Une famille en Or (22)

Samedi 21 septembre 1991

Dans la semaine, ma mère, ma sœur et mon frère ont remis ça avec mon père qui commence à se sentir à l’aise dans cette nouvelle situation.

Dimanche dernier, c’est ma tante et ses enfants qui sont venus chez eux passer la journée et ils ont feint la surprise de voir tout le monde nu y compris mon père. Valy n’a pas manqué de l’allumer tout en jouant l’innocente. Comme il s’éclipsait car il n’arrivait pas à retenir une érection naissante, ma mère l’a rejoint à l’intérieur et l’a branlé en lui faisant mater Valy par la fenêtre de la cuisine tout en lui soufflant des cochonneries à l’oreille. Il a fini par éjaculer dans l’évier et il est revenu à l’extérieur avec la bite au repos un petit moment après ma mère.

Donc, nous arrivons cet après-midi et je joue moi aussi la surprise:
- Maman m’avait dit que tu t’étais mis au naturisme, mais je n’y croyais pas.
- Euh, oui, j’ai fini par me laisser convaincre par ta mère et ta sœur.
- Super, ça me gênait un peu de te voir en grand caleçon quand j’étais en string.

Donc, Ber et moi nous mettons à poil, et je remarque à un gonflement de sa bite que mon père est très intéressé par le minou bien lisse que je lui dévoile. Il a l’air un peu emprunté car il ne sait pas nous sommes au courant pour ce qui s’est passé entre eux récemment.

Le soir, il nous fait un barbecue sur la terrasse et pendant qu’il est en train de griller les saucisses, je vais à côté de lui et commence à me caresser les seins sous le prétexte que ça fait trop chaud. Il a mis mis un tablier pour se protéger des éclaboussures et je vois le tablier qui commence à faire une bosse au centre. Je n’insiste pas, mais quand plus tard il l’enlève pour nous rejoindre et manger, il a encore une bite qui a un peu de volume.

Puis nous rentrons pour boire le digestif sur les canapés du salon histoire de nous achever après les apéros et le vin.
Ma mère se met entre mon père et Ber sur un canapé et je m’assois sur l’autre en face de mon père, mon frère venant se caler entre ma sœur et moi.

Faisant comme si j’étais un peu relâchée par l’alcool, je pose un pied au bord de la table basse laisse mes jambes s’ouvrir largement sur ma fente. Mon père ne peut s’empêcher de lorgner sur ce spectacle et ça finit par le mettre mal à l’aise car il commence à sentir monter une érection. D’autant plus que ma mère avait posé sa main sur sa cuisse et qu’elle lui grattouillait machinalement les poils du pubis près de sa bite.

Son membre qu’elle sent prendre de l’ampleur et finit par opter pour la verticale. Ma mère vient un peu à son aide en tentant de masquer de la main en le plaquant contre le ventre, mais en vain. Mon père se rend bien compte que j’ai tout vu quand je lui jette un regard où je fais mine d’être étonnée. Ce qu’il n’a pas vu à cause de la position de ma mère, c’est qu’elle avait aussi tripoté Ber de l’autre main et que ce dernier ne se gêne pas pour nous exhiber sa queue bien dressée qu’elle enserre.
J’en profite pour lancer:
- Dis donc, papa, tu m’as l’air en pleine forme!
- Euh, excusez-moi, mais c’est à cause de vos positions un peu trop…décontractées, à ta sœur et toi. Je vous vois tout et je finis par oublier que vous êtes mes filles!
- Non, mais c’était pas un reproche. En fait, ça me gêne pas du tout que tu bandes. D’ailleurs t’es pas le seul, je constate.

Comme je le désigne, Ber se lève avec la bite à l’équerre et le gland décalotté:
- Ben oui, on va pas en faire toute une histoire! On est des mecs, on a sous les yeux de belles nanas à poil, donc on bande. C’est naturel!

Du coup, mon frère qui cachait sa bandaison avec sa bite coincée entre ses cuisses se décide à les écarter et sa bite se dresse comme un ressort, venant claquer conte son ventre:
- T’as bien raison, ça commençait à me gêner!

J’en rigole et je donne une petite tape à son gland décalotté:
- Eh bien, petit cachottier!

Ber rajoute en restant la bite bien en face de la tête de ma mère:
- D’ailleurs, il se fait tard et il serait peut-être temps d’en profiter, mesdames…

Tout ça restant sur le ton de la plaisanterie, ça détend un peu mon père qui se lève:
- C’est vrai, on devrait aller se mettre au lit!

Ber a maintenant son gland à quelques centimètres de la tête de ma mère:
- Au point où on en est, je pensais plutôt commencer directement ici…

Ma mère se lance enfin et dit à mon père:
- Il a raison! Et avec ta permission, Alain…

Et elle cramponne la bite de Ber puis lui gobe le gland sans hésiter. Mon père n’a pas le temps de réagir car je suis déjà à côté de lui et lui ai attrapé la queue pour le branler un peu avant de me mettre à genoux devant lui:
- Vu la situation, c’est normal que je te rende la pareille, non?

Tout en disant ça, je commence à lui donner des coups de langue sur toute sa bite.
Du coup, Sève n’a qu’à se tourner et se pencher sur le canapé pour emboucher mon frère à son tour.

Mon père a droit au grand jeu. Il a l’occasion de voir ma mère se démener sur Ber pendant qu’il me prend en levrette à côté de Bru qui en fait de même sur ma sœur. Il ne tient pas longtemps et je me dégage et me retourne pour recueillir son éjaculation sur mon visage et ma poitrine, n’ayant pas eu le temps de le prendre en bouche.
Sans s’arrêter, Sève s’occupe de le remettre en forme. Ce qui l’aide aussi, c’est le spectacle de ma mère me broutant le minou pendant que Ber l’encule.

Toutes les combinaisons y passent avant que le calme revienne, nos sens apaisés.

A suivre?