pas. Elle faisait le premier pas très rapidement, plutôt que d'attendre que l'autre le fasse.
Elle avait aperçu Barnabé à une table, avec deux amis à lui. Et il lui avait plu. Alors elle avait été vers lui, lui avait dit:
— Donne-moi ton téléphone que je marque mon numéro. Si tu as envie...
Il fallait croire que oui, il avait envie, car il l'avait appelée une heure après. Ils s'étaient donnés rendez-vous très vite. Le soir même, après un verre au bar à deux cent mètres de son appartement, elle s'empalait sur sa queue. Elle aimait bien aller droit au but. En tout cas, c'était hyper agréable avec lui, il y avait un feeling qui passait entre eux. Raison pour laquelle ils se revoyaient dès qu'ils avaient un moment.
Marjolaine portait une robe noire ultra-courte qui lui arrivait juste sous les fesses, et des cuissardes en cuir luisantes. Arrivée chez elle, entraînant Barnabé à sa suite, elle souleva la robe pour lui montrer qu'elle portait juste un string dessous, noir lui aussi, qui laissait ses fesses libres. Certains s'en étaient d'ailleurs largement rendus compte le matin même, alors que, par exemple, Marjolaine se penchait en avant.
Elle descendit le string, se retrouvant le bas-ventre nu sous le regard plus qu'intéressé de Barnabé. Elle engagea un mouvement double. Elle commença par se pencher en avant, s'offrant ainsi à lui. Elle appuya sur ses fesses pour que celles-ci s'ouvrent encore plus que le mouvement ne le permettait. Observant du coin de l'oeil Barnabé. Il était bon public. Les yeux lui sortant des orbites et la queue tendant son pantalon. Mais Marjo ne considérait pas son intérêt avec mépris, comme l'auraient fait bien des femmes ('tous des dégueulasses...') Au contraire...C'était ce qu'elle voulait, un partenaire qui aimait le sexe comme elle.
Ensuite, elle bascula en arrière, sur une chaise, lui présentant sa partie face. Les jambes relevées, elle lui offrit sa muqueuse vaginale, même si sa muqueuse anale restait toujours visible, mais sous un autre angle. Avec une audace dont elle était coutumière, Marjo enfonça ses deux index dans son sexe et s'ouvrit autant qu'elle le pouvait, donnant à voir à son amant d'un moment ses muqueuses roses jusqu'à son utérus.
— Tu y penseras quand tu seras seul et que tu te branleras.
Elle resta comme ça un moment, pour qu'il en prenne bien plein les mirettes, Avant de se caler dans une position plus normale et de lui dire:
— Donne-moi ta queue. J'ai envie de la prendre dans ma bouche.
Ils avaient une bonne heure avant de devoir repartir. 20 minutes de bus pour un cours, chacun dans son domaine. Une heure ça donnait bien le temps d'avoir du plaisir.
Il s'approcha et elle le défit. Sa queue jaillit comme un diable de sa boite.
Marjolaine avait une excellente mémoire, qui s'appliquait aussi au sexe, d'autant plus que ce domaine la passionnait. Une mémoire photographique. Son cerveau fonctionnait comme un ordinateur, il y avait plein de dossiers, de sous-dossiers. Dans l'un de ces dossiers il y avait les images de toutes les queues, en érection bien sûr, qu'elle avait pu voir et avec lesquelles elle avait généralement pu jouer. Force était de constater qu'il n'y en avait pas deux pareilles, contrairement à ce qu'on aurait pu penser. Des grandes, des moyennes, de petites, des droites, des tordues, des épaisses, des très épaisses, des qui avaient un gland proéminent, d'autres non...
Elle n'avait jamais vu de queue vraiment moche.
Et la queue de Barnabé lui plaisait bien. Elle était courbe, elle se redressait vers le haut quand il bandait, Très épaisse sur son premiers tiers, elle devenait fine sur la dernière partie.
Encore une queue à mémoriser.
Marjo vint balader sa langue dessus, faisant immédiatement gémir Barnabé. Elle avait démarré le sexe très tôt, et, de la sorte, elle avait une habileté qui tenait aussi à son attrait profond pour le sexe, à son imagination, et à quelque chose d'atavique, ancré chez les êtres humains. Elle se balada sur lui, faisant encore se dilater sa queue. Elle finit par lui dire:
— Attends, je vais aller chercher des capotes dans la salle de bains. Je vais t'en mettre une sur la queue, et tu viendras dans ma chatte.
Marjo se leva et partit en direction de la salle de bains, sentant le regard de Barnabé sur ses fesses. Sa mère lui avait parlé très tôt de sexualité, et elle mettait à disposition de sa fille ce dont elle pouvait avoir besoin, dont ces préservatifs. Ce qu'elle regrettait, elle, c'était qu'elle ait choisi de renoncer aux hommes. Elle évoquait le sujet quand elle le pouvait. 'Tu sais, maman, tu te prives de pas mal de choses...Même si les relations hommes-femmes ne sont pas toujours formidables, tu peux au moins avoir du plaisir.'
Marjo entra dans la salle de bains et repéra immédiatement le vibro violet. Il était positionné bien en évidence sur une pile de serviettes.
Contrairement à sa mère, Marjo connaissait. Tout ce qui était lié au sexe l'intéressait, et elle avait déjà vu ce type d'objet, à la fois sur des sites qui le vendaient, parce qu'elle regardait tous les gadgets sexuels, sans forcément pouvoir se les payer, mais aussi parce qu'elle matait énormément de porno, Elle avait bien vu des filles se branler, dans des vidéos où elles faisaient des solos, avec ce type d'instrument. Elle savait même qu'il s'agissait, à la base, d'appareils qui n'avaient pas du tout été conçus pour donner du plaisir, mais simplement masser des parties douloureuses. Il avait été détourné, mais pour le meilleur. L'appareil, qu'elle n'avait jamais encore essayé, était supposé procurer du plaisir, peut-être plus que d'autres gadgets sexuels.
Elle était surprise. En effet, il n'y avait qu'une personne qui avait pu poser l'objet là. Sa mère. S'était-elle acheté cet objet pour avoir du plaisir, plus de plaisir? Marjo savait qu'elle se masturbait, l'ayant surprise plusieurs fois, sans l'avoir cherché, par une porte entrouverte, entrain de se donner du plaisir. Ce qui la réjouissait. Elle se disait que, si sa mère avait renoncé aux hommes, elle n'avait pas renoncé au sexe.
Elle attrapa dans une main la boite de capotes, dans l'autre l'appareil, après avoir vérifié qu'il marchait.
Barnabé était déjà passé dans la chambre. La queue toujours aussi raide.
— Regarde, j'ai trouvé un gadget sympa. Tu sais ce que c'est?
Il ne répondit pas en parlant, mais son regard dit clairement qu'il savait ce que c'était. Comme tous les hommes, il était fan de porno. Ce qui ne choquait pas outre mesure Marjo.
— Viens, on va jouer avec.
Elle fit passer sa robe par dessus ses épaules, dégrafa son soutien-gorge, et nue, se glissa sur le lit pour rejoindre Barnabé. Elle mit immédiatement le vibro en marche, et, cuisses ouvertes, elle vint le poser contre elle. Elle l'avait mis au niveau 1, mais elle ressentit immédiatement la caresse, et le plaisir de la caresse. Elle sentit qu'elle se dilatait, comme si elle avait voulu happer la tête du vibro, et aussi qu'elle arrosait l'objet. C'était vraiment bon. Elle eut la vision de sa mère, les cuisses ouvertes, se masturbant avec le vibro au lieu de le faire avec ses doigts.
Elle le détacha d'elle. Elle ne voulait pas jouir tout de suite, même si, comme toute fille, elle avait la capacité d’enchaîner les orgasmes. Elle voulait les enchaîner, oui, mais avec la queue de Barnabé dans le ventre.
— Tu veux essayer?, elle lui demanda, en reculant le vibro d'elle, autant pour maîtriser la chose que parce qu'elle avait effectivement envie de balader le vibro sur la queue de Barnabé.
Il eut un moment d'hésitation, et puis il dit oui. Il faisait confiance à la jeune femme, qui l'avait ouvert à un sexe différent, de celui, très classique, qu'il pratiquait habituellement. Elle approcha la tête vibrante de la queue de Barnabé, et la fit glisser dessus. Ca devait être très bon pour lui aussi. Il poussa un gémissement de plaisir en fermant les yeux et sa queue grossit d'une manière surprenante en quelques secondes. Elle se dit que c'était une baguette magique. Capable de lui faire atteindre des dimensions qui n'auraient pas forcément été siennes sans l'objet.
Elle continua de le caresser, et effectivement il se dilata bien, comme elle n'avait jamais vu sa queue. Vraiment impressionnant. La queue qu'elle allait prendre dans le ventre n'aurait pas les mêmes dimensions que celle qui avait pu la remplir les fois précédentes.
Elle ramena le vibro à elle. Elle avait peur que Barnabé ne jouisse. Et puis elle voulait encore le plaisir du vibro.
Ils profitèrent de ce moment pour, en alternant, explorer une autre facette du sexe. Mais le temps passait. Il allait falloir partir. Marjo coupa le vibro et bascula à quatre pattes.
— Viens...Baise-moi comme une chienne...
L'un comme l'autre, ils avaient très envie. Barnabé vint derrière elle, et il glissa sa queue, dilatée et encapotée, dans la vulve de sa copine, aussi béante que dégoulinante. Il se mit à la fouiller avec sa queue, et le plaisir fut très vite au rendez-vous. Il ralentit, accéléra à nouveau. Pour elle, le bonheur, intense de sentir la queue la caresser sur l'une des parties les plus sensibles de son corps, pour lui, celui de sentir autour de sa verge la gaine d'un sexe féminin, qui l'enveloppait, le frottait, le caressait. Un plaisir basique, mais si fort.
Etait-ce un coup de génie ? Peut-être plus simplement une bonne idée. Il tendit la main vers le gros vibro violet et le remit en marche. Il l'amena sur la zone où leurs sexes se rencontraient. Où sa queue rentrait et sortait de la vulve offerte. Et il passa sur leurs chairs, le pourtour de la vulve, sa queue...Il parvint même, avec un léger effort, à remonter jusqu'au gland clitoridien, aussi exceptionnellement dilaté que sa queue...Marjo gémit, mais il ne valait pas mieux, même sans gémissements. Il sentit qu'elle se mettait à jouir, secouée de spasmes, éjaculant autour de sa queue, avant que lui aussi ne jouisse, ne pouvant plus se maîtriser, crachant son sperme dans le préservatif.
Vingt minutes après, ils quittaient la maison, laissant derrière eux le vibro violet. Marjolaine, à la fois maniaque et tête en l'air, avait nettoyé le vibro, mais elle avait posé celui-ci dans la cuisine au lieu de le remettre dans la salle de bains.
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