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Une animatrice de formation

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Lue : 3753 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/09/2012

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Pour moi l'évocation sensuelle des plaisirs charnels va de pair avec une attirance intellectuelle et physique. Mes amantes m'apportent et je leur apporte en retour. Chacune est spéciale dans la façon d'aborder le sujet, chacune a son brin de fantaisie qui me fait chavirer. Même si j'en garde pas un souvenir exact de chacune de mes exaltations de joie, je peux vous laisser imaginer ou entrevoir ce que me réserve l'avenir et ce qui m'attends ! Laissez-moi vous raconter l'une de mes fois parmi les plus marquantes, le reste, reste à écrire ;) . Il va sans dire que la répétition est lassante. Place à l'imagination et n'essayons pas de copier, mais d'inventer pour nos ébats futurs avec un futur amant ! Par contre prenons et adaptons ce qui nous plait, ce à quoi on veut goûter, ce que l'on veut essayer !

Elle était l'animatrice de la formation. Elle avait ouïe dire de bons présages à mon propos. Dès qu'on s'est croisés, elle m'a dit la joie que cela lui faisait de me rencontrer en vrai. Mère de famille célibataire, la trentaine dépassée, je n'avais pas d'attirance particulière pour elle au premier abord, mais mon aura de bon professionnel me précédait. Au repas de midi, j'en appris plus. Elle resta discrète sur son attirance ou sa soif d'en savoir un peu plus sur moi, c'était à moi de faire que les choses aillent dans le sens que l'on souhaitait tous les deux. Apprenant qu'elle ne rentrait pas chez elle le soir-même, mais que son ex-mari, s'occupait de ses enfants pour la soirée, j'en profitais pour lui proposer de diner en toute simplicité (la formation durait deux jours), j'avais anticipé et fait garder ma fille pour la soirée chez moi au cas où le diner avec des collègues s'éterniserait. Après une après-midi à se chercher du regard. Des sourires complices partagés par moments. Je me rendis donc à notre diner.

Il est remarquable comment les femmes savent mettre en valeur leurs atouts, quand elles veulent quelque chose ou quelqu'un. Magnifique ! Des seins mis en valeur, des fesses bien rebondies des bourrelets là où il en fallait! Pulpeuse à souhait et gainée dans une robe rouge qui ne faisait qu'attiser mes désirs. Bien sûr, elle eut droit aux compliments sur sa tenue, son professionnalisme au quotidien face aux patients qui ne pouvaient qu'entrevoir à peine ce qui brillait ce soir-là à mes yeux. Le repas ne dura finalement qu'une demi-heure, trois quarts d'heure. On alla se balader dans le quartier Parisien de l'Opéra Garnier. C'est là qu'elle avait choisi un hôtel pour la nuit. Naturellement, elle me proposa de monter, je la suivit sans hésiter d'autant plus qu'on parlait de tout et de rien et qu'on avait la soirée devant nous ! :)
Arrivés dans sa chambre, je lui proposai de m'occuper de ses cheveux "coiffage langoureux et sensuel de la base du cou aux pointes". Bonne idée pour entrer en matière. De longs passages de brosse après, elle avait déjà les épaules à découvert, et je ne me lassais pas de la vue plongeante et enivrante sur son décolleté par-dessus son épaule droite, puis gauche. Elle ne manqua pas de me faire remarquer mon caractère coquin à l'espionner comme ça. Elle m'avoua s'être imaginée déjà dans mes bras le matin-même et que cette sensualité et cette douceur la "préparait" déjà du bas. Elle était toute humide.

Je dis stop, pause, on se connait pas intimement, je sais qu'on a eu une longue journée prélassons-nous sous la douche !

Surprise par le fait de se savoir nue de suite sous la douche sans préliminaires, sans déshabillage en bonne et due forme. L'idée ne l'enchantais guère, mais elle accepta parce que je lui proposais de ne pas toucher ni aux seins, ni au fesses, ni au sexe. Ce serait comme un jeu de savonnage érotique et sensuel. Par contre, elle aurait tout le loisir d'utiliser sa bouche pour l'entrée en matière et moi DE même. Au début on ne se quittait pas du regard rigolant de gêne à nous voir nous déshabiller comme aux vestiaires, mais c'était le jeu : "pas touche sous la douche" ! Baisers, suçotements et savonnage du reste du corps permis ! La température de l'eau adaptée, les jeux commencèrent ! Petits baisers devinrent grands, petits tours de savonnage hésitants, cédèrent le pas à de grandes courbes sinueuses appliquées à la pulpe des doigts, évitant les zones interdites ! Cela augmentait la tension ambiante, cela se voyait bien : Ses tétons roses pointaient comme jamais, l'eau ruisselant, le savon suivant le courbes de son corps. Sans affleurements des mains, mon membre était érigé en étenDARD ! Très vite ses baisers se concrétisèrent et se concentrèrent sur mon "Légume ;)" et un long et expert pompage suivit les fouilles des sinuosités du corps. Mes râles de plaisir en cadence lui donnaient le tempo. "1-Ah, 2-AAh,3-AAAh" et rebelote ! "Ah, AAh, AAAh" Je ne me souviens plus si je finis par jouir sous la douche. En tout cas, les règles du jeu cédèrent vite et je ne pus m'empêcher de masser ses seins et elle de me torturer mes bijoux ! :) Il n'y eu pas de pénétration. Peut-être cela est une idée préconçue et quelqu'un un jour me démontrera le contraire... ;) mais l'eau évacuant le lubrifiant du préservatif cela n'aurait pas été confortable malgré l'excitation !

Encore une pause le temps de se sécher et de s'enlacer de nouveau dans une étreinte qui se termina assez vite allongés sur son lit, et là je pris mon courage et mon envie d'aller trop vite à deux mains (à savoir mon "DARDtagnan") et me repris de mon envie de la pénétrer de suite et lui proposa de lui passer de la crème sur tout le corps SANS zones interdites. "Ouiiiiii" acquiesça-t-elle. Rien qu'à l'idée cela la prédisposait encore plus. Crémage des pieds à la tête, elle me rendit la pareille une demi-heure après. Il est toujours fascinant de se rendre compte de l'étendue de son corps, quand l'autre prend le temps de l'explorer, en plus ça prolonge d'autant les préliminaires ! Pieds, Orteils, jambes et surtout entrejambes en remontant jusqu'au sexe assez bien tondu mais pas nu (avec un cunnilinctus en prime en retour de sa belle fellation sous la douche) ! Puis pubis, ventre, seins et cou et visage et contour des yeux et volte-face et rebelote talons, jambes, fessier et entre-fesses, reins, bas du dos, cambrure, dos et épaules, sans oublier la base du cou, si érogène au cours du coiffage du début.

Une fois bien crémés allongés sur le ventre, je me mis sur elle et ayant mis le préservatif (Pub : "j'utilise que des DUREX Turbo non pas pour leur taille, mais plutôt pour sa goutte anesthésiante qui évite une fuite trop hâtive du "flot de joie" ;) , pratique et efficace sur moi en tout cas). Comme la nature est bien faîte nos corps s'emboîtèrent sans trop d'ajustements, s'en suivirent de longs et contondants va-et-vient sur une petite, mais forte amplitude, tout en profondeur. Elle aimait et en redemandais encore, deux, trois minutes après je la pris en levrette : ma préférée, seins ballants massés de temps à autre, râles puissants résonnant en cadence dans la pièce. Je crois que je jouis comme ça... au bout de cinq minutes à peu de choses près. Je ne cherche jamais à faire toutes les positions en une seule fois en me retenant. Trois quarts d'heure plus tard nous retentâmes l'expérience après une petite sieste récupératrice, juste en cuillère avec un passage en missionnaire, où je pus me délecter à loisir de son visage crispé de jouissance et de ses cris de plaisir ! Belle soirée et d'inoubliables souvenirs ! Je rentrai chez moi vers minuit, sans avoir auparavant oublié de me redoucher une nouvelle fois, avant de partir de l'hôtel.

Cette rencontre m'a laissé un beau souvenir. La reverrais-je un jour ? à l'approche de l'automne ? à une prochaine formation ou convention ? et si l'alchimie jouait de nouveau pourquoi pas ? Si non, pas de regrets. En tout cas je garde de bons contacts "professionnels" avec cette femme. Après tout, je n'exerce d'ailleurs qu'à 10km à vol d'oiseau de cette formatrice !
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