Vacances inoubliables 1

Armand, le mari de Juliette, a toujours gardé le contact avec ses copains, particulièrement Jerome, et Franc. Souvent, il les invite à la maison. Les deux célibataires font presque partie de la famille. Malgré qu'ils aiment secrètement Juliette, jamais, il n'y a eu aucune allusion et aucun gestes déplacés envers elle. Au cours d'un barbecue, un peu arrosé, Jérôme dit :

-Cela serai génial si l'ont passé les vacances ensembles tous les quatre. Armand regarde sa femme, qui, surprise par cette demande, répond :

-Pourquoi pas, je ne vois aucun inconvénient et toi Armand ?

Armand fou de joie, réplique :

-Oh putain ce serai sensass, tu penses ma chérie que je suis d'accord !

Armand loue un petit mas avec piscine dans le sud de la France. Le jour J, arrive, enfin. Comme la voiture d'Armand est spacieuse, elle seule suffit pour emmener les quatre vacanciers. Ils partent de nuit. C'est Franc, en premier, qui prend les commandes du véhicule. Jerome prend place à côté de lui, quant à Armand et Juliette, ils prennent place à l'arrière. Cela fait déjà un bon moment qu'ils sont sur la route, que Juliette se blottit contre son mari. Le coquin pose sa main sur sa cuisse et la glisse sous la jupe. Juliette lui murmure à l'oreille :

-Nous ne sommes pas seuls mon chéri !

Armand lui répond :

-Il fait noir, ils ne verront rien, Jérôme dort, donc rien à craindre ma chérie, vivons dangereusement !

La main d'Armand glisse sur l'entrejambe de sa femme et passe de nombreuses fois sur sa fente qui rapidement humidifie la culotte. Habilement, Armand écarte le tissu et enfonce un doigt dans la gaine vaginale, jusqu'à la dernière phalange. Juliette serre les dents pour retenir un gémissement. Armand entreprend un doux ramonage, Juliette fond de bonheur. Le doigt sort de son étui et passe sous la chatte qui ne cesse de suinter. Le doigt audacieux taquine l'anus de Juliette qui se contracte en serrant les poings, elle qui a toujours refusée sa petite porte de service à son mari, lui murmure :

-Non mon chéri pas ça s'il te plait !

Armand ne répond pas, il sais que sa femme, ne peut hurler sa désapprobation, car ils ne sont pas seuls dans la voiture, donc, elle ne peut que subir cet attouchement rectal nous consentit. Elle n'a pas le choix. Armand profite de la situation, il appuie sur l'anus de sa femme plusieurs fois. Le muscle élastique refuse de laisser le passage à l'intrus. Une pression plus forte, fait cabrer Juliette. Comme par enchantement, la première phalange disparait, dans l'anus, comme aspirait miraculeusement. Juliette pousse un profond soupir. Sans brusquerie, Armand lui fouille la gaine étroite. Il ramonne avec une lenteur extrême le rectum. Juliette lui serre fortement la main, Armand doit renoncer à fouiller la gaine très étroite, cela incommode Juliette. Sans se démonter, le coquin repart à l'assaut du mont de venus et de son clito. Juliette se mord la main pour ne pas gémir, mais ce que cherche son mari arrive, elle se raidit en se mordant au sang son poignet et jouit en haletant. Juliette se blottit contre son mari et ne tarde pas à s'endormir.


Franc fatigue, il se gare sur une aire de repos, c'est Armand qui le remplace. Franc prend place près de Juliette à l'arrière du véhicule. Peu de temps après, Juliette, en état semi-comateux, pose sa tête sur les genoux de Franc, et se rendort. Franc machinalement lui caresse sa chevelure flamboyante, le bout de ses doigts passent plusieurs fois sur les lèvres bien dessinées de Juliette qui, inconsciemment, soupire. La tête de Juliette qui appuie sur le sexe de Franc, commence à faire son effet, une érection se produit, en faisant gonfler la bite. Doucement, Franc, excité, agite son bassin tout en caressant les lèvres de Juliette. La douce caresse réveille la dormeuse, qui, dans un état second, sent la bosse contre sa joue. Elle se redresse, pose sa main sur l'engin qui démange Franc. Avec adresse, elle ouvre la braguette et en extrait la bite tendue.

Juliette l'enfonce entièrement dans sa bouche jusqu'aux couilles, elle reste un petit instant dans cette position puis, à bout de souffle, elle monte lentement sa tête, et suce avidement le gland. La vorace, réitère plusieurs fois le mouvement, elle ravale entièrement la bite, cela produit sur Franc un effet inouï. La gorge profonde ne fait pas peur à Juliette qui s'avère être, une fellatrice exceptionnelle. Franc ne résiste pas longtemps aux montées et descentes de la bouche de Juliette sur sa bite en feu. Il se raidit, serre les dents pour ne pas gémir et lui envoie une puissante giclée de sperme dans la bouche. Juliette sent la crème onctueuse couler dans sa gorge, elle presse la hampe pour en recevoir un peu plus. Cela stimule Franc, qui envoie une seconde décharge, ce qui fait le bonheur de Juliette, la coquine sent glisser sur ses muqueuses, sensibles, la semence épaisse. Elle gemit doucement tout en savourant le nectar en prenant son temps.
Juliette, gavée et heureuse de son exploit, se redresse, se blottit contre l'homme qu'elle croit être son mari. Tendrement, elle lève les yeux vers lui, elle surasute et fait un bond en arrière, en plaçant sa main devant sa bouche pour ne pas hurler. Elle vient de rendre compte de sa méprise, elle tremble de frayeur.


Franc ne dit pas un mot, il range sa bite dans son slip et referme son pantalon. Il est temps de nourrir la voiture et ses occupants, Armand se gare sur une aire de repos, et fait le plein. Les quatre entre dans la cafétéria et prennent un encas. Juliette ne dit pas un mot, trop perturbée par cette méprise. Elle métrise mal sa main qui tremble en prenant sa boisson. Armand la regarde et dit :

-Dormir dans la voiture ne te vaut rien, Juliette, regarde la tête que tu as !

Elle hausse les épaules et termine de manger. Il est temps de changer de chauffeur. C'est Jerome qui prend la relève, Franc prend place à côté de lui. Armand près de sa femme, qui se blottit rapidement contre lui. Pendant tout le restant du voyage, elle ne dit rien. Franc aussi reste motus. Enfin, ils arrivent à destination, montent les bagages dans les chambres, font rapidement les lits puis décident d'ouvrir une bouteille de champagne pour fêter leur arrivée. Une fois la bouteille vidée, chacun rejoint sa chambre, et se prépare pour la nuit. Juliette est très agitée, elle culpabilise, ne trouve pas le sommeil. Le lendemain matin, les hommes torse nu et en shorts prennent leur petit déjeuner. Juliette descend, vêtue en guise de chemise de nuit, un t-shirt bien trop large, qui lui arrive, comme on dit, ras la moule, elle s'étire comme une chatte en bâillant. Le geste d'étirement fait que son t-shirt remonte, en découvrant sa culotte. Armand en souriant dit :

-Baisse le capot ma chérie, on voit le moteur !

Juliette hausse les épaules, ses yeux sont cernés, se traits tirés, ce qui est normal vu la nuit agitée qu'elle a passée. Elle embrasse les trois hommes puis s'installe à table, pendant le repas, elle regarde son mari, elle est nerveuse, elle dit en béguant :

-Armand, j'ai quelque chose de grave à te dire !

Son mari fait une moue et répond :

-Ah, c'est quoi cette chose grave ma chérie ?

Elle ravale sa salive et dit :

-Hier soir, dans la voiture, j'ai fait une fellation à Franc, je croyais que c'était toi, mais vous avez changé de place pendant que je dormais, et il faisait nuit, oh comme j'ai honte !

Il repond :

-Ouah, tu as fait une pipe à Franc, et tu culpabilises pour ça, si c'était involontaire, il n'y à pas de quoi fouetter un chat, Oh après tout, une bite, est une bite hein, on ne va pas en faire un drame !

Il regarde Franc et lui dit en souriant :

-Et toi, tu t'es régalé mon cochon hein !

Franc répond en baissant les yeux :

-Je serai un menteur se, je disais le contraire !


Armand éclate de rire, Jerome regarde Juliette en pinçant les lèvres. Juliette est heureuse que son mari le prenne comme ça, cela la rassure. Une fois le petit déjeuner terminé, Armand retire son short et son slip et dit :

-Aller tout le monde à la baille !

Il saute dans la petite piscine, Jérôme l'imite et le rejoint dans l'eau. Franc retire son short et son slip timidement. Juliette regarde la bite qu'elle a vidée de son jus la vieille. Les deux échangent un long regard, leur sourire est presque forcé. Franc s'élance dans l'eau. Juliette se dit après tout, moi aussi, je vais piquer une tête. Elle ote son t-shirt et sa culotte. Elle s'avance avec la souplesse et le déhanchement d'un félin. Les yeux des hommes se posent sur sa chatte granit d'une fine toison rousse comme la couleur de ses longs cheveux. Elle saute dans l'eau. Les quatre jouent comme des enfants, il s'aspergent, font un concours d'apnée, se coulent, rient aux éclats. C'est épuisé que le quatuor qu'ils sortent de la piscine. Juliette s'allonge sur l'herbe sur le ventre, sa tête posée sur ses bras, Jérôme s'étale juste à côté d'elle. Armand et Franc un peu plus loin.

Jerome curieux demande à Juliette :

-Elle est bonne la bite de Franc ?

Elle se redresse sur ses coudes et réplique

-Jérôme, j'ai déjà dit que c'était un accident !

Le bougre lui répond :

-Tu ne voudrai pas faire un accident avec moi ?

Juliette sursaute et regarde Jérôme, elle interpelle son mari :


-Armand, Jérôme me fait des propositions indécentes !

Armand répond :

-Oh, tu es assez grande pour te défendre, débrouille-toi !

-Mais Armand Jérôme insiste, c'est agaçant à la fin !

Armand hausse les épaules et répond :

-Eh bien profites-en, oh et puis dépouille-toi, tu as trente ans !

Juliette secoue la tête négativement en reposant sa tête sur ses avants bras. Jérôme pose sa main sur le dos de Juliette et commence à le lui caresser. Sa main glisse sur le corps mouillé avec douceur, passe de nombreuse fois sur le bas des reins avant de remonter sur le dos. Juliette ronronne sous la douce caresse.