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Une dernière fois partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/01/2024

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UNE DERNIERE FOIS

Partie 1 LALIE
Je suis repassé chez elle comme on l'avait convenu, en début d'après-midi, ce samedi, pour récupérer mes affaires. Tout en gardant mon appartement, j'avais pris mes habitudes chez elle et déposé du basique, du linge par exemple.
Tout était déjà prêt, emballé. Lalie était méticuleuse. C'était une de ses nombreuses qualités.
Ca faisait deux ans qu'on était ensemble, et pour moi tout allait pour le mieux quand elle m'avait dit :
--On va se séparer.
J'étais vraiment tombé des nues quand elle m'avait dit ça deux semaines plus tôt. J'avais du lui paraître un peu con, pour ne pas dire plus, quand je lui avais répondu:
--Mais pourquoi ?
--On n'a plus rien à se dire.
--Ah bon...
J'avais été assez surpris, parce je ne pensais pas ça. On parlait toujours autant, et surtout, j'avais l'impression qu'il n'y avait pas de nuage entre nous. Mais je m'étais toujours juré qu'il n'y aurait jamais de conflit entre nous. Que je le désamorcerais. J'avais vu trop de violence verbale entre mes parents.
Alors j'étais parti.
Après qu'on ait convenu que je reviendrais chercher mes affaires.
J'ai sonné et elle est venue m'ouvrir.
Ca m'a frappé de plein fouet, et ça m'a fait mal. Ne pas l'avoir vue pendant un moment, puis la revoir m'a fait comprendre à quel point elle allait me manquer. C'était que Lalie était une fille magnifique. Très grande, rousse, avec un visage extrêmement bien dessiné, d'une grande beauté, et un corps tout en formes.
--Tiens, j'ai tout préparé.
Difficile de lire en elle ce qu'elle ressentait à ce moment. Aussi j'ai été surpris quand elle m'a dit :
--Je veux qu'on fasse l'amour une dernière fois.
J'ai été vraiment incrédule. Je lui ai dit :
--Tu veux qu'on fasse l'amour encore ? Mais ça va être horrible...
Elle m'a regardé, surprise.
--Et pourquoi ça serait horrible ?
--Parce qu'on va faire l'amour en se disant qu'on ne le fera plus jamais après...C'est la meilleure manière de se faire du mal.
--Je voudrais graver une dernière fois ce que c'était de faire l'amour avec toi. Ce qui faisait la spécificité de notre relation et qu'on ne retrouvera pas avec quelqu'un d'autre. Un mélange de gestes, de positions, de sensations, d'envies et de jouissance. Une harmonie.
--J'ai eu envie de lui répondre : 'Bon, s'il y avait de l'harmonie entre nous, au moins pour ça, pourquoi on se sépare' ?
--J'y tiens pas vraiment.
C'est à ce moment-là qu'elle a déployé l'artillerie lourde.
Ca, mieux que les paroles, ça allait forcément marcher.
Lalie s'arrangeait toujours pour être sexy. Même avec pas grand chose. Ce jour-là, elle portait une simple robe en lainage, longue et moulante, grise et jaune, qui fonctionnait comme toute bonne robe en lainage qui se respecte, Elle soulignait en tout cas ses charmes...Lalie était vraiment toute en formes. Elle portait la robe avec des cuissardes rouges qui faisaient évident à quel point ses jambes étaient longues.
Elle s'est penchée légèrement en avant, elle a attrapé l'ourlet de sa robe, et elle s'est mise à la remonter. Très lentement. C'était un argument qui je le savais allait m'être fatal. Deux évidences s'imposaient à moi, depuis qu'on se connaissait, d'abord qu'elle aimait s'habiller sans mettre de sous-vêtements. Il n'y avait pas de règle absolue, enfin, je ne lui avais jamais posé la question, je pensais que c'était selon son humeur. La deuxième, et ça me plaisait énormément, c'était qu'elle aimait porter des robes, de tous types, mais qui généralement ne pouvaient que souligner ses courbes, Et aussi les soulever et m'offrir ce qu'il y avait dessous. C'était dingue comme ça pouvait me troubler. Voir apparaître son corps petit à petit.
Et c'est exactement ce qui s'est produit.
Les cuissardes prenaient un tiers des cuisses, avant de libérer sa nudité. Cuisses pleines. Elle avait un corps vraiment bien dessiné. Je ne voyais effectivement pas le tissu d'une culotte apparaître. A la place quelque chose que je connaissais bien, et je me suis effectivement dit que ça allait me manquer: une toison rousse bien épaisse qu'elle avait gardé dans sa quasi-intégralité, se contentant de la raser dans les aines, et de lui donner la forme d'un triangle, mais en la préservant sur son pubis. J'aimais le roux et cette manière flamboyante d'attirer l'attention sur sa fente plus bas, jamais vraiment close et dont dépassaient ses lèvres, qui s'étiraient et gonflaient d'excitation, à d'autres moments comme à ce moment même.
Elle a remonté la robe plus haut. Ses hanches très marquées. Son ventre plat.
Elle avait vraiment un charme fou, et à cet instant, je n'étais même plus en mesure de raisonner. De me dire: 'Non, ce n'est pas une bonne idée, on va se faire du mal.' Je ne pensais même plus même qu'on allait se séparer. Il y avait juste en moi ce même désir intense qui nous avait accompagnés tout le long de ces mois, et qui, même si elle estimait qu'on s'entendait de moins en moins, avait toujours été intact.
Ses seins ont jailli à l'air libre. Ils étaient bien charnus, bien volumineux, très ronds, avec de belles aréoles roses. Fiers et fermes. Combien de fois je les avais caressés, combien de fois j'avais pris ses tétons dans ma bouche. Certaines filles n'aimaient pas spécialement qu'on leur caresse les seins, Lalie, elle, jouissait simplement quand on les caressait, de la main, de la bouche, ou des deux.
Il y a eu les derniers centimètres, peut-être les meilleurs, parce qu'ils prolongeaient le suspense, mais aussi parce qu'ils annonçaient une autre étape.
Elle s'est tournée, pour me présenter son dos, lisse, et ses fesses, que j'adorais, charnues, hautes et rebondies...
Puis elle s'est à nouveau retournée.
--Tu peux me faire tout ce que tu veux. Je veux qu'on ait un moment unique, pour qu'il reste gravé en moi. Moi je suis libre toute la matinée. Toi aussi?
--Je travaille pas ce matin.
--Viens me toucher, alors.
Dans une relation amoureuse, on cale toujours des rituels. Propres à chaque couple. J'aimais bien toujours commencer simplement, M'approcher d'elle, et, en m'approchant, sentir sa chaleur et l'épaisseur de son corps. Venir prendre sa bouche, et entamer un baiser intense, profond, qui disait clairement notre intimité. Langue contre languie, une caresse qui n'en finissait pas...En même temps venir promener mes mains sur elle. Envelopper ses seins de mes mains, les sentir épais et chauds, glisser sur son ventre, venir sur son sexe déjà ouvert d'excitation, humide, ses lèvres, qui me plaisaient parce qu'elles étaient longues et épaisses...J'aimais les sentir s'allonger, s'épaissir, jusqu'à être vraiment en proéminence de son corps comme je ne l'avais jamais vu avant...Venir sur ses hanches, la contourner, empoigner son cul à pleines mains...
Elle, elle savait où aller. Trouver une queue bien dure, gorgée de sang par le désir. D' instinct je reculais toujours un peu mon ventre, pour qu'elle puisse accéder à ma queue. Facile aujourd'hui car j'avais un pantalon de survêtement et un caleçon dessous. Elle s'est faufilée sous les tissus, pour venir me chercher, pendant que je faisais glisser mes doigts dans sa raie. Elle a gémi, et je me suis demandé si c'était ma caresse ou le fait de trouver ma queue, et de venir l'encercler de ses doigts.
--Tu es toujours aussi gros. J'aime ta queue, son dessin...
Elle m'a caressé doucement. Sa main autour de moi. Elle savait caresser, elle savait tout faire. Un mélange d'intuition, j'imaginais, et d'expérience. Elle avait évoqué plusieurs petits copains. Le sexe, on l'apprend à chaque nouvelle relation, mais aussi à chaque nouveau rapprochement. C'est comme tout...Il faut pratiquer.
Pour la cuisine, on parle de recettes signature. Pour le sexe, il y a le sexe signature. Pour elle, c'étaient ses seins. Elle faisait plein de choses avec. Et toutes étaient aussi plaisantes les unes que les autres. Proposer un sein à une bouche, pour qu'elle en caresse la surface, pour qu'elle vienne lécher, sucer, mâchonner le téton...Caresser un corps, frôlant de grandes surfaces, un dos, ou quelque chose de plus serré...par exemple comme elle me l'avait fait plusieurs fois, me surprenant vraiment, venant agacer d'un téton distendu par mes caresses buccales, mon gland, une caresse très forte...J'avais été encore plus surpris quand elle avait poussé son téton dans son méat, avec l'impression qu'elle me pénétrait réellement, alors qu'elle ne pouvait que rester à la surface.C'était du moins ce que je croyais. A tort. En effet, elle arrivait à distendre mon méat et à rentrer son téton en moi. Une réelle pénétration donc. Aidée par le fait que mon liquide pré-sécrétif coulait . Comme d'une fontaine, à cause de l'excitation. Ca lubrifiait bien et ça permettait au téton de rentrer.
La toute première fois, elle avait d'ailleurs du le prévoir, ça avait été tellement fort que j'avais joui quasi immédiatement. Elle avait gardé son téton planté dans mon méat. Quand elle l'avait retiré, le sperme se précipitant et étant retenu, il y avait eu un premier jet aussi violent que copieux qui l'avait frappée en travers des seins et qui l'avait faite rire, suivi par d'autres, aussi copieux., mais projetés avec moins de puissance. Les fois suivantes, j'avais beaucoup mieux contrôlé, ça me permettait de mieux explorer cette sensation de pénétration.
Et une fois encore, elle est venue sur moi avec un de ses tétons. Il y a eu une pointe d'émotion, qui m'a décalé de ce moment de pur sexe, où je me suis dit que non, je n'aurais pas du accepter, que ça me faisait mal de penser que plus jamais je n'aurais ce plaisir, celui de nos étreintes uniques, comme elles peuvent l'être pour chaque couple...Quelque chose qui m'a déchiré, mais que je me suis efforcé de repousser pour profiter pleinement de ce moment. Il fallait que j'enregistre tout. Il me resterait ce moment. Même si c'était dans la nostalgie et le chagrin. Ce seraient de sacrés bons souvenirs. Avec le temps la tristesse disparaîtrait et les souvenirs se magnifieraient.
Ce qu'elle me faisait vivre n'était sans doute pas éloigné de ce qu'une fille pouvait ressentir quand un homme venait en elle. C'était différent bien sûr. Mais je me sentais bien pénétré par le téton, qui était long et épais, et qui s'érigeait comme une queue peut s'ériger. Il y avait toujours un moment où le téton se stabilisait, et il était vraiment gros...Mais son alter égo aussi.
J'ai remarqué qu'en même temps, comme à chaque fois, elle se caressait, de la manière particulière qui était la sienne. Enfin, elle avait plusieurs manières de se caresser, et à certains moments, elle tirait simplement sur ses lèvres, ce qui semblait lui procurer un plaisir intense. Le détail qui me faisait craquer, en tout cas, c'était que ses jus ruisselaient le long de ses lèvres, et venaient tout autant poisser ses mains que dégoutter au bout de sa chair.
A présent que je me maîtrisais beaucoup mieux, on pouvait vraiment jouer sur l'issue de ce rapport, et partir sur plein de possibilités. Ce qu'elle aimait par exemple, c'était amener mon gland tout en haut de ma raie, là où le sillon s'amorçait dans sa chair, et j'y jouissais, autant parce que j'étais à bout que parce que j'aimais me caler là. Et puis j'aimais ce qui venait après. Voir mon sperme venir frapper sa chair, de manière éparpillée, pour ensuite glisser entre ses fesses, venir frôler sa muqueuse anale ; arriver jusqu'à ses lèvres. J'aurais pu penser que ça ne lui procurait pas de plaisir. Mais elle me l'avait autant dit que montré. Confessé plus tard qu'elle éprouvait du plaisir à sentir mon sperme chaud couler sur ses chairs sensibles, mais aussi parce qu'alors que ma semence coulait, son corps avait frémi, et surtout, elle s'était mise à se tirer sur les lèvres pour jouir, amorçant enfin une série d'orgasmes.
Ce qui se passait entre nous à ce moment était la copie exacte de ce qui s'était passé entre nous, mais pourtant radicalement différent. J'avais l'impression, peut-être à tort, qu'on était sur deux axes: pour elle la volonté de profiter de manière intense de ces moments pour les graver en elle à tout jamais, pour moi celle de ne penser qu'au plaisir pour ne pas m'effondrer.
On avait souvent un rythme binaire. Une première jouissance, et puis on partait sur autre chose. Pour aboutir à un deuxième orgasme. Y aurait-il plus ce matin ?
--Tu as envie ?, elle m'a demandé.
--Oui.
--Alors...
Ce qui nous avait sans doute rapprochés, elle et moi, c'était qu'on avait une sexualité décalée. On sortait des sentiers battus, et on avait des envies que d'autres n'auraient pas eues, voire qui les auraient horrifiés.
Elle était arrivée un jour avec une de ces robes longues qu'elle affectionnait et qui pouvaient masquer bien des choses. Ce jour-là, une robe longue et noire, qui lui arrivait aux chevilles, maix avec des petits plus, comme toutes les robes qu'elle mettait. D'abord, elle était fendue des deux côtés, très haut, et quand elle se déplaçait, on pouvait très bien voir ses jambes, et qu'elles étaient gainées de nylon noir, mais aussi les bandes élastiquées, noires, épaisses et sombres qui permettaient à ces bas, stay-up, de tenir. Vraiment troublant. De même, ce n'était pas le genre de robe qu'elle aurait porté dehors, je ne savais pas d'où elle sortait des robes aussi indécentes, le haut était totalement transparent, un voile, et on pouvait voir son ventre, son dos, et surtout deux seins, ses deux seins, bien lourds, appuyés contre le tissu. Difficile de rester indifférent.
Mais le meilleur restait à venir.
La robe tenait par deux fines bretelles...Elle les a faites glisser le long de ses épaules, Il a fallu qu'elle tire sur le tissu pour qu'il descende, parce qu'au final la robe pouvait rester accrochée à son corps sans bretelles. Je l'ai retrouvée nue devant moi. C'était toujours un plaisir totalement renouvelé, comme une première fois, même si je connaissais son corps par cœur.
Et cette fois, c'était encore plus une première fois. Parce qu'il y avait quelque chose en elle qui avait changé.
Ce n'était par la couleur de ses bas stay-up mais plutôt cette masse de plastique entre ses cuisses. Qui lui cachait en partie la fente. Devant mon air interdit, elle a eu un petit sourire, et elle a ouvert les cuisses, pour laisser jaillir ce qui s'est révélé une magnifique queue de plastique bleu pétrole. Une queue de bonnes dimensions, mais pas trop grosse non plus, plutôt sommaire, mais on distinguait bien le gland, la tige longue et quand même assez charnue, ainsi que deux couilles.
Ce qui m'a vraiment surpris, ça a plutôt été la manière dont il tenait. J'avais regardé énormément de pornos, et j'avais souvent vu des filles avec des gode-ceinture. Or là, je ne voyais pas de ceinture. On aurait dit que l'objet était posé...Sur sa chatte...Dans sa chatte ?
--Tu veux savoir comment ça fonctionne? Je pourrais te le montrer, mais je ne le ferai pas. Après. En fait, il y a un bloc qui est inséré dans ma chatte. Un bloc universel qui s'adapte à n'importe quelle chatte. Ton vagin se bloque dessus. Il y a aussi une partie à la sortie du vagin, qui vient appuyer contre ton gland clitoridien. C'est totalement stabilisé, même s'il n'y a pas de ceinture. Et il y a deux effets qui me rendent folle. Le premier c'est que j'ai vraiment l'impression d'avoir une queue, qu'elle m'est poussée. C'est troublant. Elle fait partie de moi, ce n'est pas comme si c'était un élément ajouté. Le deuxième c'est qu'au moindre mouvement, si infime soit-il, mouvement de mon corps, mouvement de la queue si tu la touches, frôlement, j'ai du plaisir. Ca me caresse à l'intérieur, et ça caresse aussi mon gland clitoridien. Et je peux te dire que c'est très intense. Donc c'est autant du plaisir pour le partenaire que pour soi. Bon, dis-moi, tu as envie que je te sodomise?
C'était assez curieux, une sorte de transmission de pensée entre nous... ? Peut-être...Je regardais beaucoup de porno, et j'avais bien vu une bande, deux semaines plus tôt, qui présentait une situation, pour moi inédite. On voyait une belle brune venir sucer longuement la queue de son copain, avant de s'empaler dessus. Rien que du très classique...Mais toujours excitant...Ca durait un bon moment, avant que le gars ne se dégage et ne vienne napper son ventre et ses seins de sperme...C'était la deuxième partie du film qui m'avait déconcerté et troublé. Parce que la fille attrapait alors un gode-ceinture plus classique, et venait le sodomiser...Et le gars jouissait. Ce n'était pas du chiqué. Il se tordait de désir, perdait totalement le contrôle. La meilleure preuve de son plaisir, c'était cette queue, encore plus dilatée que quand il l'avait pénétrée, qui avait craché du sperme à plusieurs fois. Je n'avais jamais vu un homme jouir avant autant, et de manière aussi forte. Les multi-orgasmes, c'était généralement pour les filles.
Et je m'étais dit: 'Que ce serait sympa d'essayer...' Sans plus...J'avais eu une copine d'ailleurs qui me caressait souvent sur ces zones, ma raie, mon anus, sans aller très loin, et j'avais bien compris que le plaisir par là était très fort.
Et puis j'étais passé à autre chose.
Et j'étais ramené à mes envies.
Je n'allais pas dire non.
Regardait-elle mon historique ? Ou bien etait-ce simplement une envie qui avait rejoint la mienne? Je ne saurais sans doute jamais, mais c'était justement bien qu'il y ait du flou, du non-dit, du mystère...
C'était moi qui avais pris l'offensive. Peut-être simplement pour vérifier ce qu'elle m'avait dit. Je crois bien qu'elle ne s'y attendait pas...J'avais attrapé le pénis artificiel, et je l'avais masturbé, comme j'aurais pu masturber une queue d'homme. L'occasion de constater qu'elle disait vrai sur l'impact que pouvait avoir le membre artificiel sur elle. Elle s'était aussitôt mise à frémir, puis à trembler, à gémir puis à crier, et sa jouissance avait été quasi immédiate, une série d'orgasmes s’enchaînant. Elle avait éjaculé, ruisselant autour du socle planté en elle, ses liquides intimes marques d'une jouissance très forte, coulant le long de ses jambes.
Et depuis ce moment, régulièrement, le pénis postiche réapparaissait. Elle m'en faisait la surprise. Mais c'était très très souvent. Parce que, d'évidence, ça nous procurait à l'un comme à l'autre un plaisir très fort, et ça renforçait notre complicité.
C'était aussi une belle manière de finir. Un sommet de plaisir qui resterait en nous.
Je me suis penché vers elle, et je me suis mis à sucer la queue de plastique, donnant des coups de langue dessus. J'avais déjà sucé des queues à l'adolescence, mais il était probable que si ca n'avait pas été le cas, j'aurais quand même su me débrouiller. L'objet était ultra-sensible, et ces simples coups de langue étaient suffisants.
--Ah, tu me rends fou, elle s'était écriée.
Ses liquides intimes, jamais aussi abondants que dans ces moments, ruisselaient, devenant de plus en plus abondants au fil de ma caresse...
--Putain !...Je suis entrain de jouir.
J'avais fait glisser la queue de plastique dans ma bouche, et je l'avais sucée, d'une manière classique. C'était troublant autant parce qu'elle jouissait, rapidement et pour longtemps, à l'autre bout du plastique, et que toutes les sensations, je les percevais, et elles se répercutaient en moi, mais aussi parce que j'avais la sensation étrange que la queue n'était pas qu'un bout de plastique rajouté à ses chairs, mais qu'elle avait vraiment une queue.
--Arrête, j'en peux plus.
Je me suis laissé partir en arrière, m'ouvrant, m'offrant. Elle a glissé sur moi, et sa langue a parcouru ma raie, dans un rythme irrégulier qui m'a plu. J'avais été très surpris la première fois qu'elle se livre ainsi à une caresse aussi intime, aussi personnelle aussi, plus que si elle m'avait pénétré tout de suite. Elle glissait dans ma raie, venai appuyer sur ùon anus. Oui, par là, c'était du plaisir à l'état pur, plus que par la queue.
Elle me caressait la queue en même temps. La toute première fois, j'avais joui immédiatement, tout en restant raide. Suivant le chemin du gars de la vidéo. J'avais appris à mieux maîtriser depuis.
Elle avait un petit tube avec elle. Je n'avais jamais trop voulu savoir ce que c'était. Je supposais qu'il devait s'agir d'un produit légèrement anesthésiant, car même si ses caresses buccales me dilataient, elle voulait sans doute gommer la douleur pour que je n'aie plus que du plaisir.
Elle s'est redressée, s'est rapprochée, et elle a appuyé la queue de plastique contre mon ventre.
Ma queue n'était jamais aussi grosse que dans de tels moments. Raide d'excitation. Un bon tiers de plus que d'habitude.
Si j'arrivais à maîtriser ma jouissance, ce n'était jamais totalement le cas là aussi contrairement à l'habitude. Alors qu'elle glissait en moi lentement, j'ai déjà eu un orgasme, submergé par ce plaisir, si fort. Crachant mon sperme dans les airs. Mais Lalie ne valait pas mieux. Il y avait un effet en retour, et elle jouissait autant que moi, m'arrosant, s'arrosant, arrosant ce qui nous entourait de ses jus intimes, qui coulaient, fluides, ou sortaient par éjaculations. Le temps de glisser au fond de moi, elle avait déjà eu un orgasme, criant et éjaculant. Nos liquides se mélangeaient souvent. Se sentir rempli, c'était quelque chose...D'inestimable. Je me suis caressé doucement, pour apaiser un peu mon excitation, si forte qu'elle en était presque insupportable dans de tels moments. Je me sentais énorme au creux de ma paume. J'ai joui encore une fois, sans pour autant diminuer de taille.
Elle s'est mise à me fouiller, me faisant perdre le peu de contrôle que j'avais encore. %ais elle n'était pas mieux. Elle cassait les rythmes, faisait des pauses, mais c'était plutôt quelque chose d'automatique. Elle a eu plusieurs orgasmes le temps qu'elle m'a fouillé, marqués par des cris et des éjaculations, et ce n'était guère différent pour moi. Ca a été vraiment quand on a été au bout qu'elle s'est arrachée à moi. J'étais énorme. J'avais rarement une queue aussi dilatée. Elle est venue resserrer sa main autour de moi, et elle m'a fait jouir, pour ne pas me laisser comme ça, mais ma souffrance a été partagée entre plaisir et douleur, quand les ultimes jets de sperme sont sortis.
Trempés de nos jus, on est restés allongés, sans parler. C'était une belle ultime fois. Forte, intense, à l'image de tout ce qu'on avait pu vivre, un peu plus intense sans doute parce qu'on avait conscience que c'était la dernière fois, et qu'on avait, elle certainement, moi je ne savais pas, puisque ce n'était pas ma volonté au départ, gravé en nous.
Ai-je vraiment été surpris quand elle m'a dit :
--Écoute...J'ai une proposition à te faire.
Je l'ai regardée, me demandant à quoi m'attendre
--Ce qui se passe entre nous....C'est trop bon...Des moments de plaisirs aussi intenses, on n'en connaîtra avec personne d'autre.
--Et ?
--Qu'on ne vive plus ensemble...C'est une chose...Mais on pourrait se revoir régulièrement pour faire l'amour.
Ce qui s'était produit la veille est remonté en moi.

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Histoire de JamesB

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