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Une belle-mère qui se venge.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 07/11/2023

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Julian, cinquante-sept ans, prend en seconde noce Joëlle, soixante-trois ans. Julian a un fils de son premier mariage, Auguste qui a aujourd'hui trente ans. L'amour est au rendez-vous, les années passent, c'est le bonheur parfait. Mais cela fait déjà quelques jours que le couple bat de l'aile, les scènes de ménage se multiplient, mais toujours en l'absence d'Auguste.
Ce jeune célibataire vit encore chez son père et sa belle-mère, l'entente est parfaite entre eux. La réputation d'Auguste n'est plus à faire. Beau garçon, le bougre, ne compte plus ses aventures sulfureuses, avec la gent féminine. Très envié, parfois jalousé, le jeune homme dévore la vie par les deux bouts.


Il n'a jamais manqué un seul jour de travail, malgré ses nuits de débauches. Ils est trois heures du matin, le dragueur rentre de ses exploits nocturnes. Il voit de la lumière dans le salon, il s'y rend. Là, il trouve sa belle-mère les yeux pleins de larmes, enveloppée dans un peignoir. Il s'approche et lui demande :

-Mais qu'est-ce qui se passe, tu es malade, il y a un problème ?


Joëlle éclate en sanglot. Auguste s'assied à côté d'elle, machinalement, elle se blottit contre lui. Auguste insiste :

-Mais, dis-moi ce qui ne va pas Joëlle, si je peux faire quelque chose ?



En reniflant bruyamment, Joëlle se décide à parler, sa voix n'est que trémolos :

-Eh bien voila, cela fait plusieurs jours, qu'entre ton père et moi cela ne va plus. J'ai fait une chose que je ne devais pas faire, j'ai fouillé dans son portable, j'ai découvert qu'il avait une maitresse, ses messages prouvent que cela dure depuis plusieurs mois. Comme excuse, il me traite de menteuse, devient odieux, m'accuse de toutes les infamies, me fait passer pour une moins que rien devant ses amis. J'en ai assez de tous ses mensonges !


Auguste reste sans voix un instant, dodeline de la tête puis dit :

-Je me doutais bien qu'il y avait quelque chose entre vous, tu ne souriais plus, tu étais triste, je comprends maintenant !


Il l'enlace et lui donne des gros baisers sur les joues, il lape quelques perles salées qui coulent sur ses joues, en essayant de lui remonter le moral. Il lui verse à boire un truc fort, parlent une bonne partie de la nuit avant de monter se coucher. Bien sûr, Joëlle fait chambre à part depuis sa découverte. Le lendemain matin, Auguste qui est levé le premier, son père lui est déjà sorti. Joëlle descend l'escalier en s'étirant, ses yeux sont cernés, elle a les traits tirés. Elle salue son beau-fils, qui la salue à son tour, puis il lui demande :

-Tu as bien dormi Joëlle ?


Elle hausse les épaules en faisant une moue affreuse et répond :

-Baf pas terrible comme chaque nuit depuis longtemps !


Auguste lui sert le petit déjeuner, en souriant et dit avec une pointe d'humour :

-je l'ai fait avec amour, spécialement pour toi belle-mère adorée !



Joëlle ne peut que lui sourire et répond :

-Tu es très gentil Auguste, j'apprécie ton geste et je t'en remercie !


Les deux avalent leur petit déjeuner en papotant comme de vieux complice, Auguste, arrive même à faire rire sa belle-mère. Mais tout a une fin. Joëlle se lève et se dirige vers la salle de bain. Auguste la suit du regard, jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans la salle d'eau. Au bout d'un long moment, Joëlle sort de la salle de bain, ses cheveux emprisonnés par une serviette éponge. Auguste ravale sa salive, sa belle-mère ne porte que sur son corps, en plus de la serviette sur sa tête, une culotte et un soutien-gorge, sans penser à mal, elle passe devant lui pour prendre l'escalier qui la mène à sa chambre. En voyant le déhanché félin de sa belle-mère qui monte l'escalier, son sang ne fait qu'un tour. Jamais il n'avait imaginé qu'elle pouvait avoir un corps si bien fait, c'est la première fois qu'il la voit en petite tenue. Le coquin voyeur ne la quitte pas des yeux jusqu'à ce qu'elle disparaissse au haut de l'escalier. Il avale d'un trait son bol de café et monte à l'étage. La porte de sa belle-mère est entrouverte, il la pousse et entre das la pièce, Joëlle est assise sur un tabouret devant sa coiffeuse, elle voit Auguste dans le grand miroir et lui demande en souriant :


-Que me vaut cette visite ?


Auguste la dévore du regarde et s'avance vers elle en disant :

-J'ai besoin de te réconforter, je te sens si seule !


Joëlle, sans quitter le miroir des yeux, répond :

-Tu est trop bon, mon chéri, mais je crois que je suis au fond du trou !


Joëlle retire la serviette qui recouvre ses cheveux et commence à les coiffer avec douceur. Auguste s'approche d'elle, il pose délicatement ses mains sur les épaules dénudées de sa belle-mère, qui frissonne au contacte des mains, en même temps une petite contraction de ses muscles se fait. Avec précaution, il masse doucement les épaules de Joëlle, qui cesse de se coiffer. Il lui dit :


-Tu es tendue comme un arc, tes muscles sont noueux comme un cep, je vais arranger ça !


Auguste s'avère doué, il masse en profondeur les muscles noués, sa belle-mère pousse un long soupir puis se met à ronronner. Les mains habiles glissent très doucement vers d'autres objectifs. Sur le haut des seins, elles butent sur le soutien-gorge, les contournent lentement, avant de les saisir délicatement au travers du tissu. Auguste presse les lobes généreux avec douceur, Joëlle pousse plusieurs soupirs avant de reprendre ses esprits :


-Non Auguste, sois raisonnable, je ne suis pas ton jouet, tu as de quoi dans le village pour t'occuper !


Sans l'écouter, tout en continuant de pétrir les seins lourds, il lui donne sur le cou et la nuque pleins de baisers bruyants. Joëlle rejette sa tête en arrière et dit :

-Auguste, je t'en prie, reste le beau-fils que j'adore !

Le fieffé coquin, bien que la position soit inconfortable, profite que la tête de sa belle-mère, soit en arrière pour lui donner un baiser sur les lèvres. Joëlle se cabre :

-Non, non, cesse ce petit jeu, je t'en prie, je suis la femme de ton père !


Auguste se redresse et en la regardant dans le miroir répond :

-Mon père ne te mérite pas, il te trompe tu me l'as dit, je ne comprends pas pourquoi il cherche ailleurs ce qu'il a en mieux à la maison !


Joëlle ne sait que répondre à un tel argument, elle ne peux que soupirer. Auguste se fait plus entreprenant. Ses mains tentent de se glisser dans le soutien-gorge, avec une agilité incroyable le bougre y parvient. Il emprisonne les deux lobes avec ses doigts, les presse un moment avant de les planter dans la chair souple. Joëlle se cabre, elle veut se lever, mais la pression des mains sur ses seins, l'en empêche, elle dit :


-Auguste, arrête, tu deviens fou ma parole !


Sans se soucier des paroles de révolte de sa belle-mère, Auguste fait jaillir les seins du carcan qui les emprisonne. Joëlle pousse un gémissement, lorsque le gredin lui saisit les mamelons. Elle souffle comme un bœuf, en marmonnant. Les doigts du beau-fils roulent les mamelons si minutieusement, qu'ils se mettent à doubler de volume. Joëlle n'a plus la force de ruer, elle dit faiblement :


-Tu es un monstre, Auguste, tu profites de mon désarroi, et de ma faiblesse pour jouer avec mon corps !



Il cesse de lui triturer les tétons, il la prend à bras-le-corps et la dépose sur le lit, la belle-mère reste allongée sans dire un mot. Le jeune téméraire, fait sauter l'agrafe du soutien-gorge pour l'ôter totalement du torse de Joëlle. Il s'accroche à la culotte qui lui semble humide. Il sourit en regardant Joëlle, qui honteuses baise les yeux. Avec douceur, il lui ouvre les jambes, la belle-mère devient coopérative, elle se tortille pour faciliter la descente de la culotte. Un long moment, Auguste regarde le corps nu, qui malgré ses soixante-trois ans, est quasi parfait, il admire les seins lourds qui s'étalent sur le torse, comme une provocation. La chatte aux lèvres charnues, à la toison taillée en triangle, lui fait un effet terrible. Eh oui, Joëlle prend soin d'elle, l'odeur de son corps rend Auguste amoureux. En fin, il se penche, il hume avec force la chatte qu'il convoite, il ravale sa salive en complimentant sa belle-mère :

-Oh comme tu es belle, tu sais, j'en ai eu des femmes, mais une comme toi jamais, tu es magnifique, tu me rends fébrile !


Joëlle ne peut retenir ses larmes, elle répond :

-Tu me flattes pour abuser de moi, mais je suis prête à être ta maitresse par vengeance, prends-moi, prends-moi, j'en ai envie autant que toi !













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Histoire de linsee

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Commentaires du récit : Une belle-mère qui se venge.

Le 28/11/2023 - 14:32 par Bigben0308
Mmmmh vraiment très très excitant, j aurais aimé avoir une belle mère comme ça
Le 11/11/2023 - 07:45 par nana08000
J'adore c'est très excitant. Je vais vite lire la suite
Le 07/11/2023 - 23:25 par OlgaT
Un beau-fils instrument de vengeance!

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