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Une rencontre inattendue

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Lue : 13688 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/12/2011

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Les yeux rivés sur cette énorme porte sculptée, je suis pétrifiée. Nerveuse et excitée, je n’arrive pas à me décider à sonner. Devrais-je faire machine arrière ? Est-ce vraiment raisonnable ? Les interrogations se bousculent dans ma boîte crânienne tandis que j’appuie sur la sonnette.

Après des heures passées à me rendre belle et désirable, après des jours à m’être préparée psychologiquement à cette rencontre et l’avoir imaginée si longtemps, je suis là de l’autre côté de SA porte. Dans quelques secondes, il m’invitera à entrer dans son monde et je vivrais mon plus grand fantasme.
Lorsque la porte s’ouvre, je suis alors surprise de voir que c’est un homme en uniforme qui m’accueille.
- Vous devez être l’invitée d’honneur ! Monsieur sera là dans quelques instants. Suivez-moi je vous prie.

La maison est immense et dégage des signes indiscutables de richesse. Je me sens quelque peu incommodée par tant de luxe. Je n’aurais jamais imaginé que l’homme que j’ai rencontré il y a peu sur Internet soit si riche ! Le « serviteur » me débarrasse de mon manteau et me fait signe de le suivre dans le salon. Je prends place dans un fauteuil en cuir noir et attends patiemment mon hôte. Je regarde autour de moi pour me donner une contenance mais suis rapidement coupée dans ma contemplation par l’homme qui m’a faite entrer.
- Monsieur désire que vous montiez directement dans ses appartements.

Tout en montant à l’étage, je commence à imaginer tous les scénarios possibles et imaginables. Après tout, je n’ai aucune idée de ce qui m’attend. Peut être est-ce un piège ? « Je sais ce que tu désires. Je réaliserai ton plus grand fantasme. Sois simplement là au jour dit si tu as envie d’aller plus loin que tu n’as jamais été ». Intriguée, j’ai tout de même voulu en savoir plus. Je ne l’ai jamais vu et pourtant, il semble savoir qui je suis.

Arrivée dans la chambre de Monsieur, l’homme en uniforme prend congé et ferme la porte derrière lui. Je suis seule, mon hôte n’est pas là. Une feuille sur le lit attire mon regard : « Il y a des vêtements dans la penderie. Tu as l’embarras du choix. Je ne saurais te conseiller de choisir ce qu’il y a de plus bandant pour tes dessous. Quand tu seras prête, je le saurais ». Y’aurait-il des caméras ? Je n’en vois aucune. Un peu déçue de m’être préparée si longtemps et de devoir me changer, j’obéis quand même.

Le dressing se trouve juste derrière moi. Lorsque j’entre dans la pièce, je me sens comme une petite fille dans un magasin de jouets. Il n’y a que des vêtements pour femme ! Et tous à ma taille… comment a-t-il su ? La vision de toutes ces merveilles m’empêche d’y penser plus encore et je mets un long moment à me décider ne voulant pas le décevoir. J’opte pour une robe noire qui moule mes formes généreuses et des talons vertigineux. J’ai choisi un soutien gorge de grande marque en dentelle noire et rose avec le porte-jarretelles assorti. Je n’aurais pas de culotte pour cette fois. Le simple fait de porter ces dessous si beaux et si chers me trouble. Un dernier coup d’œil dans le miroir, une main dans les cheveux pour les lisser et je sors de la pièce.

De nouveau, une feuille m’attend sur le lit. Comment est-ce possible ? Je n’ai rien entendu ! « J’aime ta coopération ! Tu vas maintenant tirer les rideaux pour rendre la pièce obscure et t’allonger sur le lit. Tu mettras ce petit bandeau sur tes jolis yeux. Je te rejoindrai d’ici peu. » Je m’exécute non sans me demander pourquoi il fait tant de simagrées. Je place le bandeau rouge vif sur mes paupières et attends. Les minutes passent. Soudain, j’entends du bruit ! Enfin le voilà. Je ne peux m’empêcher de pousser un soupir de soulagement. Je me concentre sur les bruits autour de moi et tente d’imaginer ce qu’il fait. Ca y est, nous allons commencer !

Le souffle chaud sur ma cheville remonte lentement le long de ma jambe, passe sur mon décolleté et s’arrête dans mon cou. Il respire mon odeur. Il s’imprègne de mon parfum. C’est une belle entrée en matière. Il prend ma main et me fait comprendre qu’il veut me voir debout. Je reste ainsi pendant quelques secondes, ne sachant quoi faire. J’imagine qu’il m’observe. J’entends sa respiration. Ses doigts caressent la douceur de mes bas et passent avec une lenteur que je sens calculée sur mon corps. Mes joues. Mes lèvres. Mes épaules découvertes. Mon opulente poitrine qui ne demande qu’à être libérée. Mon ventre. Mes hanches. Enfin mes fesses et l’intérieur de mes cuisses que j’ai pris la peine d’écarter pour permettre le passage de sa main. Il se trouve derrière moi et son odeur est des plus agréables. Je sens aussi la chaleur que dégage son corps et j’aimerais pouvoir coller mes fesses contre lui. M’assurer de son désir. Mais il garde ses distances. Il n’est à l’évidence pas encore décidé à passer à la vitesse supérieure. Cependant, j’attends la suite avec impatience tout en profitant de ses caresses à peine perceptibles. J’imagine qu’il veut me mettre en conditions. C’est réussi !

Soudain, sa main sur mon dos, il m’oblige à me pencher en avant. Je manque de perdre l’équilibre perchée sur mes hauts talons mais parviens à prendre appui sur le matelas. Il semblerait qu’il se soit décidé à être plus entreprenant. Il remonte vivement ma robe et une violente claque s’abat sur mes fesses. La douleur est cinglante mais il commence franchement à m’exciter. Je me risque à faire bouger mon popotin sous ses yeux mais une deuxième volée s’abat de nouveau. J’ai eu mal cette fois et mon gémissement le lui a fait comprendre. Il s’éloigne et pour la première fois, j’entends sa voix chaude et virile. Elle est troublée par l’excitation. Cette fois, c’est sûr il est mûr. Il m’ordonne d’écarter mes fesses des deux mains tout en restant penchée en avant. Un ange passe puis je sens son souffle sur ma cuisse. Mes gémissements et mes soupirs me trahissent. Il sait que je suis mûre aussi. Il remonte et je m’attends à un traitement lingual du meilleur cru. Et je ne me suis pas trompée. Il me pousse en avant ce qui me fait tomber sur le lit. Il écarte violemment mes jambes et s’approche sans plus aucune délicatesse de mon intimité. J’adore sa violence.

Il me lèche avec envie et je n’en suis que plus excitée. Je m’amuse à me frotter contre sa langue agile quand j’entends du bruit. Mon amant ne s’arrête pas pour autant mais le bruit se rapproche. Ce sont des pas. Il y a quelqu’un d’autre ! Je tente de me dégager mais mon cher « pussyman » m’en empêche. Ses mains emprisonnent mes fesses et je suis plaquée contre le lit, je n’ai aucun moyen de bouger. Des doigts s’enfoncent dans mes cheveux, les agrippent violemment et une voix chuchote à mon oreille :
- Tu vas être sage et obéir.

Je commence à m’inquiéter. Deux hommes ? Ca n’était pas prévu. Pourtant la situation m’excite. Le deuxième homme a pris possession de mes lèvres et m’embrasse à pleine bouche. Le premier n’a pas arrêté son office et achève de me rendre folle en provoquant mon orgasme.

J’ai à peine le temps de reprendre mes esprits que les quatre mains sont déjà en train de retirer ma robe. Mon soutien gorge suit le même chemin. La langue de chacun trouve sa place sur mes seins lourds tandis que leurs mains dirigent les miennes vers leurs membres érigés. Quand ont-ils eu le temps de se déshabiller ? Je flatte lentement leurs attributs. L’un de mes deux amants m’oblige à me mettre à genoux et s’enfonce sans aucune forme de délicatesse dans ma bouche. Ils m’obligent à alterner et j’ai beaucoup de mal à reprendre mon souffle tant ils ne me laissent pas le temps de respirer.

J’aimerais faire une pause, mais ils ne m’en laissent pas l’occasion. Une main me prend par le bras, me jette contre le lit et je me sens enfin prise. Ce n’est qu’après quelques minutes d’intenses ébats, d’insultes et d’obscénités en tous genres, que je me rends compte qu’il y a maintenant trois hommes. Non, c’est totalement impossible ! Et pourtant… L’un s’occupe de mes seins, l’autre se charge de s’enfoncer dans ma bouche tandis que le troisième rempli mon ventre qui était désespérément vide depuis déjà plus d’un an. Mes amants d’un soir alternent afin que chacun en profite. Aussi, on ne me déplace plus. Je ne suis plus qu’un objet. Un deuxième puis un troisième orgasme me prennent aux tripes tandis que deux hommes déchargent leur jouissance sur mes seins rougis par mon propre plaisir dans des cris d’animaux blessés. Le troisième ne tarde pas à jouir de la même façon. Je m’endors sans même m’en rendre compte.

A mon réveil, j’ai l’impression que l’on m’a lavée. Les rideaux sont ouverts, et la chambre est inondée de lumière. Je suis nue sous un drap de soie mauve. Un homme se tient debout face à la baie vitrée et me tourne le dos. Il se retourne et me sourit avec tendresse. Il est particulièrement bien habillé et vraiment beau. Ce doit être lui, mon hôte. Mon Dieu ! Je me souviens de ma nuit… Ces trois hommes.

- Tu as dormi comme un bébé. Je ne voulais pas te réveiller.
- C’est gentil. J’imagine que tu es celui que j’étais venue voir.
- En effet !
- C’était quoi, cette nuit ? Un piège ? Je ne comprends pas.
- N’était-ce pas ton fantasme le plus secret ?
- Je n’en sais rien. Et quand bien même, comment pouvais-tu le savoir ?
- Je te devine. Et je sais que le cadeau que je t’ai offert vaut bien plus que n’importe quoi d’autre.
- N’exagérons rien ! Y participais-tu ?
- Non. Je n’ai fais qu’observer. Ou plutôt, je suis celui qui a respiré ton parfum. Par contre, tu ne savais pas ce que je te préparais et pourtant tu es venue. C’est très courageux. Je t’ai observé du début à la fin. Du moment où tu as pénétré dans ma maison, à celui où tu t’es habillée pour moi. Et bien sûr, le moment de la réalisation de ton fantasme. J’ai été surpris de voir que la peur a vite laissée place à l’excitation. Je n’en attendais pas moins de ta part.
- C’est très fâcheux d’avoir été donnée en pâture à trois hommes par un homme que je ne connais même pas !
- J’en conviens et je m’excuse d’avoir usé de ce procédé. Je peux t’assurer que pour le prochain, tu seras prévenue. Oui, parce que tu n’as pas qu’un seul fantasme, nous ne le savons que trop bien.
- Tu es fou à lier. Qui es-tu pour te permettre de telles familiarités, nous ne nous connaissons pas ! Et puis c’est quoi cette lubie de vouloir me donner aux autres, je ne t’excite pas toi ?
- Qui je suis ? Je suis ton âme-sœur. Le reste n’a pas la moindre importance.
Fâchée et perplexe, je ne sais quoi dire. Il s’approche et s’assied près de moi.
- Je te connais par cœur. Ne lutte pas contre toi-même.
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