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Un kiné pervers

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Lue : 2637 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/04/2021

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Cela fait maintenant trois mois qu’avec Jérémy, sommes mariés. Nous avons vingt cinq ans. Cela fait trois jours que nous somme en train d’aménager une villa sur les hauteurs de la ville.
Après avoir fait les derniers rangements, nous allons à la salle de bain, prendre une douche bien mérité.
Je suis toute nue, à admirer mon superbe corps dans la glace, quand mon mari arrive derrière moi.

-Oh ma Lucie, dit-il en me caressant les seins, que tu es belle.
-C’est pour toi que je suis belle, mon amour.

Je sens sa queue durcir contre mes fesses. Même si je n’avais pas envie d’un câlin, la sentir glisser entre mes cuisses m’excite. Je me penche sur le lavabo, et écarte les jambes. Une simple poussée, et voila sa queue qui prend possession de ma chatte. Un petit coup rapide, mais qui nous permet d’atteindre la jouissance, ensemble.
Nous finissons enfin par nous doucher.

Il est dix huit heures, quand nous sortons de la salle de bains. A peine le temps d’enfiler un jogging, qu’on sonne à le porte.

-Tu vas ouvrir ma chérie, demande mon mari.
-OK...j’y vais.

J’ouvre, et me trouve face à un couple, cinquante, cinquante cinq ans, un gâteau et une bouteille de vin à la main. Ils ont l’air sympa. En plus, L=l’homme est très séduisant. Mais bon...

-Bonjour, Sandra, et voici Lucas, mon époux. Comme le veux la tradition, nous tenions à vous souhaiter le bienvenue.
-C’est très gentil, dis-je...rentrez.

Après les présentations d’usages, nous nous installons au salon.

La discussion s’oriente vers divers sujets, nos centres d’intérêts, nôtre travail. Ils nous apprennent qu’ils sont de souche italienne.

-Nous finissons d’aménager, dit Jérémy. A deux, c’est dur. Mon épouse est toute courbaturée.
-Mais mon mari est kiné, avance Sandra, passez le voir au cabinet. Hein chéri.
-Bien sur, pas de problème. J’ai un créneau lundi à quatorze heures.
-Super, dit mon mari, t’en pense quoi, mon amour.
-Heu...je sais pas, on se connaît à peine je ne voudrais pas abuser.
-Mais pas du tout, poursuit Lucas, c’est avec plaisir. Puis, c’est l’occasion de faire plus ample connaissance.
-Allez, rendez-vous est pris, dit Jérémy. Lundi quatorze heures.

Nos voisins quittent la villa, vers dix heures du soir. Le temps de débarrasser, il est onze heures quand nous allons au lit.
Malgré la fatigue, Jérémy insiste pour me baiser. Même si je n’ai pas une grosse envie, je participe ardemment. Quel tempérament. Je prend énormément de plaisir, à me faire prendre en levrette. Très vite, j’atteins l’orgasme. Jérémy essaie de réaliser son éternel fantasme. A savoir me sodomiser, et se faire tailler une pipe. Mais ça, c’est hors de question. Il le sait très bien.
Après deux heures torrides, nous finissons par nous endormir.

Le lendemain, les voisins nous invitent à un barbecue, au bord de la piscine. Même si je suis plutôt belle, en maillot, Sandra est d’une beauté ravageuse. Je m’approche de mon époux, pour calmer ses pulsions, au cas ou. Mais je pense que celui qu’il faut surveiller, c’est Lucas. Dans l’eau, il me lâche pas, effleurant mes seins ou mes hanches, dès qu’il en a l’occasion. A tel point, que je me pose la question si lundi, je vais aller à la consultation.
Du reste, en rentrant, j’en parle à mon mari.
Il me dit que je me fais des filmes, et qu’il ne s’inquiète pas outre mesure. Et qu’en plus, il a totalement confiance en moi. C’est vrai que peut être, je me fais des idées. Puis Lucas est marié.
Je m’habille sobrement. Jean’ chemisier blanc

-Enfin ma chérie, tu pourrais t’habiller plus sexy. Mets le petit ensemble que je t’ai offert. Ta jupette, et ton petit haut assorti.
-Tu crois, je vais pas passer pour une allumeuse...il faudrait pas que Lucas se fasse des idées.
-Mais non mon amour...allez, changes toi.

Il est treize quarante cinq, quand je me gare sur le parking du cabinet. A peine cinq minutes plus tard, je suis accueillie par Sandra, l’épouse de Lucas. Elle est vêtue d’une blouse, et j’imagine qu’elle ne porte pas grand chose dessous.

-Bonjour ma chérie, on se fait la bise...hum...vous êtes ravissante. Prenez une cabine, déshabillez-vous, et allongez- vous sur la table de massage. Mon mari ne va pas tarder.

Quand Lucas arrive, je suis allongée sur la table, en culotte et soutien gorge. Je me sens mal à l’aise de me montrer dans cette tenue, devant un homme que je connais à peine.

-A non, dit-il, mettez-vous toute nue…
-Entièrement...mais enfin...pourquoi ça...je suis juste bloquée.
-Je vous rassure, vous serez couverte de serviettes.

C’est vrai que je suis rassurée. Même si ce petit linge n’apporte qu’une faible protection. Lucas me fait mettre sur le ventre. Je sens ses mains d’une incroyable douceur, parcourir mon échine, mes hanches, jusqu’aux fesses. Je sens un agréable sensation.

-Oh la, vous êtes toute nouée. Va falloir détendre tout ça.
-A ce point...j’ai du soulever trop de poids.

Au bout d’une demi-heure, il me demande de me retourner. En me tournant, je prends bien soins de faire suivre les serviettes.
Les massages, toujours aussi doux, reprennent, mais changent de trajectoire, pour s’orienter vers des endroits, plus intime, réservés exclusivement à mon mari.

-En vous retournant, j’ai involontairement heurté vos seins. Je pense qu’ils ont besoin d’être raffermis.
-A bon...vous croyez. Non, mais laissez tomber, un grand repos me fera le plus grand bien.
-Mais enfin Lucie, vous avez un corps sublime, ne le laissez pas se détruire par manque d’entretien. Ôtons ses serviettes gênantes.
-Oh mon dieu...que va dire mon mari s’il apprend que j’étais nue devant vous. Que je vous ai montré mes seins, ma petite…
-...Chatte? Il n’en saura rien, secret médical oblige.

Petit à petit, je me soumets aux exigences de Lucas.
Une main remonte la peau vers mes mamelons. Les doigts font rouler les bouts, les fait durcir. Je ferme les yeux, apprécie cet instant sublime. L’autre main glisse entre mes cuisse.

-Hum...je vois que vous épilez vôtre chatte. C’est pour vôtre mari.
-Heu...oui, mais s’il vous plaît, retirez vôtre main.
-Vous savez, les lèvres intimes, et le clitoris aussi ont besoin d’être massés de temps en temps. Vôtre mari doit vous le faire.
-Oui...mais ma chatte va être toute mouillée après.
-Détendez-vous, vous avez, j’en ai fait mouiller plus d’une. Il y en a même, qui ont jouis dans mes mains.
-A bon...à ce point.

Lucas écarte mes jambes, jusqu’à ce qu’elles pendent de chaque côté de la table. Dans cet position, ma chatte est entièrement offerte. Des doigts parcourent ma fente légèrement humide, la pénètrent, tandis qu’un doigt, plus vicieux, caresse mon clito. Malgré moi, je gémis de plaisir, me soumets aux caresses perverses. Les doigts accélèrent, s’amusent avec mon petit bouton. Je me cambre dans tous les sens, sous ces odieuses caresses. Soudain, un orgasme me fait hurler de plaisir. Je maintiens la main de Lucas sur ma chatte, comme si j’en voulais encore...et c’est le cas. Je suis en train d’offrir mon corps à un homme que je connais depuis deux jours.

-Hum...c’est bon de se faire branler, hein. Vous êtes magnifique quand vous jouissez. Vôtre mari vous caresse comme ça.
-Non...il n’a pas vôtre expérience...c’est meilleurs avec vous...

Lucas se penche, écarte mes lèvres intimes, lèche l’intérieur de ma chatte, jusqu’au clito, toujours vulnérable. Un courant électrique parcours tout mon corps. Dans un soupir, je sors l’impensable.

-Vôtre queue...je veux vôtre queue dans ma bouche…
-Bien sur...après, je vais bien te baiser.

L’énorme bite en érection, entièrement décalottée, s’enfonce lentement entre mes lèvres. Je fais à Lucas, ce que j’ai toujours refusé à mon mari. Le pire, c’est que je prends un réel plaisir à sucer cette queue.
Puis Lucas se retire, revient contre ma chatte. Une simple poussée, et le calibre s’installe en moi. Au bout de quelques va et vient, le désir monte en moi, alors que, sans m’avertir, Lucas place sa bite contre ma rosette.

-Mais Lucas...pas ça. J’ai jamais fait ça avec mon mari. Vous avez vu la grosseur de vôtre queue. Vous allez déchirer mon petit trou…
-J’irai doucement, me promet-il. Au moindre signe, j’arrête.
-Salaud...on mon dieu...que c’est bon de se faire enculer...
-Ah...je viens, râle Lucas...ta bouche, ouvre ta bouche.

Tel un automate, j’obéis, et reçois l’offrande, sous forme de puissant jet de sperme au fond de ma gorge. Lucas maintient ma tête sous pression, me force à tout avaler.
Je m’aperçois que je viens d’accorder à Lucas, les faveurs que j’ai toujours refusés à mon mari. La sodomie, et sucer une queue.
Lucas se penche sur mon visage, me prend les lèvres dans un tendre baiser.
Après une bonne douche, je passe au secrétariat, ou m’attend Sandra.

-Alors ma chérie, ça c’est bien passé. Ça a du vous apaiser. Lucas a un créneau samedi matin...ça vous va.
-Je sais pas...je vais en parler à Jérémy, savoir s’il n’a rien prévu.

Sur le chemin du retour, je suis en colère contre moi. De m’être offerte sans retenu, bravant les interdits de la fidélité. Je m’en veux, même si j’ai énormément pris de plaisir, au-delà des fantasmes les plus fou. Seul regret, c’est que j’ai trompé mon mari, alors qu’il ne méritait pas ça.
J’arrive chez moi, Jérémy m’attend gentiment au salon.

-Alors mon amour, me dit-il, ça s’est bien passé, ça va mieux.
-Si tu savais mon chéri, un vrai expert. Mais il m’a dit que mon état nécessité d’autres séances. Il m’a donné rendez-vous samedi matin. J’ai dit que j’allais t’en parler.
-Mais ma chérie, fallait accepter. Tu sais bien que je ne suis pas là, de tout le week-end.
-A oui, c’est vrai. Tu peux les appeler et confirmer le rendez-vous, pendant que je me change.

Dans ma chambre, je repasse en boucle cette folle après-midi, ou j’ai pris un plaisir énorme, au-delà de ce que mon mari, ne m’a jamais offert. Je reviens au salon, quand mon mari raccroche.

-Alors...c’est d’accord.
-C’est d’accord. Sandra va t’envoyer un mail.
-Tiens...justement le voila.
« Ma chérie, ton mari m’a dit qu’il était absent tout le week-end . J’espère que tu vas le passer avec nous. On en profitera pour visionner le film de ton massage. Il est terrible. Tu es vraiment très belle, affolante. On va se faire une bonne partie à trois. J’ai hâte qu’on s’amuse toutes les deux. Allez ma chérie, à samedi...bisous»

je suis KO debout. Je ne veux pas que ce message, tombe dans les mains de mon mari. Je l’efface.
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Histoire de Aurore34

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