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Vacances sexuelles pour des soignants partie 4

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Lue : 708 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/11/2020

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On a pris le petit déjeuner ensemble le lendemain matin, toujours dans la bonne humeur. Frank était en short et T-shirt, alors que son épouse était enveloppée d’un peignoir. Quand j’ai malencontreusement laissé tomber une petite cuillère et que je l’ai ramassée, elle a écarté rapidement les pans de son peignoir, ouvert ses cuisses pour me laisser voir son sexe. Et au cas où je n’aurais pas trouvé le paysage suffisamment splendide, elle a glissé deux doigts en elle, et elle s’est ouverte sur son intérieur. Elle m’a fait un clin d’oeil quand je me suis redressé.
On est parti en milieu de matinée pour A… dans notre véhicule. J’ai pris le volant, ma femme à côté de moi, le couple derrière. Il y avait une dizaine de kilomètres à faire. Sans grande surprise, en jetant un coup d’oeil dans le rétro, ça faisait cinq minutes qu’on était partis, j’ai vu qu’elle le masturbait. Ca m’a fait tout drôle de retrouver cette queue énorme, gorgée de sang, sur laquelle la main allait et venait. Elle avait une manière de faire que je trouvais extrêmement habile, tournant sur la queue, la caressant, la frôlant, faisant lentement, vite, une manière de faire que j’avais expérimentée quand elle m’avait baladé sur elle-même la veille au soir, et qui m’a fasciné jusqu’à leur départ. Pourtant, elle ne l’a pas fait jouir.
On avait calé un programme. Le matin, on leur a fait visiter la cathédrale. Il y avait des audio guides. On a mangé au restaurant le midi, et l’après-midi on s’était inscrits pour une visite de la ville qui durait deux heures, et qui leur présenterait, mieux que nous le ferions, sans aucun doute, tout son charme.
Je n’ai pas vraiment été surpris, le matin, alors que nous déambulions dans la ville, de voir que leurs regards se posaient sur des hommes, des femmes que nous croisions, dont le point commun était sans doute d’être désirables. Ils les regardaient ensemble, et ils faisaient des commentaires que je n’entendais pas,mais que je pouvais facilement imaginer.
Au restaurant, on a eu comme serveuse une brune, fine, les cheveux coupés courts, qui dégageaient son visage bien dessiné. L’un et l’autre, ils la regardaient avec une envie qui n’était pas vraiment dissimulée, mais il ne s’est rien passé. Elle était très froide, et sans doute qu’ils ne se sont pas sentis de franchir ce mur.
C’est dans l’après-midi qu’ils ont donné la pleine mesure de leur talent. On s’est retrouvés, sur le coup de 14 heures, sur la place près de la cathédrale, pour la visite guidée. On était une quinzaine, des personnes de tout âge et sans aucun doute de toute condition sociale.
La guide est arrivée pile à l’heure. C’était une grande fille blonde, qui avait énormément de charme, même si son visage était plutôt disgracieux, paradoxalement, c’était ce qui lui donnait tout son charme, qu’elle casse pour ainsi dire les codes, mais sans aucun doute que son corps, charnu et élancé était aussi pour une grande partie dans sa séduction, mis en valeur par une robe noire très collante, qui s’accrochait à ses formes bien développées, se terminait très haut, et laissait ses jambes à nu. Des jambes vraiment très belles. Elle dégageait une réelle sensualité. Mais au-delà, elle avait vraiment de la présence, il en fallait d’ailleurs pour animer ainsi une présentation de la ville pendant deux heures, et répondre à des questions saugrenues.
Je me suis rendu compte que, alors que nous habitions ici depuis plus de dix ans, nous connaissions à peine le patrimoine local. Le jeune couple semblait en tout cas intéressé, mais je me suis demandé si c’était par la conférence, ou la fille, qui était indéniablement très attirante, ou les deux.
Quand elle a eu enfin fini, et répondu aux questions, il y a eu une sorte de flottement. Certaines personnes présentes se sont approchées pour parler avec elle.
—On les ramène? On peut les emmener visiter la grotte préhistorique de C…
—Je crois que ça aura suffi pour aujourd’hui, non? Mais…Où ils sont passés?
C’était la question. On s’était posés dans un coin pour les attendre, et ils avaient disparu.
Un homme, voyant notre perplexité, nous a dit:
—Vous cherchez vos amis? Ils devaient avoir besoin de renseignements supplémentaires? Ils sont partis avec elle. Ils ont l’air passionnés. Regardés cette bâtisse, c’est l’office du tourisme, je pense qu’ils sont partis là.
On a remonté la large rue pour arriver jusqu’à l’office du tourisme. Il n’y avait semblait-il personne, et pourtant la porte était ouverte.
On n’était pas spécialement indiscrets, mais on voulait les récupérer et les ramener, et c’est ce qui nous a poussés à nous glisser à l’intérieur.
Au rez-de-chaussée, se trouvaient une grande salle d’accueil, et des bureaux.
Un escalier très large conduisait à l’étage. On s’est dit que si on devait les trouver, ils étaient sans doute là-haut.
On n’a pas vraiment été surpris de les découvrir dans la position où on les a trouvés. Ils étaient dans une grande salle dans laquelle étaient entassés, dans des cartons, des piles de prospectus. Ils avaient du lui en demander, mais ça avait vite dérapé.
Ca c’était fait très vite en tout cas, mais je ne doutais absolument pas du pouvoir de persuasion du couple. La guide était nue, sa robe froissée près d’elle, ses sous-vêtements en boule sur la table. Elle avait un corps aussi appétissant que sa robe le promettait, et le couple était entrain d’en profiter. A deux. Chacun avait sa part. La blonde était installée sur le bord de la table, et Frank avait son sexe enfoncé en elle, qu’il faisait aller et venir. Son membre était aussi épais que lorsque je l’avais aperçu pour la dernière fois, dans la voiture.. La blonde se pâmait et poussait de petits gémissements, en se mordant la main. Sandra, elle, était dans une autre démarche, elle baladait ses mains et sa bouche sur la peau, tournant sur elle dans sa manière qui n’appartenait qu’à elle.
On a regardé un moment, puis on s’est éclipsés. On est partis attendre dans la rue, sur un banc.
—Tu sais, elle m’a dit au bout de quelques secondes, il y a quelque chose que je dois t’avouer.
—Moi aussi sans doute.
—Hier soir, on regardait le match ensemble, et puis…Hé bien il s’est passé quelque chose.
—Moi, j’étais dehors sur un banc, et il s’est aussi passé quelque chose.
Il y a eu un silence, avant qu’elle ne dise:
—Ils manipulent tout le monde. Pour avoir du sexe, et comme ça leur plait.
—On peut peut-être inverser la tendance, tu ne crois pas?
Elle m’a souri.
—Je vois ce que tu veux dire.
C’est le soir même que mon épouse a proposé à Frank d’aller avec lui faire du sport le lendemain matin à sa salle habituelle. Il a semblé surpris de sa proposition, mais il a finalement dit oui, en jetant un coup d’oeil à son épouse.
—Oui, bien sûr, je trouverai bien de quoi m’occuper.
C’était sans doute ça leur faille. Ils semblaient être en parfaite harmonie, mais c’était plutôt elle qui avait tendance à contrôler la situation. Il ne faisait rien sans son accord.
On s’est regardés mon épouse et moi.
Le lendemain matin, ça c’est passé comme prévu. Sur le coup de dix heures, mon épouse a surgi de la maison pour venir prendre Frank . Elle n’avait sans doute pas les formes de Lola, mais avec un T-shirt ajusté, et un leggings moulant, elle était quand même très bien, et quand Frank l’a aperçue, il a eu une réaction éloquente, aussi bien par son regard que parce que sa verge s’est durcie d’une manière visible sous son short et Lola lui a jeté un regard noir. Il a été se changer avant qu’ils ne s’éclipsent ensemble.
J’avais envie de sexe. Autant parce qu’ils nous maintenaient dans un climat d’érotisation que parce que Lola, posée devant moi dans un bikini qui, après qu’elle ait plongé dans la piscine, collait à sa peau d’une manière qui n’était même plus évocatrice, laissant voir tout ce qu’elle avait de plus intime avec évidence.
Je me suis glissé jusqu’à elle. Elle a été très surprise, parce qu’elle était habituée à prendre les initiatives. SI j’avais attendu quelques minutes de plus, sans doute serait-elle venue sur moi. Pourtant, elle m’a laissé faire quand j’ai attrapé son slip de bain pour le faire descendre et a ouvert ses jambes pour me laisser accéder à son sexe. Je l’ai ouvert des doigts, faisant sortir ses lèvres, pour promener ma langue dessus. Elle a gémi et s’est cambrée pour pousser son ventre vers moi, avec un aveu spontané qu’elle a sans doute regretté par la suite, quand elle m’a dit:
—J’adore qu’on me fasse des cunnis, mais il ne m’en fait jamais.
Je me suis dit que je marquais un point. Et je me suis appliqué. Mais ça n’était pas un problème pour moi, mon épouse adorait ça, et je maitrisais bien. J’ai travaillé ses lèvres, et ses chairs sèches ont pris très vite le goût du liquide qui ruisselait de la fontaine à l’intérieur de son ventre. J’ai apprécié en tout cas de la sentir perdre ce contrôle qu’elle avait gardé la fois précédente, et qu’elle semblait toujours conserver. Elle a basculé en arrière, s’est abandonnée quand je suis venu sur son clitoris. Il fallait croire que, si, pour toutes les femmes, c’était une partie sensible de leur anatomie, c’était encore plus vrai pour elle. Je l’ai sciemment travaillée, et j’ai senti qu’elle perdait totalement le contrôle, autant à cause des spasmes qui l’agitaient que parce qu’elle libérait une quantité de liquide étonnante. Elle s’est mise à geindre avec une totale absence de discrétion, avant d’exploser, alors que je glissais ma langue en elle, pour venir caresser ses muqueuses à l’intérieur Elle a joui, éjaculant comme le ferait un homme des jets de liquide qui m’ont giflé le visage… J’ai continué ma caresse, la faisant encore jouir, jusqu’à ce qu’elle me dise:
—J’en peux plus, arrête!
J’ai relâché la pression.
—Tu m’as fait du bien! Ca faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça. Il faudra que tu me refasses ça, demain si on a un moment de libre…Viens, je vois que tu bandes…Je vais te donner du plaisir…
C’était vrai que ce moment m’avait excité, et mon érection déformait mon short. je me suis approché d’elle…Elle m’a masturbé doucement avant de me prendre dans sa bouche. Elle m’a calé, ma queue gainée par la chaleur de sa bouche, et elle a fait tourner sa langue sur moi, avec cette habileté vive qui lui était propre. J’ai tenu aussi longtemps que possible, jusqu’à exploser. Elle a resserré ses lèvres, et laissé tout mon sperme couler dans sa gorge.
On lisait tranquillement, à l’extérieur, quand mon épouse et son mari sont revenus sur le coup de midi. Elle m’a fait un clin d’oeil. Lola a jeté un coup d’oeil furieux à son mari. J’ai été aider Muriel à préparer le repas.
—Ca s’est bien passé?
—Très bien. Je l’ai beaucoup surpris, je crois.
Ca a été comme ça dans les jours qui ont suivi. Ils partaient faire du sport le matin, je restais avec Lola. Elle n’a pas repris l’ascendant et le pouvoir de décision le lendemain. Je suis venu sur son sexe, la faisant jouir avant d’appuyer mon gland encapoté sur sa muqueuse anale.
—On dirait que tu devines tout ce que j’aime…Viens, il ne rentre plus par là en ce moment…
Je ne cherchais pas à me singulariser par rapport à son mari…J’avais simplement envie de la prendre par là, parce que je pensais qu’avec elle, ce pouvait être un moment vraiment très agréable…J’ai appuyé, et je suis rentré en elle, mon gland avalé par la muqueuse que j’ai trouvée souple, sans surprise. J’ai été au fond d’elle. Cela faisait longtemps que je n’avais pas sodomisé mon épouse, et c’était agréable d’être dans ce conduit serré…D’autant qu’elle s’est mise à se caresser, pour accompagner le plaisir que lui donnait ma pénétration, et c’était vraiment troublant de la voir se toucher les seins, puis venir sur son clitoris.
La dispute a éclaté entre eux au début de la deuxième semaine. On était sortis pour aller diner chez la mère de Muriel. Quand on est revenus, ils étaient entrain de régler leurs comptes, avec une absence de discrétion totale. Sans doute parce qu’ils pensaient que nous n’étions pas encore rentrés. On a entendus quelques paroles. Il aurait d’ailleurs été difficile de ne pas entendre, tellement ils hurlaient. ‘Tu me trompes avec elle!’ ‘Dis donc, tu as toujours été d’accord pour ‘libertinage maximum, pour reprendre tes mots’ ‘Oui mais pas comme ça.’ ‘Et dans quelles conditions? Je crois que tu n’as pas joué au scrabble avec lui, non?’
Le lendemain matin, au petit dej, ils avaient la tête des mauvais jours. On a fait comme si on ne voyait rien.
Ca a été comme cela que, dans les jours qui ont suivi, nos chemins ont totalement divergé. Ils sont partis se balader toute la journée, et nous on a retrouvé notre tranquillité. En fait, les choses avaient changé, parce que, même si nous n’étions pas inactifs sur le plan sexuel, nous étions plus sur de la routine, et les caresses que j’avais prodiguées à Lola, je les ai portées sur le corps de ma femme. Ca nous a fait un moment très agréable. Et il y en a eu d’autres.
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Histoire de JamesB

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