Une belle-mère qui se venge 2

Auguste après avoir contemplé sa belle-mère un long moment. Commence à lui caresser les seins, comme par enchantement les bouts se dressent. Auguste malaxe les lobes avec tendresse, agace les mamelons longuement en faisant gémir sa belle-mère. Sa bouche se pose sur les mats de chair, qui sont devenus larges et épais. Le jeune amant, suce avec douceur les bouts devenus très sensibles, le bougre, en connaisseur, sait lorsqu'il faut agir plus brutalement sur les mamelons. C'est le cas, il aspire et suce avec plus de voracité les tétons devenus durs comme du béton. Joëlle souffle fortement, l'adultère prend du plaisir, la bouche de son beau-fils la fait geindre comme une bête aux abois. Elle s'accroche à lui en poussant des hum de plaisir, son corps se met à trembler tellement elle est émue. Elle dit en béguant :

-Auguste, Auguste, nous sommes fous mon chéri, arrêtons, je te supplie !


Les paroles, non convaincantes de la femme adultère, stimulent son jeune amant qui redouble les aspirations, Joëlle, se cabre, son abricot libère son jus, elle serre les cuisses pour faire cesser ce flot de cyprine qui s'écoule de son fruit trop mûr. Mais en vain, excitée comme jamais, son corps ne lui obéit plus. Elle geint comme une bête malade. La bouche du vorace amant descend sur son torse, donnant des dizaines et des dizaines de baisers sur la peau douce de la femme soumise. La langue tourne sur son nombril, tente de le fouiller. Joëlle dit en appuyant sur la tête de son amant :


-Mon Dieu, Auguste, tu vas me faire mourir, c'est horrible ce que tu me fais !


La bouche glisse sur le ventre plat, s'approche dangereusement de puits d'amour, Auguste prend le temps de humer les effluves odorantes qui s'échappent de la rivière en crue. Mais lorsque la bouche se pose sur le lieu de tous les plaisirs, Joëlle se cabre en grinçant des dents. Elle défaille, la langue s'enfonce profondément dans sa gaine bouillonnante, la fouille sans relâche. C'en est trop pour la faible femme qu'est la belle-mère. Elle pousse un cri qu'elle tente d'étouffer en se mordant le poignet jusqu'au sang. Sa jouissance est fabuleuse, cela faisait des jours qu'elle n'avait pas fait l'amour. Son corps se parcourt
de frissons qu'elle ne peut contrôler. Soudain, elle se cambre fortement, son amant vient de lui gober le clitoris et le suce comme un bonbon. C'est le summum du bonheur pour Joëlle qui tremble comme une feuille au vent d'automne. Un deuxième jouissance la cloue sur le lit. Elle délire :


-Auguste, Auguste, je meurs, oh, prends-moi, oui, prends-moi, mon chéri !


Auguste se redresse, ôte ses vêtements, sa bite jaillit de son slip en oscillant un moment, avant de se stabiliser sur son bas-ventre. Bien que les yeux de Joëlle soient embués, elle regarde le Priape tendu de son beau-fils, il avance son bassin si près de son amante, qu'elle saisit l'engin, le décalotte et donne plusieurs coups de langue sur le gland, pour laper quelques gouttes de rosées qui s'échappent du méat. Elle n'en peut plus, elle redemande :

-Prends-moi, mon chéri, oui, oui, vient en moi !

Auguste prend place entre les jambes largement ouvertes, il présente son phallus au temple d'éros. Il le frotte un instant contre les lèvres qui suintent continuellement, avant de pousser. Les grandes lèvres s'écartent, et laisse le passage au nœud violacé. Lentement, la verge s'enfonce dans le vagin de Joëlle qui souffle comme un ballon qui se dégonfle. Une fois bien en place dans son fourreau, le mandrin entre en action. Auguste et un bon amant. Il commence le va-et-vient très lentement. À chaque poussée, son gland bute contre le col de l'utérus de la femme infidèle. Cela provoque chez elle des gémissements rauques. Elle s'agrippe à son amant en agitant son bassin. La cadence augmente, les coups de reins deviennent plus violents. Joëlle pousse des cris de bêtes malades. Le pilonnage devient plus intensif, Joëlle délire sous les coups de son amant :

-Oui, oui, défonce-moi mon chéri, oh comme c'est merveilleux, tu sais t'y prendre toi mon chéri, oh, je vais jouir !


Joëlle jouit, en soufflant, comme une locomotive qui lâche sa vapeur. Auguste continue de la démonter, il a l'art de faire gémir ses amantes comme des bêtes qui agonisent. Enfin, il donne encore quelques estocades avant de déverser dans le ventre de sa belle-mère son sperme épais. Il continu de pilonner le ventre de la jouisseuse, qui se cabre encore une fois pour re-jouir. Joëlle halète fortement, son souffle et rapide, son cœur bat terriblement fort. Enfin, il retire son glaive de son fourreau, et se redresse. Il invite sans insister son amante à le sucer. C'est avec amour que sa belle-mère s'exécute volontiers. Elle saisit le manche enduit de liquide visqueux et commence à lèche la hampe, avant de gober le chapeau qui la surmonte. Sa bouche fait des miracles, Auguste en soufflant comme un bœuf, envoie dans la bouche de la suceuse, toute la semence, qui lui reste dans les couilles. C'est avec plaisir que la belle-mère avale la semence de son beau-fils. Une douche réparatrice s'impose, la journée suivant son cours, Joëlle semble plus détendue. Son mari n'est toujours pas rentré, son beau-fils est à son travail.


Auguste termine sa journée et rentre, il trouve sa belle-mère seule qui prépare le diner. Il s'avance derrière elle, l'enlace et lui donne un baiser sur le cou. Un grand frisson s'empare de Joëlle, elle se retoure, il la serre contre lui et pour la première fois l'embrasse amoureusement. Joëlle ne refuse pas le baiser, au contraire, elle noue sa langue à la sienne, et les deux pendant le long baiser, échangent un flot de salive. Le diner se passe en duo, le mari volage n'est toujours pas rentré. Il est temps d'aller se coucher, Joëlle prend sa douche et enfile sa chemise de nuit, comme d'habitude, elle ne porte pas de soutien-gorge dessous. Elle monte dans sa chambre, s'allonge sur son lit, machinalement, elle prend livre, elle le feuillete, pousse d'innombrables soupirs, elle n'a pas la tête à ça. C'est à ce mont que son beau-fils fait son apparition en boxer et torse nu. Il s'assoit à côté de sa belle-mère et discute avec elle. Ils parlent de tout et de rien, quand, soudain, la porte de la chambre s'ouvre brusquement, c'est Julian qui rentre de son escapade. Il toise le couple assit sur le lit et dit d'un ton autoritaire, en regardant son fils :

-Qu'est que tu fais dans la chambre de ma femme toi, tu n'as rien à foutre ici !



Auguste se lève, s'approche de son père et dit en le foudroyant du regard :

-Ta femme, ta femme, est-ce que tu la traite seulement comme une femme hein, tu la trompes avec une grognasse et maintenant, tu viens faire le macho !


Brusque, Auguste arrache la chemise de nuit de Joëlle, lui découvre largement la poitrine et dit d'un ton rageur :


-Regarde comme elle est jolie, et toi comme un abruti, tu cherches ailleurs ce que tu as en mieux sous la main, réveille-toi bon dieu, tu l'as rendu malheureuse. Avant, tu était un homme presque parfait, eh bien maintenant, tu as bien changé, mais en mal, il serai temps que tu agisses en homme marié responsable !



Julian regarde son fils, il est comme ko debout, c'est en béguant qu'il arrive à dire en faisant son mea-culpa :

-Oui, j'ai déraillé, je reconnais que j'ai fait une erreur monumentale, j'ai honte de moi, tu viens de m'ouvrir les yeux Auguste, j'espère que toi Joëlle, tu vas me pardonner, je sais que cela va être difficile pour toi, mais je te promet, d'être l'homme que tu as connue avant !



Les yeux de Joëlle se remplissent de larmes, c'est en soupirant profondément qu'elle répond :

-Je vais essayer de faire mon possible, mais toi, tiens-toi à carreaux, car je ne te pardonnerai pas deux fois !


Julian regarde la poitrine dénudée de sa femme, il regarde son fils et dit en baisant les yeux :

-C'est vrai qu'elle est magnifique, j'avoue que j'ai fait le con, mais comment peut-on être aussi bête, lorsque que l'on a un corps comme ça à portée de main !


Julian déchire encore plus la chemise de nuit, il découvre le corps de sa femme jusqu'à la taille. Il pose sa main sur la poitrine et la caresse doucement. Puis, il relève la tête et demande :

- Auguste, tu as baissé Joëlle ?


Auguste se cabre et réplique :

-Non pas baissé, mais nous avons fait simplement l'amour, je le conçois !


Julian hausse les épaules et répond :

-C'est pareille, donc tu l'as sauté, elle est bonne hein !


Auguste regarde son père et lui dit :

-Elle est merveilleuse, nous avons joui comme des fous, je m'en souviendrai toute la vie de ce moment béni des Dieux !


Julian regarde sa femme et demande :

-Toi, tu as sûrement pris ton pied avec lui, avec la réputation qu'il a j'en suis sûr !



Joëlle le regarde sans répondre, elle est toute penaude, elle se croise les doigts en les serrant très fort. Auguste intervient :

-Ne cherche pas à la culpabiliser, tout est ta faute !



Julian pousse un gros soupir et dit, Joëlle :

-Une question qui me turlupine depuis que je sais que vous avez couché ensemble, tu baisserai encore avec lui ?


Joëlle se redresse et répond :

-Pour quelle raison que je le ferai, puisque tout est rentré dans l'ordre !


Julian réplique :

-Et si je te le demandais, ru le ferais !


Elle repond en rougissant :

-Si tu me le demande, pourquoi pas, j'ai eu beaucoup de plaisir avec lui, tu sais !