Une rencontre qui finit par une drôle de surprise.

Je suis allongée sur le sable chaud de cette plage, entièrement nue sous mon paréo.
Un brise légère s’y engouffre dessous, pulvérise mon superbe corps, fait dresser mes seins, durcir mes bourgeons. J’écarte les jambes pour faire profiter à ma chatte de ce souffle chaud, et iodé, qui fait frémir mon clitoris.
Cachée derrière mes solaires, les pensées les plus érotiques traversent mon esprit.
L’excitation est telle, que je décide de regagner la villa, ou, je l’espère, mon copain Dany y sera, et fera retomber la chaleur qui se consume en moi, et assouvira le brûlant désir qui hante mon sublime corps..
Arrivée à ma voiture, je tronque mon paréo, pour une courte jupe, et un débardeur. Le trajet jusqu’à la villa étant très court, je fais l’impasse sur le soutien-gorge, et la culotte. Je jette mon sac d’accessoires de plage sur la banquette arrière, et me met au volant.
Et là...la tuile.
La voiture ne veut pas démarrer. Le comble, c’est que la batterie de mon téléphone est vide. Impossible d’appeler mon copain.
Au bout de cinq minutes, une Ford Mustang se gare près de moi. Le canon qui sort de la voiture, est à tomber. Style italien, un mètre quatre vingt, cheveux noir, des yeux bleus, vêtu d’un bermuda et d’une chemise ouverte sur un torse débordant de virilité. Je trouve son air coquin, et un tantinet voyou. Devinant ma détresse, il s’approche de moi.
- Que vous arrive-t-il, mademoiselle, un problème ?
- Heu...ben je ne sais pourquoi, elle ne veut pas démarrer.
Ce mec est à mourir, je me sens attirer physiquement par son insolente beauté. Rien que le fait de prononcer le mot mademoiselle, me fait chavirer. A même temps, il est vrai que je n’ai que vingt deux ans, et suis très belle, très séduisante.
- Avez-vous le livre du véhicule ?
Du côté chauffeur, je me penche pour atteindre la boite à gants. Je réalise alors que je n’ai pas de culotte, et que dans cette position, ma courte jupe ne permet pas de cacher grand-chose de mon intimité. Le pire, c’est que je reste coincée dans cette position.
J’ouvre grand les yeux quand je sens des mains flatter mes fesses, et ne fais rien pour les repousser.
- Vous trouvez, mademoiselle, pour l’instant, je ne peux que vous maintenir.
- Heu...non, monsieur, je ne vois pas de notice...mon copain doit savoir lui…
- Vous savez, de nos jours, avec l’électronique...je peux vous ramener chez vous.
Je parviens à me redresser, et lui fais face. Je fixe son regard bleu acier, et lui demande s’il peut me mener au garage le plus proche, situé à une dizaine de kilomètres.
Il accepte volontiers. Ma position n’a pas changé, mais les mains se déplacent, montent dangereusement sous mon débardeur, palpent mes seins fermes, qui se raffermissent d’avantage au contact de la caresse, de même que mes bourgeons, durcit par le désir. Je sens qu’une main insiste pour se forger un passage entre mes cuisses, que je resserre fortement.
Le mécano me dit de lui laisser les clés, qu’il ira récupérer le véhicule, et le rapatrier au garage.
Quand il revient, il fait un pré-diagnostique, et me dit que la voiture sera prête dans la soirée, de lui laisser mes coordonnés.
Mon bel inconnu propose de donner les siennes, mon téléphone étant déchargé.
On en profite pour se présenter. Il me dit s’appeler Lucas, je lui dis m’appeler Christelle, mais que Chis me convient très bien.
Il me propose de marcher sur la plage, et se dirige vers une paillote qu’il connaît bien. ,
- Salut Lucas, dit le gérant en l’embrassant, une nouvelle conquête ?
- Non...seulement une jolie dame en détresse.
Je les laisse un instant, en profite pour visiter les lieux, tout en suivant à distance, leur conversation.
- Donc pas besoin d’aménager la « Casa ».
- Ben non...dommage. En fait, c’est sa voiture qui ne démarrait plus.
- Ah...ces voitures...c’est comme les femmes, il faut bien les chauffer. Une fois chaude, tu en fais ce que tu veux...t’es bien placé pour le savoir mon pote.
Ces propos m’excitent. Je pense aussitôt à ces mains glissaient sous mon débardeur, au bout de mes seins au contact de ses doigts. Je sentais le désir monter en moi.
- Mademoiselle...mademoiselle...ça va ?
- Heu...oui dis-je en sursautant...désolé, mes pensées étaient ailleurs.
- Voulez-vous que je vous ramène chez vous ?
Je le regarde droit dans les yeux, me sens de plus en plus attirée vers lui. Nous sommes seuls au bout de cette plage déserte, et l’endroit semble paradisiaque pour une relation.
- Mademoiselle, que voulez-vous...dites moi.
- Que vous me baisiez…
Voilà, le mot était lancé, et réfléchi. Je ne voulais pas passer à côté d’une aventure avec ce beau gosse, et le regretter toute ma vie. A cet instant, je pensais à mon copain, et mes sentiments pour lui ne changeaient pas, mais passer à côté d’une envie de faire l’amour avec un ténébreux inconnu...je ne pouvais pas laisser passer ça…
Lucas faillit tomber son verre. Une fois la surprise passée, il s’approcha de moi, me donna un tendre baiser, auquel je répondais.
Il me proposa son jardin secret dans la paillote .
Je refusais, préférant me faire baiser dans les dunes.
Nous trouvons un coin de pinède, et nous y installons. Le peu de vêtement que nous portons sont vite ôtés. Nous sommes entièrement nus, seul au monde. Je me serre contre lui. Je sens mes seins fermes et mes bouts érigés, frottés contre son torse viril. Nous nous embrassons, roulons, nous enlaçons sur le sable chaud, nos mains partent à la découverte de nos corps. C’est là que je sentis alors l’objet de tous mes désirs. Une queue, assez imposante. Je dirais même énorme.
Je ne peux m’empêcher de le prendre en main, tout en palpant ses grosses couilles, qui accompagnent ce pieux. Puis je glisse le long de son corps, le prend en bouche, tandis qu’il enfouit son visage entre mes cuisses. Ma langue parcours la queue des couilles jusqu’au gland, insistant sur le frein. La sienne, court sur ma fente, ses lèvres aspirent mon clitoris dur comme une bille. Je sens l’orgasme monter en moi, tandis que je sens sa queue vibrer dans ma bouche. Je le maintiens de toutes mes forces, pour lui ôter l’intention de se retirer. De puissants jets de spermes remplissent ma bouche, alors que ma cyprine envahit la sienne. Je me cramponne pour tout avaler, bloque son gland à la sortie de mes lèvres, et le nettoie goulûment avec ma langue.
Avec mon copain, on est jamais parvenu à jouir ensemble.
On se relève lentement. Lucas me prend par les hanches, et m’empale sur son énorme calibre. Je commence à onduler sur ce pieu qui me donne un plaisir rarement atteint à ce jour. Cette pénétration en levrette est hors norme. Moi si réservée, qui n’est pas l’habitude de m’exprimer, voila que là, en plein air, je hurle de plaisir, libérant un terrible orgasme.
Lucas se retire, dirige un doigt vers mon petit trou, qu’il pénètre, faciliter en cela par la mouille qu’il a récupéré dans me chatte. Puis son doigt est remplacé par son gland, qui doucement ouvre mon petit orifice. Lentement, il me pénètre de toute la longueur de sa queue, et entame de lent va et vient. Je voulais refuser cette pénétration, mais prise dans le tourment du désir, je le laisse faire. Je n’ai jamais été fan de ce genre de rapport, mais avec lui, la sodomie est un acte qui devient sublime.
Nous faisons l’amour une partie de l’après-midi, jouissant à trois reprises, la quatrième étant interrompu par le téléphone de Lucas. L’appel du garage.
C’est avec regret que nous nous séparons, en se donnant un sulfureux baiser.
Je récupère ma voiture et rentre enfin chez moi, ou mon copain, averti de mon retard, m’attend. Il est dix huit heures.
-Alors ma chéri, sacré galère…
- Oh la la. Sans l’aide d’un charmant jeune homme, je ne sais pas comment j’aurai fait.
- Tu l’as récompensé comme il se doit j’espère.
-.Ben non, j’avais pas d’argent sur moi.
Il me fallait prendre une douche pour éviter l’interrogatoire de mon copain. Je me dirigeais vers la salle de bains, quand il poursuivit.
- Et tu lui as rien proposé d’autres...y avait des tas de façon de le remercier.
- C’est à dire...dis moi...
- L’inviter à dîner par exemple…
Je compris à quoi mon copain faisait allusion. Assouvir son fantasme de me voir baiser avec un autre homme. S’il savait de quelle façon j’ai remercié ce bel inconnu. S’il savait comme je me suis donnée à lui, combien de fois j’ai joui, combien de pipes j’ai tailler, de sperme j’ai avalé. Je coupe court à la conversation, et me dirige vers la salle de bains.
Comme on a rien de prévue ce soir, pas de sortie, pas d’invités, j’enfile directement ma nuisette transparente que mon copain m’a offerte. Il adore ma la voir porter, sans rien dessous. Seulement une paire de chaussures compensées à haut talon, pour mettre ma poitrine fermes et dressés, en valeur. Il me prend dans ses bras, glisse ses mains sous le fin tissu, malaxe mes seins. Puis la main se faufile vers ma chatte, et ne s’aperçoit même pas qu’elle est encore humide.
Soudain, la sonnerie de la porte retentit.
« Tiens...qui cela peut-il être à cette heure ci ?»
- Tu vas ouvrir ma chérie.
- Mais enfin Dany...dans cette tenue...en nuisette
- C’est pas grave...c’est certainement la voisine qui a besoin de je ne sais quoi.
J’ouvre, et j’ai l’impression que mes jambes se dérobent sou mes pieds. J’ai en face de moi. Lucas...Il fut surpris autant que moi, de me voir devant lui.
- Mais tu es fou...comment m’as-tu trouvé…
Il se recule légèrement, et me dit que c’est bien le numéro qu’on lui a donné.
- Cela correspond dit-il, c’est bien le numéro de Dany.
- C’est pas vrai, cri mon copain...Lucas, mon pote, ça va. Pour une surprise, c’est une surprise. Ma chérie, je te présente Lucas, un pote de régiment...voici Chris, ma copine.
Nous nous confondons en faut « Enchantés », mon copain invitant même Lucas à me faire la bise. Il ne se doute pas que cet après-midi, c’est plus que ma joue qu’il embrassait, mais ma bouche et ma chatte.