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Un souvenir mémorable

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Lue : 7541 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 21/11/2010

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Par pudeur et pour préserver notre intimité, je ne citerai pas de nom ni d'âge de mes interlocuteurs et je ne le ferai jamais dans mes histoires à venir.
Sur ce, bonne lecture.

J'approchais de la mairie, et quoiqu'un peu anxieux, je tremblais d'excitation... J'allais l'épouser !

Sur le trajet, je me souvenais...

Notre première rencontre, chez un ami commun ne laissait rien prévoir pour la suite. Elle, accompagné, moi seul depuis plusieurs mois. Bien que répugnant l'adultère, je ne pouvais m'empêcher de l'admirer, elle portait une robe bleue moulante sur ces formes, qui sans être tombante restaient généreuse, du 90 C pensais-je en connaisseur. Le bas de sa robe épousait parfaitement la cambrure de ses reins et descendait mi-cuisse.
Elle avait un de ces regards qui vous transperce et vous fait monter la virilité. Elle sûr de son charme, nous fixait tous les uns après les autres pour nous jauger.

Elle avait effectivement le choix, tous les hommes ici était d'une sorte que les femmes chacun à leur façon, il y avait un brun ténébreux au regard profond, un sportif athlétique de haut niveau avec des yeux verts magnifique qui vous transperçait et vous fascinais en même temps, un dessinateur expert et faisant parti de l'équipe national de natation, un rugbyman qui chantait magnifiquement et moi, bien que ne valant point tout mes camarades, je n'étais pas le plus mal loti des hommes, une taille respectable de 1m88, quelques muscles que je devais à une musculation régulière et des yeux bleu se perdant dans mes cheveux châtains clairs. Je n'étais toutefois pas de taille à rivaliser envers mes amis et m'en retrouvais souvent seul en soirée. Cela faisait maintenant 6 mois que je n'avais pas touché à une femme, si bien que je commençais à être en manque.

La soirée commençait doucement, arrosée de quelques verres d'alcool. La tête me tournant légèrement, je m'affalais sur un canapé et m'assoupissait. Je venais à peine de fermer l'oeil quand je sentis un frottement sur ma jambe. Passablement irrité j'allais bougonner quelque chose qui ressemblait à "gnasse toieuh", mais aucun son ne put sortir de ma bouche quand je me rendis compte que c'était elle. Je l'admirai quelques instants puis détournais les yeux, gênés. Comment ne pas l'être ? Elle s'excusa rapidement et je balbutiais que ce n'était pas grave. Je me détournai une seconde fois pour ne pas devenir entreprenant avec cette femme qui me perturbait.

Ce fut elle qui prit les devants à mon plus grand étonnement.
"Belle soirée" me dit-elle banalement, phrase qui n'était pas du tout de mise étant donné la pluie battante.
Je ne pouvais me résoudre à la regarder ni à l'ignorer, j'optais donc pour une autre alternative lui proposant une cigarette. Bien que ne fumant pas, elle m'accompagna sur le perron. Un peu trop légèrement vêtu, elle frissonnait. Je lui proposais ma veste qu'elle accepta avec joie. En lui installant ma veste sur ses épaules, j'en profitais pour lui faire un massage.

Au bout de quelque minute de silence, ne pouvant me résoudre à lâcher cette femme que je désirai temps, je décidais d'engager la conversation en lui lançant le plus naturellement possible : "alors avec T. ça se passe bien ?
-Non, j'ai besoin de me sentir désirer, lui ne fait que m'aimer"
Embarrassé et exciter je pris une décision que dont je me féliciterai plus tard, je l'ai embrassée.
Non ! Me dit-elle en me repoussant tout en me rendant mon baiser avec encore plus de ferveur.

Je ne sais pas ce à quoi je pensais en lui proposant de venir chez moi habitant à deux pas, mais toujours est-il que 10 minutes plus tard nous étions sur le bas de mon immeuble.

Habitant au 12eme étages, je prends habituellement les escaliers pour me maintenir en forme, mais je ne pouvais raisonnablement lui demander de m'accompagner. J'optais donc pour un trajet commun en ascenseur. La largeur minime de l'ascenseur nous rapprocha et je m'emparais de ses lèvres une nouvelle fois, mais plus fougueusement cette fois.

Au bout d'une ascension qui me parût interminable tant mon excitation étais forte, nous arrivâmes devant la porte de mon appartement, porte qui était entre ouverte, la serrure crocheté, affolé, je fis un tour complet de mon logis pour constater que mes deux douzaines grands crus 1995 que je gardai amoureusement depuis plus de 5 ans et que je tenais de mes parents qui me les avais offert pour mes 20 ans, avait disparu. Environ 300 € en liquide m'avaient été volé, économies rangées dans un placard dans un coffre
Au bord des larmes, je m'effondrais sur mon lit et bien que les idées encore confuses du fait de l'alcool, de mon excitation précédente et de la tristesse provoqué par la perte de ma seule richesse, je réfléchissais...

Je ne l'entendis pas arriver ni ne la sentis s'allonger à mes cotés tant j'étais absorber par mes pensées. Cependant quand elle me prit les lèvres avec passion, je m'en rendis compte. Mon esprit était trop absorber pour se laisser gagner par le désir du moins je le croyait. Je me rendis compte que je désirai cette beauté à en être fou et oubliant mon cambriolage, oubliant son homme je l'embrassait.

Les caresses commencèrent, de plus en plus osée, ma main descendit sur ses fesses, je remontais sa robe et la retournai l'allongeant sur le lit tout en l'embrassant encore.
Je ne pouvais plus me maîtriser, j'en avais besoin. La bosse qui déformait mon jeans était désormais aussi grosse que mon genou et l'ayant aperçut, elle se mit à onduler sensuellement tout en déboutonnant ma braguette.
Je ne pouvais plus me contrôler, je la voulais plus que tout. Ma respiration devient plus lente et saccadé, la sienne s'accélérait. Je lui arrachait sa robe et commençait à lui sucer ses tentons gonflés et durcit par l'excitation tandis que sa main descendait doucement vers mon membre toujours coincé par mon caleçon, un caleçon quel caleçon ? Une seconde serait trop long pour le peu de temps qu'elle pris pour me l'enlever. Elle me branlait, dieu que c'était bon. Je commençais à descendre doucement sur son corps à coups de petits baisers tout en conservant une main sur sa poitrine généreuse la massant voluptueusement. Je commençais à lui faire un cuni. Je l'entendais gémir, je la sentais venir à la rencontre de mes coups de langue de plus en plus rapide tandis que je titillais doucement son clitoris qui su durcissait au fur et à mesure. Je pense qu'elle avait joui pas ses contraction mais on ne peut jamais en être sur, toujours est-il que je lui avait forcément procuré un petit peu de plaisir étant donné qu'elle a pris ma place et a commencé à me sucer, c'est qu'elle me suçait bien la petite. Chacun de ses coups de langue m'arrachait un gémissement et quand elle me massait les couilles je peinait à me retenir.

Je ne sait pas comment elle faisait mais elle arrivait à me faire bander plus fort que jamais tout en contenant mon excitation au bord de la jouissance si bien qu'elle me suçât pendant deux bonnes minutes, cela peut sans doute vous paraître dérisoire mais sucer comme je l'étais à savourer chaque petites délicatesses dont elle me faisait profiter. Que d'expérience pour une fille aussi jeune qu'elle...

Je pense que je n'avais jamais couché avec une femme aussi entreprenante tout en restant pleine d'humilité. Elle se releva tout en douceur me laissant une vue sur son corps de rêve. C'était ce genre de scène qu'on se repasse en boucle dans la tête, son dégradé de cheveux bruns bouclés lui tombait en cascade entre ses seins qui pointaient par l'excitation, son regard trahissant le désir et une soif de sexe apparente ou feinte

Je n'en pouvais plus, le désir suintait par tous les pores de ma peau et décidais de passer à l'acte. Je l'embrassais fougueusement et bien que voulant prendre les choses en main je ne le put pas vraiment du fait de la position dans laquelle nous nous trouvions, elle était au dessus j’étais en dessous, elle avait les choses en main, moi je n’avais que ces seins.

Je commençais à approchait ma verge gonflé se tenant fièrement et qui aurait fait pâlir d’envie un mur en pierre de sa dureté et sa raideur tant j’étais excité, de son entre qui commençait à être franchement humide, signe apparent que je l’excitais, du moins la scène un peu.
Je fus convaincue que je lui plaisais quand, un sourire vicieux aux lèvres elle me refusait la pénétration en se dodinant légèrement autour de mon membre. Celui-ci semblant avoir une conscience propre se grandissait encore un peu comme pour atteindre cette caverne de confort si près et si loin à la fois. Elle me voyait souffrir de désir, je me faisait violence pour ne pas être violent tant je la voulait. Alors que j’étais au bords de mes limites pour ne pas donner un coup de reins, elle enfonçât ma bite tendu, qui frissonna d’un soupir de soulagement, d’un petit centimètre puis d’un autre jusqu’à ce que je me trouve bloqué, elle commençât un va vient tout simplement jouissif en pressant légèrement sur mes couilles ce qui décuplait mon plaisir et m’arrachais des gémissant plaintifs tant cela était bon. Je la sentais prendre du plaisir, mais pas son pied, je n’étais pour elle qu’un coup comme un autre que son corps lui permettait.

Cela n’allait pas se passer comme ça, je commençais à devenir véritablement actif accompagnant chacun de ses mouvements par un léger coup de rein, de plus en plus puissant jusqu’à la retourner, l’allonger sur le lit et je la baisait on peut le dire, chacun de mes mouvements lui arrachait une plainte, elle se cramponnait au drap pour cacher son plaisir, ou pour donner l’impression de le cacher, me dit ma paranoïa naturelle. J’accélérait encore et encore jusqu’à l’amener au bord de la jouissance, puis je me retirai d’un coup. Elle était secouer de ses spasmes qui surviennent juste avant l’orgasme et qui ne s’arrêtent qu’une fois l’orgasme passé ou le plaisir retombé, cela me laissait une petite dizaine de seconde où son plaisir était à son comble, où son regards et son corps me désirait me voulait, du moins mon membre…

Je la plaçait en levrette et recommençait à me frotter à son intimité qui était aussi chaude que rasée et je m’attardais quelques dixièmes à contemplé cette chatte parfaitement épilé et tellement bandante, erreur fatale pour mon plan sadique… En aussi peu de temps qu’il n’en faut pour le dire elle m’avait réintroduit en elle et se branlait sur ma verge passive. Passive ? Cela ne va vraiment se souvenait-il comme avait-il pu se laisser branler par elle à ce moment précis ? Peut être parce qu’une seconde plus tard, il, on peut le dire, la baisait un peu comme une chienne. Elle s’enfonçait avec avidité sur se dard qui allait lui-même assez goulûment dans cette cage à plaisir. Elle eut un orgasme violent que j’accompagnais par une jouissance dont je me souviendrai… Je pense que jamais je ne m’étais autant vidé, j’étais lessivé et pourtant, mon membre fièrement tendu en désirait encore toujours plus.

Je me sentais niais dans cet instant, j’étais là effondré, les yeux clos, incapable du moindre mouvement, seul ma queue fièrement tendue comme une colonne incassable et ma respiration haletante permettais à un éventuel spectateur de savoir que j’étais réveillé. Elle était à coté de moi mais ayant encore un petit peu d’énergie, décida de se venger en utilisant ses dernières forces pour me sucer une ultime fois
Et c’est ainsi que les yeux mi-clos, je me faisais sucer, sa langue me parcourait de long en large et en travers, ces lèvres ne voulaient plus me lâcher et ses mains expertes me massaient mes couilles. Puisant dans mes ultimes réserves j’entrepris de la branler, de la titiller, bref de lui faire du bien.
Ses coups de langue se faisait de plus en plus efficaces, mon désir bien que n’ayant jamais disparu, se décupla à nouveau, de nouveaux gémissant se firent entendre, Je la fit jouir par une masturbation, n’osant lui jouir en bouche, je me retenais tant bien que mal, mais sa bouche trop avide pour mon pauvre membre qui n’était pas fait pour se retenir mon sperme, juste pour donner et recevoir du plaisir, me fit jouir une seconde fois.

Elle s’écroulait de nouveaux à mes cotés me disant tendrement : « Tu sais que cela fait longtemps que j’en avais envie
- Comment est-ce possible, nous ne nous étions jamais vu ?
- Disons que cela remonte à quelques années maintenant mais je suis un peu triste que tu m’ais oublié… »

Soudain tout m’était revenu en mémoire, le collège, la petite brunette en 3eme, je me souvenais, on s’était promis de se retrouver quand elle avait déménagé, on se l’était promis… Comment avais-je pu oublier ses yeux ? Quelle belle femme elle était devenue…

Tout en pensant j’étais arriver, j’allais enfin l’épouser…
J’étais là devant le maire et attendait ma femme qui ne ce fit pas attendre, elle était là toujours aussi belle, même le vieux maire me complimenta en la voyant dans sa robe de marié.

L’embrassant après les discours habituel, elle fut surpris de ma fougue nouvelle, je l’avais embrassé comme la première fois, comme ci je ne l’avais plus vu depuis des mois comme si je ne la reverrai plus et elle n’en fut pas mécontente, j’eu droit à ma récompense le soir même mais ça c’est une autre histoire…

Si mon histoire vous a plu, j’en suis ravi.
Si vous désirez la suite faites le moi savoir, je ne souhaite pas écrire inutilement. Je n’écris que pour le plaisir du lecteur, si du plaisir il n’y a pas alors mon écriture n’a pas de raison d’être…

Cette histoire est dédiée à Laetitia qui m'a aidée à l'écrire et m'a encouragée
Des bisous A-l-p
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Histoire de Adrien le petit

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Commentaires du récit : Un souvenir mémorable

Le 26/12/2010 - 13:08 par voilierlika
Encore un auteur fâché avec les infinitifs, les participes passés et bien d'autres accords.

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