Belle-mère delaissée 2

Magda est toujours sur la petite table allongée, elle tremble de tous ses membres. J'observe avec intérêt sa vulve rejeter le surplus de cyprine, ses jouissances ont été intenses. Je veux posséder cette femme qui me rend dingue. J'approche mon braquemart de sa vulve qui n'attend qu'à être pénétrée. C'est elle-même qui dirige ma verge contre sa fente humide, elle la maintien bien contre en attend que je pousse. Je m'accroche à ses larges hanches et pousse. Mon membre écrase les grandes lèvres, elles s'entrouvrent pour laisser le passage au visiteur. Lentement, mon mandrin s'enfonce dans la gaine largement lubrifiée par l'abondante cyprine que le vagin produit. Magda s'accroche à moi, en agitant doucement son bassin. Elle gémit faiblement pendant la pénétration. Une fois ma verge bien plantée au fond de son antre, je lâche les chevaux. Mes coups de reins deviennent violents, la vitesse de mes assauts font rugir belle-maman comme un fauve. Elle s'agrippe à moi comme un animal sur sa proie, ses ongles s'enfoncent profondément dans ma peau, la coquine me laboure le dos avec ses griffes acérées.


Je ressort ma verge de son volcan, pour le replonger profondément dans le cratère, qui ne cesse de cracher sa lave luisante. Magda et enfin à moi, mon engin ne faiblit pas, je lui ramone les parois sensibles de son vagin avec mon gland large et épais. Ses gémissements me rendent plus violents, je veux qu'elle me soit soumise totalement. Ma queue voyage dans son ventre avec une puissance que moi-même ignorais. Magda a les yeux qui se révulsés, elle se cabre en ne retenant pas gémissements bruyants. Sa jouissance est inouïe, c'est la première fois qu'elle gicle aussi fort. Je continue de la pilonner, jusqu'à ce que je déverse dans son ventre ma semence. Lorsque derrière moi une voix se fait entendre :


-je vois que tu as trouvé quelqu'un pour te défoncer, tu n'as pas cherché trop loin, ma salope, ton gendre te satisfait, vas-y prend ton pied !


Je me retire rapidement du ventre de ma belle-mère, ma queue goutte sur le sol. C'est mon beau-père qui en Pyjama nous regarde. Magda, surprise par l'apparition de son mari, se redresse sur les coudes et répond :


-Puisque tu n'assumes plus, j'ai recours à un remplaçant, qui est très doué d'ailleurs !

Sans se mettre en colère, Jean s'assied dans un fauteuil et dit en souriant :


-Comme vos cris m'ont réveillé, eh bien je vais vous regarder baiser, allez-y continuez, faites comme si je n'étais pas là !

Magda me saisit la main et me tire vers elle en disant :


-Mon gendre, reprenez bien fort votre belle-maman puisque beau-papa est consentant !

Je suis époustouflé, des paroles de jean, moi qui, craignais son courroux, je suis un peu soulagé. Le bougre insiste :

-Allez, allez, ne perdez pas de temps !

Sans préjuger, je plante ma bite, qui encore laisse échapper quelques perles de semences, dans le ventre de ma belle-mère qui pousse un râle de satisfaction. Elle s'accroche à moi en agitant son bassin comme une hystérique. Jean regarde ma queue voyager dans le ventre de son épouse, un sourire crispé déforme son visage. Son pyjama à hauteur de son sexe se déforme, il pose la main dessus et presse fortement l'endroit qui le démange. Plus je démonte sa femme, plus, il devient rouge, soudain, il baisse brusquement son pyjama et saisit sa verge tendue, il commence une masturbation violente. Il dit entre deux descentes de son poignet sur son mandrin :

-Oh putain que c'est beau de vous voir mes cochons !

Magda, presque dans un état presque second, regarde vers son mari, et dit entre deux gémissements :

- Oh mon chéri, joint toi à nous, profite que tu bandes, viens, viens !

Ma belle-mère est vraiment insatiable, je lui donne le plus fort possible deux au trois coups de bélier, pour l'amener au septième ciels. Elle s'arque-boute et jouit en hurlant. Jean se lève d'un bon, me repousse et enfonce sa queue dans le cratère qui lâche sa lave. Le bougre la démonte comme pour se venger de l'infidélité de sa femme. Sa bite lui explose, le ventre, Magda est une vraie machine à jouir. Ses couinements sont ceux d'une bête tombée dans un piège, beau-papa s'acharne sur belle-maman qui ne cesse de s'agiter sur le pieu qui lui fore le ventre. Jean serre les dents, pousse un rugissement et lui envoie un flot de sperme dans le ventre. Magda s'accroche à lui, elle donne de violents coups de reins, pour être empalée le plus profondément possible. Les deux amants, soufflent comme un bœuf, les respirations sont rapides. Jean l'arrose encore de sa semence avant de demander garce. Il me regarde et dit :

-Prenez la relève, j'en peux plus !

Il relève les jambes de belle-maman et dit :

- Mon gendre, Faites lui le grand jeu, vous avez encore assez de force !

Je regarde l'anus de ma belle-mère qui palpite, le coquin n'attend qu'une bonne défonce. Je le caresse un instant, j'enduit mes doigts de salive, et les passent sur la rondelle frétillante. J'enfonce directement deux doigts dans la gaine anale et la ramone comme un sauvage. Magda se cambre en grognant de plaisir, ma salope de belle-mère, affectionne particulièrement la sodomie. Un troisième doigt est le bien venu dans le rectum. Ma belle-mère dit en serrant les dents :

-Oh putain ce que c'est bon, oui fouillez-moi, bien profond mon gendre, faites de votre belle-mère un sac à foutre !

Jean souriant m'encourage :

-Ne la ménagez-pas, elle adore avoir le cul éclaté ma salope !

Je retire mes doigts et enfonce ma bite jusqu'aux couilles dans le cul de l'affamée. Je l'encule comme jamais, je n'ai enculé personne. Ses cris sont monstrueux ainsi que ses jouissances successives, enfin à bout de souffle je lui remplit le cul du restant de sperme qui me reste dans les couilles. Je pense que belle-maman, pendant l'absence de sa fille, qui est ma femme, me sollicitera très souvent pour éteindre le feu qu'elle a au cul.