Une nuit d'enfer.1

Laura est une femme mature aux formes généreuse. Souvent, elle rencontres des amies pour passer un après midi entre femmes pour papoter. Au fil que l'heure tourne, la discussion, dérape, les langues se délient. Deux amies avouent fréquenter régulièrement un club, et entrent dans les détails. La confession salasse chauffe les esprits, la tension monte dans la pièce. Laura qui est un peu prude rougit, toute ouïe, elle ravale sa salive en poussant plusieurs soupirs. Sa vulve laisse échapper le trop-plein de cyprine, sa culotte s'humidifie de plus en plus. Une< fois ses amies parties, elle se laisse tomber sur le canapé, rêveuse.
Elle imagine des trucs que jamais, elle n'aurai osée faire.

Enfin son mari Roger rentre, elle se jette dans ses bras et se fait câline, il ne comprend pas la situation, il est perplexe. Elle qui d'habitue est un glaçon, là, elle se blottit contre lui en ondulant du bassin, il la serre fortement dans ses bras. La chaudasse cherche ses lèvres et l'embrasse comme jamais, elle ne l'avait fait au paravent.
Le coquin profite de cette occasion inattendue, pour basculer sa femme sur le canapé et de lui retrousser la jupe. Rapidement sa main glisse sur la culotte humide, il comprend qu'il s'est passé quelque chose. Il sourit puis descend lentement la culotte mouillée. Il se laisse tomber à genoux face à sa femme, qui mécaniquement, elle ouvre les jambes. Sa bouche se plaque contre la vulve dégoulinante et aspire tout ce qui s'en échappe. Laura gémit comme une bête, elle agite son bassin, en grognant. Trop excitée, elle jouit rapidement en se cabrant.

Roger qui bande comme un taureau se redresse, extirpe son membre de son pantalon et le plante dans le ventre de la jouisseuse, qui s'agite comme une forcenée sur le pal puissant de son mari. Roger la besogne comme un soudard, Laura jouit une nouvelle fois, elle s'accroche fermement à son mari, en poussant des râles terribles. Roger, enfin, lui remplit le ventre de sa semence épaisse. Les deux amants restent côte à côte un long moment sans se dire un mot.

Roger, ravit, de ce qui vient de se passer, se pose quand même des questions sur l'audace de sa femme qui, d'habitude, lui faut plusieurs coups de démarreurs avant de partir. Il la questionne sans la brusquer :

-Tu as reçu tes amies aujourd'hui ma chérie, aller raconte !

Petit à petit, en rougissant, Laure raconte se qu'il s'est passé, sans rien d'omettre. Roger sourit, il comprend pourquoi que sa femme était en chaleur. Maintenant, le coquin caresse doucement les cuisses dénudées de laure, en lui proposant de l'emmener dans cet endroit de luxure, que ses amies visitent régulièrement. Laure écarquille les yeux, et dit :

-Tu veux m'emmener dans ce club, et que serai-je censée faire dans cet endroit ?

Roger répond en souriant :


-Mais ma chérie, il ne tout de même pas que je te fasses un dessin !

Elle hausse les épaules en rougissant et réplique :

-Et toi, tu aimerai y aller ?

Roger répond avec un large sourire :

-Tu ne peux pas savoir ma chérie comme j'aimerais te voir te faire prendre pas d'autres, cela m'excite, rien que d'y penser, c'est un truc à tenter, tu ne crois pas !

Laure soupire profondément et dit :

- Oh, j'aurai trop honte, il faut y réfléchir longuement !

Les jours passent, Roger revient souvent à la charge, laure reste dubitative, la tentation et grande, mais la honte aussi. Un jour, elle ose parler à ses amies de la proposition de son mari, elles l'encouragent fortement de franchir le pas, elles ajoutent, que pour elle, cela lui sera sûrement bénéfique. Laure est remontée à bloc, lorsque son mari rentre de son travail, elle l'enlace et lui dit en ronronnant :

-Je veux bien tenter l'expérience mon chéri !

Roger l'embrasse, il est ravi de la décision de sa femme et dit :

-Nous irons samedi dans ce club !

Le jour convenu, Laure passe une grande partie de la journée dans la salle de bain, plus l'heure approche, plus, elle stresse. Ses amies lui ont conseillé de s'habiller sexy comme une pute, sans trop cacher ses atouts, elles lui ont même prêté des fringues adéquates. Elle enfile des bas noirs à grosses mailles, et un string de rouge. Sa jupette très courte ne cache rien de ses cuisses, à chaque pas, on aperçoit son string. Son corsage transparent dévoile sa poitrine généreuse, elle ne porte pas de soutien-gorge, il faut qu'elle soit attirante d'après ses amies. Roger regarde sa femme autrement, il se pince les lèvres, puis siffle d'admiration, il l'enlace et lui dit :

-Oh putain chérie comme tu es bandante !

Elle chausse des hauts talons, elle tremble un peu, son cœur bat rapidement dans sa poitrine, Roger, en souriant, lui pince doucement les mamelons, qui tentent de forer le fin tissu du corsage. Laure lui dit faiblement :

-Roger, je ne crois pas que cela soit une bonne idée d'aller dans ce club, j'ai peur !

Roger lui donne un baiser bruyant sur les lèvres et lui répond :

-Ne t'inquiète pas ma chérie, je serai à tes côtés !

Pas très rassurée, elle monte rapidement dans la voiture à l'abri des regards indiscrets. Ils roulent une bonne heure pour arriver au lieu de débauche. Roger règle l'entrée, Laure tremble de tous ses membres. On les même à une table en bord de piste, le champagne est obligatoire. Il n'y a que la piste de bien éclairée, pour les tables la lumière et tamisée. Des couples évoluent sur la piste, trois femmes, seins nus, se frottent contre leurs cavaliers, en les incitants à les dévorer. Deux autres caressent la verge tendue de leurs partenaires, qui bandent fortement. Laure n'en croit pas ses yeux, c'est exactement comme lui ont racontées ses amies.

Une femme se jette sur le plancher à genoux, elle saisit la queue noueuse de l'homme et l'enfourne dans sa bouche, la vorace le suce jusqu'à ce que l'homme pousse un long râle de jouissance. La femme avale la semence en souriant. Laure ne perd pas une image, elle mouille comme une fontaine, Roger lui passe sa main sur la cuisse et atteint rapidement le string, il est trempé. Roger lui murmure à l'oreille :

-Ça t'excite hein ma chérie !

Laure ne répond pas, trop occupée de regarder le spectacle, elle ravale sa salive bruyamment. Les doigts de Roger s'insèrent dans son string, et font l'ascenseur sur sa fente dégoulinante de jus. Une femme seins nus, en pantalon de cuir noir très serré, va au centre de la piste. Sur le devant de son pantalon et sur le fessier une fermeture éclaire. Deux hommes s'approchent d'elle, ils sont nus et bandent comme des cerfs. La femme saisit les deux verges et les branle énergiquement. Elle les suce à tour de rôle, elle sent que les deux hommes n'en peuvent plus. Elle se redresse, et tire sur les zips, elle decouvre sa chatte rasée et son anus boursouflé. Elle invite un des hommes à s'allonger sur le plancher, elle l'enjambe, et saisit sa verge. Elle descend son corps et s'empale en poussant un gémissement, elle se plaque contre le torse du mâle et commande l'autre de la prendre par le petit trou.

Laure n'en croit pas ses yeux, elle salive abondamment, sa chatte n'est qu'un petit ru, que Roger taquine. La femme prise par les deux orifices grogne de plaisir, les deux amants la défoncent avec rage. Le pilonnage violent fait rapidement jouir la donzelle. Les deux se retirent de la jouisseuse sans avoir joui. Ils s'approche de Laure qui écarquille les yeux à leur approche. Roger retire ses doigts du string et regarde les deux hommes en souriant. L'un des hommes prend Laure par la main, tétanisée, elle reste sans voix. L'homme lui tire sur le bras, Laure regarde son mari avec un air inquiet. Il lui fait un signe approbateur en souriant. Lentement, elle suit le mâle qui ne débande pas. Il l'entraine sur la piste, et l'enlace. L'autre type lui fait tomber la jupette, et s'accroche au string, il le descend en lui donnant une multitude de baisers sur ses fesses.

Laure tremble, elle respire mal. D'un coup sec, l'homme face à elle, lui arrache le corsage et libère la poitrine, qu'il se met à dévorer. Laure se cabre, la bouche vorace du type la rend folle, ses mamelons enflent à chaque succion, ses bouts deviennent très larges et épais. Laure geint fortement, l'autre homme lui caresse les fesses, deux doigts glissent entre les demi-sphères charnues et appuient sur son anneau rectal, une première phalange d'un doigt, disparait comme aspirée par le rectum, Laure se cabre en geignant. Le doigt disparait entièrement dans la gaine anale, qui se ressert sur lui comme pour l'emprisonner. Roger est excité comme un cheval en rut. Le doigt s'agite doucement dans le fondement de Laure qui gémit de plaisir, sa chatte est en feu. Le doigt fait quelques aller et retour, avant qu'un second visiteur rejoigne le premier. Laure croit défaillir, elle agite doucement sa large croupe. L'homme délaisse ses mamelons et lui relève la jambe à hauteur de sa taille et la maintient fermement. Laure s'accroche au cou de l'homme pour ne pas chuter.

Le bougre place sa queue contre la chatte en ébullition de Laure et l'embroche sans se poser de questions. Laure se cabre en poussant un râle rauque, l'homme, retire ses doigts de l'anus, et présente à l'orifice encore entrouvert sa queue gorgée de sang. Il s'agrippe aux hanches de Laure et pousse, elle se cabre lorsque la queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans son rectum. Laure geint, elle a l'impression que les deux queues sont dans le même orifice. Les deux hommes ne la ménagent pas, ils la démontent comme des sauvages. Laure râle comme une bête blessée.
Elle est aux anges, deux bites dans son corps en même temps, pour elle c'est une nouveauté. Elle couine sous les assauts terribles des deux mecs, dilatée par les deux engins, Laure est au bord de la syncope. Le va-et-vient terrible, et féroce, elle gemit de plus en plus fort. Soudain, elle se cambre et explose, sa jouissance est monstrueuse. Les deux baiseurs s'acharnent sur elle, ils lui défoncent le cul et la chatte jusqu'à ce qu'elle jouisse une nouvelle fois.

Roger ne reconnait plus sa femme, elle qui si prude se donne comme une chienne à des inconnus. Le pilonnage est si intense que Laure jouit encore une fois, elle dit des mots inaudibles, son corps couvert de sueur est parcouru de nombreux frissons, elle a plusieurs orgasmes à la suite, et des spasmes violents.
Enfin les deux hommes se vident dans ses entrailles, il la pilonnent encore un peu avant de l'abondonner sur la piste, elle s'ecroule sans force. Une femme s'approche d'elle ainsi que Roger