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Un pote en déprime...pas tant que ça.

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Lue : 2907 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/12/2021

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Ce vendredi, Geoffrey, mon mari, rentra plutôt que d’habitude, du bureau. Infiniment heureuse de cela, je l’accueille comme in se doit. Je me pends à son cou, le couvre de baiser. En me mettant sur la pointe des pieds, ma courte jupe remonte forcément sur mes cuisses, découvrant largement mes fesses, et ma petit chatte.
- Oh la coquine, elle n’a pas mis de culotte, dit mon mari...t’as une grosse envie ?
- Tu sais bien que j’ai toujours envie de toi…
C’est là qu’il m’annonce, que ce soir, il a rendez-vous à la gare, pour récupérer Lucas, un ami d’enfance. Je connais pas Lucas, mais je sais qu’il traverse une période difficile en ce moment. En effet, cela fait quelques mois qu’il est séparé de sa femme, après l’avoir surprise au lit, avec son jeune voisin. Donc ce soir, mon mari me demande si on peut l’héberger pour le week-end, et que se serait l’occasion de me le présenter. Bien évidemment, je ne pouvais refuser. Nous en avons parlé assez longtemps, et le projet de dîner ensemble, se dessinait donc simplement.
C’est pourquoi le dîner serait simple, l’intérêt de la soiré se résumant à remonté le moral de nôtre invité, qui était en pleine déprime, et se remémorer les souvenirs d’enfances. Le tout autour d’un bon repas.
Lucas arriva donc vers vingt heures, armé de la classique bonne bouteille de vin, ce qui me ravissait, car j’aimais cette gourmandise là, lorsque dans l’intimité elle me faisait très légèrement tourner la tête. De plus, malgré sa mauvaise passe, Lucas était à la fois sympathique, avait de l’humour, et était un homme fort séduisant, avouons le.
Je me réjouissais pour Geoffrey, de savoir qu’il pouvait faire revivre ses souvenirs de jeunesses, qu’au fond, je ne connaissais pas. Et donc je me gardais bien d’ignorer.
Les heures qui s'en suivirent furent très agréables, faites de bons mots, de rires, de bonne ambiance, et oserais-je le dire, franchement arrosée de quelques verres de ce bon vin. Ce qui permis à Lucas de mettre de côté, au moins pour la soirée, ses soucis.
Mes jambes croisées et mes pieds nus attiraient parfois le regard de Lucas et je m'en amusais, le vin aidant. C'était un jeu dont les effets produits étaient a double sens. Alors qu'apparemment cela pouvait plutôt exciter celui qui regarde, cela avait aussi sur moi cette sensation parfois presque du touché, que de savoir le regard intéressé d'un homme caressant des yeux mon anatomie.
Il devenait donc intéressant de décroiser mes jambes ou de les allonger au hasard d'une phrase, puis de les recroiser en des mouvements lents, laissant apparaître parfois mon entrejambe, plus ou moins haut, selon mon envie.
Je me rendis compte au fil de la soirée que le simple fait de poser ma main sur ma cuisse arrivait à troubler Lucas, se manifestant par un léger bégaiement, ou une maladresse...un verre qui en cogne un autre, ou se renverse sur la nappe…
Le radar sensuel de Geoffrey détecta cette ambiance, dont j’étais certaine qu’il se délectait, et le sourire qu'il m'adressait en signe de complicité me détendait davantage.
- Céline, ma chéri, peux-tu remplacer la bouteille de vin ?
- Mais bien sur mon amour...de suite.
Malgré la distance, j’entendais les deux potes racontaient leurs anecdotes avec telles ou tells filles.
« Tu te souviens celle-là, les pipes qu’elle tailler…
« Oh putain...si je m’en souviens...elle avalait tout...et Léa, comme elle aimait la sodomie...ouais…
« C’est vrai qu’elle aimait bien se faire enculer... »
Bref, une discussion bon enfant. Mais tout cela, tailler des pipes, avaler, me faire baiser, enculer, je l’avais subit au lycée, avec des mecs que mon mari haïssait, parce que jaloux d’eux. C’était avant de vraiment le connaître, mais n’en avais jamais parlé.
À un moment de la soirée, revenant d'un de mes allers retours a la cuisine, je m'approchai de Geoffrey, et restait un instant debout près de lui, le verre à la main, écoutant distraitement les voix de ces hommes, plus que le détail de ce qu'ils disaient, compte tenu de la légère brume parfumée de vin qui commençait a m'envahir.
Je sentis la main de mon mari se poser sur mes jambes, remonter entre mes cuisses. J’eus un haut le corps, quand il atteignit mon entre jambes, aux portes de ma chatte, libre de tout vêtement. « Il est fou, me dis-je.». Lucas ne pouvait s’apercevoir de rien.
C'est à ce moment qu’il me fit asseoir, et qu’il déposa négligemment sa main sur mon pied, et que du revers de celle ci, il la fit remonter doucement.
C'était agréable à l'infini, cette douceur de contact. Mon mari faisait cela tout en parlant, n'interrompant en rien l'échange visuel et auditif avec Lucas. Sa main remonta lentement d'un mouvement qui se prolongeait maintenant sur ma jambe. Il ne s'arrêtait pas, et je fermai les yeux en bougeant un peu.
Je crois que c'est lorsque sa main atteignit l'intérieur de ma cuisse qu'un petit cri m'échappa, interrompit leur conversation. C'est avec un peu de rouge aux joues que je répondis que “non, tout va bien”, lorsque Geoffrey me demanda si quelque chose n'allait pas.
La caresse de Geoffrey ne s'arrêta pas, bien au contraire. Tout en continuant sa conversation avec un Lucas, qui s'exprimait de moins en moins, mon mari atteignit le haut de mon entrejambe, et je vis a son temps d'arrêt dans ses phrases, que c'est lui qui fut surpris de constater du bout des doigts que j'étais un peu plus qu'humide.
Je me dandinais en oscillant d'un coté à l'autre, tout en laissant les doigts de mon mari commettre leur œuvre . Dieu qu'il était pervers, ce salaud… la mains placée sous ma robe, invisible de l'extérieur, ses doigts légèrement actifs, passant doucement sur mon clitoris, me laissant croire a tous moments qu'ils puissent s’insérer en moi, le désirant un peu. Mes jambes se serrèrent, à même temps que je me pinçais les lèvres, provoquant le regard de Lucas, qui détaillait en souriant mon corps atteindre un inévitable orgasme, s'arrêtant sur mes seins dont il est vrai que les bouts pointaient maintenant au travers de ma robe..
Geoffrey dut répéter sa phrase, me demandant de prendre une autre bouteille à la cuisine, car plus rien n'arrivait à mon cerveau. C'est plutôt le fait qu'il retire sa main qui me ramena a la réalité plus que sa demande en elle – même.
« Putain...mais qu’est-ce il ma fait ce salaud…et devant son pote en plus...»
C'est donc dans une sorte d'état second que, d'un pas non alerte du tout, que je ramenai cette autre bouteille. Mais cette fois je ne me sentis pas la force de rester debout, et je choisis de me mettre sur le canapé, à demi allongée aux coté de Lucas, placé à ma gauche, Geoffrey ayant pris le fauteuil placé a ma droite.
Nos regard se croisèrent, et je pus y lire qu’il avait une idée derrière la tête. Tandis que Lucas caressait mes pieds, je m’allongeais à moitié, placé ma tête sur l’accoudoir, mes cheveux effleurant la main droite de mon mari. Il se mit à les caresser avec tendresse, en souriant, envisageant certainement la suite qu’allait prendre la soirée, alors que les mains de Lucas qui se mirent à trembler, n’osant s’engager plus loin.
Profitant d'un léger mouvement de Geoffrey qui servait a boire a son ami, j'allongeai ma jambes derrière Lucas, et c'est avec un naturel sans pareil qu'il reposa sa main sur ma jambe, la faisant remonter lentement sans jamais arrêter sa conversation. Je m’aperçus du changement d’attitude, car ses mains ne tremblaient plus.
Ma position était devenue stratégique car m'aidant du miroir en face de moi , j'avais vue sur mon mari, qui cachait mal son…érection maintenant bien visible par la bosse qui s’était formé sur son pantalon.
Le contact des doigts de Lucas sur moi avaient cet effet que je connaissais bien , qui commençait a me créer cette petite douleur venant du fond de mon ventre. C'est a ce moment que je préférai m'abandonner en fermant les yeux à cette douce caresse, tournant la tête vers le dossier du canapé.
L'indécence de la situation m'excitait terriblement, la main de Lucas, qui avait oublié ses déboires conjugaux, remontant sous ma robe à l'intérieur de mes cuisses. Je relevai mon genou gauche, lui ouvrant la voie vers mon intimité, faite maintenant d'une humidité qui ne se cachait plus. Il caressait doucement ma fente, mon clitoris devenu dur, ses doigts descendant un peu s'insérèrent lentement en moi, faisant cambrer mes reins sans que je ne puisse vraiment rien contrôler.
Il commençait a effectuer un va et vient lent et doux, déclenchant au creux de mon ventre des tourbillons indescriptibles. Je quittais alors ce monde des mortels, pour aller vers ce je ne sais quoi de cotonneux, avec cette douce impression de lévitation sans plus aucun contact avec la réalité.
Ainsi ne réalisai-je pas que la lumière forte de la pièce fut éteinte, laissant place a la pénombre créée par cette petite lampe de salon, ni même que le silence s'instaura, remplaçant les voix dont je ne comprenais plus le sens depuis longtemps.
Tout juste avais-je conscience que les boutons de ma robe étaient enlevés un a un, dégageant ma poitrine peu a peu, mais gardant encore cachés le bout de mes seins devenus durs.
Lucas pris de plus en plus d’assurance, de culot. Il plaça sa main gauche sur le bas de mon ventre, le pressant légèrement, en parfait rythme avec les pénétrations de ses doigts, à la fois profondes, lentes et douces. Il faisait cela en plaçant son pouce sur mon clitoris, qu'il massait en même temps, et j'avais peine à contrôler l'avancée de l’orgasme, dont l'arrivée se sentait proche.
Une main se plaça sur le haut de mes seins, les caressant doucement, des doigts passant avec délicatesse sur leur bout, les faisaient rouler. Je souris a la pensée que Lucas n'avait que deux mains, et que cette troisième main là, ne pouvait être que celle de mon mari. À la fois hésitante et ferme, cette caresse sur mes seins, à laquelle s'ajoutait celle plus vicieuse de Lucas, m'amenait aux limites de ce que mon corps pouvait admettre. Je voulais cependant que cela dure, car c'était terriblement agréable.
Je déplaçai ma main qui souhaitait alors sentir le corps du pote de mon mari. Elle rencontra le haut du pantalon de Lucas, qui fut vivement défait, libérant sa queue. J’ai accusé le coup quand ma main l’enferma, la serrant pour en ressentir la dureté. Je ne voulais pas mettre Geoffrey mal à l’aise, tant la différence était impressionnante.
J'avais envie de lui en moi, terriblement.
Les mains de mon mari s'étaient maintenant emparées du haut de mon corps, il s'était accroupi derrière ma tête, et me caressait de ses deux mains, ses doigts allant de ma bouche qui les mouillait jusqu'au bouts de mes seins, qu'il tenait entre deux doigts, les faisant rouler légèrement.
Lucas m’écarta d’avantage. Avec deux doigts, il fit pression sur la peau protectrice de mon clitoris, pour bien le décalotté. Puis il y fit tourner son majeur dessus. Tout ça devant les yeux ébahis de mon mari. Puis il se leva, me faisant craindre l'arrêt de ses caresses. Dans le même mouvement il ôta ses doigts qui branlaient ma chatte, et je le senti écarter mes jambes davantage pour se placer face a moi. Geoffrey se mit à rougir en découvrant la calibre de Lucas en érection, entièrement décalotté, plaqué sur son ventre. Il assistait impuissant, à ce qu’il avait sans doute provoqué, sans se douter de l’aboutissement.
Lucas m'embrassa en même temps que je senti sa queue, posé sur mon clitoris découvert de sa main. L'envie de lui se faisait maintenant impérieuse, mon corps le réclama d'un mouvement de rein.
Il me pénétra doucement, me faisant sentir son gland qu'il faisait d'abord passer sur le bout de mon petit bouton, puis cette sensation de fermeté chaude qui entra en moi et qui me fit échapper un petit cri. Je senti alors son énorme queue, si grosse, si dure, s’enfoncer au fond de moi, qui ne savais plus ni où j'étais, ni les limites de ce qu'on pouvait avoir comme plaisir, tant il était intense.
C'est seulement au bout de cinq ou six mouvement du bassin que Lucas me fit jouir, faisant venir du fond de mon ventres ces spasmes incontrôlables et procurant un plaisir indicible que mon corps connaissait bien, mais me faisait découvrir encore, et encore.
Il s'arrêta à la fin de mon terrible orgasme, me laissant pantelante, en même temps que Geoffrey m'embrassa doucement dans le cou. Lucas était vautré sur moi, me prenant sauvagement les lèvres dans de sulfureux baisers, auxquels je ne voulais échappés. Quand je voulu enfin me relever, il me saisit par les hanches, et me fit pivoter, pour me positionner en levrette. Je lançais un regard à Geoffrey, qui acquiesçait de la tête. Sans effort, la queue pénétra ma chatte, toujours aussi mouillée, malgré avoir été nettoyée avec soin, par la langue vicieuse de Lucas. Il ne se doutait pas, que par ce geste, j’avais eu un petit orgasme.
Un doute traversa mon esprit. Je me disais que sa déprime, n’était qu’un prétexte pour m’attendrir, pour me baiser, avec le consentement de mon mari.
Après une dizaine de va et vient, il se retira, taquina mon petit trou, avec son gland. Lucas voulait profitait de tous les orifices de mon corps. Il voulait que je soit à lui.
Geoffrey l’avait bien compris, et préférait se retirer, l’air triste et abattu. Je le vis prendre les escaliers de la cave, et ne fis rien pour le retenir, tant l’attirance physique, et virile de Lucas était hors norme. Je suis sure que mon mari m’a entendu crier, quand la queue de Lucas a dilaté mon petit trou, et ma sodomisée, ça la peut-être blessé.
J’avais l’impression que mes organes remontaient dans mon ventre. C’était la première fois que je me faisais enculer par une queue, plus grosse que celle de mon mari, et je sentais la différence.
Le plaisir grandissant, je glissais une main entre mes cuisses, me mis à caresser ma chatte en feu. Je mis mon clitoris à nu, pour mieux le doigter. J’atteignis l’orgasme dans un cri de plaisir. Soudain, Lucas se retira, vint placer sa queue à l’entrée de ma bouche. Je me soumis à son attente. Je l’ouvris pour gober le calibre. C’est à ce moment que Lucas jouit, inondant ma bouche de long jets de sperme, tapissait mon palais, déposant en se retirant, les dernières gouttes sur ma langue. Je fermais les yeux, et d’un seul coup, d’un seul, avalais l’épaisse semence.
Je me relevais lentement, et vis Geoffrey sortant de la cuisine, une bouteille de vin à la main. Je fus rassurée de son sourire.
Impassible, Lucas s’allongea sur le canapé, m’attira à lui, m’obligea à m’empaler sur sa bite toujours dressée. Mon mari s’avança, se planta devant l’accoudoir du canapé. Je voyais sa queue en érection, tendue face à moi. L’excitation était à son comble. Je m’avançais, le pris en bouche. Lentement, il commença à se branler entre mes lèvres. J’étais en transe, prise dans la chatte, par la queue de Lucas, et dans la bouche par la bite de mon mari. Ils ne savaient pas, ne pouvaient pas savoir le plaisir qu’ils me donnaient, jusqu’à ce que, dans un cri de bête, je hurlais un orgasme terrible, à faire trembler les murs de salons. Je lus, sur le visage de mon mari, une légère déception, car il n’a jamais réussi à me faire crier comme ça. Je compensais sa déception en avalant son jus, nettoyant le gland d’une langue experte.Je l’attirais à moi, lui pris tendrement les lèvres.
Épuisée, je passais la nuit entre les bras protecteur de mon mari.
Le samedi fut une journée farniente, que je passais au lit. Levé tard, suit à nôtre soirée torride, piscine et bronzette. Je pris mon mari à part, m’excusais de mon comportement, indigne d’une femme mariée. Il me caressa la joue, me dit que le plus important, et que j’ai pris du plaisir. Il ne m’en voulu pas, quand je lui dis qu’effectivement, j’en avais pris énormément.
Le soir, Lucas nous offrit le restaurant. Nôtre place habituelle était réservé, à l’abri des regards indiscret. Lucas et moi nous asseyons sur la banquette, tandis que mon mari s’installe sur une chaise en face nous. Après un léger apéro, nous passons à table. Tout au long du repas, Lucas ne cessait de me faire du pied. Mieux, lorsque Geoffrey s’est absenté pour un besoin pressant, Lucas me donna un tendre baiser, glissa une main vicieuse entre mes cuisses, essayant de se frayer un passage vers ma chatte, dont j’avais volontairement laissée libre de toutes protection, dans l’espoir d’une éventuelle caresse. Nos lèvres restèrent farouchement soudées, jusqu’à ce que mon mari réapparaisse.
Lucas régla l’addition, pendant que Geoffrey appelait un taxi.
Sur le chemin du retour, Lucas pris place sur le siège avant, Geoffrey et moi, montant à l’arrière. Mon mari passa un bras autour de mon épaule, me donnant de tendres baiser dans le cou, tandis qu’une main se faufiler sous ma robe. Il fut surprit de voir que je ne portais pas de culotte, et qu’une légère humidité perlait sur ma fente.
Il m’en fit part, devinant mon intention de passer la nuit avec Lucas, avant qu’il ne reparte. Il me serra dans ses bras, me murmura à l’oreille, qu’il aurait bien participé, mais que ses performances ne jouaient pas en sa faveur. Il ne voulait pas se sentir ridicule.
J’étais prête à refuser, lui disant que le l’aimais, qu’il était l’homme de ma vie, que le sexe n’était pas le plus important. Il insista, disant que mon bonheur passait avant tout.
J'eus l'impression de sombrer dans un état comateux qui me rendait complètement folle, et me projetait dans la nuit torride qui se profilait dans les bras de Lucas.
Le baiser passionnel que je donnais à mon mari, prit fin quand nous nous arrivions devant la chambre, et nous séparions.
Le lendemain, mon mari raccompagna Lucas à la gare, comme prévu. Les aux revoir furent brefs, un bisou sur chacune des joues…
Je retournais au lit, attendais le retour de Geoffrey. J’avais fortement envie de lui, puis, fallait bien me faire pardonner….
Il ne rentra pas de la journée.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Un pote en déprime...pas tant que ça.

Le 26/02/2022 - 22:25 par christofoly
Il faut toujours consoler un homme qui déprime! J'aime bien le style et surtout l'action.

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