Le jour où...

Tout d'abord bien vous préciser que l'argent n'avait aucune importance, seul le désir d'assouvir ce fantasme m'avait donné envie de le concrétiser.

Depuis longtemps j'avais l'envie de découvrir l'univers de la prostitution sans vouloir devenir une prostituée.
Plusieurs fois j'en avais parlé à Libertin qui ne voyait pas ça d'un bon oeil.
Comment savoir sur quel genre de mec je tomberai ? Où ? ... ?
Finalement, au bout de plusieurs semaines de négociations, il a fini par accepter.
Restait à savoir comment j'allais faire.
Sachant qu'il existe une prostitution de rue dans le quartier Cathédrale de Liège nous nous y sommes rendus discrètement afin d'épier ces demoiselles et la façon dont ça se passe. Ensuite, où amener le, peut-être, futur client ?
C'est l'hôtel "La maison blanche" que nous avons choisi car nous y étions déjà allés quelques fois avec des partenaires.

Notre premier essai fut raté: j'étais habillée outrageusement court et avec un décolleté profond et Libertin m'a déposée sur le trottoir. Moins de 5 minutes plus tard je fus assaillie par 2 femmes qui m'ont chassée en me menaçant (sûrement des habituées de l'endroit). Je dois vous dire que j'ai eu la peur de ma vie !
Mais alors comment faire ? Certainement plus comme ça !
La seule façon qui nous sembla possible fut "les petites annonces" et nous en rédigeâmes une ainsi libellée:
"Belle jeune femme, mensurations parfaites, recherche monsieur 60/75 ans sachant
recevoir pour soirée coquine".
Nous avons eu 6 réponses auxquelles nous avons répondu en précisant que j'étais open pour tous jeux, ainsi que le prix (100 euros). 4 n'ont pas donné suite. Dans les 2 restant il y en eut 1 qui acceptait mais ne savait pas recevoir et le second me proposa 150 euros en spécifiant qu'ils seraient à 2.
J'ai accepté et il m'a répondu en me demandant si tout leur serait permis. Après encore 2 échanges par mail tout fut conclu et ils me recevraient le samedi soir à 20h.
J'étais ravie, bien que ça ne correspondait pas entièrement à mon fantasme d'être abordée sur le trottoir.

Le samedi soir:
Bas nylon, jupe courte en cuir s'arrêtant légèrement plus haut que les bas, bustier en cuir pigeonnant, soulier façon stiletto, string en cuir, maquillage "pute", parfumée sur tout le corps. C'est ainsi que Libertin me déposa devant chez mes "clients" en me faisant encore quelques recommandations et en me précisant qu'il m'attendrait dans la voiture tout le temps que je resterai.
J'ai sonné à l'entrée et on m'a répondu de prendre l'ascenseur jusqu'au 4ème étage. Tout le long de la montée je tremblais intérieurement. Comment allaient se comporter ces hommes vu que j'étais, soi-disant, une putain ? Serait-ce comme avec mes amants habituels ?
Mais je fus vite arrivée et suis sortie de la cabine pour découvrir 2 vieux qui m'attendaient sur le pallier.
"Putain, que t'es bonne" me dit directement un des deux avant même de me faire entrer.
Et quand j'ai franchi la porte j'ai eu de suite une main au cul.
"D'abord mon petit cadeau" ai-je dit, et ils m'ont donné l'argent que j'ai mis dans mon sac.
Ils m'ont proposé de m'asseoir et m'ont demandé si je voulais un verre, j'ai accepté un cognac. Sur une table j'ai vu quelques godes et une fine corde, cela correspondait à ce qu'il m'avait dit lors de nos échanges.
Je me suis levée et ai déposé plusieurs préservatifs sur la table en leur rappelant que toutes les pénétrations, sauf buccales, devaient se faire protégées.

Mais laissez-moi vous les présenter: Claude 62 ans, allure normal avec petit ventre. André 68 ans, énorme (je dirais, certainement bien 120 kgs) mais avec un beau visage.

Assise entre les 2 nous buvions notre verre tout en parlant et eux me caressant, mais très vite ils ont voulu que, selon leur expression, je leur en donne pour leur argent.
Ils m'ont demandé de me lever et de me caresser devant eux pendant qu'ils se branlaient. Ils se sont déshabillés puis m'ont mise nue avant de me coucher sur la table à laquelle ils m'ont attachées jambes écartées. Une petite peur m'a envahie car cela leur permettait tout, mais le plus gros s'occupa de ma chatte tandis que l'autre m'embrassait et me tripotait les seins, ce qui enleva mes mauvaises idées.
Dans cette position j'ai eu droit à des forts étirages de tétons, à plusieurs godes, à des jeux qui allèrent jusqu'à me faire mal sur mon clitoris. Les douleurs sur mon clito me provoquaient des soubresauts qui les excitaient et ils se mirent à m'injurier de putes, grosse salope, sac à bites,...
Ensuite il m'ont détachées et m'ont demandé de me mettre à 4 pattes avant de me rattacher les jambes et les mains, toujours aux 4 pieds de la table.
-"Mais quel beau cul, c'est un appel à la pénétration" à dit un. J'ai dit que il fallait me lubrifier et mettre un préservatif pour me sodomiser, mais il voulait d'abord se servir d'un gode car ils l'avait acheté spécialement pour cette soirée.
Il l'ont enduit d'une huile, ainsi que ma rosace, puis me l'ont enfoncé sur toute sa longueur. C'était un vibrant et il l'ont mis en marche (quel délice !).
Alors que le vibro s'activait en moi ils se sont présentés à ma bouche pour que je les suces, l'un après l'autre puis les 2 ensembles.
Une sodo mécanique + 2 queues à sucer, j'étais aux anges !
Après quelques instants le gros est monté sur la table, m'a ôté le vibro, s'est protégé et m'a enculée. Et durant tout ce temps les mots grossiers pleuvaient.
L'autre finit par demander au premier de lui céder la place et m'a enculée à son tour.
Malheureusement il n'a pu se retenir et a éjaculé dans le préservatif. Il s'est retiré et est venu devant moi pour que je lui nettoie le gland.
Toujours dans cette position, j'ai eu droit à quelques gorgées d'un nouveau verre de cognac puis d'un 2ème.
- "Cela va t'aider pour la suite" m'ont-ils dit.
A peine mon verre vide ils se sont placés derrière moi, chacun d'un côté, et une fessée à commencé. Ils devaient souvent la pratiquer car ils marquaient des temps d'arrêts accompagnés de caresses.
La fessée terminée ils m'ont dit qu'ils allaient maintenant me laver et m'ont emmenée dans la salle de bain. J'étais nue et debout dans la baignoire quand ils m'ont dit de me retourner et de passer mes bras derrière mon dos, puis ils m'ont attachées les mains. Tout en me tenant ils m'ont remise de face et m'ont mise à genoux.
A cet instant je me suis doutée de ce qui allait peut-être se passer, j'avais raison.
Tous 2 se sont mis à uriner sur moi, sur mes seins, avant de dire: "Ouvre la bouche petite truie, on va te donner du champagne à boire".
J'ai obéi et, malgré mon envie de ne pas en boire, j'ai dû en avaler l'équivalant d'un bon verre.
J'étais ainsi complètement inondée d'urine quand ils m'ont sorties de la baignoire et m'ont couchée à terre pour me prendre l'un après l'autre.
Une fois qu'ils eurent terminé je me suis rhabillée et ai été rejoindre Libertin dans la voiture.

Rentrés chez nous j'ai exprimé ma non-satisfaction quand au fait que, même si ce fut bon, mon fantasme restait inassouvi. Il en était de même pour Libertin qui c'était fait à cette idée que "je lève un client en étant prostituée".
De puis ce jour nous ne l'avons toujours pas réalisé, on espère le pouvoir un jour mais j'ai toujours la crainte de me faire à nouveau agresser par des professionnelles.
Si un(e) d'entre-vous peut nous aider et a des suggestions pour comment faire, merci.

Lucrèce