ACCUEIL > Hétéro > Récit : Une nuit avec Constance

Une nuit avec Constance

+5

Lue : 8519 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/05/2010

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

J’ai ajouté quelques éléments de fantasme à cette histoire, mais les personnages et les faits sont bien réels.

Elle roula vers moi sous la couette, entièrement nue et souriante. Je n’en revenais pas : mon amie Constance, petite brune aux grands yeux bruns, 21 ans et façonnée comme une déesse, sortait avec moi depuis le début de la semaine et nous allions coucher ce soir.

Elle s’appuya contre mon torse et m’embrassa tendrement en glissant sa main dans mon caleçon. Je la senti saisir mon membre et le presser jusqu’à m’en faire mal. Je l’embrassais à mon tour et elle plaqua son ventre contre mon sexe. J’aurais aimé pouvoir résister plus longtemps à la tentation, mais impossible, impossible de faire l’amour « classiquement » alors que la plus jolie fille de la fac avait accepté de me faire jouir. Abaissant mon caleçon, je me dressais au dessus d’elle et la collait ventre contre le matelas de son lit. Sans lui laisser le temps de réagir, j’introduisis mon pénis dans son vagin, lui pris les fesses à deux mains et commençait le mouvement. Quel bonheur, sentir la douceur de sa peau contre mon ventre et menant la danse dans mes mains alors que montais l’extase !
« -Arrête, gémit-elle, je voulais pas que ça se passe comme ça.
- J’ai trop envie de toi », soufflais-je à son oreille, haletant déjà sous l’effort et le plaisir.

Cela faisait, effectivement, plusieurs mois que je m’imaginais cette scène que je vivais à l’instant, chaque fois que je la voyais marcher de dos, ou envoyée au tableau par l’un de nos profs qui avait sans doute les mêmes dessins que moi. Je pénétrais enfin le corps le mieux fait que j’avais jamais vu !
« T’abuse, Nico, lâche-moi. » mais dans son dernier mot elle fut trahi par un souffle manifestant son plaisir.

J’avais gagné la partie. Alors, accompagnant le mouvement, se redressant, plaçant ses cuisses sur les miennes, elle s’appliqua à nous faire, et fit durer vingt minutes ce moment magique et attendu depuis des lustres. Ondulant, gémissant, alternant les rythmes elle paraissait expérimentée, Constance me fit vivre un moment de plaisir exceptionnel que des millions d’hommes auraient aimé connaître à ma place.
Mon orgasme fut puissant et résonna comme un gong dans mes tympans, mon éjaculation fut un coup de karcher dans son vagin, plusieurs jets qu’elle ressentit sans doute avant de s’effondrer sur son matelas, moi sur elle, finissant d’éjaculer sur son dos avec un râle de satisfaction. Epuisé, je m’endormis immédiatement.
Je me réveillais à son côté le lendemain, elle avait passé la nuit nue contre moi.
« On va prendre le pti dej’ ? » demanda-t-elle une fois qu’elle eu ouvert les yeux.

J’acquiesçais, remettant à plus tard la fellation que j’envisageais à présent. Je me rhabillais tandis qu’elle enfilait une simple robe de chambre, et une fois dans sa cuisine, elle me présenta à ses parents et sa petite sœur (blonde, bien roulée, que j’aurais sauté avec joie, elle aussi). Constance prépara quelques toasts et me les servit en silence tandis que sa famille quittait la table. Evitant mon regard, elle m’en voulait sans doute pour mon geste de la veille.
« Bon, écoute, lâcha-t-elle enfin, peut-être que c’est pas une bonne idée tout ça ».

Je compris immédiatement que j’y étais allé trop fort, qu’elle avait accepté sur le coup que je la prenne en levrette peut-être uniquement pour ne pas paraître soumise.
« Je t’apprécie beaucoup, mais là j’ai besoin de réfléchir… même si hier c'était bien j’ai pas aimé comment tu t’y es pris… Je préfère que tu t’en aille maintenant… »

Je me senti presque trahi sur le coup, n’ayant pu qu’une fois faire avec elle ce que je souhaitais depuis toujours ! Constance, responsable d’une centaine de mes érections depuis que je la connaissais, voulais s’en arrêter là avec moi… Je savais d’ores et déjà que cette décision était irréversible, elle qui, objet des fantasmes de la moitié des éléments masculins de la fac, pouvait obtenir les faveurs d’à peu près n’importe qui. Déjà passé par les lits d’une demi-douzaine d’étudiants depuis le début de sa vie à l’université, elle était sortie avec l’un de mes amis, qui m’avait dit qu’une pipe de Constance était la meilleure des choses auxquelles il avait eu l’occasion de goûter. Je me levais, fis le tour de la table et allais derrière elle lui embrasser le cou, glissant mes mains dans sa robe et en plaçant chacune sur l’un de ses seins. Puis, lui parlant doucement :
«- Je me retiens depuis qu’on s’est endormis et tu veux me chasser maintenant ? »

Elle frémit sous ma caresse, mais se reprit aussitôt :
« -Allez, va t’en, j’en ai marre.
-Attention je t’ai vu sourire. »

Elle soupira, puis me regarda avec un sourire confus et vexé. Je la levais de sa chaise, la pris par une main et l’entraînait vers sa chambre. Je m’en irais, c’était d’accord. Mais pas avant qu’elle m’ait sucé.

7 vote(s)


Histoire de Nicolas1877

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Une nuit avec Constance


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :