ACCUEIL > En groupe > Récit : Un regrettable oubli

Un regrettable oubli

+96

Lue : 5024 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 03/04/2019

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Comme chaque année, mon père Roger et mon frère Rémi, viennent passer une semaine de vacances dans nôtre villa situé sur les hauteurs de la ville.
Marlène, ma ravissante épouse, aime bien les recevoir, même si j’ai des atomes crochus avec mon frère, à qui je reproche, à dix huit ans, de vivre au crochet de nôtre père.
Mais bon, c’est un feignant, et il le restera.
Malgré leur présence, mon épouse et moi, ne changeons nos habitudes pour autant. Dont une qui nous tient particulièrement à cœur.
Chaque fois que nous faisons l’amour, nous filmons nos ébats, par le biais d’une caméra fixée dans un coin de la chambre, directement dirigée sur le lit. Puis, dans la semaine, nous visionnons la vidéo, ce qui pimente encore plus, nos désirs de faire l’amour.
Evidemment, personne n’est au courant de nôtre fantasme.
Un matin, que ma femme était parti ramener mon père et mon frère, je décide justement de visionner nôtre dernière nuit.
Je me souviens, ce matin là, être parti de bonne heure au bureau, après une nuit torride, et avoir laissé mon épouse, les bras en croix sur le lit, me suppliant de lui donner encore.

Bref, Je me cale dans le fauteuil, et appuis sur lecture.
Les scènes les plus folles défilent devant moi. Le plaisir d’entendre crier mon épouse, décuple mon envie. Je ne peux m’empêcher de sortir ma queue, et me branler.
La dernière scène fini sur un puissant orgasme de Marlène, qui hurle de plaisir, et qui, grâce à une bonne isolation, ne dépasse pas les murs de la chambre. La dernière image montre ma femme s’étirer langoureusement. Elle est de toute beauté.
Je me lève pour éjecter le DVD, quand je m’aperçois que le film n’est pas fini.
Aurai-je-oublier d’arrêter la caméra ? Toujours est-il que le film continue à défiler.
Et là, je reste scotché, les yeux grands ouverts.
Je vois Marlène faire un signe du doigt, et un homme apparait, vêtu d’un pyjama des années soixante. Je ne vois sa tête, que quand il s’allonge auprès de ma femme.
C’est mon père.
Il lui prend la bouche pour un tendre baiser. Cette bouche que j’ai fait crier toute la nuit, qui ma sucée.

-Alors mon chat, dit-il, le cocu est parti.
-Oui beau papa, on va pouvoir s’amuser.

Ce n’est pas vrai, je rêve. Et pourtant, c’est bien réel.
Mon père caresse le corps magnifique de Marlène. Les seins, les bourgeons, le ventre, puis fait pression des doigts, pour qu’elle écarte les cuisses. Lentement, il lui caresse la chatte, l’a pénètre avec deux doigts.
Marlène se laisse faire, s’étire voluptueusement, maintient même la main de Roger, de peur qu’elle ne s’échappe. Elle lance des petits soupirs quand il lui doigte le clitoris.

-C’est bon, hein ? Dit Roger. Tu aimes ça.
-Hum…vous savez que j’aime ça beau papa.

Vous savez que j’aime ça ? Ca veut dire qu’ils n’en sont pas à leur première relation. Ma femme me tromperait-elle, avec mon père ? J’ai de la peine à y croire, et pourtant.
Inlassablement, les doigts vont et vient dans la chatte de Marlène. Roger la toise, ironique, comme s’il prenait un malin plaisir, à la voir s’agiter sous les caresses. Puis, il plonge son visage entre se cuisses, lèche le minou de bas en haut, jusqu’au petit bouton entièrement décalotté. Marlène s’agite, atteint l’orgasme, dans un ultime coup de rein.

-Oui…je jouis…hou…hou…
-Hum, que c’et bon ça, sourit mon père.
-Oh oui c’est bon.

Alors que mon père poursuit ses perverses caresses, apparait soudain à l’écran, une bite colossale, au moins vingt centimètres, sur cinq de diamètre, accompagnées d’une énorme paire de couilles. Mais qui cela peut-il être encore…non, ce n’est pas vrai.
C’est Rémi, mon frère.
Marlène tend la main, et saisit le calibre. Elle le décalotte, et le branle. Pendant ce temps, Roger en profite pour ôter son pyjama, et reprend son travail de lèche entre les jambes de sa belle fille. Rémi se met à genoux, passe sa bite sur les lèvres de mon épouse. Elle ouvre la bouche, et l’engloutit.
Une main sur les hanches, mon frère se branle dans la bouche de ma femme.

-Ouah, mais c’est qu’elle est gourmande la belle sœur.
-Vous êtes des salauds de me faire ça. Vous pensez à mon mari…
-Tiens, elle pense à son mari maintenant, dit Rémi. Ce con, s’il savait qu’on baise sa femme tout les matins. Ah…ah…la salope, elle me fait jouir…tiens, avale…compare avec le sperme de mon frère…ah…il est meilleur, hein ?
-Oh oui…bien meilleur…et il y en a plus…

Rémi se retire doucement en s’essuyant le gland sur les lèvres de Marlène. Il la force à se mettre sur le dos, pour la prendre dans la position du missionnaire. Il la pénètre d’un coup sec. Roger, couché à côté, prend la main de Marlène, pour qu’elle lui branle la queue.

-T’es une petite vicieuse toi, dit Roger…t’as pas honte de te faire baiser par ton bof.
-Vas-y, ordonne Rémi, caresses-toi, doigtes ton petit bouton.
-T’es salaud de m’obliger à me doigter.
-Après, si tu es sage, je prendrais ton petit cul, poursuit Rémi, tu veux bien.
-Oh oui je veux…je ne l’ai jamais fait encore…pour une première fois, ça doit être bon de se faire sodomiser par une grosse queue…

Ces enfoirés s’amusent avec ma femme, leur belle fille, leur belle sœur. J’ai mal, très mal.
J’hésite à arrêter la vidéo, mais je veux savoir jusqu’ou ma femme est prête à aller. Et elle va loin, se donne à fond. Mon frère se venge de toutes les humiliations que je lui ai faites subir. Comme si je n’avais pas assez mal, il en rajoute.

-Ouah, c’est bon d’enculer sa belle sœur, d’avoir sa queue bien au chaud, dans le cul de la femme de son frère. Qu’est-ce qu’il dirait s’il me voyait lui dépuceler le petit trou.
-Il en baverait de jalousie, souffle Marlène…mais oublie le, encule moi…

Allongé à côté, mon père éjacule dans la main de ma femme. Cette dernière porte ses doigts à sa bouche, et lèche le sperme de son beau père.

-Hum…c’est bon…à toi Rémi, viens cracher dans la bouche de ta belle sœur…hum…bande de salauds…qu’est-ce qu’il dirait mon mari, s’il savait que le me fait baiser par son père et son frère.
-Il se dirait que sa femme est une salope, une mal baisée.
-Peut être qu’il n’assure pas au lit, ironise mon père.
-A…ça, c’est sur, ça n’a rien à voir avec vous…bon, mes amours, je vais prendre une douche.
-Ok, répondent Rémi et Roger, à demain.

D’un seul coup, seul le lit vide apparait à l’écran. C’est fini. Marlène s’est donnée sans compter. En tout cas, plus qu’avec moi. Et dire que mon frère est arrivé à faire ce qu’elle m’a toujours refusé. L’enculer. J’attends avec impatience le retour mon épouse.
96 vote(s)


Histoire de Aurore34

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Un regrettable oubli

Le 05/04/2019 - 13:15 par mangouste
Pourquoi "regrettable",la vous savez que votre femme est une "chaude" et que votre père et votre frère sont des salopards. Et pour la punir vous allez la "baisée" à trois...cela se passe comme ça dans les histoires de lopette.

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :