Une nuit de sexe lors d'un we torride !

Pierre et moi adorons passer des petits we ensemble, durant l’été, hors de Paris.
Pour ce we du 6 août 2022, Pierre avait réservé dans cette station normande que nous adorions un hôtel plutôt haut de gamme, avec vue sur la mer, une jolie chambre spacieuse d’angle avec une grande baie vitrée ouvrant également sur la rue de cette station normande, au 4ème étage.

Nous primes possession de cette chambre ce samedi en fin d’après-midi. Face à notre chambre, de l’autre côté de la rue, il se préparait visiblement une soirée dans un grand appartement, au même étage. Tiens-tiens…

Nous avons alors décidé de nous préparer pour partir diner dans un bon restaurant de la ville, que Pierre, comme à son habitude, avait repéré à l’avance.
Pour plaire à Pierre, je me suis habillée de manière aussi galante que sexy. Ce petite body en dentelle entièrement transparent m’allait à ravir sous une veste cintrée, et cette jupe était assez courte pour commencer à exciter Pierre pendant le diner.
Direction le restaurant, jolie table, sièges confortables. Un petit mojito nous libéra. Nous étions vraiment en we !

De fil en aiguille, nous abordions différents sujets, et bien sûr nous parlions assez facilement de sexe. En we, c’est ainsi, une sorte de tradition…
J’ai décidé de revenir plus directement sur mes fantasmes et le provoquer… ce qui le fit sourire. Et comme je le sentais vraiment relaxé, étant un petit peu « pompette », j’ai proposé à Pierre d’aller enlever ma culotte avant de commencer à diner. Ce qu’il accepta, bien sûr, le coquin…

Dès mon retour des toilettes, le regardant fixement dans les yeux, je lui demandai : « ça te fait quoi de savoir que je n’ai pas de culotte ? ça t’excite ? tu auras la bite encore plus dure ce soir ? tu sais que ma petite chatte commence à mouiller ? J’ai déjà envie de la montrer… » et j’écartai les cuisses en se mettant de côté : « regarde je l’ai bien rasée pour toi ce matin. Pour toi ou pour la montrer à d’autres si tu veux ». Décidément, j’étais en grande forme ! sans attendre, je me pénètre avec deux doigts… et je les suce aussitôt : « humm c’est bon, et en effet je suis bien mouillée »… Autant dire que Pierre était subjugué… j’adore ! Nous bûmes encore pas mal, certainement trop… ce qui me faisait perdre la raison. Tout au long du repas, je prenais soin de passer chaque aliment sur mon sexe avant d’y goûter. La situation devenait insupportable… Au moment du dessert, je décide de faire vite, et je veux rentrer maintenant… La serveuse revient à notre table, et je lui sors sans réfléchir : « merci c’était très bon, mais je ne prendrai pas de dessert, je le prendrai dans notre chambre, ce sera la queue de mon mari »… la serveuse, totalement désappointée, lâche en s’amusant … « madame a de la chance, je pense que ce dessert sera succulent 😊 ». Je lui réponds du tac au tac que je suis partageuse et qu’il y aurait aussi du dessert pour elle si elle voulait… mais elle décline cette invitation car encore retenue par son service. La tête de Pierre !

Nous repartons alors vers l’hôtel, et comme il fait chaud en ce soir d’été, Pierre, comprenant qu’il est en présence d’une sacrée chaudasse, me demande d’ouvrir ma veste pour marcher. Mes seins sous mon body sont bien visibles de tous, et comme par hasard plusieurs hommes croisés dans la rue ne manquent pas de me mater. En quelques centaines de mètres, je pense avoir fait bander plus de 10 mecs. C’est quand même le pied, non ?

Enfin, notre chambre.
Un énorme bisou, des caresses préliminaires. Et tous les deux nous remarquons qu’en face la soirée bat son plein. Pas mal de monde sur la terrasse, en train de fumer avec un verre à la main. Les gens s’amusent, rigolent, c’est la fête.
Pierre me demande : « tu ne penses pas que tu pourrais leur offrir un cadeau pour que cette fête soit encore plus inoubliable ? ». « Gros cochon…bien sûr, j’y pensais ! ». « Installe-moi un fauteuil sur le balcon, s’il te plait ». Une fois le fauteuil installé face à la rue, je m’y abandonne. Et le spectacle peut commencer. Debout derrière moi, Pierre me caresse les seins et les fait sortir du body. L’excitation monte. Je me lance. J’écarte les jambes, et je commence à me branler, avec 1, puis 2 plus 3 doigts. Ma chatte bien rasée est visible de tous. Très vite, un mec remarque mon petit manège, et fait signe à ses voisins. Pierre sort sa queue de son pantalon et je commence à la sucer goulument, en veillant bien à être vue de tous en train de faire cette pipe gourmande. Je glisse ma langue le longue de son chibre qui est décidément bien dur. Je le branle… pendant que je continue de me branler de l’autre main…
Un coup d’œil en face, et je vois que deux garçons nous matent et se branlent eux-mêmes… je regarde Pierre avec un sourire complice : « oh, dis-donc, ils sont excités nos voisins. Tu as vu leurs grosses queues ? je crois que je leur plais, non ? et toi, ça te plait que des mecs se branlent en me regardant ? ». Pierre me répond alors : « et bien oui, ils admirent la petite salope qui est sur le balcon en face, et ils voient bien que tu t’amuses à les exciter »… « dis-toi que tu pourrais aussi sucer leurs queues ! ». Je ne réponds pas. Pierre insiste : « ma petite chienne n’a pas envie de se faire baiser ? ». « Si, Pierre ». « Alors lève plus les jambes et montre bien ton cul à nos voisins ». « C’est tout, Isa ? mets-toi un doigt dans l’anus, et vite, ça va les exciter encore plus ! ». Encore une fois, je m’exécute, avec deux doigts au fond de mon orifice, je jouis comme une malade. Pierre bande à mort… et en face aussi c’est pas mal. Mais quel délire ! C’est alors que Pierre, toujours aussi imaginatif, me propose : « et s’ils venaient nous rejoindre ? ». « Pierre, tu crois ? c’est pas un peu trop ? ce n’est pas risqué ? ». « Non, faisons-le, ça va te plaire, comme à moi. Fais-leur signe, chérie ». Je n’écoute plus la raison, mais mon sexe, et aussi, c’est vrai, je veux vraiment faire plaisir à Pierre que j’adore. Alors je me redresse du fauteuil, et avec mon majeur tout mouillé, je leur fais signe de venir nous rejoindre… J’avance dans l’inconnu..
Vu leur réaction, nous allions certainement avoir de la visite. Et j’imagine aussitôt que je vais devoir gérer plusieurs queues dans quelques minutes… oups, ce sera la première fois.

Quelques minutes d’attente et l’accueil de l’hôtel nous annonce par téléphone des visiteurs, Pierre confirme qu’ils peuvent monter. Ça toque à la porte. Ce sont en fait 3 visiteurs, 2 hommes et une jeune femme.

Cette jeune femme se présente, Véronique. Elle semble un peu émèchée et très complice de ces deux amis… tout le monde s’installe dans les canapés.
Après quelques présentations de circonstance, Pierre fait monter du champagne.
La conversation s’engage sur des banalités… puis ils nous racontent leur soirée bourgeoise, pour pas dire « mondaine » avec des habitués de cette station.

Et je remarque vite que cette Véronique me jette des œillades … je n’y suis pas insensible. En effet, j’ai souvent fantasmé sur une relation sexuelle avec une femme. Véronique en rajoute en me tenant des propos très sympas : « c’est donc toi la jolie brune qui nous provoque depuis tout à l’heure ? il faut dire que tu es bien foutue, tes jambes sont magnifiques, quant à ta chatte… » Tout en me regardant fixement dans les yeux, elle commence à se caresser le sexe, jambes écartées, à travers une jolie culotte satin noire dont je vois qu’elle était fortement humide... Pierre et les 2 garçons se délectent de la scène avec une excitation non feinte.

Soudain, Véronique se lève et avance vers moi, relève sa robe et me colle son sexe sur le visage. « tu m’as excitée, car je pense que tu es une petite chienne, et une petite chienne lèche aussi les femelles, pas seulement la queue de son homme ». Je m’exécute… Quelle drôle de soirée !

Véronique devient alors plus directive, se tourne au bout de quelques instants, et me donne cette fois son cul à lécher … petit problème, un joli plug à tête de diamant bouche l’orifice. Elle me demande de l’enlever… et de le lécher… ça aussi c’est une première pour moi. Mais comment dire… c’est bon, tout simplement ! Puis je lèche ses fesses, Véronique se mordille les lèvres de plaisir, et balance : « vous avez vu les mecs, c’est bon de me lécher le cul ! Pierre, je crois que votre épouse est vraiment une salope du cul ».

Puis, elle se retourne, et me regarde de nouveau droit dans les yeux, continuant de faire de moi sa soumise, me doigte le sexe et déclare, faussement étonnée : « mais dis-donc, tu mouilles comme une salope ? ». « Très bien, tu l’auras voulu ». Et s’adressant à Pierre : « Pierre, ça vous dérange si mes deux amis donnent une bonne leçon à votre épouse, qui fait sa petite chienne depuis 2 heures ? ». Pierre, cet enfoiré, répond : « et bien oui, allez-y, baisez-la, tous les 3, et bien, faites la gueuler jusqu’au bout. Vous avez tous les droits sur elle tant que vous lui apportez du plaisir ». Les deux garçons se levèrent, leur grosse queue à la main. Ils passent d’abord par la bouche de Véronique, le temps de me laisser inquiète sur mon propre sort… Que vont-ils me faire… je me tourne vers Pierre : « chéri, tu crois que… enfin… ils vont me baiser à 3 ? je n’ai jamais fait ça ! ».
Pierre s’en amuse, et me répond : « chérie, depuis notre arrivée tu as joué à la salope, tu m’as excité avec ta chatte et ton cul, tu m’as tout demandé, et tu en redemandais encore : tu vas être servie. Sais-tu une chose ? ce soir tu seras la salope de nous tous, et tu vas bouffer de la queue et du sperme ». Vraiment quel enfoiré… Les deux garçons se dressent devant moi, et leurs paquets m’impressionnent… Véronique les branle, et elle me demande de leur lécher les couilles. De grosses couilles... Ce que je fais… j’en ai plein la bouche, mais c’est doux, et quelle sensation de dominer des mâles !
Les garçons ne s’en lassent pas, l’un des deux m’excite les seins en me les pinçant, et en tortillant les tétons… ça commence à devenir chaud, très chaud pour moi. Mais impossible de reculer, de fuir… et d’ailleurs, soyons honnêtes… je n’en ai aucune envie !
Véronique continue alors à ordonner cette scène : « Isa, maintenant tu te lèves, tu te mets à 4 pattes sur ce tapis, et tu montres ton cul ». « bien. Messieurs, qui veut commencer par pénétrer notre petite chienne parisienne qui vient jouer les touristes le temps d’un we ? Pensez à bien la faire gueuler, surtout ».
Ce qui se passe alors restera gravé à jamais dans ma mémoire : je prends une sacrée tournée, avec moi ce soir c’est « open bar », chacun des deux m’enfile profondément, au point de me faire hurler de nouveau.
Et ce salaud de Pierre qui s’en amuse…tout en se branlant doucement. Il adore cette scène, me voir me faire démontée par d’autres…
Chacune des deux bites qui sort de mes fesses va droit dans ma bouche à tour de rôle, je suce frénétiquement chaque grosse queue en sentant les coups de butoir dans mon cul, et ce petit manège dure au moins ¼ d’heure. Je ne vais pas tenir toute la soirée à ce rythme, je suis totalement explosée… Mais bientôt, ils giclent bien fort dans ma bouche.

Quelle expérience… à qui pourrais-je la raconter si ce n’est anonymement comme ici ? Chers lecteurs et lectrices, pouvez-témoigner de ce type d’expérience ? Je n’ai plus toute ma tête, je suis comme sonnée.

Pierre intervient à cet instant, siffle la fin de la récré, et déclare : « merci messieurs, merci madame, et merci chérie de m’avoir fait ce si beau cadeau ce we. J’ai adoré, jamais je n’ai jamais bandé aussi fort ». « Véronique, je crois qu’Isa est complètement KO, et je me demande si vous ne pourriez rester un peu plus longtemps ce soir pour que je prenne, moi aussi, mon pied ».

L’un des deux garçons qui semblait être son compagnon lui ordonna aussitôt : « Véronique, tu peux rester avec le mari d’Isabelle, et s’il te fait ce que nous avons fait à sa femme, tu devrais le sentir passer ». Puis ils prennent congés. La soirée se termina agréablement, moi spectatrice à mon tour, sans même trouver la force de me toucher… Et effectivement Véronique se déshabilla totalement, pour s’offrir à Pierre qui la baisa bien copieusement et lui promettant qu’elle allait ramasser. Ce qui fut le cas.

Comme s’il s’était agi d’un rêve, le lendemain nous primes un brunch avec des sourires complices, mais sans même revenir sur les détails de cette soirée dantesque…
Le candaulisme et la domination sont vraiment le top quand c’est pratiqué ainsi…