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Une belle-mère qui se venge 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/11/2023

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Julian comprend qu'il a fait grossière une erreur en trompant sa femme, elle s'est vengée, c'est un juste retour des choses. Il reste un moment sans dire un mot, puis s'approche de sa femme. Il lui prend la tête doucement entre ses mains et dépose un tendre baiser sur ses lèvres. Il retire le restant de lambeaux de la chemise de nuit qui recouvre le corps de Joëlle, et sans se soucier de la présence de son fils, il la bascule tendrement sur le bord lit, les pieds de Joëlle restent en contact avec le plancher. Julian là regarde un long moment avant de poser ses mains sur son corps. Ses mains moitent, semblent maladroites, elles glissent sur le torse en tremblant. Avec lenteur, elles atteignent la poitrine opulente, la caressent, les pressent doucement avant que les doigts, encore malhabiles, s'enfoncent dans la chair tendre.


Joëlle pousse de nombreux soupirs, pendant le palpage de ses seins. Rapidement ses mamelons se dressent, Julian s'en empare délicatement, et avec des pressions bien dosées taquine les bouts qui ne cessent de gonfler. Auguste regarde son dire un mot, son boxer se déforme, une grosse bosse met en évidence une érection incontrôlable. Il serre les dents, le bougre n'ose intervenir, il n'en a pas été prié. Julian continu d'agacer les bouts qui sont devenus énormes. Lentement, il avance sa bouche. C'est avec la pointe de sa langue qu'il titille, les mats de chair, dressés au centre des grosses taches brunes. Sa femme geint de plus en plus fort, sa culotte s'humidifie de plus en plus. Julian le repenti s'agenouille face à sa femme qui continue de geindre. Il saisit la culotte, puis sans brusquerie, la fait descendre petit à petit le long des cuisses fébriles, pour arriver aux chevilles. Enfin, avec des gestes habiles, il dégage la culotte de l'entrave de tissu, et la jette sur le plancher. Il ouvre les jambes que sa femme maintenait jointe, il regarde le triangle qui suinte, un instant avant d'avancer ses doigts vers la fente débordante de cyprine. Avec douceur, il la caresse, insère deux doigts dans le sillon des grandes lèvres, et part à la recherche du bouton d'amour.


Le contact des doigts sur sa perle, font cabrer Joëlle, Julian saisit la boule de chair et la branle doucement. Tout cela devant le fils qui est dans un état d'excitation pas possible. Il la désire si fort sa belle-mère, que sa verge en devient douloureuse, pour calmer l'afflux de sang qui bat dans la hampe, il la presse fortement en serrant les dents. Joëlle se tortille sur le lit, elle geint comme une femelle en rut. Cela fait des jours et de jours que son mari la néglige, elle est prête à rattraper le temps perdu, en lui pardonnant son écart. Le branlage efficace rend Joëlle délirante, elle grince des dents en marmonnant des mots inaudibles. Julian se dit qu'il est en bonne voie, sa femme reprend du plaisir dans ses bras. Elle pousse un grognement rauque, et expulse de son abricot un jet de jus odorant, qui taquine les narines de son mari. Auguste n'en peut plus, il extirpe de son boxer sa verge raide comme un morceau de bois, et l'agite fermement avec sa main. Son père se relève, ôte ses vêtements, sa queue est opérationnelle, elle est dressée comme un mât de cocagne au centre de la place du village un jour de fête. Il prend place entre les cuisses ouvertes de sa femme, et lui enfonce d'un seul coup son bélier au plus profond des entrailles. Joëlle pousse un gémissement lors de la brutale pénétration et s'accroche à son mari, comme une pieuvre à son rocher.


Julian, sans fioritures, la défonce comme jamais, il ne l'avait fait. Joëlle couine comme un animal que l'on égorge, elle agite son bassin sans discontinuer. Rapidement, Julian arrive à ses fins. Sa femme se cambre et explose de jouissance, en poussant un long râle d'agonisante. Julian continu de marteler la chatte de sa femme avec de grands coups de boutoir. Il grogne comme un fauve à chaque coup de pilon, enfin, il se raidit et envoie dans le ventre de sa femme sa semence épaisse. Il se retire après avoir donné quelques ultimes estocades. Il se retourne et voit l'état dans lequel se trouve son fils, il regarde sa femme qui halète sur son lit, il lui dit :

-Joëlle, si tu le souhaite, Auguste peut te prendre à son tour, j'aimerais te voir jouir avec lui !


Les yeux encore pleins de jouissance, Joëlle répond entre deux souffles :


-Oh oui mon chéri, je veux qu'il me prenne comme il l'a déjà fait !


Julian regarde son fils et lui dit :

-Tu as entendu, alors ne la déçois pas, je ne sais pas ce que tu lui a fait, mais elle n'attend que cela ta chaude belle-mère, elle adore grimper aux rideaux !


Auguste retire son boxer, et exhibe sa queue qui est dressée comme un étendard, sa belle-mère lui tend la main en disant :


-Viens, viens mon chéri, prends-moi, prends-moi, oh comme je te désir en moi !


Les paroles de délire de Joëlle, font dodeliner de la tête de Julian qui se pince les lèvres, pour ne pas répondre. Auguste prend la main tendue, Joëlle l'attire sur le lit, il s'agenouille à côté, elle saisit le mat dressé, le décalotte et sous les yeux ahuris de son mari se met à téter le gland sans aucun scrupules. Sa bouche suce avec force le chapeau gascon, elle avale sans rechigner les perles qui suintent du méat. Sa langue monte et descend sur la hampe fortement veinée, titille le gland, en fait plusieurs fois le tour, pour agacer le frein. Auguste souffle comme un taureau, sa respiration s'accélère. Il est au bord de l'éjaculation. Pour ne pas passer pour un éjaculateur précoce, il repousse doucement la suceuse affamée qui s'active sur son membre. Il va s'agenouiller face à elle et plaque sa bouche sur l'abricot trop mûr qui laisse échapper son jus. Avec gourmandise, il avale le plus de jus qu'il peut. Sa belle-mère grogne comme un fauve, son fruit évacue son nectar sans discontinuer, soudain Joëlle pousse un hurlement et explose de jouissance sous les coups de langue efficaces de son beau-fils. Auguste se relève, il présente son membre gorgé de sang à la fente ruisselante de son amante. Il l'appuie contre les grandes lèvres et saisit sa belle-mère par les hanches et tire fortement. Son pieu s'enfonce dans la fournaise débordante de cyprine sans rencontrer de résistance.

Joëlle pousse un ah prolongé de bonheur, pendant l'enfoncement du Priape dans son ventre. Le bougre, mieux monté que son mari, fait geindre de plaisir la receveuse consentante. Elle s'accroche à son amant en agitant son bassin comme une forcenée, les coups de reins que donne Auguste lui font grincer les dents. Julian regarde ébahi la verge de son fils entrer et ressortir du ventre de sa femme, qui ne cesse de geindre. Sa queue gluante redresse la tête, il la presse en serrant les dents, il réalise que son fils est un amant hors pair, mais, il admet, difficilement, de voir sa femme prendre son pied dans les bras de son rival, qui n'est autre que son fils. La coquine, comblée de bonheur, râle comme un animal qui pourchasse sa proie. Julian s'approche, il veut mieux voir, le travail que fait le membre de son fils dans le ventre de sa femme. Il écarquille les yeux, en ne quittant pas du regard le mandrin large et épais qui coulisse dans les profondeurs de la chatte. Joëlle est comme prise de frénésie, elle s'agite en donnant des coups de reins redoutables.


Julian se dit qu'elle n'a jamais agi comme ça avec lui, il jalouse un peu son fils. Sa femme se cabre et, en hurlant, jouit en déversant son jus comme une fontaine. Le lit est trempé de cyprine, Joëlle est au bord de la syncope, elle divague. Sa respiration est incontrôlable, sa poitrine se soulève à un rythme effréné. Auguste enfin lui remplit le vagin de son sperme abondant. Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer du corps en ébullition de sa belle-mère. En surexcitation, elle tente de le retenir en vain. Elle saisit brutalement le membre reluisant de sperme, replie les jambes sur son ventre et place la verge contre son anus en l'a maintenant fortement appuyé contre.


Son mari n'en croit pas ses yeux, Auguste également, Joëlle veut être sodomisée, elle qui avait toujours refusée cet accès à son mari, la salope, l'offre effrontément à son beau-fils. Auguste regarde son père, il reste sans voix. Julian, en serrant les dents, dit :

-Putain la salope, encule-la puisqu'elle le désir !


Auguste se décide rapidement, il reprend les hanches de sa belle-mère et pousse puissamment. L'anneau ne résiste pas longtemps, c'est en poussant un long gémissement que Joëlle reçoit le membre désiré dans ses entrailles, malgré la douleur, Joëlle s'agite, elle veut le pal de son beau-fils entièrement dans son rectum. Julian se branle comme un sauvage, il regarde le mandrin de son fils qui, pour la première fois, pilonne le cul de sa femme. Il ne cesse de dire :


-Oh la salope, la salope, mais elle va jouir la pute, oh putain moi aussi !


Joëlle jouit du cul, en grognant comme un animal blessé. Julian envoie sur le corps de sa femme son sperme gluant. Auguste continue de ramoner le cul de sa belle-mère, qu'il ignorait si accueillant. Il se bloque et remplit le rectum de sa semence brûlante. Il donne encore quelques coups de boutoir avant de se retirer du fondant qu'il a copieusement arrosé. Julian profite que ma place est encore chaude, pour l'invertir. Il besogne sa femme comme jamais, il ne l'a fait. Prise une seconde fois par le cul, Joëlle reprend ses gémissements, son mari la défonce comme un beau diable, il parvient à lui déverser le reste de sperme qu'il lui reste dans les couilles. La jouissance de Joëlle est fabuleuse, elle murmure entre deux aspirations :


-Oh mes chéris, mes chéris, je vous aime, vous me comblez de bonheur, c'est merveilleux !


Les deux hommes lui prédisent pour les jours avenir, une déferlante sexuelle, qu'elle ne sera pas près d'oublier.
















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Histoire de linsee

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