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Une lettre de l'au delà

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Lue : 824 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/04/2021

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Je reste seul à me recueillir devant la tombe de Rémi, mon meilleur pote, décédé dans un accident de voiture. Il avait vingt six ans.
Ensemble, on a fait les quatre cent coups, les mêmes conneries, pris les mêmes cuites, baiser les même meufs.
On s’était juré de ne jamais se séparer, même pour une fille. Mais j’ai trahi ma promesse, quand j’ai rencontré Carole, devenu mon épouse.
Il m’en a énormément voulu, mais a tout de même, accepté d’être le témoin de mon mariage.

Je rentre chez moi troquer mon costume de cérémonie funéraire, pour une tenue plus cool. Jean’, chemise blanche, et blouson, la même tenue que Rémi portait quand on sortait.
J’arrive au café des sports, ou m’entendent d’autres copains, afin de boire un dernier verre, à la mémoire de Rémi.
Il est vrai que le moment ne s’y prête pas, et l’accueil reste froid. Je les trouve accoudés au bar, une lettre à la main, me tournant le dos, comme s’ils voulaient me cacher quelque chose.

-Tiens Thierry, me dit le barman en me tendant une enveloppe. C’est pour toi. Tu devrais attendre d’être chez toi pour l’ouvrir.

En haut, à gauche. « A l’attention de mon pote Thierry.» Bizarre...
A l’intérieur, des photos datées, accompagnées de commentaires.
Je rentre chez moi, pour regarder ça tranquillement, loin des bruits.

La première série est datée du vingt huit mai deux mille dix sept. Ça correspond au jour ou Carole enterrait sa vie de jeune fille.
La première photo la montre monter dans une voiture. Celle de Rémi.
Carole est très sexy, porte les habits que je lui est offert le jour des fiançailles. En plus de la bague bien sur. La seconde est prise à travers la lunette arrière. On les voit s’embrasser sur la bouche...tient
Ce qui me surprend ,c’est que je pensais que cette soirée était réservée aux filles. Je lis le commentaire qui accompagne les premières photos.



«Malgré la déception de savoir que vous alliez vous marier, je n’ai pu refusé la demande de Carole, quant à l’organisation de l’enterrement de sa vie de jeune fille. A cet occasion, elle m’a laissé carte blanche. Je peux juste te dire qu’elle n’a pas été déçu, et qu’elle s’est bien amusé. Elle a bien mangé, bien bu, bien dansée, et...même d’avantage. Tu jugeras par toi même en visionnant la suite.»
Je dois avouer que le « même d’avantage», m’inquiète.

La deuxième série, se passe dans un bar branché, réputé pour ses soirées chaudes. Je vois Carole se trémousser sur la piste, sous les yeux de Rémi, accoudé au comptoir.
Puis les images s’animent dans ma tête. J’imagine alors Carole se déhancher, le corps parcouru par des mains avides de sexes. Je vois les mains d’un inconnu passer sous le caraco, caresser les seins. Carole se tord le cou, pour lui prendre les lèvres. Une femme l’embrasse fougueusement, tout en fouillant sous la robe. J’ai l’impression de voir Carole jouir, yeux mi-clos, bouche grande ouverte.

« Putain Thierry...comme elle lui a branlé la chatte. Tu aurais vu comme elle bougeait son cul, comme elle criait quand elle a joui. Je dois t’avouer un truc. La suite réserve d’autres surprises. J’ai des tas de photos, plus surprenante les unes que les autres. Tu vas pas être déçu mon pote»

La troisième série se poursuit dans un cabaret. Un stripper danse, entièrement nu, offrant sa queue à un public exclusivement féminin, dont ma femme fait partie. Le stripper enduit sa queue de chantilly, que ces dames, d’un certain âge, prennent plaisir à lécher. Il passe de table en table, arrive jusqu’à Carole, qui saisit la bite en érection, soupèse les couilles. Sauf qu’il n’y a plus de chantilly...c’est du sperme qu’elle avale.
Tout ça n’est pas digne d’un future mariée

« T’as vu ça...t’as vu comme elle est gourmande. Elle a vidé les couilles de deux autres danseurs. Elle a tout avalé, rien laissé pour les autres. A part une femme qui est venu en récupérer dans sa bouche. Quels coups de langues elles se sont mis toutes les deux»

La quatrième série me laisse KO. Elle date du cinq septembre. Trois mois après le mariage. A cette époque, j’étais en déplacement.
Là encore, je laisse vaqué mon imagination.
Je vois Carole installée au bar, jupe retroussée sur les hanches, chatte à l’air. On voit des doigts de femmes la pénétrer, puis descendre lui bouffer la chatte. Puis, c’est une queue d’un bon calibre, qui remplace les doigts. La bite est bien encrée en elle. Carole s’accroche au cou de l’inconnu, qui la baise. Elle fini sur la piste, entièrement nue, serrée par un beur et un black, montés comme des dieux.
Je vois Rémi, en maître de cérémonie, les entraîner dans un salon privé. La scènes qui suivent, sont hallucinantes.
Carole se fait tour à tour bouffer la chatte, se fait baiser par un, tandis qu’elle suce l’autre. Puis les cavaliers tournent pour finir par une double pénétration.

« Ouah...quelle soirée. Qu’est-ce qu’il lui ont mis...comme elle gueulait. Ils l’ont faites jouir deux ou trois ou fois. Elle a pleinement profité de ton absence. Quand je l’ai ramenée, elle a tenu à me remercier. J’espère que tu ne m’en voudras pas trop de ce qui va suivre.»

La dernière série date de quinze jours avant l’accident.
Je reconnais les lieux...ça se passe chez Rémi, dans sa chambre, dans son lit. C’est la seule série, ou il n’y a pas de commentaire.
Elle n’en a pas besoin, tout est clair. Que des gros plans.
On voit nettement la queue de Rémi pénètre la chatte de Carole, puis s’enfoncer dans le petit trou, pour finir en train de se branler, dans la bouche. On devine même du sperme couler sur ses lèvres.
La dernière photo, attire particulièrement mon attention, surtout par les gestes. Carole et Rémi sont à genoux sur le lit, face à face. Carole, tout sourire, arrondi une main sur son ventre, et montre Rémi du doigt.
Rémi ouvre la bouche en pointant un doigt sur son torse.
Dans ma tête, je devine ce qu’ils sont en train de se dire..

-Tu sais quoi, je suis enceinte de toi, doit annoncer Carole.
-Quoi...c’est vrai...doit dire Rémi surpris.

Surpris, peut être pas tant que ça, en voyant son visage s’illuminer d’un large sourire.
Tout ressurgit dans ma tête. Je me souviens qu’à cette époque, Carole s’était absentée une quinzaine de jours, pour se rendre au chevet de sa mère malade. Mère qui du reste, j’avais trouvé en pleine forme, quand je l’ai vu. Je me souviens aussi, qu’à cette époque, Rémi avait posé des congés, et m’avait demandé de lui trouver un studio à Venise, pour quinze jours, pour lui et sa copine. Tout content qu’il est enfin trouvé quelqu’un, je lui avait même payé le séjour.
A tout les coups, la copine, c’était Carole. Mes pensées vont plus loin. Je me souviens que Rémi m’en avait voulu, quand j’ai rencontré Carole. Mais n’étais-je pas en train de la lui prendre.
Quel con je suis. Je lui ai payé des vacances pour qu’il baise ma femme.

Mais, qui a pu prendre tous ces clichés. Rémi avait certainement un complice. Complice qui, quand j’ai appris qui c’était, en suis resté sur le cul.
Il s’agit de Judith, ma belle sœur. Oui, vous avez bien lu, Judith, la sœur de ma femme. A une époque, elle kiffait sur moi, voulait qu’on se marie. J’avais repoussé se avances, car ce n’était pas mon genre de femme. Mais de là, monter un coup pareil, pour briser mon couple, il y a un gouffre. Le pire, c’est que Carole était au courant de ce complot, et qu’elle a acceptée d’y participer. Tout simplement parce que c’est de Rémi qu’elle était amoureuse, pas de moi.
Mais, est-ce que de la haut, Rémi réalise les dégâts que ça engendre, le mal qu’il me fait.
A l’aide de mon portable, je photographie tout. Photos et commentaires. Je quitte mon appartement et me rends directement à la maternité, ou Carole a mis au monde un petit garçon.
Je vous fait grasse du prénom qu’elle a choisi.
Commente ais-je pu être si naïf. Il m’en a voulu quand j’ai épousé Carole, alors que c’est lui qui se la tapait. Ce salaud m’a roulé dans la farine.
A mon regard sombre, Carole a compris. Elle sait que je sais. Elle pleure à chaude larmes, comme le jour de l’accident ou Rémi a perdu la vie, comme le jour des obsèques, auxquelles elle n’a pu assister.
Elle me supplie de lui parler.
Sans un mot, je jette l’enveloppe sur le lit, et quitte la chambre.
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Histoire de Aurore34

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