Un petit moment de detente

Marion se morfond, son mari absent depuis plusieurs mois pour des raisons professionnelles lui manque. Malgré les nombreux oups de téléphone qu'ils échangent, l'absence de son mari lui est bien trop longue. Ce ne sont pas les multiples masturbations qu'elles s'infligent qui lui font oublier sa solitude, au contraire cela en pire.

Heureusement, Sara, la meilleure amie de Marion lui rend souvent visite. Marion se confie à elle. Malgré les paroles réconfortantes de son amie, Marion est morose. Elle a une idée, il faut que son amie se change les idées, pour cela, elle lui propose de faire un tour dans une boite qu'elle connait bien. Marion fronce les sourcils et répond en faisant une moue affreuse :

-Quoi, tu veux que je me donne à d'autre que mon mari, mais tu n'y pas !

Sara éclate de rire et répond :

-Mais non pas te donner à d'autre comme tu dis si bien, nous serons seulement des voyeuses, rien de plus !

-Ah et tu prévois cela pour quand, il y a une heure pour ça ! réplique Marion

Sara, toujours souriante, lui dit :

-Eh bien pourquoi pas ce soir hein !

Marion sursaute :

-Quoi déjà, toi alors, tu es rapide !

Son amie la regarde en riant et ajoute :

-Il faut battre le fer lorsqu'il est encore chaud, habille-toi sexy, surtout pas de sous-vêtements, car tu vas mouiller comme une fontaine et ta culotte sera trempée, je passe te prendre un peu avant vingt-trois heures, c'est l'heure la plus chaude !

Marion resta dubitative, mais accepte parce que la proposition est tentante. Sara enlace son amie et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres en disant :

-À tout à l'heure !

Enfin Sara réapparaît, elle siffle d'admiration en voyant son amie affublée avec un top qui recouvre juste ses seins et une jupe courte. Elle demande à Marion :

-Et moi comment tu me trouves ?

Mario éclate de rire et dit :

-Oh la vache, tu vas te faire violer habillée comme ça !

La jupe que porte Sara et plus que mini, son corsage ouvert outrageusement laisse voir une grosse partie de sa poitrine.
Enfin, elles arrivent, un malabar les conduit à une table en bord de piste, elles commandent une bouteille, car la soirée va être longue. La grande pièce est éclairée par une lumière tamisée, le cadre semble agréable. Sur la piste évoluent des femmes en strings seins nus, avec des hommes largement débraguettés. L'attention de Marion et attirée par deux femmes courtement vêtues, avec leurs corsages transparents ouverts largement. Les deux femmes se sucent les seins à tour de rôle tout en se caressant l'entrecuisse.

Soudain Sara donne un coup de coude à Marion et lui montre un couple qui vient de rentrer sur la piste. Elle lui dit :

-Regarde ce sont des bêtes de sexe ces deux là !

Marion regarde le couple, la femme ne porte qu'un minuscule cache sexe, l'homme, torse nu, porte un slip de cuir noir ouvert sur le devant qui laisse les attributs bien visibles. L'homme enlace la femme, elle, habilement, lui saisit la verge et la branle pour la rendre opérationnelle. La queue qui se tend sous le branlage énergique de la femme a une particularité, elle est recourbée comme un sabre. L'homme saisit sa compagne et lui enfonce sa verge dans le ventre, entrainant le fin tissu au fond du vagin. Il donne quelques coups de reins puis retire son engin. Il extirpe le tissu du vagin et le hume fortement. Il replonge sa verge dans le ventre de sa femme avec une violence extrême. Marion sursaute comme si c'était elle qui se faisait pénétrer.

Elle ne quitte pas des yeux la queue qui fore avec brutalité la chatte de la femme qui geint fortement de plaisir. Marion serre les cuisses, elle veut atténuer l'excitation qui grandit dans son ventre. Elle s'agite doucement sur sa chaise en ne quittant pas le couple des yeux. Sara se penche vers elle et lui murmure à l'oreille :

-Ça t'excite hein ma salope !

Marion ne répond pas, trop accaparée par le spectacle, elle ne réagit même pas, lorsque Sara passe sa main sous sa jupe et la glisse entre ses cuisses en approchant dangereusement de son temple en ébullition. Mécaniquement, elle ouvre légèrement les cuisses, Sara profite de ce moment de relâchement pour faire glisser ses doigts sur la fente débordante de jus. Les doigts montent et descendent sur la fente gorgée de cyprine avec une douceur extrême, elles atteignent la protubérance que forme le clitoris. Marion ferme les yeux et rejette sa tête en arrière. Sara lui caresse avec douceur la boule de tous les plaisirs. Malgré elle, Marion geint de plaisir. Son bassin s'agite lentement, son corps se met à trembler.

La femme voit Marion en train de pâmer, elle délaisse son compagnon et lestement se faufile sous la table, elle ouvre largement les cuisses de Marion qui sous la forte excitation obtempère. La femme repousse les doigts de Sara et plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante, elle aspire le jus qui s'en échappe, enfonce sa langue le plus loin possible dans le vagin et le fouille comme une sauvage. Elle gobe le clito, Marion se cabre en couinant de plaisir, et jouit fortement.

Sara regarde l'homme délaissé sur la piste, elle se lève et le rejoint, elle s'accroche à son cou, relève une cuisse que l'homme maintient contre sa hanche d'une main, et de l'autre, il dirige son sabre vers le volcan qu'à Sara entre les jambes et le plante férocement dans le cratère en éruption. Le bougre démonte Sara, comme un soudard, elle geint sous les coups de reins puissants de l'homme en rut. Elle se cabre en hurlant, et jouit affreusement fort.

L'homme retire son mandrin du ventre de Sara et se dirige vers Marion qui a toujours les yeux fermés, Marion se mord la main tellement sa jouissance et intense, la femme sait la faire jouir. L'homme saisit la main de Marion, elle ouvre les yeux, elle halète fortement, elle semble être ailleurs, ses yeux sont vitreux. Lentement, elle se lève et suit l'homme comme un robot. Il l'emmène dans une alcôve, ils sont suivis par Sara et la femme frustrée, car son compagnon prive de sa proie.

L'homme fait tomber Marion à quatre pattes sur un épais matelas. Il se place derrière elle, il fait glisser son membre sur la chatte jusqu'à l'anus, le gland sur son anus fait frissonner Marion. Le méat ouvert laisse échapper quelques perles de rosée sur le muscle rectal. Le bougre essuie son gland contre l'anneau frétillant. Puis, il enfonce brutalement son mandrin dans la chatte de Marion qui pousse un cri terrible, il la besogne très puissamment. Sara caresse les reins de son amie, ses doigts glissent dans le sillon charnu, ils taquinent l'anus un instant. Sara place son majeur contre l'œillet brun, elle attend que l'homme donne un coup de reins, pour l'enfoncer profondément dans le rectum de Marion qui se cabre en geignant de plaisir.

Sara comprend que son amie en veut plus, elle retire son doigt et le joint à un autre, elle attend l'occasion pour les enfoncer jusqu'aux dernières phalanges dans le rectum brulant de Marion. Prise par la chatte et le cul en même temps, Marion délire de bonheur. Elle se cabre et explose de jouissance. L'homme continue de la déglinguer, il se raidit et envoie dans la chatte de Marion plusieurs giclées de sperme. Elle donne encore quelque coups de pilon avant de se retirer. Il oblige Sara à retirer ses doigts de l'antre en brulant, et plante sa queue avec une violence extrême dans le rectum de Marion qui se cabre de douleur, la queue et beaucoup plus imposante que les doigts de Sara. Le pilonnage est monstrueux, Marion gémit de douleur, l'homme sait que le mal va s'estamper, il ramone avec fougue la gaine anale, qui accepte maintenant le mandrin gorgé de sang.

Marion agite sa croupe, ses gémissements sont terribles, elle se cabre, pousse un cri inhumain et jouit du cul fortement. La femme fait basculer son compagnon et se jette sur Marion, elle lui relève le top au-dessus des seins et lui gobe voracement les mamelons. Sara ne reste pas les bras croisés, elle plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante du trop-plein de sperme. Elle fouille le vagin et se gave de sperme. Elle gobe au passage le clito qu'elle ne ménage pas, Marion se cabre et jouit encore une fois.

L'homme dit à Marion :

-Pour me remercier, suce-moi salope !


Elle ouvre la bouche, Marion est encore sous l'effet des jouissances successives, elle suce la verge si bien que l'homme répand dans sa bouche, sa semence épaisse. Sara repousse violemment l'homme et embrasse fougueusement son amie, sa langue cherche un maximum de sperme, Les bouches des deux amies s'échangent le nectar précieux. Une fois gavées, elles se désaccouplent. Sara souriante dit à Marion :

-Alors comment c'était !

Marion, haletante, répond :

-Ouah quel pied ce fut merveilleux, je ne me savais pas si salope !