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Une histoire en Guadeloupe

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Lue : 8765 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/05/2010

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Je n’ai jamais écrit de récit, mais à force de vous lire, l’envie me prend brusquement de me lancer et de vous faire partager une de mes expérience. Cette histoire n’est pas tirée de mon imagination mais s’est réellement passée.

Mon prénom est Marc et je travaille comme consultant pour une importante société informatique. Mon travail consiste à installer des réseaux informatiques dans différentes entreprises dans le monde et de former les responsables informatiques quant à leur utilisation.

En novembre 2004 ma mission de 3 semaines consistait à installer un réseau d’entreprise dans une société basée à Pointe à Pitre en Guadeloupe. Ce n’était pas la première fois que je partais là-bas et commençait à bien connaître l’île. Pour plus de commodités et pour joindre l’utile à l’agréable je pris la décision de ne pas me loger à Pointe à Pitre, mais à quelques kilomètres de la…Au Gosier. Cet endroit charmant pour ceux qui ne le connaissent pas est l’endroit de départ de la Route de Rhum, un petit port de plaisance agréable, une Marina bordées de Restaurants et de Pubs qui allaient me permettre de me détendre à la sortie de mon travail et de profiter pleinement de la vie nocturne locale.

Nous sommes lundi, je viens de finir ma première journée de travail. Je rentre à l’hôtel à bord de ma voiture de location. Arrivé à la réception, la charmante Carole que j’avais eue l’occasion de rencontrer dans ce même Hôtel il y a quelques mois me fait un grand sourire, me souhaite la bienvenue et prends de mes nouvelles. Carole est une belle métisse d’un mètre soixante dix. De longs cheveux attachés, une peau satinée, un visage d’une beauté exceptionnelle au milieu duquel se trouvaient deux grands yeux sombres légèrement en amande qui avaient cette faculté de vous déstabiliser en moins d’une seconde. Carole me tends mes clés de la chambre 212 et me propose de m’offrir un cocktail de bienvenue que je pourrai déguster au bord de la piscine. Je décide par conséquent de déposer mes affaires dans ma chambre, de mettre mon maillot de bain et de m’accorder une heure de bon temps au bord de la piscine de l’hôtel.

En traversant le couloir qui reliait ma chambre au lobby de l’hôtel, je me mis à imaginer mes collègues étant restés à Paris avec des températures négatives, à Christian qui travaillait sur une étude des plus pompeuse, et me rendit compte tout d’un coup de la chance que j’avais à me trouver la, sous les tropiques, loin de la capitale, sa pollution, et du stress.

Je m’approche de la piscine et me rends compte que Carole, qui s’était fait remplacer à l’accueil se tenait maintenant derrière le bar qui se situait au bord de la piscine. Il y avait peu de monde à cette heure-ci. Un couple d’allemand sirotait un « tit punch » accoudé au bar, les jambes et les fesses dans l’eau…
Deux solutions s’offraient à moi, me vautrer sur une chaise longue, ou de profiter de la fraîcheur de l’eau tout en sirotant le cocktail que m’avait promis Carole…La question ne fut pas à l’origine d’une grande réflexion, et je vis très vite le sourire que m’adressa Carole en m’approchant du bar.

Outre ses yeux magnifiques, Carole avait de longue jambes fines une taille très fine, une poitrine généreuse et un magnifique fessier rebondit. Elle portait une robe proche du corps qui mettait en valeur ses innombrables atouts. Je ne pu m’empêcher de m’attarder sur ces courbes tandis qu’elle me tournait le dos en préparant un cocktail pour une cliente qui venait de s’installer au bar. Je restais quelques instants à la contempler, insistant sur ses fesses sexy et galbées et ne me rendis pas tout de suite compte qu’elle avait tourné son regard sur moi... lorsque je pris conscience de la situation, il était déjà trop tard, j’étais pris en flagrant délit et un sentiment de honte et de gène m’envahit sans tarder. Baissant les yeux, je fis mine de rien, mais ma nervosité me trahissait lamentablement. Tout en allumant une cigarette, je tentai de prendre un air naturel et n’ai pas cessé de scruter son visage à la dérobé, redoutant d’y découvrir une réticence ou un signe de contrariété. Non, Carole ne semblait pas m’en vouloir d’avoir reluqué lourdement ses fesses, et son sourire du coin des lèvres me rassura quelque peu. Elle s’approcha de moi avec un grand sourire, un cocktail à la main qu’elle me tendit poliment. « Pour combien de temps êtes vous là Monsieur P » me demanda-t-elle ? , Je lui répondis que je serai à l’hôtel pour 3 semaines, ne comprenant pas sa question puisque cette question, elle me l’avait posée lors du check in quelques heures plus tôt.

L’objectif de la question était simplement d’engager la conversation me dis-je en me surprenant à analyser ces questions alors que je suis de loin le moins doué pour aborder une femme de manière naturelle. Nous continuâmes la conversation quelques instants, parlant de choses et d’autres, ses yeux noirs et brûlants plongés dans les miens… Au bout de quelques minutes, je ne pu m’empêcher de m’excuser « d’avoir observé avec insistance une partie de son corps » et mis cette attitude sur le compte de ma surprise de voir une jeune femme en robe alors qu’à cette saison toutes les parisiennes étaient emmitouflées dans des manteaux, des gants et des bonnets. Mon excuse la fit rire, et d’un air amusé, elle me demanda si ce n’était vraiment que ça… Cette question me désempara quelques secondes, puis, le regard fuyant je lui avouai qu’elle était particulièrement agréable à regarder. Elle me retourna le compliment sans aucune gène et me dit qu’elle se souvenait parfaitement de ma dernière visite dans cet hôtel et qu’elle était très contente de me revoir ici. Notre conversation était coupée par des commandes que passaient les rares clients de l’hôtel, mais en peu de temps elle me proposa de me voir en dehors de l’hôtel pour prendre un verre et faire plus ample connaissance.

La nuit tombant je saluai chaleureusement Carole pour les 3 cocktails qu’elle m’avait offert, décida de regagner ma chambre après lui avoir dit que je repasserai au bar de la piscine le lendemain.

20H00 passé, chambre 212, je suis sous la douche…Je pense à Carole et me demande ou je vais bien pouvoir passer la soirée, je n’ai pas encore dîné. Je ne sais même pas si j’ai faim…Je ne cesse de penser à Carole, à ses yeux, à ses hanches finement dessinées sous sa robe, à ses fesses parfaitement dessinées sous sa robe. Oh !!! Je ne vous l’ai pas encore dit, je craque sur une belle paire de fesses, cette partie du corps est à mes yeux comparable à un joyau, à un fruit…Synonyme de féminité, seul obstacle à l’atteinte du ou des fruits défendus.
Cette pensée m’excitât, je sentis soudain une boule de feu cascader du bas de mon ventre jusqu’à l’entrecuisse. Tout en me savonnant, je passais doucement la main sur mon sexe raidit par l’excitation, puis l’empoigna plus violemment recréant les mouvements imaginaires de va et viens de mon pénis pénétrant l’intimité de Carole. De l’autre main je pris mes bourses déjà fortement rétractés par l’excitation que me procurait cette pensée et tirai doucement mais fermement dessus. Le plaisir ne se fit pas attendre et je fini par jouir en plusieurs jets abondants.

Il fait nuit, mais la lune qui se reflète dans l’eau de la Marina m’offre un magnifique spectacle. Le cliquetis des mousquetons sur le mat des voiliers se mélange à celui des de l’eau qui tape contre les coques des navires amarrées le long des pontonts. Il fait encore très chaud, les terrasses grouillent de locaux et de touristes dégustant langoustes et fruits de mer. Je décide de m’asseoir à l’une d’entre elle et me laisse tenter par des lambis cuisinés façon créole, accompagnés de riz et d’une bouteille de chablis 1er cru…Il faut bien se faire plaisir de temps à autre…

Le repas terminé, je décide de m’approcher du Zoorock, café se situant à une centaine de mètres de la Marina. M’installant confortablement au bar, je commande gin tonic, échange quelques mots avec le serveur sur la météo des prochains jours et fini par regarder le match de rugby diffusé sur grand écran. L’ennuie me gagne peu à peu et mes pensées sont pour Carole, je me demande ou elle vit, ce qu’elle est en train de faire, me demande si elle aussi pense à moi.

Soudain une vois m’extirpe de mon rêve et me demande si ma première soirée s’est bien passée. Je tourne la tête et vois Carole à mes cotés, me demandant si elle pouvait s’asseoir. Après quelques instants de stupéfaction, je lui répondis en balbutiant que oui et lui offris un verre. Elle était encore plus resplendissante que dans l’après-midi, ses cheveux ondulés étaient détachés, caressants ses épaules nues. Un subtile maquillage rendait son regard encore plus perçant, elle portait une belle petite jupe écru laissant entrevoir une partie de ses cuisses, ainsi qu’un chemise largement ouverte sur le haut, nouée autours de la taille. Sa chemise laissait percevoir le haut de sa magnifique poitrine serrée dans un soutient gorge de dentelle blanche. Son parfum m’enivrait, je buvais ses paroles sans pouvoir détourner mon regard de ses lèvres soyeuses et légèrement brillantes. Je n’avais qu’une envie, effleurer ses lèvres avec les miennes, du bout de ma langue dessiner leur contour. Une boule envahit mon bas-ventre, mon souffle s’accéléra, mes jambes fourmillait, ma respiration se faisait de plus en plus difficile. Je tentais de garder mon calme alors que Carole me posait des questions sur moi, mon job, elle me parla aussi d’elle, de ce qu’elle aimait, de sa vie, de son amour pour la Guadeloupe.

Nous restâmes à discuter ainsi pendant deux heures lorsque tout d’un coup elle se tut. Elle me fixait droit dans les yeux sans feindre un mot. Je m’évertuais à continuer à la fixer non sans difficultés. Elle me demanda si j’étais timide, je lui dis que non, mais mon langage corporel lui disait le contraire. Elle continua à me fixer de son regard de braise et je cru lire dans ses yeux un sentiment de désir qui semblait l’envahir. Elle passa sa langue sur ses lèvres, mordit ensuite subtilement sa lèvre inférieure et je vis son visage s’approcher de moi. Ses lèvres frôlèrent les miennes, doucement, tendrement. Je sentis son souffle chaud et saccadé qui me fit comprendre qu’elle était dans un état d’excitation comparable au mien. Ces simples baisers avaient provoqué en moi un désir brûlant. Sa langue cherchait maintenant la mienne. Nos langues jouèrent ensemble un bon moment et par moment je lui suçais cette langue qu’elle m’offrait. Sa main s’égarait sur ma cuisse, remontant lentement, se perdant discrètement dans mon entrecuisse. Son doigt appuyait un peu plus fort sous mes bourses. Elle me regarda avec un grand sourire amusé, son doit avait sentit la forte érection à la base de mon pénis. Un peu gêné, elle me rassura en me disant quelle était ravie de l’effet qu’elle me faisait et rajouta « t’es trop mignon quand tu rougies, d’ailleurs j’ai envie de te faire rougir encore d’avantage et te montrer que tu n’es pas le seul à être excité »

Elle se leva de son tabouret, disparue quelques minutes, puis réapparue avec un grand sourire tout en s’asseyant. « Tu as de grandes poches ? » me demanda-t-elle.
Avant même que je ne puisse répondre elle me remit discrètement un morceau d’étoffe dans sa main, puis me dit « cache-le ! » ce que je fis sans broncher, puis passa à autre chose. Au bout de quelques minutes, n’étant pas sur de ce qu’elle m’avait remis, je feints d’aller au toilette, m’enferma dans une cabine, sortis le morceau d’étoffe de ma poche pour réaliser que ce que je redoutais venais d’arriver. Carole avait enlevé sa culotte et me l’avais remise devant le bar. Sa culotte était blanche, brodée avec un peu de dentelle, la partie en contact avec l’entrejambe était encore toute humide et je me mis à mieux comprendre sa phrase. Je ne pu m’empêcher de la porter à mon nez et fermant les yeux, respirais le doux parfum de son intimité, un tourbillon envahit ma tête à ce moment la et je me dis « voilà le parfum de son désir pour moi ». De retour au bar, elle me prit la main et m’entraîna vers la sortie du bar d’un pas décidé et me proposa d’aller chez elle.

Carole habitait à quelques centaines de mètres de la seulement, son appartement était spacieux, décoré avec goût et donnait sur la mer. Elle me proposa un dernier verre. Je restais assis sur son canapé sans pouvoir dire un mot, excité, et en même temps appréhendant ce qui allait arriver. J’avais peur de ne pas la satisfaire, peur qu’elle ne veuille plus me revoir. Elle s’approcha de moi sans un mot toujours souriante, me fit face et s’assis sur moi et m’embrassa avec fougue. Tu as eu le temps de jeter un coup d’œil à mon cadeau me dit-elle ? Oui répondis-je sans rien ajouter… Parfait, me dit elle, mais ce n’est que le début des surprises, tu es à moi maintenant.

Elle posa mon verre, se leva, puis enleva doucement sa chemise, prenant son temps observant la moindre de mes réactions comme pour en analyser le sens. La chemise tombée me fit apparaître cette poitrine que j’avais tant essayé de deviner durant les dernières heures. Sans avoir le temps de réagir, elle dégrafa son soutient gorges qui laissa apparaître deux seins parfaitement ronds, légèrement pointés vers le haut. Sa poitrine était parfaite, sa peau satinée, chaque sein était arboré d’un téton bien dressé comme s’il demandait à être pris en bouche. Puis elle enleva sa jupe laissant apparaître ses hanches d’une infinie beauté ainsi qu’une petite toison parfaitement entretenue.

Je n’en pouvais plus, mon sexe gonflé depuis des heures commençait à être douloureux.
Elle me prit la main et m’invita à ma lever, déboutonna ma chemise qu’elle enleva avec précaution, puis fit de même avec mon pantalon en tissu blanc qui laissait apparaître un bosse très franche sous ma ceinture. Lorsqu’elle enleva mon boxer, elle trouva mon membre dressé vers elle. Je bandais comme un taureau, mon gland tirant vers une couleur rouge vif, presque violacé. Elle approcha son visage de mon sexe, doucement, ses lèvres frôlais ma hampe de la base jusqu’en haut. Elle glissa son visage le long de ma queue, huma son parfum pour me dire « j’aime ton odeur ». Je tentai de la relever pour me coller contre son corps, mais elle me dit « attends, pas tout de suite ! »

Suis moi me dit-elle, j’obéis sans rechigner, et la suivi dans sa chambre ou elle me demanda de m’allonger sur le ventre.
Elle alluma quelques bougies, puis enduit mon corps d’une huile délicatement parfumée. Elle me massa entièrement, la tête dans l’oreiller, je me laissais porter par ses caresses, ses longs gestes qui enveloppaient mon cœur alternant par des mouvements plus ou moins alternées. Son massage était magique et me mettait tantôt dans un état d’excitation et d’apaisement. Elle jouait avec mon dos, mes cuisses, mes jambes, mes fesses, attentive à la moindre de mes réactions. Identifiant mes moindres soubresauts et la réaction qui les avait provoquées. Ca y est elle savait tout de ce que j’aimais, la façon dont il fallait me caresser pour me rendre fou, mes zones érogènes, j’avais l’impression d’être sa proie.

A genoux derrière moi, entre mes jambes, elle avança doucement, m’obligeant à écarter mes cuisses et mes jambes et à lui dévoiler mes fesses et mon intimité. Elle me massa l’intérieure de mes cuisses, remontant doucement vers mon entrejambe. Chacune de ses caresses provoquait en moi des soubresauts, je tremblais de tout mon corps. Elle laissa couler de l’huile entre mes fesses, puis les massa doucement, s’attardant sur mon œillet qu’aucune autre femme n’avait touché auparavant. Ses effleurement sur mon intimité la plus stricte ne me laissaient pas de marbre et je découvris le plaisir de cette caresse encore inexplorée jusqu’à présent. Ses caresses devenaient de plus en plus appuyées alternant le bas des fesses, l’arrière de mes bourses avec lesquelles elle jouaient, les tirants, les massant, passant ses doits entre mes couilles et mon anus, appuyant de plus en plus fortement. Emporté par ses gestes divins, je décollais progressivement mes fesses, lui offrant encore plus de vue sur cette intimité que j’avais préservée jusqu’à maintenant. D’une main, toujours derrière moi, elle empoigna mon sexe, de l’autres elle continua à caresser mon œillet, jusqu’à y appuyer fortement avec son index. Elle attendit une seconde et voyant que je n’opposai aucune résistance, elle y introduit un doigt. Son doigt massait maintenant l’intérieur de mon intimité, son autre main tirait sur la peau de mon sexe, exerçant une pression sans précédent sur mon frein. Ce bonheur me laissa pousser quelques râles étouffés dans mon oreiller. Des images venaient m’extirper de mon état second pendant quelques fractions de secondes. Des images de Carole à la réception de l’hôtel, dans sa tenue de travail, puis l’image de Carole, déchaînée, voulant mon plaisir et allant jusqu’à s’occuper de mon anus.

Elle s’allongea sur mon dos, je sentis la chaleur et la moiteur de son corps contre le mien. Je la sentais frotter son sexe contre mes fesses, comme si elle voulait me pénétrer, me dominer…

« Retournes-toi » me dit-elle, ce que je fis. Je vis sa tête s’approcher de mon sexe. Son regard ne quitta pas mes yeux. Elle reprit mon sexe en main, et le lécha de bas en haut. Puis elle prit mes testicules en bouches, une, puis l’autre. Doucement elle décalotta complètement mon sexe, laissant apparaître un gland gonflé par le désir. Un peu de pré-sperme lié à cette excitation bestiale coulait doucement du haut de mon gland. La pointe de sa langue vint jouer avec le nectar. Elle avait l’air d’en adorer le goût et joua avec quelques secondes avant de prendre mon sexe tout entier en bouche. De temps en temps elle s’arrêtait, observant ma verge saillante qui exhibait ses veines gorgées de sang avec délice.

Finalement j’eu enfin le droit de m’occuper d’elle, toujours assise au-dessus de moi, je la pris par les hanches, la fit glisser le long de mon torse pour avoir à porté de bouche son sexe d’ange. Son sexe était magnifiquement dessiné, les lèvres étaient régulières et douces, et en approchant ma langue j’ai pu découvrir un clitoris en érection tendu entre ses lèvres. Ma langue passa dans tous les recoins, faisant trembler Carole, Je fouillais son intérieur avec ma langue, m’éternisais sur son bouton d’amour, ses gémissements me rendant fou de joie. De temps à autre ma langue lapait sa raie tout entière et je la soulevais un peu pour pouvoir à mon tour lui prodiguer des caresses avec ma langue sur son œillet, ce qu’elle semblait particulièrement apprécier. Elle a jouit à deux reprise sous l’effet de ma langue. Je m’appliquais du mieux possible voulant lui rendre tout le bien qu’elle m’avait prodigué.

Rassasiée, elle s’allongea sur le ventre, un coussin sous ses hanches et me demanda d’entrer en elle. Ses jambes étaient largement écartées, me donnant une visibilité à son anatomie. Ses lèvres étaient gonflées par le désir, son sexe luisant était telle une fleur attirant sa proie, son anus ruisselait de désir. Je saisis mon sexe avec ma main et massa cette fleur longuement, faisant monter son désir, laissant entrer mon gland partiellement avant de rentrer mon sexe tout entier. A ce moment je la vit saisir la couverture de ses mains, l’empoignant comme une corde à laquelle elle serait suspendue. Son bassin ondulait de bonheur et faisait des mouvements de va-et-vient que j’essayai de coordonner avec mes propres mouvement. L’étreinte fut longue, à la fois douce et profonde, alternant mon rythme, à l’écoute de son plaisir. Mes mains glissaient sur son dos, la griffaient légèrement, puis passait sous son ventre pour saisir ses seins fermes, lourds et gonflés par le plaisir. Elle jouit encore une fois lorsque j’étais en elle, puis m’obligea à me retirer. Elle se retourna me fixa droit dans les yeux durant quelques secondes. Elle était tremblante, la bouche entrouverte, le souffle haletant, sa peau de satinée ruisselait de sueur. Elle était belle et ce regard voulait en dire long.

Elle se baissa, pris mon sexe dans sa bouche et le délecta une fois de plus, le léchant sous tous les angles. Mon sexe disparaissait entièrement dans sa bouche magnifique. Elle accéléra le rythme tout en empoignant mes bourses avec sa main libre ; remontant le long de mes fesses. Je sentais que j’étais sur le point de jouir et voulu me retirer, mais au lieu de cela, elle appuya fortement sur mes fesses pour m’obliger à m’introduire plus profondément dans sa bouche. Lorsque j’étais sur le point de libérer mon nectar, elle appuya fortement sous la base de mon pénis, ce qui démultiplia ma jouissance. Je sentais de longs jets de mon sperme se déverser dans sa bouche. Pas une grimace, pas un sursaut. Elle avala toute mon élixir avec délectation et un regard de satisfaction. Lorsque ce fut fini, elle continua de lécher mon sexe pour ne rien perdre, puis vint m’embrasser longuement, jouant avec ma langue, me faisant partager ce nectar que je n’avais jamais goûté auparavant.

Nous finîmes la nuit emboîtés l’un contre l’autre….. Le matin au réveil, sa première question fût… « Tu fais quoi ce soir ? » son magnifique sourire arborant son doux visage.
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Histoire de marcphilippe

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