Une nuit au poste médical de garde

Une visite de médecin qui dérape

Je travaille au poste médical de garde.
Lors des nuits, mon travail est de conduire le médecin lors des déplacements demandés pour des soins.
Souvent ce sont plutôt vers des home pour personnes âgées qu’ils se font.

La nuit dernière nous sommes appelés justement dans un home avec Jennifer, une jeune doctoresse fin de la trentaine, plutôt petite, mince, assez jolie, les cheveux un peu bigarrés. Je suis plutôt grand, massif et 58 ans au compteur.
Une dame avait arraché sa sonde gastrique.
Nous prenons donc la route ensemble, nous échangions sur nos vie respective.

En allant la chercher dans son cabinet, je l’ai trouvé essuyant des larmes, comme je suis respectueux, je ne lui ai rien demandé.
Elle a une voix très douce, parle très posément. Notre conversation a tourné sur les enfants et de fils en aiguilles sur nos couples respectifs. Là elle me dis que sont couple ne va pas bien du tout, qu’elle vient d’avoir la preuve irréfutable que son mari l’a trompé et elle m’explique même que sexuellement il s’est détaché d’elle et que c’est pour ça qu’elle a fait une petite enquête qui lui a apporté ce triste constat.

En arrivant au home, elle me remercie de l’avoir écouté que ça lui a fait beaucoup de bien de me parler et de pouvoir se confier.
Très pro, elle ne laisse rien transparaître, mais néanmoins alors que nous prenons les sacs de soins dans le coffre de la voiture, nos mains se frôlent et un frisson nous parcours tout les deux, nos regards se croisent et semblent en dire long sur l’impact de ce geste.

L’infirmier nous accueil, il se présente en tant que Thomas, un gars très souriante, jovial, à peine moins grand que moi, début de la quarantaine, il nous amène dans le pavillon voir la dame.
Sur le chemin, à plusieurs reprises, le bras de Jennifer frôle le mien, lors d’un passage un peu moins pratique, elle perd quelque peu l’équilibre se rattrape à mon bras de ses deux mains et ne le lâche plus jusqu’à l’arrivée au pavillon, ses mains ensèrent mon bras et ont des petits mouvements caressant.

Nous arrivons, à nouveau très pro, elle pose ses actes, je lui passe ce qu’elle me demande mais systématiquement ses doigts frôlent les miens ou ma main.
Tous ce passe bien sonde remise en place sans problème. Retour vers l’accueil, Thomas nous propose un café que nous acceptons. En chemin un peu avant d’arriver elle m’arrête en disant à Thomas que nous le rejoignons. Nous sommes dans une zone très mal éclairée, elle se tourne vers moi, se rapproche, son visage s’approche du mien et son corps en fait donc autant, nos souffles se mélangent, elle mets ses mains dans ma nuque et m’attire à elle, nos lèvres se frôlent, s’entre-ouvrent et nos langues s’entrelacées dans langoureux er chaud baiser. Sont corps s’appuie contre le mien, ce contact étroit génére chez moi une réaction immédiate dans mon pantalon, elle est tellement collée qu’il lui est impossible de ne pas se rendre compte de mon état.

Sa bouche va prendre entre possession d’un lobe d’oreille non sans m’avoir gratifié d’un sourire qui en dit long sur ce qu’elle a ressenti croître entre nous, elle me sussure à l’oreille : « S’il te plaît, ne me juge pas trop vite, mais j’ai envie de me sentir femme et désirée, je te veux, en fait non, je voudrais veux tout les deux, toi et Thomas. Crois-tu et peux-tu arranger ça ? »
La surprise passée, je me dis que tout est du domaine du possible, j’avais vu que Thomas regardait attentivement le cul de Jennifer lorsqu’elle officiait.

Nous rattrappons Thomas qui préparait les café, elle lui souri en le remerciant chaleureusement.
Jennifer se rend aux toilettes, j’en profite pour dire à Thomas que j’avais vu comme il regardait son séant, il reconnu qu’elle lui plaisait beaucoup et je lui confirmais que l’ouverture était envisageable.

Lorsque Jennifer revient, elle s’installe entre-nous, déguste son café, je prends l’initiative en posant ma main sur sa cuisse, elle sursaute et Thomas fait de même. Elle dépose sa tasse et se rejette en arrière sur la chaise, une invitation sans équivoque, nous nous enhardissons, notre deuxième main à chacun se pose sur son épaule poir Thomas et son ventre pour moi, Jennifer pousse un soupir de béatitude en disant « S’il vous plaît allez-y en douceur. », c’était toit à fait notre intention, Thomas lui caressant les cheveux et le visage, moi un peu plus enhardi, je caresse ses seins par-dessus le tissus. Thomas l’embrasse a pleine bouche, mes mains vagabondent de ses seins à ses cuisses. Doucement ses vêtements se défont, s’écartent et s’enlèvent comme par magie.
Ma bouche cherche ses tétons encore prisonnier de leur balcon mais déjà bien érigés. Ma main masse son entrejambe, elle respire fort. Thomas s’est attaqué à ôter le chemisier et directement après au soutien gorge.

Je défait le bouton de son jeans descend la tirette et ma mains masse sa chatte par-dessus la culotte déjà bien trempée. Elle pousse des grognements, se lève et fait descendre son pantalon et sa culotte.
Nous nous déshabillons également.
Thomas face à elle prends sa bouche et moi derrière lui embrasse la nuque.

Elle demande à Thomas de lui lécher la chatte et à moi de lui embrasser les fesses, nous exécutons ses désirs, Thomas s’occupe de sa chatte, son clito, ce qui la fait déjà bien gémir, de mon côté je m’occupe à embrasser ses fesses bien fermé, de sa main elle pousse ma tête pour que ma bouche se retrouve dans son sillon, lorsque c’est fait elle appuye afin de me faire descendre au plus bas, je comprends bien que c’est vers sa rosette que je dois me diriger, ma langue en prend possession, ça lui fait pousser un gémissement plus fort et dire « Oh oui, vas-y on ne me l’a jamais fait mais j’adore. Ma langue s’applique à la lécher copieusement et à lui tartiner l’anus de salive.

Thomas vient tout juste de faire glisser en elle un doigt inquisiteur à la recherche de son point G.
De mon côté je joue avec sa rosette doucement, elle me dit : « Vas-y doucement, c’est une première pour moi. », je fais donc doucement entrer en elle mon index, il n’y a aucune retenue, je lèche les muscles autour de celui-ci. Puis en introduit un deuxième tout aussi facilement, elle est prête et faite pour la sodomie, je lui dit et elle a l’air parfaitement d’accord.

Les caresses que nous lui prodiguons la font gémir et tréssaillir.
Jennifer nous fait nous relever et elle s’accroupi pour être à la hauteur de nos sexe qui sont presque similaires, celui de Thomas et un rien plus long que le mien, mais le mien est un peu plus épais. Elle les prends tout à tour en bouche puis prend nos deux glands en même temps avec quelques difficultés. Ensuite plonge sur ma queue et l’enfourne complètement pour après faire de même avec celle de Thomas.

Nos sexe bien dressés par le traitement affligé, elle se relève et nous dit, « S’il vous plaît prenez moi maintenant ensemble. ». Tournant sa tête vers moi elle me souri et ajoute tu vas faire doucement avec ma petite rondelles, je l’ai toujours refusé à mon mari, mais je veux te la donner à toi.
Elle s’avance vers Thomas qui est appuyé sur la table, relève sa jambe gauche e posant son pied sur la table, le sexe de Thomas est parfaitement installé contre l’entrée de sa chatte, c’est elle-même qui s’empalle dessus, lorsqu’il est bien au fond elle pousse un gémissement long et fort.

De sa mains elle cherche mon sexe, l’empoigne et m’attire à elle, je plie un peu les jambes, mon gland se trouve contre sa rosace, « Vas-y doucement maintenant », je pousse doucement et la première impression était bonne, son anus se détent dès que je pousse et mon gland passe tout seul la barrière elle pousse quand même un « Ouch c’est gros quand même », mais je continue ma progression et ma queue est déjà presque entièrement en elle, d’un geste de la main me fais comprendre d’arrêter, dis à Thomas de bouger en elle puis sa main attrape mon côté et me tire à elle, je suis complètement en elle.
Nos va et vient sont coordonné lorsque Thomas se retire, c’est moi qui envahis Jennifer est apparemment aux anges, elle gémis sans discontinuer, puis ceux-ci deviennent plus fort, ses mains crachent dans les cheveux de Thomas et son corps se met à trembler, pousse de petits cris, des « Oh oui, c’est bon ce que vous me mettez », « Continuez, prenez moi fort », Faites moi jouir entre vos deux bites » et sont corps est pris de soubresauts, ce ne sont plus que « Ah, oh, oui, encore, plus fort, oh, oh, ouiiiii », son corps s’arque entre nous et un râle rauque sort de sa bouche. « Allez-y, jouissez en moi », nous accélérons et nous épanchons quasiment en même temps en elle. Elle est entre-nous comme un pantin désarticulé, Thomas lui caresse les seins et le visage et moi ses épaules et ses cheveux, nous restons fiché en elle jusqu’à ce que nos sexe s’en échappent naturellement.

Elle nous embrasse et nous remercie d’avoir fait qu’elle se sente tellement désirée.
Nous nous rhabiller, elle embrasse Thomas, je crois qu’elle lui a glissé sa carte de visite professionnelle et nous prenons la route pour le poste médical de garde.

En route nous n’échangeons pas grand-chose, inutile de parler de ce qui s’était passé, peut-être plus tard.