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Une bourgeoise enfin à la page 5

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/08/2023

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Charlene ne peut que répondre à sa fille :


-Oh, c'est trop bon votre mari, ma chérie a fait de moi une bonne salope !


Charlene, entre deux coups de reins, de ses pourfendeurs, dit :

-Mais vous me tutoyez maintenant ?



Élodie respirant fortement se ravise :

-Je vous demande pardon, mère, mais vous voir dans cette posture, mon sang n'a fait qu'un tour, renvoyez ces manants, mère, et redevenez raisonnable !


Tout en subissant les assauts de Koubba et Roger, Charlene répond :


-C'est fini d'être raisonnable ma chérie, votre mari m'a fait découvrir le vrai plaisir du sexe, que je vous conseille ma fille !


Élodie en reniflant répond :

-Mais mère, vous n'imaginez pas que je puisse me faire forniquer par des êtres immondes, assoiffés de sexes et qui ne reculent devant rien pour assouvir leurs perversités malsaines !

La maman ajoute un peu exaspérée :


-faites vous écarteler par de bonnes verges au moins une fois dans votre vie ma fille, vous saurez ce que c'est que le
Véritable plaisir !

Sonnée, par les propos de sa maman, Élodie, ravale sa salive, et regarde son mari en lui disant :


-Vous êtes fier de vous Jacques, j'ignorais que j'avais un mari pervers, vous me décevez beaucoup mon cher !

Jacques lui répond :

-Profite des bites qui sont à ta disposition, au lieu de renâcler, saute le pas comme l'a fait ta mère, elle s'en porte que mieux !


Koubba prend la parole et dit :

-Si tu n'aimes pas la bite, n'en dégoute pas les autres, tu regardes où tu participes salope, en tous les cas, ta mère et une bonne salope bien gourmande !


Complètement déstabilisée, Élodie regarde les deux bites qui ramonent sa maman, son ventre se noue, elle grimace et se laisse choir dans un fauteuil. Elle se demande comment de si petits orifices peuvent recevoir d'aussi grosses verges. Ses yeux luisent, elle deglutie bruyamment. Jacques se rapproche du trio et agite sous le nez de sa belle-mère bite encore gluante. Comme une vorace, Charlene se jette dessus et suce le membre en faisant un bruit de succion qui fait sursauter sa fille. Jacques s'accroche aux cheveux de sa belle-mère et lui, baise la bouche en ne quittant pas des yeux sa femme, qui commence à s'agiter sur son fauteuil. Pour l'exciter, il dit :


-Salope de belle-doche, tu aimes ma bite hein, dis-le !



Entre deux succions, Charlene répond :

-Oh oui mon gendre, je l'adore votre membre, faites-moi une gorge profonde !



Elle ne peut finir sa phrase, qu'elle se cabre comme un cheval qui rue et jouit comme une damnée sous les coups de reins des hommes. Élodie se redresse sur son fauteuil, un filet de cyprine s'échappe de sa chatte et humidifie sa culotte. Honteuse, elle plaque une main sur son intimité et appuie dessus au travers sa robe. Pour faire stopper l'écoulement qui la rend nerveuse. Jacques ne peut faire une gorge profonde à sa belle-mère, car celle-ci et contrainte de changer de position. Elle se met à quatre pattes sur le sol et se cambre fortement. Koubba lui assène quelques tapes violentes sur les fesses, place ses cinq doigts contre la chatte dégoulinante de cyprine mêlée à du sperme. Un à un, il enfonce les intrus. Charlene souffle comme un animal en rut.


Un cri fait sursauter Élodie, qui écarquille les yeux, la main de Koubba disparait jusqu'au poignet dans le vagin de sa maman, qui grimace. Roger s'approche et saisit le clito qui depuis le début des ébats et devenu monstrueux, il le branle comme une bite. Élodie reste tétanisée, elle se dit que les trois monstres d'hommes vont faire mourir sa maman tellement il la malmènent. Soudain, elle fronce les sourcils, sa maman au lieu de refuser cet étrange pénétration, qui doit être douloureuse, agite son bassin en grognant :


-Oh, Jacques, Jacques, mon gendre regarde comme je suis dilatée, mon Dieu, oh cette main qui me fouille les entrailles va me faire jouir encore, oui Monsieur Roger, branlez mon clitoris, vous le faites si bien !


Élodie, serre les cuisses, elle ne peut retenir le flot qui s'échappe, de sa vulve. Son mari sourit, il se dit que sa femme est à point, et qu'il est temps de se charger d'elle. Il s'agenouille face à elle, et lui retrousse la robe, elle reste sans réagir, elle regarde sa maman se tortiller sous le va-et vient de Koubba. Jacques s'agrippe à la culotte, et la fait descendre doucement sur les cuisses, elle passe les genoux, descend sur les mollets pour arrivée sur les chevilles. Inconsciemment, Élodie se libère du tissu. Jacques porte à son nez la culotte de sa femme et hume fortement la grosse tache humide. Il sourit et dit :


-Tu sens bon ma chérie, oh comme ta culotte est trempée, ta chatte doit être un ruisseau intarissable !


Doucement, il lui ouvre les jambes et passe une main entre les cuisses pour caresser la fine toison noyée. Au contacte des doigts de son mari sur sa vulve, Élodie se cambre en poussant un bruyant soupir. Les doigts qui glissent sur ses grandes lèvres vaginales, ne détournent pas le regard d'Élodie qui contemple sa maman se faire fouiller le ventre par une main entiere. Charlene gémit affreusement sous les poussées profondes de Koubba. Soudainement, elle pousse un hurlement, Koubba retire sa main, Charlene expulse un jet puissant de cyprine de sa chatte.




Sa fille n'en croit pas ses yeux, elle regarde la chatte béante secouée par des spasmes violents. Roger lui écrase le clito, cela a pour effet de faire gicler plus fortement Charlene. Élodie est stupéfaite, elle se crispe un peu lorsque son mari lui enfonce trois doigts dans le vagin et le ramone doucement. Un léger clapotis se fait entendre lors du va-et-vient. Élodie, semble sur une autre planète, Jacques lui arrache brutalement le corsage et le soutien-gorge.


Les seins libérés du carcan de tissu tombent avec souplesse sur le torse. Jacques se redresse et dit en regardant ses invités :

-Elle est à vous messieurs, je veux l'entendre gueuler comme sa salope de mère !



Petit à petit la belle-mère reprend ses esprits, elle dit entre deux souffles :

-Jacques mon gendre, est-ce que je suis devenue assez salope pour vous Jacques, répondez je vous prie !


Jacques s'approche d'elle et en déposant un baiser sur ses lèvres répond :

-C'est parfait vieille salope de belle-mère, j'espère que votre fille sera de votre niveau question salope, pourquoi pas pute, mais j'ai d'autres projets pour elle et vous mes salopes !


Charlene lui sourit en répondant :

-Oh mon cher gendre, avec des professeurs comme vous, elle sera sûrement à la hauteur ma fille, j'ai hâte de voir cela, je suis impatiente de connaitre vos nouveaux projets pour nous !


Il repond en riant :

-Tu ne vas pas être déçue grosse truie lubrique !



En souriant, Charlene répond :

-Oh mon gendre comment me parlez-vous, vos paroles sont c'est indécent pour mes chastes oreilles !


Elle éclate de rire, puis maintenant, fixe tout son intérêt sur sa fille livrée aux deux soudards.



















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Histoire de valeriane

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Commentaires du récit : Une bourgeoise enfin à la page 5

Le 27/08/2023 - 23:09 par OlgaT
Au tour de la fille!

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