Un mari exceptionnel 2

les deux hommes, regardent en souriant Lorena, Jean dit :

Jean-Marc je crois que nous aurons un immense plaisir de baiser avec cette salope. Lorena un peu outrée pas les paroles blessantes de jean réplique :

-No, non, je ne suis pas une salope, oh arrêtez de me fouiller les entrailles mon Dieu c'est trop monstrueux ce que vous me faites !
en geignant. Jean clame en regardant Lorena dans les yeux :

-Tu n'est pas encore une salope, mais crois moi tu vas en devenir une sacrée, tu as le profile d'une grosse gourmande de queue, avoue que tu aimes ce que nous te faisons dis-le SALOPE !

Lorena au bord de l'explosion, s'arc-boute et répond :

-Oui, oui j'aime ce que vous me faites, j'ai honte de l'avouer !

Luc lui dit tendrement :

-Jouis ma chérie jouis prends ton pied !

Lorena jouit en grognant comme une fauve. Son corps est parcouru de frissons, elle tremble de tous ses membres. Jean-Marc regarde son collègue et dit :

-Allons dans une alcôve salope, tu vas être défoncée comme jamais tu ne l'as été !

Jean prend la main de Lorena, et l'entraine dans un coin à l'abri des regards, il est suis par son complice et Luc. Rapidement les vêtements jonchent le sol, les trois amants sont entièrement nus. Lorena fébrile regarde avec anxiété les verges balancer sur le bas-ventre de ses amants. Ils la basculent sur le dos sur la paillasse. Jean-Marc offre sa bite à sucer à Lorena qui saisit timidement d'une main le verge et la décalotte avant de la gober. pendant. Jean plaques a bouche sur la chatte dégoulinante de la suceuse, et lui suce les grandes lèvres avec voracité. Toute en tétant Lorena geint de plaisir, la bite est devenue dure comme du bois, la bouche de Lorena fait merveille, Jean-Marc couine de bonheur et dit :


-Oh putain ce qu'elle suce bien cette salop, continue, continue je vais décharger !

Lorena redouble d'efforts, L'homme se cabre en geignant comme une bête et envoie plusieurs jets dans la bouche de Lorena, qui recrache brusquement le manche de chair, car elle manque d'étouffer. Luc Luc crie,:

-Avale ma chérie avale fais toi plaisir !

Lorena déglutie difficilement, puis fini par avaler jusqu'à la dernière goutte le sperme si généreusement offert. Jean lui gobe le clito, et le suce comme un bonbon, les succions répétées sur la boule de chair font gémir Lorena de bonheur. Soudainement la langue s'enfonce dans son cratère en irruption et le fouille profondément, les râles de Lorena sont très bruyants, elle agite son bassin en reprenant en bouche la verge de Jean-Marc. Luc n'en revient pas, il ne soupçonnait pas un tel engouement de sa femme pour la queue, il en est ravit et l'incite :

-Oui ma chérie bouffe lui bien la bite, fais le décharger encore !

Lorena se cabre en grognant, la langue de Jean vient de quitter son temple trempé et se plaquer sur son anus. Elle s'enfonce aisément dans l'orifice encore entrouvert par le précèdent ramonage. Les râles de Lorena sont inhumains, elle suce la queue de Jean-Marc entre deux gémissements. Les cris terribles qu'elle pousse attirent quelques curieux. Un cercle se forme autour des amants. Les commentaires vont bon train. Lorena ne résiste pas plus longtemps au traitement. Elle se cabre et jouit terriblement. Jean se met sur le dos et invite Lorena :


-Viens t'empaler tu es à point salop, viens, viens !

Elle enjambe l'homme, saisit sa queue et la dirige vers sa chatte dégoulinante, elle descend doucement son corps et lentement s'empale sur la queue raide. Elle agite sa croupe puis fait l'ascenseur avec son corps. Elle sent dans sa gaine vaginale le gros manche veineux lui labourer les parois sensibles. Elle geint terriblement, Jean la plaque contre son torse et dit :

-A toi Jean-Marc d'entrer en action !

Le bougre se place derrière elle, et frotte son gland épais contre l'anneau ridé. Il pousse doucement, Lorena serre les dents, le pieu s'enfonce doucement dans son étroit conduit en le dilatant. Luc est émerveillé, c'est la première fois que sa femme subit une double pénétration. Jean-Marc saisit Lorena par les hanches et donne un violent coup de reins, Lorena pousse un râle en grimaçant. La paroi qui sépare les deux orifices est si fine que Lorena a l'impression quelles sont dans le même conduit. Une femme qui observée la scène dit fortement:

Bourrez là bien faite la gueuler, ouah ce qu'elle doit être bonne cette pute!

Les deux verges voyagent en elle comme deux pistons bien synchronisés, la vitesse augmente, Lorena est presque en transe, elle s'accroche à jean comme une pieuvre à son rochet, en gémissant comme une bête blessée. Elle se cabre, pousse un hurlement monstrueux et jouit. Les deux amants la ménagent pas ils la démontent jusqu'à ce qu'elle jouisse une nouvelle fois. Leurs assauts sont terribles, ils se vident à tour de rôles dans les entrailles en fusions de Lorena qui ne cesse de geindre. Jean-Marc se retire du cul de Lorena et lui offre sa queue à nettoyer, Lorena savoure un long moment avec délectation le gland gluant. Jean lui demande de descendre de sa monture et lui dit :

-Moi aussi je veux profiter de ton cul salope !

Sans se poser de question, Morena se met à quatre pattes, et cambre ses reins pour offrir sa croupe à jean. Il enfonce sa verge visqueuse jusqu'aux couilles dans le cul de Lorena qui pousse couinement de bonheur. Le pilonnage et violent, les coups de bélier sont terrible, elle gémit à chaque enfoncement du pale dans son rectum. La cadence est infernale, la tension est à son comble. La soumise pousse grognement et jouit du cul comme jamais. Jean fini par déverser dans le fondement de Lorena sa semence épaisse. Enfin les amants se séparent. Un tonnerre d'applaudissement se fait entendre, les voyeurs ont été comblés par le spectacle et le prouvent. Luc enlace sa femme, elle toute tremblante lui dit :

-Mon chéri cela a été merveilleux, j'ai joui atrocement, un moment je voulais même que cela ne s'arrête jamais, je crois que jean à raison je suis devenu un grosse salope !

Luc la regarde en souriant et lui dit :

-Nous reviendrons très souvent ici, tu jouiras autant de fois que tu le souhaiteras mon amour !

Lorena encore sous l'émotion répond en se blottissant contre lui :

-Merci, mon chéri, merci tu est adorable amour !

Il répond :

-Non, je t'aime simplement, et j'adore te voir jouir ma chérie, cela me fait un bien immense !