Une bonne salope

Luc à fait la connerie de sa vie, le bougre a cédé au charme de sa nièce Aurélie, depuis qu'elle a goûté à la bite de son oncle, elle devient incontrôlable. Elle le sollicite souvent, le menace même de tout dire à sa tante s'il ne se soumet pas à ses désirs. Il est piégé, elle est tellement bien faites qu'il n'a pas résisté à ses avances incessantes.
Elle le coince dans la cuisine, l'enlace et l'embrasse fougueusement, elle l'excite tellement qu'il repond à son baiser, elle lui dit :

-Je t'attends dans la cabane de jardin, je ne mettrais pas de culotte, ne me fais pas attendre !


Bien qu'il redoute qu'un jour sa femme, Louise, apprenne son infidélité, l'envie de posséder cette petite bombe et si forte qu'il trepine d'impatience tout en connaissant les risques que cela comporte. Il enfile juste un short et se rend à la cabane, il croise sa femme qui lui dit :

- Ou vas-tu mon chéri !


Il repond sans se démonter :

-Faire du rangement dans le chalet de jardin, c'est un vrai bordel là-bas :


- Je n'ai pas trop de temps, mais si. Tu veux que je t'aide mon chéri ? Lui répond sa femme.


-Non, je profite qu'Aurélie est là, elle va me donner un coup de main, fais ce que tu dois mon amour !


Aurélie croise sa tante dans le salon, elle se jette à son cou et lui dit :

-Oh comme je t'aime ma tante, si tu savais !


Louise, surprise, sourit et donne un gros baiser sur le front de sa nièce, et lui dit :

-Mais moi aussi, je t'aime ma chérie !



Aurélie lui donne plein de baisers sur tout le visage et dit :

-Bon, je vais aider tonton, tu n'as pas peur que je te le vol !


Louise éclate de rire et réplique :

-Tu es bien trop jeune pour lui !


Aurélie pousse un gros soupir et répond en toisant sa tante :

-Pas si jeune que ça, crois-moi, tu serais surprise ma tante chérie !


Louis hausse les épaules en lui souriant et ajoute :

-J'aimerais que tu me surprenne ma chérie, je suis curieuse !


Aurélie répond un peu agacée :

-Eh bien, je vais tenter ma chance, je ne veux pas te décevoir tante, viens nous espionner au chalet !



Louis éclate à nouveau de rire, elle est un peu sceptique, mais ironise quand même :

-Oh, je ne voudrais pas manquer ça pour rien au monde ma chérie !


Aurélie monte dans sa chambre, bien décidée à étonner sa tante, elle retire sa culotte et son soutien-gorge, sa jupe ultra-courte laisse voir ses formes, son top qui enserre ses seins, les met en valeur. Louise la voit passer devant elle en chantonnant, elle se dit qu'il y a anguille sous roche. Discrètement, elle la suit, Luc est déjà sur place, lorsque Aurélie entre dans le chalet, elle se jette à son cou.
Louise sursaute, elle n'en croit pas ses yeux, elle serre les poings pour ne pas hurler. Elle se fait toute petite pour voir jusqu'où les deux vont y aller. Le baiser n'en fini pas, la coquine tout en embrassant son oncle, lui caresse la bite par-dessus le short. La nièce, bien décidée de se faire baiser, prend les commandes, s'agenouille devant son amant, lui dégrafe le short et le baisse. Elle tire violemment sur le slip et libère la bite extrêmement tendue qui balance un court instant sur le bas-ventre velu du tonton chaud comme de la braise. Louise défaille, elle voudrait agir, mais ses yeux ne quittent pas la main de la nièce qui s'amuse à décalotter et re-calotter le gland marbré de son mari, qui lui semble encore plus gros qu'habituellement.


La jeunette branle l'engin avec de plus en plus de vitesse, le cœur de Louise bat la chamade, elle respire mal. Soudain, elle sursaute, Aurélie vient de gober le gland de son oncle et se met à le téter bruyamment. Louise croit devenir folle, son mari gémit de plaisir sous les aspirations puissantes de la jeune salope. Brusquement, Luc bascule sa nièce sur le plancher du chalet, lui retrousse la jupe, il plaque sa bouche sur la fente luisante d'Aurélie, qui ouvre le plus possible les jambes. L'affamé lui dévore la chatte, lui fouille avec sa langue, la nièce gémit en se cambrant. Elle pousse un rugissement et jouit. L'oncle en rut se place entre ses cuisses et lui enfonce profondément sa bite dans le ventre. Les râles d'Aurélie sont bruyants, elle souffle comme un dragon.

Soudain, elle aperçoit sa tante, par la porte entrouverte. Elle s'accroche à son oncle, en regardant sa tante, la coquine lui prouve de quoi elle est capable, les yeux de Louise tirent à boulets rouges sur sa nièce qui la cocufie. Elle voit la bite puissante de son mari entrer et ressortir du ventre de la nièce qui la nargue en souriant. Aurélie se cabre et jouit une seconde fois, elle s'accroche à son amant sans quitter des yeux sa tante qui serre les dents pour ne pas rugir. Luc continue de la pourfendre avec son engin vigoureux, il grince des dents, se bloque et envoie dans le ventre de sa nièce son sperme. Vicieusement, la coquine sans écarter
son regard sa tante dit :

-Encore tonton, encore, baise-moi plus fort, oh que ta bite est bonne !

Louise n'en peut plus, elle entre comme une furie dans le chalet, repousse son mari et donne une paire de gifle magistrale à sa nièce, elle se jette dessus et contre toute attente, l'embrasse comme une malade, elle lui fouille la bouche avec sa langue. Aurélie est surprise autant que son amant, elle commence à lui sucer la langue. Louise lui remonte le top sur les seins et pose avec violence sa bouche sur les mamelons, elle les suce, avec rage, elle mord les bouts qui ne cessent de grossir. La nièce ne comprend plus rien, m, c'est sa tante maintenant qui lui fait l'amour, jamais, elle ne l'aurait imaginée. Louise lui dévore les tétons avec brutalité, sans un seul répit. Aurélie commence à geindre, sa chatte mouille terriblement. Luc n'en croit pas ses yeux, il voit sa femme sucer et téter les mamelons de la nièce avec de plus en plus de voracité. La bouche de Louise délaisse les seins, ses mains prennent la relève. Elle les petrit comme du bon pain, enfonce ses doigts dans la chair tendre, étire les mamelons, les roule entre ses doigts. La coquine à l'art pour faire gonfler les seins et dresser les mamelons. Luc regarde les bouts devenus énormes, que sa femme continue de manipuler avec dextérité. Sa bite reprend du volume, Louise pose sa bouche sur le nombril de sa nièce, et le fouille avec la pointe de la langue. Aurélie souffle comme une bête en rut. Louise redresse la tête et crie à son mari :

-Ne reste pas comme un con, arrache-lui la jupe !

Luc surprit pas cette demande, obtempère, il fait glisser le zip et tire sur la jupe qui descend, il découvre le ventre et la chatte encore pleine de sperme. Louise se rue sur la fente suintante de jus, elle plaque sa bouche dessus et aspire, Aurélie pousse un long râle rauque et dit entre deux respirations :

-Oh, tante, tante, mon Dieu !

Louise se régale de la semence que son mari a déversé dans la chatte de sa nièce, sa langue vorace s'enfonce le plus loin possible à la recherche du précieux liquide. Aurélie est en transe, la langue de sa tante la faille défaillir. La coquine jouit en poussant un cri qui résonne dans le chalet. Louise se relève et dit d'un ton rageur :


-Baise-la encore, remplis-lui la chatte de sperme à cette salope, ou plutôt le cul, oui le cul, putain ce que vous n'avez excité mes salauds, je suis en ébullition, vous allez me le payer grave, aller encule-la, je veux l'entendre gueuler cette pute !


Luc et la nièce ne peuvent qu'obtempérer. Aurélie se met à quatre pattes, Luc lui salive l'anus abondamment puis sous les yeux écarquillés de sa femme, il enfonce sa bite dans le rectum de la nièce qui grimace de douleur, il est vrai qu'un enculage sans préparation et très douloureux. Aurélie a la bouche grande ouverte, ses yeux sont presque exorbités. La bite de son oncle s'enfonce sans discontinuer dans sa gaine étroite que le bougre distend fortement, avec son, défonce cul. Louise, regarde en salivant énormément, la bite puissante de son mari ouvrir le cul de sa nièce. Elle arrache sa culotte, retrousse sa jupe d'une main et de l'autre se masturbe comme une dératée. Luc commence un défonçage de cul comme jamais, il ne l'a fait.