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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 31/08/2022
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Un Week-end De Folie (2)
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A la piscine, nous fîmes quelques longueurs l’un à côté de l’autre avant que ma chérie ne sorte pour se faire
bronzer sur un transat tandis que je restais dedans à flâner en faisant la planche sur une frite et en somnolant
légèrement. Je l’observais d’un œil et vis qu’elle était sur le ventre et qu’elle avait détaché le haut de son maillot.
Le beau black passa alors près d’elle et elle l’appela surement pour commander une boisson. Il acquiesça,
s’éloigna et revint rapidement avec un mojito. Il le posa sur la petite table à côté d’elle et à ce moment elle lui
demanda quelque chose d’autre. Il s’éloigna à nouveau et revint avec de la crème solaire. Elle lui parla, il sembla
hésiter, regarda dans ma direction, elle insista et je le vis s’agenouiller à côté du transat, prendre le flacon d’huile
et en verser le long des jambes de ma chérie. Il lui étala minutieusement, lui massant les pieds, les mollets, les
cuisses. Je la vis les écarter et les doigts de son masseur glisser à l’intérieur. Il devait lui frôler ses lèvres. Il
remonta sur le dessus. Les mains de ma chérie vinrent sur ses fesses, se saisirent de son maillot et le coinça
dans sa raie culière, dévoilant ainsi ses deux globes fessiers. Il fit couler une goutte d’huile sur chaque fesse et
l’étala et les lui pétrissant, les écartant par moment. Il devait voir son petit trou. Il jeta un œil vers moi pour voir si
je somnolais toujours au milieu de la piscine. Il devait le penser car il passa une main sous le tissu et un doigt
descendit le long de sa raie. Je remuai alors dans la piscine ce qui lui fit enlever. Il reprit le flacon et cette fois en
versa sur son dos. Il l’a massa jusqu’à ce que l’huile pénètre bien passant ses mains sur ses flancs, effleurant le
galbe de ses seins. Je bandais comme un taureau. Il prit une serviette pour s’essuyer les mains quand elle se
retourna, lui dévoilant sa poitrine et ses pointes dressées. Il hésita à nouveau, regarda dans ma direction et
acquiesça d’un signe de tête. Il prit à nouveau le flacon et recommença par les jambes, qu’elle écarta plus que
de raison. Ses mains glissèrent à nouveau sur l’intérieur de ses cuisses. Elle devait être trempée et son bas de
maillot ne devait pas être intact. Il remonta le long du tissu mais le bout de ses doigts se trouvait dessous. Il
versa l’huile sur son ventre, entre ses seins, quelques gouttes sur ses tétons et il la massa pour bien étaler
l’huile, pétrissant voir caressant sa poitrine, pinçant ses tétons durcis de temps à autre. Je me rendis compte
alors que ma chérie n’était pas totalement inactive. Je distinguais derrière son corps, son bras qui bougeait
doucement. Je me redressai discrètement et je vis le dos de sa main caresser l’entre jambe du beau black,
doucement et à travers son pantalon. Et de ce que je pouvais en voir, une sacrée bosse le déformait. Soudain, le
talkie du groom grésilla. Il le prit et répondit à l’appel. Il se redressa, s’essuya les mains et disparut à l’intérieur
de l’hôtel. Il était temps que je sorte, une érection terrible entre les jambes. Il était temps de remonter pour se
préparer pour le dîner.
Il était temps que je sorte, une érection terrible entre les jambes et également temps de remonter pour se
préparer pour le dîner.
Je me préparai seul car sur le transat elle m’avait dit qu’elle voulait déjà finir son mojito et qu’ensuite elle voulait
se préparer seule pour me faire une surprise. Je pris donc une douche froide pour me remettre de mes émotions
mais mes pensées et la vision de ma chérie en train de se faire caresser par cet homme, ne me faisait pas
débander. Je coupai l’eau, me séchai, me rasai, enfilai un pantalon un lin noire et une chemise blanche. Je
quittai la chambre au moment où ma chérie remonta. Elle se déhanchait exagérément avec une main sur la
hanche, un paréo autour de la taille. Sa peau était brillante d’huile et de sueur dû à la chaleur du soleil. Quand
elle me croisa, elle me susurra à l’oreille qu’elle n’avait jamais été autant excitée et aussi chaude. Elle me mordit
l’oreille et continua son chemin en me caressant les fesses. Le parfum qu’elle laissa derrière elle me rendit
dingue. Je descendis au bar prendre un rafraichissement en l’attendant et en profita pour lui préparer une
surprise pour l’après dessert.
Au bout d’un moment, installé à notre table au bord de la piscine, je la vis arriver sur la terrasse et j’en restai
bouche bée tellement elle était sexy et provocante. Elle avait revêtu une robe de soirée noire. Elle allait jusqu’à
trainer légèrement par terre, fendue sur le devant jusqu’à mi-cuisse et un décolleté vertigineux, deux pans de
tissu cachant juste sa poitrine et venant s’attacher derrière le cou et un dos totalement nu. En fait, c’était la
réplique parfaite d’une robe de Rihanna. Un collier de perle grise mettait encore plus en valeur son cou et son
décolleté. Elle avait également enfilé une paire d’escarpin noir aux talons très haut renforçant encore la cambrure
de ses reins. Sa démarche langoureuse, provocante, dévoilait ses jambes bronzées.
Je me levai, ne cachant rien de mon excitation, une bosse énorme déformant mon pantalon, et vint tirer sa
chaise afin qu’elle puisse s’asseoir. Son parfum était totalement enivrant. Au moment de s’asseoir, elle effleura
mon sexe juste du revers des doigts. J’ai cru que j’allais exploser dans mon pantalon juste sous cette douce
caresse.
Je m’installai en face d’elle et le serveur, qui n’était autre que le beau black, vint nous servir deux coupes de champagnes. Il était plutôt doué car il versait le champagne dans les flûtes sans lâcher du regard les cuisses de
ma chérie qu’il pouvait admirer à travers la table en verre transparente. Elle avait croisé ses jambes dévoilant
ainsi totalement ses cuisses. Quand il lui tandis sa coupe, elle se pinça une lèvre et le remercia en minaudant
plus qu’exagérément. Cette situation me rendait à la fois jaloux et encore plus excité. Je n’étais pas le seul
apparemment car une bosse monumentale pouvait se voir sur le pantalon du beau black. Il me servit et
s’éloigna.
Nous trinquâmes et commençâmes une discussion des plus chaudes lui demandant si la petite séance de
massage de cet après-midi lui avait plu. Elle me répondit que les mains du serveur étaient douces et que s’il se
servait aussi bien de son sexe que de ses doigts, il devait faire plus d’une heureuse. Tout en me disant cela, elle
retira un de ses escarpins et tendit sa jambe pour venir poser son pied sur mon sexe et le masser doucement. Je
nous resservais deux coupes de champagnes qu’elle descendit presque cul-sec. Nous ne parlions plus mais ses
yeux parlaient pour elle. Son regard flamboyait d’envie comme jamais je ne l’avais vu. Elle intensifia légèrement
sa caresse. Je voyais ses pointes dressées à travers le tissu de sa robe. Et quand le serveur revint pour nous
servir notre entrée, elle n’interrompit pas sa caresse. Elle s’arrêta uniquement pour avoir une position correcte
pour manger. Quand elle eut fini, elle me demanda de baisser le zip de mon pantalon. Je fus surpris mais
m’exécutai immédiatement. Elle passa alors juste le bout de son pied par l’ouverture et le contact contre ma
hampe nue m’électrisa. Elle fit de lent va et vient. C’était doux, chaud, je sentais ma queue grossir encore. Elle
ne s’interrompit toujours pas quand le serveur nous amena le plat principal. Il regarda ce pied me masturber et
sa bosse déforma encore plus son pantalon. Je l’entendis déglutir. Cette situation devait l’exciter et la faire
mouiller comme jamais. Je voulu vérifier et retirai à mon tour ma chaussure. Je tendis ma jambe et vint caresser
l’intérieur de ses cuisses brûlantes et moites. Elle s’avança jusqu’au bord de sa chaise et écarta les jambes. Mon
pied s’avança encore et entra en contact avec son intimité qui, comme je le pensais, était trempé. Je massai à
mon tour sa chatte brûlante, sentant gonflé son petit bouton d’amour. Elle me demanda de déboutonner
totalement mon pantalon, libérant ainsi mon sexe tendu et luisant. Elle tendit son autre jambe, emprisonnant à la
fois mon pied contre sa chatte et ma queue entre ses deux petits petons. Elle le redressa et commença à me
masturber. C’était divin. Mon pied s’introduisit entre ses lèvres et je sentis sa liqueur se répandre dessus. Mon
pouce débusqua son clito et l’agaça. Elle respira de plus en plus fort, sa poitrine se gonflant de plus en plus.
Quand le plat fût fini, elle se servit une coupe de champagne, lâcha mon sexe, se recula avec la chaise, se leva
et vint vers moi tout en vidant sa coupe. D’un geste, elle me fit reculer légèrement ma chaise, elle ouvrit les pans
de sa robe et m’enjamba. Elle me regarda d’en haut sa coupe toujours à la main. Mes mains remontèrent du
bout des doigts ses cuisses. Elle s’abaissa et vint s’asseoir sur mes cuisses avant de s’avancer, sa chatte
humide et dégoulinante venant caresser ma queue tendue comme jamais. Elle me regarda droit dans les yeux,
ses hanches ondulant sur mon sexe et déversant le reste de son champagne entre ses seins se mêlant aux fines
gouttes de sueur naissantes. Je m’approchai et léchai ce mélange aphrodisiaque. Je glissai sur le côté pour
venir écarter le tissu recouvrant ses seins et vint mordiller son téton tendu et dur du bout des lèvres. Elle
gémissait et se déhanchait de plus en plus. Je pinçai de plus en plus fort son téton que je savais extrêmement
sensible. Ses mains dans mes cheveux me collaient encore plus contre elle. Soudain elle se crispa et je sentis sa
cyprine chaude se répandre tout autour de ma queue.
Elle m’embrassa fougueusement et je lui proposai d’aller prendre le dessert dans notre chambre ce qu’elle
accepta avec un grand sourire. Nous nous levâmes et nous rendîmes dans la chambre. Une fois arrivée dans la
chambre, je l'enlaçai et l'embrassai fougueusement, nos langues dansant un tango endiablé et mes mains
empaumant ses fesses et l'attirant contre mon sexe tendu dans mon pantalon.
Soudain, elle sentit une présence derrière elle. Un corps chaud, musclé, moite se colla contre son dos, des
mains puissantes se saisirent de ses épaules Et descendirent le long de ses bras. Je me reculai, la regardai droit
dans les yeux et lui dit :
- Ton cadeau est arrivé ma chérie.....
bronzer sur un transat tandis que je restais dedans à flâner en faisant la planche sur une frite et en somnolant
légèrement. Je l’observais d’un œil et vis qu’elle était sur le ventre et qu’elle avait détaché le haut de son maillot.
Le beau black passa alors près d’elle et elle l’appela surement pour commander une boisson. Il acquiesça,
s’éloigna et revint rapidement avec un mojito. Il le posa sur la petite table à côté d’elle et à ce moment elle lui
demanda quelque chose d’autre. Il s’éloigna à nouveau et revint avec de la crème solaire. Elle lui parla, il sembla
hésiter, regarda dans ma direction, elle insista et je le vis s’agenouiller à côté du transat, prendre le flacon d’huile
et en verser le long des jambes de ma chérie. Il lui étala minutieusement, lui massant les pieds, les mollets, les
cuisses. Je la vis les écarter et les doigts de son masseur glisser à l’intérieur. Il devait lui frôler ses lèvres. Il
remonta sur le dessus. Les mains de ma chérie vinrent sur ses fesses, se saisirent de son maillot et le coinça
dans sa raie culière, dévoilant ainsi ses deux globes fessiers. Il fit couler une goutte d’huile sur chaque fesse et
l’étala et les lui pétrissant, les écartant par moment. Il devait voir son petit trou. Il jeta un œil vers moi pour voir si
je somnolais toujours au milieu de la piscine. Il devait le penser car il passa une main sous le tissu et un doigt
descendit le long de sa raie. Je remuai alors dans la piscine ce qui lui fit enlever. Il reprit le flacon et cette fois en
versa sur son dos. Il l’a massa jusqu’à ce que l’huile pénètre bien passant ses mains sur ses flancs, effleurant le
galbe de ses seins. Je bandais comme un taureau. Il prit une serviette pour s’essuyer les mains quand elle se
retourna, lui dévoilant sa poitrine et ses pointes dressées. Il hésita à nouveau, regarda dans ma direction et
acquiesça d’un signe de tête. Il prit à nouveau le flacon et recommença par les jambes, qu’elle écarta plus que
de raison. Ses mains glissèrent à nouveau sur l’intérieur de ses cuisses. Elle devait être trempée et son bas de
maillot ne devait pas être intact. Il remonta le long du tissu mais le bout de ses doigts se trouvait dessous. Il
versa l’huile sur son ventre, entre ses seins, quelques gouttes sur ses tétons et il la massa pour bien étaler
l’huile, pétrissant voir caressant sa poitrine, pinçant ses tétons durcis de temps à autre. Je me rendis compte
alors que ma chérie n’était pas totalement inactive. Je distinguais derrière son corps, son bras qui bougeait
doucement. Je me redressai discrètement et je vis le dos de sa main caresser l’entre jambe du beau black,
doucement et à travers son pantalon. Et de ce que je pouvais en voir, une sacrée bosse le déformait. Soudain, le
talkie du groom grésilla. Il le prit et répondit à l’appel. Il se redressa, s’essuya les mains et disparut à l’intérieur
de l’hôtel. Il était temps que je sorte, une érection terrible entre les jambes. Il était temps de remonter pour se
préparer pour le dîner.
Il était temps que je sorte, une érection terrible entre les jambes et également temps de remonter pour se
préparer pour le dîner.
Je me préparai seul car sur le transat elle m’avait dit qu’elle voulait déjà finir son mojito et qu’ensuite elle voulait
se préparer seule pour me faire une surprise. Je pris donc une douche froide pour me remettre de mes émotions
mais mes pensées et la vision de ma chérie en train de se faire caresser par cet homme, ne me faisait pas
débander. Je coupai l’eau, me séchai, me rasai, enfilai un pantalon un lin noire et une chemise blanche. Je
quittai la chambre au moment où ma chérie remonta. Elle se déhanchait exagérément avec une main sur la
hanche, un paréo autour de la taille. Sa peau était brillante d’huile et de sueur dû à la chaleur du soleil. Quand
elle me croisa, elle me susurra à l’oreille qu’elle n’avait jamais été autant excitée et aussi chaude. Elle me mordit
l’oreille et continua son chemin en me caressant les fesses. Le parfum qu’elle laissa derrière elle me rendit
dingue. Je descendis au bar prendre un rafraichissement en l’attendant et en profita pour lui préparer une
surprise pour l’après dessert.
Au bout d’un moment, installé à notre table au bord de la piscine, je la vis arriver sur la terrasse et j’en restai
bouche bée tellement elle était sexy et provocante. Elle avait revêtu une robe de soirée noire. Elle allait jusqu’à
trainer légèrement par terre, fendue sur le devant jusqu’à mi-cuisse et un décolleté vertigineux, deux pans de
tissu cachant juste sa poitrine et venant s’attacher derrière le cou et un dos totalement nu. En fait, c’était la
réplique parfaite d’une robe de Rihanna. Un collier de perle grise mettait encore plus en valeur son cou et son
décolleté. Elle avait également enfilé une paire d’escarpin noir aux talons très haut renforçant encore la cambrure
de ses reins. Sa démarche langoureuse, provocante, dévoilait ses jambes bronzées.
Je me levai, ne cachant rien de mon excitation, une bosse énorme déformant mon pantalon, et vint tirer sa
chaise afin qu’elle puisse s’asseoir. Son parfum était totalement enivrant. Au moment de s’asseoir, elle effleura
mon sexe juste du revers des doigts. J’ai cru que j’allais exploser dans mon pantalon juste sous cette douce
caresse.
Je m’installai en face d’elle et le serveur, qui n’était autre que le beau black, vint nous servir deux coupes de champagnes. Il était plutôt doué car il versait le champagne dans les flûtes sans lâcher du regard les cuisses de
ma chérie qu’il pouvait admirer à travers la table en verre transparente. Elle avait croisé ses jambes dévoilant
ainsi totalement ses cuisses. Quand il lui tandis sa coupe, elle se pinça une lèvre et le remercia en minaudant
plus qu’exagérément. Cette situation me rendait à la fois jaloux et encore plus excité. Je n’étais pas le seul
apparemment car une bosse monumentale pouvait se voir sur le pantalon du beau black. Il me servit et
s’éloigna.
Nous trinquâmes et commençâmes une discussion des plus chaudes lui demandant si la petite séance de
massage de cet après-midi lui avait plu. Elle me répondit que les mains du serveur étaient douces et que s’il se
servait aussi bien de son sexe que de ses doigts, il devait faire plus d’une heureuse. Tout en me disant cela, elle
retira un de ses escarpins et tendit sa jambe pour venir poser son pied sur mon sexe et le masser doucement. Je
nous resservais deux coupes de champagnes qu’elle descendit presque cul-sec. Nous ne parlions plus mais ses
yeux parlaient pour elle. Son regard flamboyait d’envie comme jamais je ne l’avais vu. Elle intensifia légèrement
sa caresse. Je voyais ses pointes dressées à travers le tissu de sa robe. Et quand le serveur revint pour nous
servir notre entrée, elle n’interrompit pas sa caresse. Elle s’arrêta uniquement pour avoir une position correcte
pour manger. Quand elle eut fini, elle me demanda de baisser le zip de mon pantalon. Je fus surpris mais
m’exécutai immédiatement. Elle passa alors juste le bout de son pied par l’ouverture et le contact contre ma
hampe nue m’électrisa. Elle fit de lent va et vient. C’était doux, chaud, je sentais ma queue grossir encore. Elle
ne s’interrompit toujours pas quand le serveur nous amena le plat principal. Il regarda ce pied me masturber et
sa bosse déforma encore plus son pantalon. Je l’entendis déglutir. Cette situation devait l’exciter et la faire
mouiller comme jamais. Je voulu vérifier et retirai à mon tour ma chaussure. Je tendis ma jambe et vint caresser
l’intérieur de ses cuisses brûlantes et moites. Elle s’avança jusqu’au bord de sa chaise et écarta les jambes. Mon
pied s’avança encore et entra en contact avec son intimité qui, comme je le pensais, était trempé. Je massai à
mon tour sa chatte brûlante, sentant gonflé son petit bouton d’amour. Elle me demanda de déboutonner
totalement mon pantalon, libérant ainsi mon sexe tendu et luisant. Elle tendit son autre jambe, emprisonnant à la
fois mon pied contre sa chatte et ma queue entre ses deux petits petons. Elle le redressa et commença à me
masturber. C’était divin. Mon pied s’introduisit entre ses lèvres et je sentis sa liqueur se répandre dessus. Mon
pouce débusqua son clito et l’agaça. Elle respira de plus en plus fort, sa poitrine se gonflant de plus en plus.
Quand le plat fût fini, elle se servit une coupe de champagne, lâcha mon sexe, se recula avec la chaise, se leva
et vint vers moi tout en vidant sa coupe. D’un geste, elle me fit reculer légèrement ma chaise, elle ouvrit les pans
de sa robe et m’enjamba. Elle me regarda d’en haut sa coupe toujours à la main. Mes mains remontèrent du
bout des doigts ses cuisses. Elle s’abaissa et vint s’asseoir sur mes cuisses avant de s’avancer, sa chatte
humide et dégoulinante venant caresser ma queue tendue comme jamais. Elle me regarda droit dans les yeux,
ses hanches ondulant sur mon sexe et déversant le reste de son champagne entre ses seins se mêlant aux fines
gouttes de sueur naissantes. Je m’approchai et léchai ce mélange aphrodisiaque. Je glissai sur le côté pour
venir écarter le tissu recouvrant ses seins et vint mordiller son téton tendu et dur du bout des lèvres. Elle
gémissait et se déhanchait de plus en plus. Je pinçai de plus en plus fort son téton que je savais extrêmement
sensible. Ses mains dans mes cheveux me collaient encore plus contre elle. Soudain elle se crispa et je sentis sa
cyprine chaude se répandre tout autour de ma queue.
Elle m’embrassa fougueusement et je lui proposai d’aller prendre le dessert dans notre chambre ce qu’elle
accepta avec un grand sourire. Nous nous levâmes et nous rendîmes dans la chambre. Une fois arrivée dans la
chambre, je l'enlaçai et l'embrassai fougueusement, nos langues dansant un tango endiablé et mes mains
empaumant ses fesses et l'attirant contre mon sexe tendu dans mon pantalon.
Soudain, elle sentit une présence derrière elle. Un corps chaud, musclé, moite se colla contre son dos, des
mains puissantes se saisirent de ses épaules Et descendirent le long de ses bras. Je me reculai, la regardai droit
dans les yeux et lui dit :
- Ton cadeau est arrivé ma chérie.....
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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