Une nuit en enfer 2

Laure halète allongée sur la piste. Une femme lui pose sa main sur son corps, encore secoué de spasmes, en la caressant. La femme regarde les orifices béants, qui laissent échapper un filet blanchâtre gluant. Avec douceur, la femme bascule Laure sur le dos, et commence à lui caresser les seins. Laure a les yeux vitreux, un rictus affreux déforme son visage, son mari se penche sur elle et lui demande :

-ça va ma chérie ?

Elle repond entre deux souffles :

-Oh mon Dieu mon chéri, je me suis fait défoncer comme jamais, et comme j'ai joui comme une folle, je ne me reconnais plus là, je suis devenue une grosse salope mon Dieu comme c'était bon !

Roger lui sourit et répond :

-Pourquoi c'était bon, mais ma chérie ce n'est que les préliminaires, attends-toi à jouir encore et encore !



Non loin d'eux, une femme se fait défoncer par un homme monté comme un poney, elle geint de plaisir à chaque enfoncement du monstre dans son ventre. Ses gémissements ressemblent à ceux d'une agonisante. Le baiseur costaud la démonte comme s'il voulait l'ouvrir en deux. La femme jouit en s'agrippant à lui comme une bête sur sa proie, ses râles sont impressionnants.


Les mains moites de la femme, sur le corps de Laure, la font frémir, elle est prise de tremblements. Laure, semble attirée par cette inconnue, qui commence à lui rouler les mamelons entre ses longs doigts fins. La femme est très experte, elle sait comment faire grossir les bouts sensibles. Sa bouche se pose délicatement sur les petits mats de chair, et les aspire avec une douceur extrême. Laure défaille, pendant que la coquine lui dévore les mamelons, une de ses mains glisse sur son ventre, en s'approchant du mont de venus. Les doigts agiles de la femme glissent sur sa fente, à la recherche de la boule magique. Elle la saisit entre son pouce et son index, et doucement la branle. Laure semble devenir folle, elle agite son bassin en grognant comme un animal. Son mari bande comme un cheval, il approche sa queue de la bouche de la gémisseuse, qui l'enfourne d'une geste rapide dans sa bouche. Elle suce, tète comme une affamée, soudain, elle se cambre fortement, la femme qui joue avec son corps, vient de la faire jouit. Au même moment, Roger éjacule, un flot de sperme dans la bouche de sa femme qui a beaucoup de mal à avaler la giclée poisseuse. La femme prend place entre ses cuisses et plaque sa bouche sur la vulve engorgée de sperme, elle aspire la semence pour se gaver de ce délicieux nectar. Sa langue par à la recherche du jus gluant au plus profond de la gaine vaginale.


Laure ne cesse de gémir, elle haléte en frémissant sous les coups de langues habiles de la femme. La femme aspire son clito qui est devenu hors norme, elle le suce avec une certaine douceur. Laure croit mourir de plaisir, la femme doit se retirer tellement que la giclée de cyprine, qu'envoie laure et puissance. Elle est vite remplacée, par l'homme au membre monstrueux. Il l'enfonce d'un seul coup dans le ventre de laure qui se cabre en poussant un râle d'enfer. Le puissant engin qui lui dilate la chatte, la fait gémir comme une bête tombée dans un piège. Roger, regarde méduser l'engin énorme voyager dans le ventre de sa femme qui ne retient pas ses râles. Laure est presque comateuse, ses yeux sont révulsés, un rictus affreux déforme son visage. L'homme ressort entièrement sa verge du temple de l'amour, et la replante avec violence dans le ventre de Laure qui pousse un long gémissement rauque. Il la démonte comme un sauvage, les coups de reins redoublés, font cabrer Laure de jouissance. L'inconnu, déverse un flot interminable dans le ventre de Laure, qui éclate en sanglot. L'homme puissant la retourne comme un fétu de paille. Il la prend sous les hanches et tire fortement.
Laure se retrouve à genoux, sa tête sur le plancher posée sur ses bras. La position fait que sa croupe est bien relevée.

L'homme regarde l'anus, il place sa queue contre et pousse. L'anneau rectal ne résiste pas longtemps, la verge énorme s'enfonce centimètre par centimètre dans la gaine étroite qui se distend au fur et à mesure de l'enfoncement du pal. Laure à la bouche grande ouverte, l'homme donne un coup de reins, ses couilles viennent au contacte des fesses de Laure, qui grimace. L'homme commence un va-et-vient d'enfer, dilatée comme jamais, Laure tremble de tous ses membres, elle a l'impression que l'homme veut lui casser le cul. Le ramonage est douloureux, mais rapidement la douleur diminue pour disparaître totalement au fil du ramonage. La queue qui coulisse dans son rectum, gorgé de sperme, fait un bruit de succion. Le plaisir reprend le dessus, Laure agite sa large croupe en geignant. La queue voyage de plus en plus rapidement dans la gaine anale brulante. Roger n'en croit pas ses oreilles, sa femme hurle :

-Oui, oui, casse-moi le cul, oh putain que c'est bon !

Elle ne finit pas sa phrase qu'elle jouit comme une dingue en arrosant le plancher de son jus. L'enculeur accélère, il redouble ses assauts, soudain, il se bloque, grogne comme un fauve en remplissant le cul de Laure de sa semence abondante. Il se retire du fondement, Laure s'écroule en gémissant. Difficilement, Roger l'aide à rejoindre sa table, il reccupére ses vêtements, pendant que Laure avale plusieurs verres de champagne. Il embroche une femme et la défonce jusqu'à ce que les deux jouissent. Laure est en sueur, elle semble être dans un autre monde. Petit à petit, elle reprend ses esprits, ses yeux luisent, elle regarde son mari et lui dit faiblement, ses mains tremblent :

-Oh mon chéri, je suis une vraie pute, je me suis fait défoncer comme jamais, j'ai honte de moi !

Roger la rassure :

-Non ma chérie, tu t'es éclatée, tu t'es ouverte aux jeux du sexe, c'est merveilleux, tu ne dois pas culpabiliser, pour toi, c'était une première, nous reviendrons je te le promets !

Laure tend ses lèvres au gout de miel à son mari, les deux s'embrassent fougueusement. Une fois Laure habillée, les deux sortent de l'établissement des plaisirs, bras dessus bras dessous