ACCUEIL > En groupe > Récit : City Break partie 4 et fin

City Break partie 4 et fin

+7

Lue : 730 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/05/2019

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Le lendemain matin, je me suis réveillée seule. On s’était endormies ensemble, mais dans la nuit, elle s’était éclipsée. Je suis passée sous la douche, puis je suis sortie pour aller prendre un petit déjeuner à la terrasse du café un peu plus haut. L’immeuble était silencieux. Je les ai imaginés, entrelacés sur le lit. Je posais le pied sur les dernières marches quand je l’ai entendue gémir. Un long gémissement qui manifestait qu’elle était déjà dans un état d’excitation avancé. Puis il y en a eu un autre plus long, plus profond. Et encore un autre…Voir c’était une chose, entendre c’en était une autre, et ce d’autant plus qu’on peut visualiser ce qui se passe, construire une infinité de possibilités, sans jamais savoir.

J’ai eu un vertige. Pourquoi est-ce que ça me troublait autant ? J’ai fermé les yeux et je me suis appuyée contre l’épaisse banquette en bois…Mon sexe était humide, mon clitoris déjà tout dur…J’ai eu cette réflexion un peu étrange, à travers moi, je me suis dit : ‘Zut, je viens de mettre une culotte propre et sèche, et elle est déjà mouillée…’
J’ai glissé ma main sous ma jupe pour avoir accès à mon sexe. Sous mes doigts, j’ai trouvé le tissu de ma culotte, déjà imprégné de ma mouille là où le tissu était en contact avec ma vulve, et l’odeur est montée, forte… En haut, la belle brune gémissait de plus en plus fort, c’était maintenant un long cri…Je voulais jouir comme elle, en même temps qu’elle, dans une communion qui ne serait que théorique, puisqu’elle ne savait pas que j’étais là, en bas… J’ai glissé ma main sous mon slip, trouvé mes chairs humides et ouvertes….J’ai appuyé mon doigt contre mon clitoris, sorti de sa gaine, tout gonflé, et je me suis mise à le frotter…J’étais surexcitée…L’idéal ç’ aurait sans doute été de la trouver au réveil près de moi, et d’avoir sa bouche sur moi, sur ma bouche et sur mon sexe, et ses mains sur mon corps… Ca m’aurait évité cette résurgence d’excitation… Un orgasme a traversé mes chairs, coïncidant avec un long cri qui correspondait sans nul doute à l’un de ses orgasmes à elle… J’ai éprouvé cette étrange satisfaction à me dire qu’on avait joui quasiment au même moment. Mais j’avais encore le feu dans le ventre, et, dans cette entrée, alors qu’ils ignoraient ma présence et mon orgasme, j’ai continué à frotter mon clitoris, moyen le plus sûr d’atteindre à nouveau le plaisir. Il m’a traversé une fois encore, puis une troisième fois, avec force… J’ai basculé en arrière contre la banquette, reprenant mes esprits. Ma main était couverte de sécrétions. Toutes les filles aiment leur goût et leur odeur intime, je ne faisais pas exception.
Je me suis rajustée, sans avoir le courage de remonter changer de slip. Ma culotte sécherait sur moi et je la reniflerais quand j’aurais un moment seule.
J’ai pris un petit déjeuner à la terrasse. Le serveur était un jeune type dans la trentaine, cheveux coupés courts, avec un petit bouc, le genre de type qui se savait beau et en jouait. Je devais lui plaire car il a commencé à me draguer discrètement, en amenant mon café crème et mes croissants…
—Je ne vous ai pas encore vue dans les parages…Vous venez d’arriver dans la région ?
—Je suis là pour un colloque.
Sans réelle pudeur, son regard m’enveloppait et me caressait. C’était le genre de type pour qui toute fille, quelle qu’elle soit, était un cible potentielle, et il était convaincu qu’il pouvait l’avoir, forcément parce qu’il était très beau. Irrésistible.
—Je pourrais vous faire découvrir les environs, si vous le souhaitez.
C’était justement quand je partais loin de chez moi que je me permettais ce que je ne me serais jamais autorisée dans ma ville, pour des raisons évidentes.
—Ecoute, je te propose un deal.
Il m’a regardée, un rien surpris de sentir les rôles s’inverser.
—Tu as envie de sexe et moi aussi. Je n’ai pas le temps d’aller plus loin, mais on pourrait avoir du plaisir tous les deux. On va dans les chiottes et je te prendrai dans ma bouche. Tu n’auras rien de plus…Ca te dit ?
Il m’a observée un rien surpris. C’était sans doute la première fois qu’une fille prenait l’avantage sur lui dans le corps à corps que pouvait représenter la relation homme/femme. Il a pesé le pour et le contre. S’est rendu compte que même dans des conditions où il n’était pas en position dominante ça valait la peine, parce que j’étais attirante et qu’il sentait que j’aimais le sexe et que ce pouvait être un bon moment, peut-être quelque chose de différent de d’habitude.
—Je vais prévenir mon collègue…
Je l’ai vu s’approcher du comptoir où un grand type blond, qui lui n’avait absolument rien d’un dragueur l’a écouté. Je ne sais pas ce qu’il lui a dit. Il n’a même pas souri, apparemment indifférent. Le serveur séducteur est parti vers la porte sur laquelle était inscrit TOILETTES. Je me suis levée et je suis partie en direction de la porte verte. Je l’ai poussée pour déboucher sur un vaste local au sol carrelé, avec deux lavabos sur le mur de gauche, et deux grandes cabines, l’une avec une silhouette masculine stylisée dessus, l’autre une silhouette féminine. Il se tenait entre les deux, dans une attitude d’attente, déconcerté et ayant perdu de sa superbe et de son pouvoir de décision. Je l’ai attrapé par le poignet et je l’ai tiré vers la cabine de gauche, celle pour les filles. Ce serait une manière de marquer encore plus ma domination.
Les choses avaient évolué en quelques secondes. Son pantalon trahissait nettement une érection marquée. C’était le genre de journée comme je les aimais, où je trouvais sur ma route de quoi nourrir mon envie de sexe et mon excitation. Où ma chatte restait constamment ouverte, en feu, et suintante. Où je changeais de culotte dans la journée, parce que le tissu de ma culotte devenait un chiffon trempé collé à ma vulve.
Je me suis assise sur le siège. L’endroit était heureusement très propre. Il s’est positionné devant moi. A cet instant, je n’avais envie de rien de plus que de sa queue, J’ai défait le bouton qui tenait son pantalon à sa taille, pour qu’on soit plus à l’aise, et j’ai descendu son caleçon. Une queue qui n’était pas totalement érigée a jailli à l’air libre. Elle était déjà bien longue et charnue sans trop l’être. J’ai eu un long frisson et le feu s’est mis à couler dans mes veines, en même temps que je sentais mes sécrétions couler d’abondance et humidifier ma culotte. Une queue, c’est beau…
Je me suis penchée sur lui et, faisant darder ma langue, je l’ai promenée sur sa tige… Je l’ai senti frémir, sous cette caresse qu’aucune fille ne lui avait sans doute jamais prodiguée. Il y a mille façons de faire une fellation, et sans doute mieux qu’un mouvement de va-et-vient très classique, jusqu’à ce que le sperme jaillisse et remplisse une bouche.
Sa queue a pris ses vraies dimensions de queue en érection, bien longue et bien dure…Ma jupe avait remonté quand je m’étais assise, j’ai tiré le tissu vers le haut, pour pouvoir accéder à mon sexe. J’ai écarté ma culotte et retrouvé mon sexe. Cette fois, j’avais envie d’autre chose et j’ai réuni mes doigts comme un pénis rudimentaire et efficace, le faisant aller et venir dans mon sexe ouvert. Dans un même temps, j’ai amené la pointe de ma langue sur son gland. Il était tout gonflé, et violacé. Surtout, sa queue suintait, et le liquide au goût amer faisait briller sa chair, liquide dont le goût a envahi ma bouche alors que je baladais ma langue, dans un mouvement circulaire, sur lui…
Il ne s’attendait sans doute pas à ce qui est venu par la suite, quand j’ai appuyé cette même pointe de ma langue contre l’entrée de son méat et que j’ai poussé. J’ai fait avancer ma langue dans le méat. Bien sûr je ne pouvais pas aller très loin, et très profond, comme une queue peut rentrer dans une chatte, mais j’arrivais à rentrer de quelques milimètres, en écartelant sa chair, je ne pouvais pas aller plus loin. Mais sans doute que l’acte physique était moins important que la sensation et ce que l’imagination pouvait produire à partir du mouvement physique. Il avait certainement l’impression que je le pénétrais et c’était ce que je souhaitais.
Comme une queue peut aller et venir dans une chatte, j’ai poussé ma langue dans son méat, je me suis retirée, puis je suis revenue…Ses pré-sécrétions coulaient avec de plus en plus d’abondance. J’ai joué avec lui un moment…Mes doigts continuaient à aller et venir dans ma vulve, et moi aussi j’avais ma part d’imagination. Je voyais mon sexe comme une muqueuse ouverte, dilatée, laissant bien voir mon intérieur, aux parois roses et luisantes, nettement visibles pour qui se donnerait la peine de regarder. J’aimais m’exhiber, consciente que les hommes étaient, tous, fascinés par des sexes de femme. Je me souvenais du jeu étrange que j’avais pu jouer avec l’un de mes amants, qui me demandait, l’un des jeux auxquels nous jouions régulièrement, de m’asseoir sur une chaise ou un fauteuil. J’avais une robe et une jupe, généralement des bas stay-up, parfois un collant pour changer, une culotte, un string, un shorty. Il venait s’accroupir face à moi et caressait longuement mes jambes, remontant le tissu jusqu’à ce que mes jambes et mon bas ventre soient entièrement visibles. Je le laissais faire, folle de ses caresses autant que de me donner à son regard avide. Je le laissais descendre mon collant si j’en avais un, et ma culotte.
C’avait été par hasard, pour encore plus le capter et le captiver que j’avais pensé glisser deux doigts dans mon sexe, et les écarter pour lui donner une vision de mon intérieur. Il avait été réellement fasciné, alors j’avais renouvelé l’expérience. Ca me plaisait de me donner ainsi, d’une manière à la fois intime et totale, à son regard. Ca m’excitait autant sinon plus que lui. Ca m’avait excité encore plus quand il avait mis sa queue à nu, l’avait positionnée près de mon sexe béant, et s’était masturbé, alors que je me maintenais ouverte. J’avais joui, quand il avait arrosé mes chairs, sur l’extérieur mais aussi sur l’intérieur, de sa semence.
Cela faisait déjà plusieurs années, mais je me sentais prête à renouveler l’expérience. Je me suis basculée en arrière, et, le lâchant, je me suis tendue en arrière, projetant ma vulve vers lui, et j’ai amené mes doigts sur moi, alors que je les avais dégagés quelques secondes plus tôt. C’était étrange de revenir sur des gestes du passé, même si ils prenaient un nouveau relief dans ce contexte tout à fait différent. Je les ai glissés en moi et je les ai écartés autant que je le pouvais, attirant son regard.
—Branle-toi sur mon intimité.
Rentrant totalement dans mon fantasme, il a masturbé vivement sa queue. Ca n’a pas duré très longtemps, mais il était évident qu’il était trop excité pour durer… Sa semence a jailli en de multiples jets de semence, certains restant sur ma chair à l’extérieur, d’autres rentrant à l’intérieur de mon vagin, et c’est cela qui a déclenché un orgasme, puissant, qui m’a traversée.
Dix minutes plus tard, j’arrivais enfin à la bâtisse imposante où devaient avoir lieu les colloques. Une porte épaisse et haute en marquait l’entrée. J’allais la pousser quand elle s’est ouverte, laissant le passage à Bernard…
—Tu tombes bien ! Viens, tous les membres du colloque arrivent…
Je me suis retrouvée dans une vaste entrée qui donnait sur plusieurs pièces. Il m’a entrainée sur la gauche, dans la salle des conférences. Certains étaient déjà installés derrière la grande table sur l’estrade, sur laquelle avaient été déposés, pour l’accueil, des viennoiseries et des liquides divers.
—Quasiment tout le monde est là sauf Antoine R… C’est l’un des historiens les plus brillants de la région, mais sa vie a pris un nouveau tournant depuis qu’il a rencontré une jeune femme de 25 ans de moins que lui dont il est fou…Il a découvert qu’il pouvait y avoir dans la vie d’autres charmes que ceux de recherches qui se révèlent finalement très austères…Et je le comprends…
Un homme avec une femme jeune…Un instant, j’ai pensé à EUX, puis je me suis dit que ce n’était pas possible…Ca aurait été une coïncidence énorme…
Je me suis retournée, et je les ai vus avancer vers nous. Lui dans une tenue qui devait être classique pour lui, un costume, celui du jour était gris, avec une chemise blanche. Elle avait opté pour un tailleur rouge vif, avec ce qu’il fallait bien qualifier de micro-jupe, une veste ouverte sur un soutien-gorge rouge élégamment assorti, les jambes gainées d’un collant noir, mais masquées en partie par des cuissardes rouges neuves, peut-être même portées pour la première fois.
Tout le monde s’est figé, même si cela n’a duré que quelques secondes. Ca a été étrange. L’un comme l’autre faisaient preuve d’un charisme exceptionnel, charisme dans lequel la sexualité tenait une grande part. Pour faire simple, qu’ils en soient conscients ou pas, les personnes présentes, hommes ou femmes éprouvaient du désir pour eux.
Ils se sont approchés et on est revenus à un comportement plus normal. Bernard les a présentés. On avait fait l’amour, mais je ne savais même pas leurs noms et prénoms. Elle c’était Anne, lui Antoine…
Ils ne s’attendaient pas à me trouver ici, pas plus que je ne m’attendais à les trouver ici. Mais hormis des regards échangés, on n’a pas laissé voir que nous nous connaissions déjà.
La matinée s’est engagée, comme souvent quand on faisait un colloque. On a longuement échangé, repris le planning pour se caler. Seuls les regards que nous échangions de temps en temps disaient que nous nous connaissions, mais sans doute que personne ne pouvait lire dans ce sens. Je sentais qu’une tension se nouait entre nous, quelque chose de très fort. L’attraction que d’autres pouvaient éprouver, mais surmultipliée. Et la quasi certitude que la prochaine fois, ca ne serait pas moi plus lui, ou moi plus elle, mais nous trois, ensemble.
Les choses ont basculé sur le coup de onze heures. On devait démarrer le colloque dans l’après-midi, et notre réunion touchait à sa fin. Antoine s’est levé, et a proposé :
—Certains d’entre vous veulent que je vous fasse visiter cette bâtisse ? Elle a toute une histoire…
Tous avaient plutôt envie d’aller découvrir la ville, manger dans un restaurant avant que le cycle officiel des conférences ne démarre l’après-midi. Chaque fois qu’on avait un colloque, c’était la même chose, trop peu de temps pour découvrir les lieux et leur charme.
—Moi je suis intéressée.
Quelque chose s’est calée à ce moment. On savait très bien tous les trois que la visite, si intéressante soit-elle, allait basculer sur autre chose.
Le groupe s’est éparpillé. Ici, tout communiquait ingénieusement de porte en porte, et Antoine a commencé à présenter le lieu, une ancienne demeure bourgeoise que le temps passant, les séparations, la distance avaient laissée plus ou moins à l’abandon, les nombreux héritiers éparpillés aux quatre coins du pays refusant de la prendre en charge. La mairie était parvenue à la racheter et elle avait fait des travaux pour transformer les lieux en salles de réunion et de conférence. D’évidence, pas mal d’argent avait été investi, et le résultat était séduisant. Aussi séduisant qu’ils l’étaient l’un et l’autre.
On était dans la troisième salle quand elle a retroussé sa mini-jupe s’offrant à mon regard et à celui de son chéri. Sous son collant, sans surprise, elle était nue, et il n’y avait nul empiècement pour masquer ses charmes. Elle a tourné sur elle-même pour me rappeler ses formes, au cas où je les aurais oubliées, son derrière charnu et rebondi qui tendait le nylon du collant, et le gonflement de sa vulve dont sortait un bout de lèvre.
Ca a été dans la salle suivante qu’elle a tendu la main vers le pantalon d’Antoine et qu’elle a sorti sa queue. J’ai retrouvé le membre extrêmement long qui allait et venait en elle dans l’entrée de l’immeuble. Elle l’a caressé doucement, le faisant encore durcir et s’allonger. Elle s’est tournée vers moi, et m’a dit avec un sourire dans lequel se mélangeaient innocence et perversion :
—On est isolés ici, seuls et tranquilles. Tout le monde est parti…On a un moment pour nous. Tu as envie de profiter de sa queue avec moi ?
Une poignée de secondes plus tard, on était accroupies devant lui, qui était appuyé contre une table, et on parcourait sa queue de nos langues. Son jus pré-sécrétif coulait abondamment et remplissait nos bouches, goût amer. Nos langues se sont rencontrées, et c’était aussi bon, sinon meilleur que de lécher cette queue dilatée, raison pour laquelle sans doute nous l’avons délaissé au bout d’un moment pour s’embrasser ainsi, langue sortie accrochée à celle de l’autre, comme s’il y avait eu un contact électrique que rien ne pouvait briser. Il a choisi de se dégager et a frotté sa queue en nous regardant, faisant jaillir ses sécrétions avec encore plus d’abondance. Ca dégoulinait sur sa chair, et donnait des filets baveux qui pendaient de son gland.
C’est en suivant nos envies que nous nous sommes redressées et que nous nous sommes alignées, l’une à côté de l’autre, nos culs tendus vers lui, pour qu’il en dispose comme il en avait envie. Le moment qu’on avait passé ensemble la veille avait tissé entre nous une complicité qui s’exprimait par le fait que nous nous tenions par la main et que nous avions le regard accroché à celui de l’autre.
C’est dans ma vulve qu’il est venu en premier. Il a posé son gland sur mes muqueuses. J’étais ouverte et humide et il n’aurait aucun mal à rentrer. C’est ce qu’il a fait, se glissant en moi centimètre après centimètre, me donnant un infini plaisir.
Pourtant notre plaisir allait bien au-delà. Une fois qu’il m’a eu bien fouillé, sa queue allant et venant, frottant mes muqueuses, il s’est arraché de moi. Ca a fait un bruit visqueux. Il est venu sur elle. Du coin de l’œil, j’ai vu son sexe disparaitre au-delà du relief de sa fesse, jusqu’à ce qu’il soit entièrement en elle. Il l’a fouillée comme il m’avait fouillée. Il existait entre nous une connexion particulière, qui a duré tout le temps du colloque, et qui faisait qu’elle me transmettait le plaisir qu’elle ressentait, tout comme je lui transmettais le mien. Il fouillait son vagin, mais c’était comme s’il avait fouillé le mien. Il a fini par s’arracher de nos vulves, et a frotté sa verge jusqu’à en faire jaillir une semence chaude dont les traits sont venus marquer nos chairs, car il s’est partagé entre elle et moi.
Ca aurait pu être une fin, ça a été un début. Dans les trois jours qui ont suivi, je me suis partagée entre lecolloque, assistant à tous les actes de celui-ci, présentant ma communication, et, lorsque j’avais du temps libre, j’étais avec eux. Ils m’ont entrainé à travers la ville, pour me faire découvrir des lieux que je ne connaissais évidemment pas, leurs particularités, et au-delà nous en avons profité pour nous y accoupler. Quand nous n’avons pas profité de tels lieux, nous faisions l’amour dans leur appartement ou dans celui du city break.
C’était comme cela que se passaient toujours les colloques pour moi, que je le veuille ou non. Du travail, du sexe…Les deux souvent mêlés.
Le soir du dernier jour, ils m’ont accompagné au train. J’étais invitée pour un colloque d’ici trois mois. Je savais que je reviendrais avec plaisir. Et que nous nous retrouverions.
7 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : City Break partie 4 et fin


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :