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sexe, fins de mois difficiles et faveurs sexuelles partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/07/2022

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SEXE, FINS DE MOIS DIFFICILES ET FAVEURS SEXUELLES

PARTIE 2

YASMINE
Je me suis garée sur l'un des multiples parkings qui faisaient le tour du lac. Il y avait un mois de cela, le maire avait déclaré dans les médias: 'Le lac et ses alentours ne doivent plus être un lieu de rencontres libertines.' Sans effet malheureusement. En effet il était référencé sur de nombreux sites comme 'un endroit où on pouvait prendre contact avec des partenaires en toute quiétude.' Il bénéficiait de nombreux endroits isolés par l'architecture des lieux, des buissons, des arbres créaient autant d’alcôves.
C'est dans l'une de ces alcôves que je les ai trouvés. Ils étaient neuf et on avait pris rendez-vous sur le site que m'avais indiqué Barbara, sur lequel je contactais des hommes, et des hommes me contactaient. On définissait toujours ensemble précisément ce qu'ils attendaient, comme ça, il n'y avait pas de mauvaises surprises, pour eux comme pour moi.
Ils étaient neuf qui m'espéraient, unis par la même envie de sexe qui n'était pas satisfaite dans leur entourage immédiat. Entre trente et cinquante, pas spécialement moches. Des hommes avec des envies qu'ils ne souhaitaient pas forcément refouler.
Ils m'ont regardé approcher avec dans leur regard la même lueur qu'un enfant qui voit arriver le Père Noël vers lui dans un magasin.
Même quand j'allais en pleine nature, je me faisais toujours sexy. J'avais mis une jupe en cuir, très courte, avec des bas stay-up, des cuissardes que j'avais trouvées d'occase, neuves, dans une boutique du Secours Populo, et j'avais un débardeur sans soutien-gorge sous un blouson de cuir. De quoi sublimer leur désir. Leurs queues tendaient leurs pantalons.
--On va commencer par le fric, j'ai dit.
J'avais eu une mauvaise surprise quelques semaines plus tôt. Un gars que j'avais retrouvé dans ce parc, je l'avais masturbé...Il m'avait dit 'Je vais chercher le fric dans la bagnole'... Il n'était jamais revenu. Depuis, je demandais le pognon avant.
Ils m'ont tendu les billets. Ca nous permettrait de finir le mois, mais aussi sans doute de nous acheter ce superflu qui nous permettait d'avoir le moral. Du maquillage, quelques vêtements...J'ai roulé les billets ensemble et je les ai fourrés entre mes seins. Je n'avais pas de soutif, mais une poitrine suffisamment volumineuse pour les bloquer entre. Et puis je me suis mise à genoux au milieu d'eux. Très rapidement, ils ont fait jaillir leurs queues de leurs pantalons. Ca me remuait toujours énormément de voir une queue, alors plusieurs...Des queues bien gonflées, pleines de désir, de sève, prêtes à cracher leur sperme...Ca ne me laissait pas indifférente. Il y avait finalement une sorte d'ironie à avoir des queues comme on avait envie, et en plus d'être payée pour jouer avec. Ils se sont mis en cercle autour de moi, certains se branlant, d'autres attendant que ma main ou ma bouche vienne sur eux. Excitée, le ventre chaud, toute mouillée, je me suis penchée pour attraper une queue dans la main gauche, et une autre dans la main droite. Elles étaient gonflées, toutes chaudes. C'était un jeu que j'aimais, je le réussissais plutôt bien, à la fois en le mettant en scène et en leur donnant du plaisir, alors j'avais pas mal de demandes pour des sessions qui faisaient de meilleures fins de mois.
Je tenais les deux queues, mais, une question d’entraînement et d'instinct, j'ai senti que celle qui était sur ma droite, et qui était mûre, allait jouir. J'ai lâché les deux membres pour venir l'attraper... J'ai ouvert la bouche. Quelques mouvement de va-et-vient de ma main sur la tige dilatée... J'éprouvais toujours une profonde satisfaction à voir une queue cracher sa semence... Je me disais que c'était grâce à mon habileté, même si ce n'était pas forcément le cas. Et en même temps, cette autre satisfaction de me remplir la bouche de sperme et de le laisser couler dans mon gosier. Et encore plus que leurs spermes se mélangent... J'aimais l'odeur du sperme, son goût, toujours semblable et cependant toujours différent...Il y a des plaisirs très forts dont on ne se lasse pas, qui choqueraient bien d'autres...
Il s'est vidé dans ma bouche, sa queue dilatée... J'ai passé ma langue sur son gland pour laper les dernières gouttes de semence...
Dans de telles situations, il fallait avoir un haut degré de vigilance. J'ai bien senti qu'une queue, l'une des deux que j'avais lâché, était au bord de la jouissance, sans doute excitée par le spectacle que je venais d'offrir, bouche ouverte, laissant la semence atterrir dans mon palais jet après jet. Je l'ai amenée à proximité de ma bouche, et j'ai ouvert la bouche une fois encore... Je me suis remplie une nouvelle fois de semence...Je suis venue caresser ses couilles... Comme si j'avais voulu faire sortir plus de sperme... Je savais que les hommes aimaient ce type de caresse...
Les deux hommes se sont mis en retrait. Ils ne voulaient pas partir, mais voir ce qui se passait. Ils continuaient de se caresser la queue, sans avoir vraiment débandé...Ca ne me dérangeait pas de prendre deux fois la queue d'un homme dans la main, et son sperme dans ma bouche...J'aimais l'idée que je les essorais totalement, accueillant dans ma bouche jusqu'à la dernière goutte de sperme...
D'autres queues m'attendaient encore...Il y a eu un gars que je ne suis pas arrivée à faire jouir, quelle que soit la technique que je tente, je suis venue caresser ses couilles, j'ai basculé de mon schéma établi, uniquement la main pour jouir, et ma bouche ouverte comme réceptacle, mais ça ne marchait pas. Je suis venue balader ma langue sur son gland, le long de sa queue, sur ses couilles...Rien à faire. Il était bloqué. Je l'ai laissé. Un gars à ma gauche, un gars à ma droite. Et là je ne savais pas lequel allait jouir le premier. Je suis partie sur la gauche. Un bon calcul, j'avais même été trop lente, un premier jet de sperme est parti en travers de mon visage, J'ai vite ouvert la bouche, et le reste de la semence est parti rejoindre les liquides intimes de ses camarades.
Ils avaient tous pris du plaisir. Il restait le gars qui n'avait pas plus jouir. Je lui ai fait signe de se rapprocher, bien décidée à arriver à mes fins. Je suis venue griffer de l'ongle son gland dilaté. Je l'ai approché de son méat, et j'ai poussé ce même ongle dedans...Quand je l'ai retiré, la semence a commencé à jaillir.
Ils sont restés jusqu'au bout. Voir cette queue jouir, c'était un peu voir la leur cracher du sperme au fond de ma gorge encore une fois. Puis ils se sont éparpillés. L'estomac lesté de sperme, je suis repartie avec 900 euros, 100 par personne, qui nous feraient la fin du mois et un peu plus.

JANA
Le réceptionniste m'a souri. Il m'avait reconnue. Son métier c'était d'être physionomiste, et il avait bien compris maintenant que je venais régulièrement à l'hôtel, cet hôtel connu où la chambre la plus moche coûtait, pour une simple nuit, une véritable fortune, et où je n'aurais pas eu ma place si je n'avais pas été ce qu'il avait compris que j'étais. Une call-girl, une escorte, une courtisane qui venait procurer du plaisir à l'un de ses clients fortunés qui louait une chambre à l'année.
--Il est là, il vous attend.
Il a semblé apprécier ma tenue. Pantalon de latex noir qui me collait comme une seconde peau, et pourtant ne laissait pas voir ce qui serait l'instrument de nos jeux d'aujourd'hui, corset de cuir sous un blouson de la même matière dont mes seins émergeaient à moitié, cuissardes noires elles aussi. Je savais que j'étais troublante.
Ca avait été un hasard si nos chemins s'étaient croisés. Je venais d'acheter des bouquins dont j'avais besoin quand il m'avait abordée. Costume trois-pièces dont on voyait bien qu'il ne sortait pas de chez Tati, la quarantaine, vraiment bel homme.
--Vous êtes ravissante. Ca vous dirait de m'accompagner à une soirée... J'ai besoin de compagnie pour faire bonne figure face à des gens qui auront leur femme avec eux.
--Vous n'avez qu'à amener la votre.
--Je suis divorcé.
--Je ne suis pas intéressée.
--Je vous paierai.
--Je suis pauvre mais digne.
--J'aimerais faire l'amour avec vous avant. Vous me plaisez énormément.
Je m'étais retournée vers lui.
--Alors le sexe pas tarifé, et la soirée très bien payée.
Un quart d'heure plus tard, il était allongé sur le lit, dans cette même chambre d'hôtel, et j'étais empalée sur sa queue, me faisant aller et venir sur lui pour nous donner du plaisir.
La soirée avait bien eu lieu, et la somme qu'il m'avait donnée vraiment importante.
On aurait pu en rester là, mais il y avait eu, déjà, une sorte de lien qui s'était tissé entre nous, que j'aurais eu du mal à définir. Une forme de complicité, sans doute.
--Je passe par ici de temps en temps...J'aimerais qu'on se revoie. Tu crois que ce serait possible...Pas de dîner d'affaires cette fois...Juste un moment ensemble.
Je lui ai donné mon numéro sans hésiter. Convaincue qu'il ne me rappellerait pas, et très surprise quand, trois semaines plus tard, il me proposait de le rejoindre dans cette même chambre. Il me laissait de l'argent à chaque fois.
Etait-ce pour cela, ou parce que je ressentais quelque chose pour lui que je m'efforçais d'être imaginative, et de lui proposer quelque chose qu'il n'aurait pas forcément vécu avec une autre femme ?
La porte de la chambre était ouverte. Je me suis glissée à l'intérieur. Il y avait une bouteille de champagne sur une table. Il est venu vers moi. Nos corps et nos bouches se sont accrochées.
--Dommage que tu ne puisses pas m'accompagner dans mes voyages, ou au moins une partie d'entre eux. Tu serais la compagne parfaite. Comme tu l'as été pendant le diner...
--Moi aussi j'apprécie ta compagnie. Mais pour l'instant, je fais des études, et je veux les réussir...
Sa queue était dure contre moi. Je l'ai défait, et j'ai mis son membre palpitant à nu. Je l'ai masturbé doucement. C'était vrai que lui aussi, il me manquait quand il n'était pas à portée. Je pensais souvent à ces moments qui révélaient une grande complicité, alors que nous étions lui et moi chacun dans un monde différent.
Ma bouche est venue gainer sa queue. Il s'est mis à gémir. Je me suis dégagée, et je suis venue doucement mordiller son gland. En réaction, un liquide amer s'est mis à couler dans ma bouche, que j'ai lapé avec bonheur.
A chaque fois qu'on se voyait, qu'on passe quatre, cinq heures ensemble, j'essayais de marquer le coup, de lui proposer un moment de sexe différent. La fois précédente, j'étais arrivée déguisée en soubrette sexy, la fois précédente j'étais arrivée entièrement nue sous un imper...Cette fois, je lui avais mijoté une surprise à laquelle il ne s'attendait pas.
Je l'ai caressé longuement de ma bouche, m'étendant sur toute une panoplie de techniques.
--Les autres filles que tu fréquentes te sucent aussi bien?
--Il n'y a pas d'autres filles...
--Je vais m'efforcer de croire à tes mensonges...J'ai une surprise pour toi. Baisse mon pantalon.
Il a tendu des mains fébriles vers le pantalon de latex et la descendu lentement. Surpris de voir qu'en dessous, il n'y avait pas uniquement ma chair, mais aussi une ceinture à laquelle étaient accrochés des pans de cuir qui arrivaient à une sorte de cercle, qui maintenait en partie contre mon sexe un objet qu'on ne pouvait voir que de manière très partielle, car l'objet était calé entre mes cuisses, replié, et ainsi invisible sous le pantalon très moulant. J'ai entrouvert les cuisses, et le gode a jailli à l'air libre, venant prendre la place qu'il devait occuper, dressé contre mon vente, noir et lisse.
--J'avais envie d'inverser les rôles. J'espère que ça ne te fait pas peur?
--C'est bien d'inverser les rôles, il a dit.
Il s'est penché sur moi et il s'est mis à sucer ma queue, artificielle, comme moi j'avais sucé sa queue de chair, pas la même manière de faire, mais la même ardeur, la même intensité. Savait-il ou ne savait-il pas que la queue de plastique était pourvue d'une base qui reposait pour partie contre mon gland clitoridien et contre mes lèvres...De fait, le mouvement le plus minime me caressait, et très vite, j'ai été dans tous mes états....Mon gland était tout dur et je ruisselais contre la base de plastique, mes jus coulant sur mes chairs...
Je me suis retrouvée assise sur le lit, avec cette queue obscène, qui était la mienne et en même temps pas vraiment la mienne calée contre le ventre. Il est venu se poser au-dessus de moi. Il n'y avait qu'un point d'entrée, et ça m'a excitée au plus haut point de le voir amener la tète bien ronde contre son anus, et la faire entrer en lui, sa muqueuse anale s'ouvrant pour accueillir la queue de plastique. J'ai été surprise, et je me suis posée des questions, en voyant que la queue rentrait en lui avec tant de facilité, sans même un lubrifiant, me demandant quels avaient été ses jeux sexuels jusqu'à présent. Il s'est laissé descendre, se retrouvant face à moi, sa queue collée contre son ventre, je ne l'avais jamais vue aussi dilatée quand on faisait l'amour. Ca devait vraiment lui plaire qu'on soit dans cette position. Je n'avais en tout cas pas anticipé l'excitation que ça me procurerait, sans oublier le plaisir que me donnait le gode, au moindre mouvement, au-delà de celui de sentir, à travers le plastique, qui se révélait conducteur au final, le moindre frémissement de son corps. Frémissement de plaisir, évidemment. Nos bouches et nos langues se sont accrochées, on s'est embrassés longuement avant que, de son propre chef, il se mette à bouger sur moi, la queue de plastique caressant ses chairs comme elle caressait la mienne...On a été pris dans quelque chose de très fort qu'on a voulu faire durer aussi longtemps que possible. On est parvenus à enchaîner plusieurs positions, pour avoir des sensations différentes, avant de jouir, dans des orgasmes dont la force était proportionnelle à l'originalité de ce moment.
Je suis partie bien plus tard, on a mangé ensuite ensemble au restaurant du palace, avec une épaisse liasse de billets. En attendant notre prochaine rencontre.
Je savais déjà que je continuerais mes études jusqu'au bout, mais la proposition qu'il avait formulée clairement, avant mon départ, de partager sa vie, au moins à mi-temps, me tentait de plus en plus, quand j'aurais eu mon diplôme, d'ici un an...










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Histoire de JamesB

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