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Un pouvoir étrange

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Lue : 14909 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/09/2012

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Ce pouvoir, ce don plutôt, m’est apparu au fil des ans à partir de l’adolescence et en se renforçant chaque année davantage pour atteindre aujourd’hui une intensité telle que je ne sais s’il va croître encore.


Ce que je considère maintenant comme un avantage était un grave inconvénient quand il se révéla. J’étais comme inondé d’informations enchevêtrées, indémêlables qui polluaient toutes mes pensées. Pour être à mon aise il fallait que je fasse abstraction de ce qui m’entourait. Je devenais tranquille si je fermais les yeux, si j’étais seul ou quand je dormais et dans ces moments de calme j’essayais d’analyser ce qui m’arrivait.
J’étais perturbé dès que je n’étais plus seul, d’autant plus quand mon entourage était nombreux. S’il y avait du monde c’était infernal, j’avais des maux de tête terribles que l’on me faisait traiter comme pour des migraines, mais rien n’y faisait rien ne me soulageait.


Le bizarre de la chose c’est que tout se calmait quand j’étais seul de nouveau. C’était acceptable si j’étais en présence d’une seule personne. Si je ne la fixais pas j’étais bien et si je la regardais, mon cerveau n’était pas trop dérangé et ce qui semblait m’arriver de cette personne ne m’empêchait pas de penser, d’analyser.


J’appris comment faire en présence de plusieurs personnes, il fallait que je les regarde séparément et que je n’embrasse pas l’assistance en entier. Ce n’était pas facile mais j’y suis arrivé, c’était alors comme si j’étais en présence d’une personne seule. Je recevais pour chacune une sorte de message différent mais incompréhensible. Par cette méthode je retrouvais un équilibre qui me permit de vivre normalement et mes parents à qui je n’avais rien dit de mes soucis disaient à qui voulait les entendre le nom de ce médicament qui m’avait débarrassé de mes migraines ! S’ils avaient su !


Quand la personne que je regardais me fixait elle aussi ce qui m’arrivait était plus fort mais supportable. Je compris que ce que je ressentais était un don quand je m’aperçus de plusieurs choses. Je vous raconte mes premières révélations.
J’étais avec un copain dans une librairie il voulait acheter un livre et promenait son regard sur le dos des couvertures, il y avait cinq livres sur l’étagère qu’il regardait il hésitait et il devait avoir choisi puisqu’il tendit la main. Quelque chose me disait qu’il allait prendre le livre du milieu et c’est celui-là qu’il prit. Une chance sur cinq d’avoir raison avec le hasard. Troublant quand même !


En classe l’instituteur nous fit assoir, oui à l’époque nous nous levions quand Il entrait, avant qu’il n’ouvre la bouche je sus qu’il allait nous demander d’ouvrir nos livres d’histoire à la page quarante-trois. J’aurais pu m’en douter, c’était histoire en première heure et nous en étions à l’époque de Charlemagne
Je fis bien d’autres constatations du même genre qui ne devaient rien au hasard, je ne prédisais pas les évènements je ne lisais pas l’avenir mais je savais ce que les gens pensaient qu’aux moments où ils le pensaient. Il fallait simplement que je les regarde et que je cherche à savoir ce qu’ils pensent ou décident à cet instant. Qu’ils me regardent eux ou non. Oui il fallait que j’en ai le désir, heureusement pour moi.
Je sus ainsi ceux qui avaient de la sympathie pour moi, de l’aversion ou de l’indifférence ; je devinais leur pensée, leur plaisir, leur souffrance ou leurs envies.


J’avais un don, pas un pouvoir au sens du terme puisque je ne devinais que la pensée des autres sans pouvoir changer quoi que ce soit. Mais ce don extraordinaire fut un incroyable avantage pour moi.
J’en ai usé avec discrétion et modération car ce n’est pas toujours une bonne chose de savoir ce que les gens pensent vraiment, d’autant que quand je le voulais je mesurais leur versatilité, ils passaient d’une idée à l’autre, c’était fatiguant pour moi de suivre le cheminement de leur pensée.


Petit à petit, avec l’âge, avec la puberté j’ai eu des centres d’intérêt nouveaux, les filles, l’amour, le plaisir sexuel. Il fut facile pour moi de voir les femmes qui me désiraient, celles qui aimaient le sexe sans plus, celles qui cèderaient à mes avances, celles qui étaient folle du sexe, celles qui s’accrocheraient à mes basques et celles qui ne cherchaient qu’un plaisir passager enfin celles qui avaient tout ou partie de ce que je viens de dire.


Ma vie sexuelle est très riche maintenant car ce que je cherche, vous l’avez deviné, ce sont des femmes à qui je plais, qui ont envie de moi, qui sont folles du sexe et qui sont prêtes à disparaître après quelques nuits d’amour, moins parfois ce qui n’est pas vraiment gênant pour moi. Elles ne le savent pas mais moi je le sais. Vous serez étonnés de savoir que les élues ne sont pas toujours les plus belles car ce que j’attends pour l’heure ce sont des femmes ardentes, expérimentées qui sont folles de sexe sans être nymphomanes et qui ne s’accrocheront pas à moi..


Pour chacun d’entre vous c’est la quadrature du cercle, combien d’expériences malheureuses avez-vous du subir avant de trouver une femme ou un homme qui vous sied, s’approchant peu ou prou de vos fantasmes et que vous devez souvent garder faute de mieux…… la vie entière parfois…… brrrrrrr.


Et c’est vraiment dommage pour vous quand je devine le nombre de femmes qui aimeraient faire l’amour avec des hommes qu’elles rencontrent sans oser leur dire qu’elles les désirent et l’inverse est aussi vrai. J’ai ressenti de nombreuses fois des désirs partagés, des couples face à face rongés de passion l’un pour l’autre se séparer sans le savoir, sans se l’être dit, dans la plus grande frustration.


Pour moi je n’ai aucun problème car devant une assistance un peu nombreuse il est rare que je ne trouve pas celle que je vous ai décrite plus haut et qui a le temps de batifoler.


Depuis cette prise de conscience finis les échecs, plus de flirts longs et hasardeux, j’arrive à voir chez certaines femmes une attirance sexuelle pour moi et même de mesurer leur état d’excitation. Sans précipitation je le dis sans forfanteries il m’arrive d’avoir à choisir parmi celles qui me désirent celles qui me plaisent le plus ou celles qui sont les plus excitées. Alors tout est facile, nous couchons dès le premier soir ou à l’instant même pour mon plaisir et celui de celle qui comme moi le désire follement.
En me rendant dans les endroits fréquentés j’étais à peu près sûr de trouver l’âme sœur et de prendre du plaisir avec elle. Tout le monde était satisfait…le rêve quoi !



Ce soir dans ce bar à vin, je promène mon regard sur les groupes de buveurs. Je la remarque immédiatement, elle est seule à sa table et me renvoie un flot d’ondes incroyables. Elle ne sait pas que je la devine, mais elle, me trouve désirable, je sens son excitation, elle cherche mon regard, esquisse un petit sourire, elle se demande comment elle va pouvoir m’aborder, elle veut venir vers moi, puis elle pense au contraire m’attirer vers elle. Elle se lève….

Dieu qu’elle est belle grande, une silhouette parfaite, des seins agressifs débordants de son décolleté, des fesses de reine moulées par une robe légère, je devine sa raie bien marquée comme j’aime. Je sais où elle va, elle se dirige discrètement au fond de la salle, avant elle m’a envoyé un message subliminal en me souriant, veut elle baiser ? là, de suite, n’importe où. Je ressens son excitation.


Si elle savait comme j’en sais plus sur elle que ce qu’elle veut me dire par son petit sourire qui se voulait aguicheur. Je lis dans ses pensées, je les capte ; pour l’instant cela se bouscule dans sa tête, c’est l’indécision totale, je vous livre ses pensées au fur et à mesure qu’elle les pense ou ses sensations dès qu’elle les ressent, pour la clarté du récit je les ferais précéder de deux signes « «


« « Il me plait ce mec je me demande s’il a comprit mon appel, je ne pouvais en faire plus….va t’il me suivre ?


J’ai compris évidemment, je laisse mon verre, je me lève


« « Il se lève….. il s’en va ? ….non…..il n’a pas fini son verre….. va doucement Gloria….. retourne toi….. remue un peu tes fesses pour l’aguicher…… je vois qu’il me regarde…. alors il se décide !


Qu’elle n’ait pas peur, j’ai compris son manège, je la suis à distance, que veut t’elle, je n’en sais encore rien, elle entre dans les toilettes des femmes, me voilà bien avancé !..... je la regarde


« « Je veux qu’il me parle au moins….. il arrive…… il est beau cet homme…. j’en ai envie….. il ne faut pas que je rate cette occasion


Elle a envie de moi, moi aussi, elle est gironde, ses hanches, ses seins , ses fesses…et cette bouche hummmmm. Je lis qu’elle veut que je la suive, elle est gonflée ! je me sens happé, elle me prend le bras et m’entraîne vigoureusement dans ce lieu réservé aux femmes, désert pour l’instant, et sans coup férir nous enferme dans une des quatre ou cinq cabines. Je la regarde


« « Je n’aurais pas cru avoir cette audace….. c’est petit ici…. j’ai envie de le coller…., le sentir contre moi….. l’embrasser…… il a une belle bouche


Oui c’est étroit mais c’est propre, elle se colle à moi et me donne sa bouche, je sens ses seins sur ma poitrine; elle embrasse bien, j’aime ces prémices de l’amour, je m’applique en lui confiant ma langue, elle l’aspire bouche grande ouverte, sa bouche a gardé le goût du chambertin qu’elle vient de siroter, il se marie bien avec le Château Margaux que je n’ai pas fini et qui m’attend dans mon verre. Je lis dans ses pensées comme dans un livre ouvert.


« « hummm il embrasse bien….. s’il baise aussi bien…… j’aimerais qu’il me baise…. oui là dans ce lieu insolite…..mais est-ce possible entre un baiser et baiser il y a du chemin à faire


Je la savais excitée je sais maintenant qu’elle veut bien baiser mais elle se demande si j’en ai envie, oui j’en ai envie, une envie folle, baiser comme çà debout à la sauvette, à la hussarde, je sens son excitation, elle doit mouiller je me concentre sur ce qu’elle ressent……c’est comme si je voyais sa chatte inondée d’une mouille abondante, elle ruisselle jusqu’entre ses fesses


« « Je vais me plaquer sur lui… il faut qu’il comprenne ce que je veux …. Baiser…. Baiser…..baiser


Je sens son ventre contre le mien, elle doit sentir mon émotion qui d’un coup a gagné mon sexe qui se cale bien entre ses cuisses, elle ondule. Je l’ai prise dans mes bras, mes mains sur ta taille au bas de son dos, juste au-dessus de ses fesses. Quand j’abandonne sa bouche c’est pour plonger dans son cou que j’embrasse que je mordille et elle fait de même, que ses lèvres sont douces.


« « C’est bon….. il comprend vite….. il va penser que je suis une fille facile…tant pis…..d’ailleurs je suis une fille facile


Qu’elle ne se tourmente pas je l’avais devinée dès le premier regard mais baiser de suite, n’importe où , ses pensées me l’apprennent, je vais prendre mon temps, elle va en avoir pour son argent, je bande comme un beau diable


« « J’ai senti sa verge….. il a l’air bien monté…… je voudrais la voir…… j’aime voir le sexe des hommes qui me baisent


Tu vas la voir et tu vas l’avoir où je pense ne t’inquiète pas pensais je amusé tout en suivant ses pensées


Nous jouons avec nos langues ; elle a une manière bien à elle d’enrouler la sienne en une sorte de petit conduit humide qui sort de ses lèvres et avec le pointu de la mienne je la glisse dans ce fourreau rose du plus bel effet. Puis elles se retrouvent, se mêlent, se caressent se glissent l’une dans l’autre. Sorties hors de nos lèvres, elle me lèche le nez et moi le menton avant de se retrouver comme des folles enlacées dans ma bouche ou dans la sienne, harmonieux mélange œnologique de la Bourgogne et du Bordelais.


« « Bon pour les caresses….. mais j’aimerais qu’il passe aux choses sérieuses….. je sens que çà coule sur mes cuisses…… j’ai les seins tout gonflés et ma chatte qui s’ouvre


Oui il va falloir que j’accélère, elle est drôlement chaude, je sens son plaisir, son envie qui monte
Dans l’action ma main a glissé sur ses fesses, elles sont somptueuses comme je les aime, mises en évidence par la cambrure des reins, elles sont bien rondes, ouvertes, la finesse du tissus de sa robe ne gâche en rien, au contraire, le grain de sa peau que je caresse doucement en mouvements enveloppants. De toute évidence elle doit porter un string à moins qu’elle ne porte pas de culotte. Par contre je sens comme les attaches des jarretelles et cela galvanise mon sexe au mieux de sa forme qui se vautre sans vergogne entre ses cuisses qu’elle a écartées.


« « Je le sentais bien ce mec….. il doit être raffiné quand il baise…. j’avais peur qu’il gâche mon plaisir en me prenant à la hussarde….. le lieu s’y prête…. il a l’air de drôlement bander….. j’aimerais toucher son sexe rien que pour l’imaginer dans ma chatte….. mais on dirait qu’il devine mes pensées….. ! mine de rien il guide ma main sur lui…ohhhhh qu’elle est grosse…et raide…je la veux, je la veux


Elle ne croit pas si bien dire, elle la veut, elle va l’avoir, elle mouille je m’en rends compte
Doucement je remonte sa robe par derrière et aussi par devant en m’écartant un peu de ma beauté avant de me plaquer contre son ventre. Elle porte bien un string, je le sens ; en satin certainement car les reptations de mon membre entre ses cuisses se font plus douces malgré l’épaisseur de mon pantalon de lin. Par derrière je lui ai pris les fesses à pleines mains et je les écarte, les malaxe vigoureusement. Elle aime cela car elle s’ouvre quand une de mes mains s’insinue entre ses cuisses pour reconnaître le terrain par l’arrière. Elle gémit en se tortillant quand elle sent mes doigts sur son anus et plus loin, en enfonçant ma main, sur sa chatte sur le faible rempart de soie qui la protège.


« « Je crois que j’ai touché le gros lot…. quel pieu…. j’adore ses caresses entre mes fesses….. je sens ses doigts …ahhh cette culotte qui gêne


Elle ne gêne pas, moi j’adore ces caresses indirectes, j’aime qu’on me les fasse à moi aussi. Mes doigts glissent, s’insèrent bien dans sa raie quand j’arrive sur sa chatte


Sur le string ma main par derrière a empaumé son sexe dans sa totalité, elle à une grosse chatte fruit comme une mangue bien mure, bien tendre. Ma beauté pousse un petit cri et se trémousse du popotin quand j’essaie de passer sous le tissu soyeux. Elle s’écarte de moi d’un coup ! Mon inquiétude ne dure qu’un instant car le temps de le dire elle a ôté sa robe qu’elle suspend à la patère et reste devant moi, souriante vêtue de ses seuls dessous.


« « Voila c’est fait…. ce doit être clair et net pour lui…..il doit voir ce que je lui offre…. il n’a pas à ce plaindre de mes dessous… quand je suis en maraude comme aujourd’hui je soigne toujours ma mise…j’ai eu du nez


Peccadille qu’elle est belle , quel goût pour le choix de ses sous-vêtements, des bas noirs montant à mi cuisses, sustentés par des jarretelles violettes qui zèbrent joliment la blancheur de ses cuisses par devant et par derrière, son string de dentelle légèrement masqué par une sorte de ceinture de satin , un joli porte jarretelle. Et ses seins à peine cachés par un soutien-gorge ouvragé qui les relève bien serrés l’un contre l’autre.


« « Bon il a l’air d’aimer…… il faudrait bien qu’il me le montre


Je sens son interrogation muette mais évidente pour moi et je lui fais lire mon admiration, mon désir dans mes yeux, dans mon regard qui la détaille ; elle n’a pas besoin d’avoir mon don pour voir que j’ai envie d’elle. D’ailleurs je me suis collé sur elle et je la caresse en mouvement enveloppants sur ces dessous sur ses cuisses sur ses fesses


« « J’aimerais voir son dard maintenant….la sentir contre mon ventre c’est bien mais la voir….la prendre dans ma main….c’est mieux….je ne vais pas enlever son pantalon quand même…..il attend peut être que sorte son membre…..je vais le faire…j’en ai trop envie


Il ne faut pas que je la fasse trop attendre j’ai compris ce qu’elle veut alors tout en la regardant fixement je dégrafe la ceinture de mon pantalon et tel un stripteaseur je le quitte en faisant en sorte qu’elle voit bien mes fesses


« « Pas mal ! pas mal !…..mais le boxer qui cache le principal……il comprend tout ……il l’enlève en prenant son temps….. ah oui ces fesses….. et devant ? sa queue….. oui je la vois……… Bingo !! elle est comme j’aime…. l’horoscope me l’avait dit ce matin : une belle rencontre aujourd’hui pour les vierges ne laissez pas passer l’occasion…… oui je suis vierge c’est mon signe….quelle gourdin !..... je le veux…… comment va-t-il me prendre ?


Je sens son regard peser sur moi, elle voulait voir la réalité de mon sexe qu’elle a simplement deviné quand je me pressais sur son ventre. Quand il apparaît puissant, tendu, légèrement arqué vers le haut , le gland décalotté je vois qu’elle n’est pas déçue et un murmure accompagne ma posture , elle voit mes fesses quand j’enlève mon slip une jambe après l’autre et elles ont l’air de lui plaire, elle veut que je la baise, elle est chaude


« « A moi de quitter ma culotte……pour baiser c’est mieux


Elle a une façon de quitter son string qui m’excite au plus haut point, d’un coup je vois le devant de sa chatte imberbe et ses fesses, dieu quelles fesses elle a, bien rondes ouvertes avec une raie profonde des raccords parfaits avec les autres courbes de son corps de ses hanches de sa taille et de ses cuisses superbes.


Je l’attire vers moi, elle s’approche, je la fais se tourner debout dos du côté de la cuvette des toilettes


« « Il va me baiser debout, de face ?.... je pensais qu’il allait me prendre par derrière penchée en avant, presqu’en levrette…..il me pousse…je dois écarter les cuisses pour éviter la cuvette…..je me demande ce qu’il veut ?


Elle reste un peu décontenancée, interdite quand elle me voit m’assoir à ses pieds sur le carrelage et que je glisse ma tête entre ses cuisses ouvertes pour la mettre en la renversant en appui sur l’abattant des toilettes, le visage tourné vers le haut avec une vue imprenable sur son entrecuisses malgré la proximité de ma bouche et de mon nez de sa chatte et de son anus. Elle a comprit la manœuvre


« « C’est pas possible il va me sucer……ce n’est pas croyable….. depuis le temps que j’en ai envie….. il va être dégouté….je suis pleine de mouille….ma chatte est inondée….. non apparemment …..son visage est à bonne hauteur…. je sens son nez sa bouche j’ai envie de me vautrer sur lui….. ahhh merci l’horoscope


Je lis dans ses pensées et pour bien lui faire comprendre ce que je veux je relève mes bras dans son dos et je lui prends la taille à deux mains pour la guider sur moi. Pour s’exciter elle n’a qu’à onduler des fesses en pliant légèrement ses cuisses et si elle reste droite je n’ai qu’à relever un peu ma tête pour lui lécher sa chatte et son anus.


« « Si je m’attendais, ohhhh c’est bon je sens sa bouche sa langue son nez ah oui c’est bon, mais que fait-il ? Avec ses mains sur ma taille, je sens mon bassin qui ondule ; il m’attire, me tire vers lui, me soulève légèrement


Oui je l’attire en la soutenant juste ce qu’il faut pour que mon visage ne soit pas pressé entre ses fesses et que la pointe de ma langue, mon nez puissent faire leur office, leurs caresses subtiles entre les petites lèvres gonflées de sa chatte ou de son anus mignon encore refermé ; il sera toujours temps dans un instant de la laisser libre de s’écraser la bague sur mon nez et de profiter de sa chatte ouverte pour enfoncer ma langue au plus profond de son vagin


« « jamais une caresse ne m’avait fait cet effet, je suis tombée sur un homme expérimenté il à l’air de savoir ce qui nous plait à nous les femmes…mais c’est un peu irritant ces caresses qui durent et qui donnent envie de pénétrations…..je plierais bien un peu mes cuisses pour mieux le sentir……, à force je sens mon petit cul qui s’ouvre, mon clito qui pointe……je n’en peux plus aller je m’effondre sur son visage Ohhhhhh c’est bon….je le sens bien…..sa langue en moi dans mon vagin et son nez dans mon cul Ahhhh ouiiicébon…..je me vautre encastré en lui


Elle se vautre sur moi elle est bien je le ressens, elle m’inonde, j’ai le visage souillé de sa mouille, je sens son anus qui s’ouvre lui aussi j’ai envie de le lécher. Je retire mes mains de sa taille, les placent sous ses fesses et je la soulève légèrement en avançant son bassin d’avant en arrière.


En l’avançant ma langue est sur son anneau froncé de couleur bistre ouvert par mon nez et je n’ai aucun mal à le lécher en tournant autour avant d’un coup de m’enfoncer dans ce puits d’enfer bien profondément….. j’entends son râle…..je sais ce qu’elle ressent quand ma langue s’agite en elle….. son bassin m’échappe il ondule, je m’enfonce plus profondément. Je lui écarte les fesses, en la soutenant et je les anime de petits vas et viens verticaux, ma langue entre et sort de ce petit gouffre et une saveur épicée envahit ma bouche.
je me retire et je la ramène vers moi, c’est mon nez qui fait connaissance de sa vulve, ma bouche a retrouvé l’air libre, je peux respirer à mon aise et dans un clair-obscur j’ai une vue imprenable sur ses fesses qui s’agitent ,


« « je pensais baiser à la sauvette et il me fait le grand jeu , je m’en souviendrai du Chambertin, je m’offrais ce plaisir de prix et j’ignorais qu’un autre m’attendait……Je voudrais qu’il continue de m’écarter les fesses c’est bon, je voudrais jouir encore sur ce nez, je n’aurais jamais cru au pouvoir jouissif de cet appendice…..je jouis…je jouis sans arrêter…je me masturbe…..sur lui


« « Il m’a fait jouir trois fois déjà et maintenant je jouis en continu…c’est bon...je m’inquiète un peu il ne veut peut être pas me baiser….ahhh non ce serait trop bête……, je me penche pour voir s’il bande toujours….fichtre sa verge est énorme dressée toute lisse entre ses cuisses écartées sur le carrelage, plaquée sur son ventre, décalottée …quel gland ! ….je le veux…je veux qu’il me baise…maintenant…je n’en peux plus


J’ai compris le message, moi aussi j’ai envie de la baiser de trouver mon plaisir. J’aime faire jouir mes compagnes de rencontre c’est ma fierté de leur laisser un bon souvenir de moi. Avant de la prendre j’ai eu envie de lui faire une derrière caresse
Je l’attire légèrement en arrière ma bouche à hauteur de sa chatte, elle est largement ouverte et inondée d’un miel consistant tapissant ses lèvres gonflées par l’excitation; j’ouvre grande ma bouche pour aspirer son sexe en plongeant ma langue bien profond dans son vagin et en l’agitant comme une folle. Quand je la sors pour mieux replonger c’est pour lui lécher sa vulve, la pointe de ma langue bien insérée entre ses lèvres, les grosses et les petites dans cette dépression si sensible qui en fait le tour, déjà son clitoris pointe gaillard, prometteur de belles jouissances. Je suis l’évolution de sa pensée


« « ahhhh que c’est bon ces nouvelles caresses, je sens mon clito qui gonfle, est ce qu’il va me le lécher lui aussi, c’est ce que j’adore !


Je lis dans ses pensées, non je n’oublie pas son clito je vais le garder pour la fin je reprends goût à son anus complètement dilaté maintenant et quand je remets ma langue en reculant mon visage dans la raie des fesses , elle pénètre un peu plus que sa pointe et je lui fais faire des petits aller et retour en m’enfonçant de plus en plus. Mon nez lui se loge entre ses fesses. En le faisant aller et venir dans la raie des fesses il visite tendrement cette vallée entre ses grosses lèvres écrasant sur son passage les petites offertes et le clitoris bandé, je crois même qu’à un moment il s’engouffra dans le vagin.


Alors ce fut un véritable cataclysme au-dessus de moi, d’abord une inondation totale de mon visage que je laissais immobile car c’est son bassin , ses fesses qui se mirent en branle sur moi en me pressant ; c’est elle qui se fit jouir avec ma bouche avec mon nez, oui elle jouissait en poussant des petits cris, seules mes mains relevées participaient à la fête en pétrissant ses rondeurs jumelles, en lui caressant l’intérieur de ses cuisses écartées sur moi, en lui pétrissant les hanches, la taille.


A un moment je sortis mon visage de ce merveilleux écrin pour continuer de la faire jouir avec mes doigts et je pus observer ma belle en relevant mes yeux. Son visage était révulsé, sa bouche grande ouverte cherchant son souffle, tout son corps tendu elle regardait le plafond avant d’abaisser son regard sur ma verge dressée et son image lui tira un cri, un râle d’envie. Alors avant de la baiser je replongeais entre ses cuisses pour m’occuper de son clito que j’avais délaissé


« « Il suce mon clito maintenant ce n’est pas possible je vais exploser en vol….j’adore


Je la vis se pencher alors vers la source de son plaisir et en même temps que ma langue qui l’affolait elle revit mes cuisses écartées et mon membre énorme, dressé , décalotté plaqué sur mon ventre pointant mon gland dans sa direction. Alors se fut de la folie, son visage ravagé par la furie de sa jouissance elle me vit me branler car je n’en pouvais plus…….combien de temps dura sa jouissance et ma masturbation?……..je ne sais ….


« « Il se branle j’en crois pas mes yeux, pourvu qu’il ne jouisse pas, j’aimerais mieux qu’il me baise qu’est ce qu’il attend ?


Quand son plaisir diminua je résolus de prendre le mien, elle voulait que je la baise c’était l’heure il était temps . Je me sortis du compas de ses cuisses, je me mis debout et tout en m’assoyant sur l’abattant des toilettes je la retournais en l’attirant contre moi. Elle compris dans quelle autre position jouissive je l’amenais et sourire aux lèvres excitée comme si rien ne s’était passé l’instant d’avant elle s’installa sur mes genoux en écartant ses cuisses. C’est une position que j’adore, confortable permettant mille fantaisies.


« « Je crois que c’est le moment, il va me baiser enfin, je suis bien là assise sur lui cuisses écartées…..son visage en face de mes seins……il est tout souillé de mon plaisir …je vais le nettoyer….en attendant que j’enlève toute ma mouille j’aimerais qu’il me suce les seins…j’aime çà on peut me faire jouir en caressant ma poitrine elle est aussi sensible que ma chatte, plus peut être


Ma belle sourit en voyant les effets de sa jouissance sur mon visage et comme un petit chat avec ses mains avec sa jolie petite langue toute rose en se penchant sur moi, elle me lapa en avalant sa liqueur en de délicieux chatouillis.


Elle était offerte cuisses écartées face à moi, j’ai entendu le message qui venait d’éclore dans sa tête et après lui avoir enlevé son soutien-gorge je lui pris les seins un dans chaque main en les remontant en les pinçant en ramenant mes doigts vers leurs pointes et quand mon débarbouillage pris fin c’est ma bouche à leur hauteur qui s’occupa d’eux en les aspirant l’un après l’autre avant de sucer leurs petits bouts durcis.


« « Mais il tous les talents !…. on dirait qu’il lit dans mes pensées, je sens ses deux grosses mains sous mes seins qu’il malaxe, remonte, je sens ses pouces réunis entre eux deux, dans la commissure….c’est bon…..Il les prends à pleine main, il me les serre…c’est bon…j’aimerais qu’il invite sa bouche à la fête……Ahhhh je sens sa bouche sur mes tétons , sa langue sur mes pointes …il suce bien…comme j’aime


Elle était bien à cheval sur mes cuisses, ses seins écrasés sur mon visage ma verge verticale entre nos deux ventres, nous nous caressions en nous bécotant, je lui mordillais ses épaules graciles je jouais avec mes cuisses, en les écartant j’ouvrais davantage les siennes, j’écartelais ses fesses. Je la regardais bien dans les yeux quand ma main droite se glissa sous son ventre et qu’elle se resserra sur sa chatte,


« « Il prend ma chatte j’aimerais prendre son sexe


Timidement d’abord le pouce relevé en haut de ses lèvres en appuyant sur le capuchon de son clitoris les autres doigts en corole pour la palper en faisant jouer les unes contre les autres ses petites et ses grosses lèvres inondées.


Elle devint sérieuse la caresse était précise subtile insidieuse je lisais dans ses yeux la progression de mes doigts qui la pénétraient entre ses petites lèvres toutes gonflées quand au pouce sa partie charnue virevoltait sur son clitoris en tournant comme un fou, gauche, droite, en montant et descendant de plus en plus fort de plus en plus vite. Elle, elle avait prit mon dard et commençait à me l’astiquer doucement


« « J’adore prendre une belle queue dans ma main, j’aimerais extirper ses testicules noyées entre ses cuisses…j’essaie..il a compris il s’ouvre..il aime qu’on le tripote lui aussi… quelle paire de couilles…un vrai taureau…il doit y en avoir du foutre là-dedans, je le regarde, il commence à perdre pied lui aussi….j’ai ses parties dans ma main et je les serre sur la base de son sexe


Oui j’avais bien discerné son désir de me caresser la verge et mes bourses et je m’étais ouvert sur cette main si experte. Cela m’incita à bien lui caresser la vulve à elle aussi. Mes doigts étaient maintenant à fond dans sa chatte ils allaient et venaient de toute leur longueur dans le vagin ruisselant. Elle jouissait et devait retenir ces cris de plaisir qu’elle refoulait à grand peine, c’est son visage qui me montrait les stigmates de son plaisir, sa bouche grande ouverte avide d’air, son souffle saccadé, son nez pincé, elle dodelinait de la tête en tous sens et quand les yeux dans le vague elle regarda le plafond ma bouche plongea dans son cou tandis que de la main gauche je pelotais son sein droit dur comme de la pierre en tirant sur sa pointe.


« « Je n’en peux plus je veux qu’il me baise maintenant


Alors dans un petit cri elle reprit mon engin dans sa main, elle se remit sur ses pieds elle s’avança en écartant bien ses cuisses et elle me guida en elle ,mon gland puis mon phallus n’eurent aucun mal à fourrer sa chatte grande ouverte et d’un coup elle se rassit sur moi fesses écartelées, mes testicules entre ses fesses. Alors comme folle , penchée en avant elle saisit la conduite de descente d’eau de la chasse et s’aida pour se relever et danser sur moi. Ses seins dodelinaient sur mon visage


« « Enfin ! je l’ai en moi cette queue, s’il savait comme c’est bon pour moi d’être remplie de lui il m’aurait baisée plus tôt…je bouge, j’agite mon bassin, je m’avance vers lui je me recule..je tords sa hampe en moi


J’étais bien moi aussi , sa croupe était animée de mouvements aléatoires , des rotations, des avancées des reculs Quand elle se dressait tendue comme un arc en se remettant sur ses pied s’était pour mieux retomber sur mes cuisses mon gland au plus profond de son vagin.


Elle me regardait fixement elle aussi guettant le plaisir qu’elle savait me donner. Parfois mon dard sortait de sa chatte et c’était délicieux pour nous deux quand le gland cherchait son chemin. Mais sa chatte était si dilatée si inondée que dans un froufroutement d’air expulsé il ouvrait le chemin à ma hampe gorgée de sang.


« « je voudrais qu’il jouisse maintenant, sentir sa semence en moi, au fond de moi


Je voyais son désir de me voir jouir en elle, je résistais de toutes mes forces pour l’amener à l’orgasme avant moi elle était partie et pour la première fois j’entendis le son de sa voix qu’elle n’avait plus la force de retenir



« jouis toi aussi je le veux….. rejoins moi, je te veux, je suis bien Ahhhh, ohhh je pars, je jouis, c’est bon ahhhouiiiccébooonnn



En plein coaltar elle sentit le moment où j’allais jouir , la rejoindre dans le plaisir extrême alors c’est elle qui s’appliqua en me laissant bien au fond d’elle en restant assise sur mes cuisses et en me branlant avec une faible amplitude en bougeant son bassin mais vite et en contractant son vagin sur moi comme pour étrangler mon membre, je vois encore son regard triomphant quand elle sentit les jets de ma semence au fond de son utérus, mon visage criait mon plaisir, je ne contrôlais plus rien je m’abandonnais à ce bonheur qui partant de mon ventre montait comme les bulles d’une bouteille de champagne agité.


« « je le fais jouir, je l’ai vu sur son visage, je l’ai senti au fond de moi, ces giclées de sperme qui ont giflé mon utérus, quel bonheur pour lui, pour moi, pour nous…..ça coule partout….son sperme sort de ma chatte et m’inonde ……que ses pénétrations se font douces Ahhh ouiiiiiii !


Elle pensait juste, mais je ne pouvais répondre tant mon plaisir était grand. Alors sans aucune concertation les mouvements de son bassin et de mon ventre devinrent erratiques parfois antagonistes, ils reprirent elle en montant et descendant sa croupe en s’aidant de la conduite pour se relever et moi en avançant mon bassin comme un fou. Par moment elle se cambrait en arrière pour mieux me sentir en elle. Alors pris d’une idée folle passant ma main par derrière entre ses fesses, sans aucune préparation avec un doigt puis deux j’investi son anus déjà lubrifié, ce qui lui fit pousser un cri de surprise puis de plaisir……


« « je me demande si c’est fini ou s’il va inventer autre chose..je n’en reviens pas j’ai misé sur le bon numéro aujourd’hui je voulais qu’on me baise vite fait et c’est le grand jeu, je jouis en continu maintenant


Oui je devinais ses pensées son plaisir, sa surprise et cela m’incita à la faire jouir encore et si elle avait pu lire, elle, dans mes pensées lubriques elle se serait réjoui à l’avance de ce que je lui réservais
Nous nous retrouvèrent prostrés dans les bras l’un de l’autre, le souffle court, nos visage au repos dans le creux de nos épaules. Nous avions bien jouis et quand nos regards se croisèrent chacun pu lire des signes de contentement et de remerciement.


Je la fis se relever, et comme le fait un cavalier avec sa partenaire dans un bal par de simples pressions de mes mains je la fis s’avancer vers les toilettes, et je la fis s’agenouiller sur l’abattant de la cuvette je surpris le cheminement de sa pensée


« je le savais, c’est une mine d’or cet homme, à genoux les fesses en l’air il me prépare une bonne levrette…j’adore


Elle adorait ; son message venait de m’arriver, elle s’agenouilla de bonne grâce les genoux serrés et à son regard je sentis son étonnement. Debout derrière elle j’admirais ses fesses somptueuses mises en valeur dans la cadre soyeux de ses bas noir et de son porte jarretelles assorti, avec ces rubans violets qui zébraient la blancheur de ses cuisses rondes, des envies de pénétrations me reprirent impérieuses cette fois et je dus prendre sur moi pour ne pas la prendre là de suite, elle était offerte, prête et je voyais osciller sa croupe, son bassin. Mon sexe encore rigide avait besoin d’un moment de calme pour retrouver sa vigueur, j’optais donc pour lui faire des caresses


Je voyais ses hanches rebondies et sa taille creusée. Par devant ses seins s’allongeaient sous l’effet de la pesanteur. Fasciné je me mis à genoux entre ses jambes ses fesses à hauteur de mon visage. A deux mains j’ouvris ses deux rotondités, ces deux merveilles et là sous mon nez à ma portée je vis l’œil du cyclope grand ouvert avec tout autour de lui une petite garniture de poils ras savamment entretenue ce qui m’aurait fait hurler d’excitation si nous avions été dans un endroit isolé .


« « Pas possible il va me lécher le cul maintenant…je crois rêver…j’aime que l’on m’écarte les fesses….je me sens toute ouverte, toute réceptive, ma chatte s’ouvre, mon petit cul aussi……non il ne va pas me sodomiser….je n’ose y croire


J’étais comme fou quand l’avançais ma bouche grande ouverte et cette fois ma langue entra entière comme dans cette sorte de bouche sans langue, sans dents. J’entrais, sortais ma muqueuse de cet antre ; cette porte de l’enfer, cet orifice le plus lisse, ce cratère plissé, cerné de bistre. Après ma langue je caressais cet anus avec mes doigts et avec le pouce de l’autre main je titillais l’orifice voisin, cette chatte inondée.


« « je voudrais qu’il me sodomise maintenant
Elle voulait que je lui prenne le popotin je l’avais lu dans sa tête. Ses fesses se mirent à onduler à s’ouvrir, la chatte et l’anus à pulser, les seins à dodeliner ; Elle voulait me donner ses fesses…mon rêve


Je lisais son envie égale à la mienne, une envie folle , rentrée depuis que je bandais, je me remis debout, ma verge horizontale à bonne hauteur, je m’avançais en tremblant, mon gland décalotté ; il se centra sans aucune peine dans l’anus dilaté et lubrifié et sans autre contact que mon gland et son cul j’avançais mon ventre et le vis ma belle queue s’enliser en elle .


Jamais sensation n’a été aussi forte, tous les pores de ma verge en alerte. Quand mon ventre fut sur ses fesses je commençais à aller et venir dans ce calice accueillant et je ne fus pas déçu de cette sensation, j’étais plus serré que dans une chatte, mon corps mon ventre mes cuisses épousant bien ce corps féminin, ses fesses rebondies.


« « il se défend je n’ai jamais été aussi pleine, il a un sacré cierge, dur et souple à la fois, j’aimerais qu’il me caresse la chatte en même temps


Ses désirs entrevus par mon pouvoir de divination. Mes mains passèrent par devant la droite entre ses cuisses pour pétrir sa vulve et l’autre perdue entre ses seins. Je vis qu’elle s’accrochait d’une main sur la conduite d’eau et l’autre passée entre ses cuisses rejoignit la mienne sur sa chatte.


« « Pourvu qu’il n’arrête pas je suis si bien, pleine de lui, j’aimerais qu’il sorte sa queue pour bien me forcer mon œillet…. j’aime quand son gland me force l’anus en l’écartant et aussi quand il sort en me retroussant…..il le fait !!! c’est un devin ce type……oui……ouiiiii……..ouiiiiiiiiii……….ouiiiiiiiiiiiiii, acébon….. cébon


Sa jouissance éclata d’un coup avec la mienne fulgurante, puissante complète, le plaisir m’inonda, j’avais des étoiles plein les yeux, elle arrosa ma main posée entre ses cuisses dans un dernier déhanchement et nous restèrent ainsi un long moment sans bouger ; anéantis de fatigue. Je sortis ma verge de ce divin calice et en la branlant j’aspergeais ses fesses et son dos de mes dernières giclées de sperme. Je me penchais sur elle pour la débarrasser des dernières gouttes de mon plaisir avec ma langue


« « Il me lèche le dos cet amour et moi comment lui rendre tout ce bonheur ?....oui je sais !


Ce : oui je sais…. ne m’éclaira en rien sur ce qu’elle me réservait, je ne tardais pas à le savoir. Je la vis se retourner vers moi, me forcer à m’asseoir sur la tinette et à genoux entre mes cuisses elle me fit une fellation fabuleuse en faisant d’abord la toilette de ma verge tout en me caressant les couilles. ; elle scrutait mon visage…confiante de son pouvoir, elle vit mon plaisir me submerger une fois encore


« « Je vais le faire jouir une fois encore……attends tu vas sentir quand j’aspire…tu sens ta queue qui gonfle…je la sens palpiter…..avance toi que je malaxe tes attributs…. Il le fait…il s’avance…il va falloir qu’on m’explique…il lit dans mes pensées ce n’est pas possible…je vais jouir moi aussi je me caresse la chatte en le suçant….ahhhhhh c’est extraordinaire je jouis encore….aller rejoins moi…ne te retire pas…je veux te boire……Ahhhhhh merci du cadeau que tu me fais si tu savais comme j’apprécie que tu m’offres ce bijou dont je raffole…merci


Pour moi c’est elle qui me faisait un cadeau merveilleux, elle savait s’y prendre une demie heure durant elle me suça de toutes les manières possible en m’inondant de sa salive, en m’aspirant les parties l’une après l’autre en décalottant mon gland avec sa bouche en agaçant avec sa langue la corolle de mon gland et l’endroit si sensible où la peau s’attache en dessous du gland.


Langue largement déployée elle léchait ma verge par-dessous sur la grosse veine bleue gorgée de sang en remontant et quand elle arrivait au sommet de ma hampe elle se penchait sur elle pour me prendre dans sa bouche en basculant sa tête et elle recommençait inlassablement …mais c’est quand elle allia le tripotage de mes testicules avec ses mains et qu’elle me masturba avec sa bouche que j’explosais des quantités énormes de sperme qu’elle avait su ,en aspirant, faire sourdre des profondeurs de mes entrailles. Alors avec le sourire elle ouvrit sa bouche pour me montrer mon offrande nacrée pleine de bulles et elle l’avala.



Il fallut se rajuster et sortir dignement, je lui dis de se laisser faire et je fis mine de la soutenir en sortant de la cabine au milieu de quelques femmes surprises de voir émerger un homme de cette cabine réservée aux femmes


« Excusez-nous mais le vin a eu du mal à passer et nous sortirent fatigués épuisés mais contents de nous.


Nous étions de retour dans le bar à vin, je retournais à mon verre qui avait eu le temps de chambrer et je la vis sortir sans un regard, sans se retourner, sa robe moulait toujours ses fesses que je venais de prendre et tout en la fixant de dos son message, sa pensée m’arriva


« « jamais je n’ai joui autant qu’avec ce type…lui qui semble tout deviner sera-t-il là demain j’ai envie de l’emmener chez moi pour le garder pour moi toute seule…..


Vous l’avez compris, c’est ce genre de femme que j’évite de revoir et malgré mon désir de bien rebaiser cette beauté, j’ai évité quelques temps ce bar à vin où nous avions pourtant jouis si fort…….Le monde est grand…..les femmes nombreuses….Alors !

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Histoire de Pierre le Grand

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