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Un rèveillon inoubliable 4

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/01/2023

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Charlène s'absente un court instant et revient avec un gode ceinture, dernier cadeau de son défunt mari. Le bougre aimait que sa femme lui défonce le cul avec cet engin impressionnant. L'engin est doté de deux godes, cela permet aux deux amants d'être pris en même temps. L'engin principal à 22 cm de long et 6 de diamètre, l'autre que la manipulatrice s'introduit dans son
intimité et un plus petit, de 16 cm de long et 5 de diamètre. Il faut savoir que les engins sont interchangeables, pour de plus grosses défonces diaboliques.

Elle le tend à Marion qui, émerveillée, écarquille les yeux. Elle le regarde longuement puis le tâte sous toutes les coutures pour en connaitre la texture. Charlène souriante lui dit :


-Je vais te faire hurler de plaisir ma chérie, reprends place sur la petite table en ouvrant bien les cuisses, tu vas voir comment je me sert de cet outil !

Marion s'allonge et écarte les cuisses. Charlène s'arnache de l'engin, elle pousse un petit gloussement en enfilant le plus petit gode dans son corps. Elle se place entre les jambes grandes ouvertes de son amour, place l'engin contre la fente encore très humide de Marion. Elle la saisit par les hanches et pousse doucement. L'engin de bonne taille ouvre les grandes lèvres et s'engage très lentement dans le vagin brulant. Marion serre les dents, elle souffle pendant la pénétration pour atténuer la douleur, qui lui laboure le ventre. Comme une experte, Charlène, durant la pénétration, fait des pauses pour que sa chérie puisse s'habituer au gode qui lui dilate le conduit vaginal. Avec art, Charlène enfonce le mandrin jusqu'à la garde. Elle cesse tous mouvements une fois l'engin bien en place.


Marion serre les dents, elle s'accroche à Charlène comme une pieuvre à son rocher, elle dit entre deux souffles :

-Ouah, je suis ouverte et remplit à fond, vas doucement ma chérie, il faut que je m'habitue à l'engin !

Charlène la rassure en souriant :

-Tu as affaire à une pro du gode, fais-moi confiance !

Progressivement Charlène se met en action, le va-et-vient est court, il prend de l'ampleur en suivant les gémissements de Marion. La vitesse augmente sensiblement, Marion geint de plus en plus fort, son corps se cabre à chacune des poussées. Le membre factice coulisse de mieux en mieux dans son corps, sa gaine distendue se lubrifie naturellement avec la cyprine abondante qu'elle produit. Marion s'agrippe à Charlène, elle grogne comme un animal.

-Mon Dieu, Charlène, Charlène, oui, oui !

Charlène ne retient plus ses coups, l'engin de silicone entre et ressort du ventre de sa bien-aimée à un rythme effréné. Les râles de bonheur résonnent dans le salon, les deux femmes gémissent fortement. À chaque coup de reins, les deux femmes sont empalées au maximum. Charlène serre les dents, elle grimace, la jouissance est très proche. Elle ne veut pas jouir la première, elle se retient du mieux qu'elle peut. Marion rugie à chaque coup de boutoir de son amante, elle se cabre, pousse un râle de bête blessée et explose de jouissance. Charlène se crispe en poussant un rugissement de fauve. Sa jouissance est terrible. Elle continue de besogner le ventre de son amour avec une ardeur incommensurable. Marion sous les assauts répétés de son amour jouit une seconde fois, son corps est en transe, elle tremble de tous ses membres. Enfin, Charlène se retire du vagin inondé de jus. Elle sourit à Marion et lui dit :

-Oh ma chérie, tu as joui comme une folle, moi aussi d'ailleurs !

Marion répond entre deux respirations :

- Oh mon amour, c'était merveilleux, je veux mourir dans tes bras !

Charlène l'embrasse, elle lui emplit la bouche de salive et dit :

-À toi ma chérie, enfile le gode et défonce-moi, mais avant, je vais changer de gode, il m'en faut un plus gros à moi, Paul mon mari me ruiné le cul avec, c'est un régal pour moi !

Charlène fixe au harnais un engin monstrueux, et arme Marion avec, la partie la plus petite entre aisément dans le ventre de Marion, elle regarde le manche large et épais balancer sur son bas-ventre. Il est très impressionnant. Charlène se met à quatre pattes et se cambre fortement pour offrir sa croupe large à son amante. Marion place le gode contre la chatte encore entrouverte de Charlène et pousse. La soumise gémit, la levrette, elle adore, elle ondule doucement du bassin pour faciliter la pénétration du monstre siliconé. Elle rugit lorsque le gode bute contre le col de son utérus :

- Vas-y ma chérie, démonte-moi comme une chienne !

Marion commence le ramonage, la vitesse augmente, les gémissements de Charlène aussi. Dilatée à l'extrême, elle agite sa croupe en grognant terriblement fort. La tension monte dans le corps de Marion, le gode qu'elle a dans le corps lui fait un effet monstre. Elle est au bord de la syncope tellement c'est intense. Elle serre les dents en donnant des coups de reins violents. Elle hurle à chaque coup qu'elle donne :

-Tiens, tiens, jouis, jouis, tu la sens bien ma queue te labourer le ventre hein, vide-toi ma salope, vide-toi !

Charlène ne retient pas ses râles, elle se raidit, puis pousse un cri monstrueux. Sa jouissance est si violente,
que son jus coule le long de ses cuisses. Elle couine sous les coups répétés de son amante qui est prêt à exploser à son tour. Soudain, contre toute attente, Charlène hurle :

-Prends-moi par le cul, oui, par le cul, vas-y déglingue-moi le cul !

Comme un automate, Marion retire le monstre du vagin de la demandeuse et le lui plante sans ménagement dans le rectum. Charlène qui grogne de plaisir :

-Oui, oui, tape fort ma chérie, tape fort !

Marion se démène, ses coups de reins sont puissants, le gode énorme dilate fortement le rectum de Charlène qui ne cesse de rugir. Soudain Marion se cabre et jouit comme une bête. Charlène hurle :

-Plus fort, plus fort ça vient, je vais jouir du cul, oh putain comme c'est bon !

Elle se cambre comme un pont un jour de tempête et jouit affreusement. Marion donne encore quelques coups de semonces avant de retirer la bite factice du rectum de son amour. Elle regarde les trous béants, elle se penche pour mieux voir. De la chatte s'écoule en continu un flot de cyprine. Marion dit :

Mon Dieu ma chérie, comme je t'ai ouverte, c'est terrible, je t'ai fait mal ?

Charlène répond en tentant de reprendre ses esprits :

-Ma chérie, jamais, j'ai joui aussi fort, merci, merci !
Fini moi maintenant, enfonce tes mains dans mes trous et ramone jusqu'à ce que j'explose !

Paul le faisait ça chaque fois, c'est un délice pour moi, vas-y fais-le !

Marion reste médusée par une telle demande, mais Charlène insiste :

- Fais-le, fais-le, ne me ménage pas, ouvre-moi à fond !

Marion enfonce quatre doigts dans chaque orifice, les trous béants élastique acceptent les intrus. Marion fait des demi-rotations, Charlène geint de plaisir. Petit à petit, les cinq doigts s'enfoncent dans les ouvertures. Comme par enchantement, les mains entières disparaissent dans le corps de Charlène, qui grogne comme un animal en rut. Le fist distend les trous de Charlène aux maximums. Le ramonage lent au début prend de la vitesse et de la profondeur. Marion suis les indications de son amante, elle fait des rotations avec ses poignets. Les râles rauques que pousse Charlène sot ceux, d'une bête à l'agonit. Le pilonnage des orifices et violent, Marion se demande comment une femme puisse aimer un tel traitement. Elle malmène son amour en lui ramonant les entrailles avec violence.


Pour Charlène, c'est l'extase, elle se cabre, pousse un cri inhumain et jouit comme une fontaine. Sa respiration est rapide, son souffle est court, un rictus affreux déforme son visage, ses yeux sont révulsés. Doucement, Marion retire ses mains et caresse, les orifices dévastés par le ramonage intense. Charlène geint comme une bête blessée en récupérant lentement. Elle regarde Marion amoureusement, lui tend les bras en tremblant, les deux s'enlacent et s'embrassent fougueusement.

Charlène dit :

-Oh comme je t'aime mon amour, ne me quitte jamais !

Marion répond en serrant fortement son amour :


-Moi aussi, je t'aime mon amour !













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Histoire de valeriane

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Commentaires du récit : Un rèveillon inoubliable 4

Le 23/01/2023 - 14:48 par OlgaT
Une histoire qui se termine en fanfare! Merci Valériane !

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