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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025
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valerie au cap d agde suite
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La nuit des Pirates
Le soleil déclinait lentement sur le Cap d’Agde, et Valérie, encore toute vibrante de sa première nuit d’exploration, se préparait nerveusement à cette nouvelle aventure. Kwame l’avait invitée à une soirée privée chez les « Pirates », un cercle un peu secret, connu des initiés.
Elle arriva en début de soirée, vêtue d’une robe fluide couleur ivoire, simple mais élégante, qui laissait deviner la finesse de sa silhouette. À peine avait-elle franchi le grand portail de la villa que l’atmosphère particulière la saisit. L’air était lourd, saturé de parfums capiteux, d’effluves de rhum et de musc.
Sur la terrasse, les corps dansaient au rythme d’une musique afro-caribéenne sensuelle. Autour de la piscine éclairée, une dizaine d’hommes noirs, grands, musclés, la peau luisante sous la lumière, évoluaient en toute décontraction. La plupart étaient torse nu, certains en chemises entrouvertes, laissant admirer des pectoraux puissants, des épaules larges et des abdominaux saillants. Leur présence dégageait une virilité brute, presque hypnotique.
Les regards se posèrent sur elle immédiatement.
Elle sentit cette tension électrique parcourir la scène. Les femmes, pour la plupart blanches, arboraient des tenues légères, osées, presque provocantes, assumant pleinement leur désir. Certaines déjà lovées dans les bras de ces colosses, échangeant baisers et caresses avec une audace décomplexée.
Kwame la rejoignit rapidement. Ses yeux brillaient d’un éclat amusé, presque protecteur :
— Bienvenue chez les Pirates, Valérie. Ici, on célèbre la liberté des corps et l’intensité du plaisir…
Il lui tendit un verre. Valérie le saisit, les mains légèrement tremblantes sous l’effet du mélange d’excitation et de nervosité.
Un autre homme s’approcha. Plus grand encore que Kwame, le torse dessiné à la perfection, le sourire éclatant. Il lui prit la main, la porta à ses lèvres.
— On m’appelle Malik… ravie de faire ta connaissance, beauté…
Ses doigts étaient chauds, fermes, sa voix grave, un soupçon dominante. Autour d’eux, les couples s’abandonnaient déjà à des ébats discrets sur les lits disséminés dans le jardin, sous les regards complices des autres invités. La nuit s’annonçait longue.
Valérie sentit sa respiration s’accélérer.
Kwame glissa à son oreille :
— Laisse-toi porter, Valérie… Tu es en sécurité ici. Ce soir, tout est possible si tu le désires.
Un premier baiser de Malik sur sa nuque fit frissonner sa peau. La main de Kwame caressa lentement le bas de son dos. Entre leurs deux corps massifs, elle se sentait à la fois fragile et exaltée, prête à s’offrir à cette aventure inédite.
Après quelques verres et des caresses échangées sur la terrasse, Malik glissa à Valérie quelques mots à l’oreille, d’un ton plus bas, presque confidentiel :
— Viens, je vais te montrer une pièce spéciale... Un lieu où certaines fantasmes prennent vie.
Intriguée, le cœur battant, Valérie le suivit à travers un couloir feutré. La lumière tamisée, l’atmosphère plus chaude encore, la rendait presque fébrile. Malik ouvrit une lourde porte en bois sombre, et Valérie découvrit une petite pièce entièrement carrelée, aux murs percés de plusieurs ouvertures rondes. Le fameux "glory hole" dont elle avait déjà entendu parler, sans jamais imaginer un jour s’y retrouver.
Elle se retourna vers Malik, partagée entre l’appréhension et l’excitation pure. Ses yeux brillants croisèrent ceux du grand homme :
— Ici, tu peux décider de tout. Tu peux observer, refuser, jouer... ou t’abandonner.
Il la laissa seule quelques instants. Le silence était presque pesant. Puis, doucement, comme si l’endroit s’éveillait à son désir, les premiers phallus commencèrent à apparaître dans les ouvertures. Des membres noirs, épais, durs, tendus par l’excitation.
La vision était hypnotisante. Valérie sentit sa respiration s’accélérer. Elle n’avait jamais vu autant de virilité concentrée devant elle. Chacun de ces sexes dressés semblait l’appeler, l’inviter, la tester. Certains étaient lisses, d’autres légèrement veinés, tous impressionnants de vigueur.
Ses doigts tremblants glissèrent le long de sa cuisse, remontant lentement vers son intimité déjà mouillée sous la tension du moment. Elle avança, effleura l’un des membres avec la pulpe de ses doigts, sentant la chaleur de la chair pulsante. Un léger râle étouffé se fit entendre de l’autre côté du mur.
Valérie ferma les yeux et se laissa emporter.
L’un après l’autre, elle caressa, lécha, goûta ces sexes offerts dans une danse érotique intense. Les sensations se mêlaient : le contact chaud et ferme des phallus, les gémissements discrets derrière les cloisons, le parfum musqué qui emplissait la pièce. Chaque fellation qu’elle offrait devenait plus audacieuse, plus gourmande, ses lèvres épousant parfaitement chaque courbure, sa langue explorant chaque relief.
Le plaisir montait des deux côtés du mur. Les soupirs, les halètements, les mouvements de bassin trahissaient le plaisir que Valérie provoquait.
Elle n’avait jamais ressenti une telle montée de pouvoir et de désir mêlés.
Alors que Valérie prenait de plus en plus d’assurance, ses gestes devenaient plus audacieux. Sa bouche experte alternait entre des sucions lents et profonds et des va-et-vient plus rapides, plus exigeants. De l’autre côté du mur, les hommes, invisibles mais omniprésents, répondaient par des soupirs rauques, certains tapant légèrement contre les cloisons sous l'effet de l’excitation.
Malik, qui avait discrètement réapparu dans la pièce, l’observait. Ses yeux brillaient d’admiration et de désir devant cette jeune femme, visiblement envoûtée par l’atmosphère sulfureuse du lieu. Il s’approcha doucement d’elle, glissa sa main sur sa nuque, puis dans ses cheveux, guidant ses mouvements avec une tendresse ferme.
— Tu es sublime… regarde ce que tu provoques, murmura-t-il.
Valérie sentit son propre corps s’enflammer sous l’effet de cette excitation collective. Son sexe ruisselait de désir, les battements de son cœur résonnaient dans ses tempes. Chaque membre qu’elle savourait semblait plus épais, plus dur que le précédent, et elle adorait cette sensation de pouvoir sur ces hommes anonymes.
Mais Malik n’en resta pas là. Tout en laissant Valérie jouer avec les hommes derrière les parois, il dégrafa lentement sa robe légère, dévoilant son corps offert, sa peau douce légèrement moite sous la chaleur de la pièce. Puis il glissa sa main entre ses cuisses et la caressa doucement.
— Laisse-toi aller encore davantage, ma belle...
Valérie hocha la tête, incapable de prononcer un mot tant l’excitation était à son comble. Ses gémissements se mêlèrent bientôt à ceux des hommes invisibles. Malik intensifia ses caresses, massant lentement son clitoris tout en l’encourageant à continuer ses fellations gourmandes.
Le mélange de sensations était presque irréel : les sexes tendus à travers les murs, la main experte de Malik qui titillait son intimité trempée, la moiteur ambiante, les râles de plaisir étouffés... Valérie n’avait jamais ressenti un tel feu en elle. Son premier orgasme la traversa comme une onde puissante, la faisant presque chanceler sous la force du plaisir.
Mais la soirée n’était qu’à son commencement.
Après ce moment intense dans la salle des glory holes, Malik prit Valérie par la main et l’invita à le suivre à l’étage supérieur. La maison des Pirates révélait peu à peu ses secrets, et chaque pièce semblait être un nouveau terrain de jeux sensuels.
En haut, le grand salon s’étendait sous un immense plafond décoré de voiles rouges. Sur plusieurs canapés, des couples et trios s’adonnaient déjà à leurs plaisirs. Les hommes noirs, athlétiques et puissants, faisaient corps avec ces femmes blanches au regard avide, à la peau frémissante sous les caresses viriles.
Valérie sentit de nouveau son ventre se nouer d’excitation. La scène était d’une intensité charnelle presque hypnotique.
Malik lui murmura à l’oreille :
— Ici, tu es reine. C’est à toi de choisir.
Lentement, elle retira sa robe complètement, ne gardant plus qu’une fine chaîne d’or à la taille. Tous les regards se tournèrent vers elle, admirant ses formes douces, ses seins fièrement dressés, son ventre légèrement tremblant sous l’émotion.
Un premier homme s’approcha : grand, musclé, la peau sombre et brillante. Ses épaules larges semblaient taillées dans l’ébène. Il s’appelait Demba. D’un geste respectueux, il effleura le bras de Valérie, attendant son accord.
— Tu es magnifique... Laisse-moi te montrer comment nous prenons soin de nos invitées…
Valérie, brûlante de désir, hocha la tête. En un instant, elle se retrouva allongée sur un large divan, entourée de plusieurs corps masculins, tous plus impressionnants les uns que les autres. Leurs membres épais se dressaient, tendus par le désir de cette jeune femme offerte.
Demba fut le premier à l’envahir de baisers, remontant de ses cuisses tremblantes jusqu’à ses seins. Ses grandes mains massaient ses hanches, pendant qu’un second homme, Malik, se plaça derrière elle pour embrasser la courbe délicate de son dos.
Valérie bascula peu à peu dans un abandon total. Les sensations se démultipliaient : les caresses des mains puissantes sur ses seins et son ventre, les langues chaudes sur sa peau sensible, les sexes dressés qui frôlaient son visage en attente de sa gourmandise.
— Laisse-toi faire… ici, on va t’adorer comme une déesse, glissa Malik d’une voix grave.
Elle sentit bientôt une pression douce au creux de ses reins. Demba, d’une lenteur maîtrisée, entra en elle, la remplissant complètement. Valérie gémit, la tête légèrement renversée, ivre de plaisir. Au même moment, un autre sexe vint à sa bouche, qu’elle accueillit goulûment.
Le va-et-vient synchronisé des deux hommes la fit exploser dans un orgasme puissant, son corps vibrant de plaisir sous cette domination multiple et respectueuse.
Alors que Valérie baignait dans cet océan de sensations, complètement enivrée par la puissance des corps masculins qui l'entouraient, une présence féminine s’approcha discrètement.
C’était Sophie, une sublime quadragénaire française, aux cheveux blonds légèrement ondulés, au corps galbé par les plaisirs assumés du libertinage. Sa poitrine naturelle et ferme, mise en valeur par un simple porte-jarretelles noir, dansait au rythme de ses pas sensuels. Son regard brillait d’une gourmandise complice.
Sophie se pencha doucement vers Valérie, caressant sa joue d’une main douce :
— Tu es magnifique ma belle… Laisse-moi participer à ton plaisir.
Valérie, surprise mais déjà complètement abandonnée à cette soirée, acquiesça dans un souffle court.
Tandis que Demba poursuivait lentement ses va-et-vient puissants en elle, et qu’un autre sexe glissait dans sa bouche offerte, Sophie vint se positionner tout contre elle, caressant ses seins, pinçant légèrement ses tétons tendus. Sa langue chaude trouva vite le chemin du cou de Valérie, descendant lentement jusqu'à sa poitrine.
Les baisers de Sophie étaient aussi tendres que brûlants, contrastant avec la vigueur virile des hommes autour d’elles. Cette double stimulation fit frémir Valérie de plus belle.
Sophie se montra rapidement plus audacieuse. Tout en léchant avec délice les mamelons dressés de Valérie, elle laissa glisser ses doigts entre les jambes du jeune homme qui la pénétrait, effleurant leurs deux sexes unis avec une sensualité raffinée. Le mélange des sensations fit basculer Valérie dans un second orgasme intense, presque convulsif.
Le spectacle devint hypnotique : entourée de ces hommes puissants, portée par la sensualité experte de Sophie, Valérie flottait dans un état de jouissance presque irréel.
— Ce n’est que le début… souffla Sophie à son oreille.
Autour d’eux, d’autres couples et trios s’étaient formés. Le grand salon des Pirates vibrait désormais sous les gémissements de plaisir, les halètements, les corps luisants qui s’enlaçaient sans retenue.
L’ambiance devenait presque irréelle. Les jeux de lumière tamisée, la musique sensuelle et les râles de plaisir formaient une symphonie charnelle. Dans cette maison où chaque recoin respirait le libertinage, les corps se mélangeaient dans une danse lascive et libre.
Autour de Valérie et Sophie, le cercle s’était élargi. Deux autres hommes, aux corps d’ébène sculptés comme des statues vivantes, s’étaient rapprochés. Kofi et Isaac, jeunes, puissants et joueurs, détaillaient Valérie avec un sourire complice.
Sophie, visiblement rompue à ces jeux, glissa à l’oreille de Valérie :
— Laisse-toi faire, tu es au cœur de la fête, ma belle. Ils vont te faire découvrir des plaisirs que tu n’as encore jamais touchés…
Valérie, le souffle court, hocha timidement la tête, déjà haletante sous l’effet de l’excitation.
Isaac se plaça derrière elle, ses mains grandes et chaudes effleurant ses hanches, tandis que Kofi s’agenouillait devant, embrassant l’intérieur de ses cuisses avec une douceur presque insolente. Bientôt, les caresses devinrent plus audacieuses, les langues exploratrices trouvèrent leurs chemins, et Valérie se cambra sous cette avalanche de sensations.
Sophie, toujours à ses côtés, se joignit à la danse. Elle embrassa passionnément Valérie, mélangeant leurs souffles, pendant que ses mains expertes guidaient les mouvements des deux hommes.
Puis le rythme monta.
Les sexes dressés des quatre hommes semblaient tous vouloir se partager Valérie. L’alternance des pénétrations, la chaleur des corps, les va-et-vient parfaitement synchronisés faisaient grimper la tension à un point de non-retour.
Sophie, de son côté, se laissa également offrir. Deux autres jeunes blacks s’étaient rapprochés d’elle, la prenant avec force et délicatesse à la fois. Les deux femmes, côte à côte, se tordaient de plaisir, se tenant parfois la main comme pour se soutenir dans cet abandon total.
C’était un ballet torride de corps entremêlés.
Le salon entier était désormais un vaste terrain de jeux où les cris de plaisir résonnaient, où les couples, trios, quatuors s’échangeaient, testaient toutes les combinaisons possibles.
Valérie, au cœur de cette orgie parfaitement orchestrée, laissait échapper des gémissements qu’elle n’aurait jamais imaginé pouvoir produire. Son corps était au bord de l’explosion, porté par la force et la vigueur de ces hommes dont l’endurance semblait inépuisable.
Plus la nuit avançait, plus les inhibitions disparaissaient.
L’atmosphère était devenue incandescente. Les corps ruisselants de sueur, les râles de plaisir, les regards brûlants de désir s'entremêlaient dans une chorégraphie sauvage et sensuelle.
Valérie était au centre de ce tourbillon charnel. Autour d’elle, quatre hommes d’une virilité impressionnante l’encerclaient, la touchant, la pénétrant tour à tour avec une synchronisation presque instinctive. Leurs membres épais et tendus glissaient dans ses orifices avides, la comblant à chaque va-et-vient plus profond.
Sophie, toujours près d’elle, lui caressait tendrement les cheveux pendant qu’elle-même jouissait entre les bras de deux jeunes blacks infatigables. Les deux femmes, liées par cette extase partagée, échangeaient des regards complices et des baisers humides, mêlant leurs gémissements.
Les corps s’entrechoquaient, les respirations haletantes rythmaient la pièce, et les cris de jouissance montaient crescendo, résonnant sous les plafonds de la grande maison.
Le moment d’apothéose arriva enfin.
Valérie sentit les corps des hommes se tendre autour d’elle, leurs souffles devenir plus courts, plus rauques. Puis, tour à tour, ils libérèrent leur plaisir en elle et sur elle, aspergeant son corps satinée de leurs giclées brûlantes. Les jets puissants ruisselaient sur sa peau moite, perlaient sur sa poitrine tremblante, coulaient le long de son ventre jusqu’à son pubis luisant.
L’orgie avait atteint son point culminant.
Épuisée, mais comblée d’une jouissance qu’elle n’aurait jamais osé imaginer quelques heures plus tôt, Valérie s’effondra sur un large canapé, haletante, les jambes encore tremblantes. Les hommes s’écartèrent peu à peu, laissant les deux femmes reprendre leur souffle. Sophie lui glissa tendrement :
— Bienvenue chez les Pirates, ma belle. Tu es des nôtres maintenant...
Un dernier baiser langoureux scella cette nuit magique.
Quelques heures plus tard, alors que l’aube pointait à l’horizon, Valérie quitta discrètement la maison. Son corps encore vibrant de plaisir, le sourire aux lèvres, elle regagna son appartement à Éropolis pour un repos bien mérité.
Mais dans sa tête, déjà, les souvenirs de cette nuit unique tournaient en boucle, et elle savait que l’aventure au Cap d’Agde ne faisait que commencer…
Le soleil déclinait lentement sur le Cap d’Agde, et Valérie, encore toute vibrante de sa première nuit d’exploration, se préparait nerveusement à cette nouvelle aventure. Kwame l’avait invitée à une soirée privée chez les « Pirates », un cercle un peu secret, connu des initiés.
Elle arriva en début de soirée, vêtue d’une robe fluide couleur ivoire, simple mais élégante, qui laissait deviner la finesse de sa silhouette. À peine avait-elle franchi le grand portail de la villa que l’atmosphère particulière la saisit. L’air était lourd, saturé de parfums capiteux, d’effluves de rhum et de musc.
Sur la terrasse, les corps dansaient au rythme d’une musique afro-caribéenne sensuelle. Autour de la piscine éclairée, une dizaine d’hommes noirs, grands, musclés, la peau luisante sous la lumière, évoluaient en toute décontraction. La plupart étaient torse nu, certains en chemises entrouvertes, laissant admirer des pectoraux puissants, des épaules larges et des abdominaux saillants. Leur présence dégageait une virilité brute, presque hypnotique.
Les regards se posèrent sur elle immédiatement.
Elle sentit cette tension électrique parcourir la scène. Les femmes, pour la plupart blanches, arboraient des tenues légères, osées, presque provocantes, assumant pleinement leur désir. Certaines déjà lovées dans les bras de ces colosses, échangeant baisers et caresses avec une audace décomplexée.
Kwame la rejoignit rapidement. Ses yeux brillaient d’un éclat amusé, presque protecteur :
— Bienvenue chez les Pirates, Valérie. Ici, on célèbre la liberté des corps et l’intensité du plaisir…
Il lui tendit un verre. Valérie le saisit, les mains légèrement tremblantes sous l’effet du mélange d’excitation et de nervosité.
Un autre homme s’approcha. Plus grand encore que Kwame, le torse dessiné à la perfection, le sourire éclatant. Il lui prit la main, la porta à ses lèvres.
— On m’appelle Malik… ravie de faire ta connaissance, beauté…
Ses doigts étaient chauds, fermes, sa voix grave, un soupçon dominante. Autour d’eux, les couples s’abandonnaient déjà à des ébats discrets sur les lits disséminés dans le jardin, sous les regards complices des autres invités. La nuit s’annonçait longue.
Valérie sentit sa respiration s’accélérer.
Kwame glissa à son oreille :
— Laisse-toi porter, Valérie… Tu es en sécurité ici. Ce soir, tout est possible si tu le désires.
Un premier baiser de Malik sur sa nuque fit frissonner sa peau. La main de Kwame caressa lentement le bas de son dos. Entre leurs deux corps massifs, elle se sentait à la fois fragile et exaltée, prête à s’offrir à cette aventure inédite.
Après quelques verres et des caresses échangées sur la terrasse, Malik glissa à Valérie quelques mots à l’oreille, d’un ton plus bas, presque confidentiel :
— Viens, je vais te montrer une pièce spéciale... Un lieu où certaines fantasmes prennent vie.
Intriguée, le cœur battant, Valérie le suivit à travers un couloir feutré. La lumière tamisée, l’atmosphère plus chaude encore, la rendait presque fébrile. Malik ouvrit une lourde porte en bois sombre, et Valérie découvrit une petite pièce entièrement carrelée, aux murs percés de plusieurs ouvertures rondes. Le fameux "glory hole" dont elle avait déjà entendu parler, sans jamais imaginer un jour s’y retrouver.
Elle se retourna vers Malik, partagée entre l’appréhension et l’excitation pure. Ses yeux brillants croisèrent ceux du grand homme :
— Ici, tu peux décider de tout. Tu peux observer, refuser, jouer... ou t’abandonner.
Il la laissa seule quelques instants. Le silence était presque pesant. Puis, doucement, comme si l’endroit s’éveillait à son désir, les premiers phallus commencèrent à apparaître dans les ouvertures. Des membres noirs, épais, durs, tendus par l’excitation.
La vision était hypnotisante. Valérie sentit sa respiration s’accélérer. Elle n’avait jamais vu autant de virilité concentrée devant elle. Chacun de ces sexes dressés semblait l’appeler, l’inviter, la tester. Certains étaient lisses, d’autres légèrement veinés, tous impressionnants de vigueur.
Ses doigts tremblants glissèrent le long de sa cuisse, remontant lentement vers son intimité déjà mouillée sous la tension du moment. Elle avança, effleura l’un des membres avec la pulpe de ses doigts, sentant la chaleur de la chair pulsante. Un léger râle étouffé se fit entendre de l’autre côté du mur.
Valérie ferma les yeux et se laissa emporter.
L’un après l’autre, elle caressa, lécha, goûta ces sexes offerts dans une danse érotique intense. Les sensations se mêlaient : le contact chaud et ferme des phallus, les gémissements discrets derrière les cloisons, le parfum musqué qui emplissait la pièce. Chaque fellation qu’elle offrait devenait plus audacieuse, plus gourmande, ses lèvres épousant parfaitement chaque courbure, sa langue explorant chaque relief.
Le plaisir montait des deux côtés du mur. Les soupirs, les halètements, les mouvements de bassin trahissaient le plaisir que Valérie provoquait.
Elle n’avait jamais ressenti une telle montée de pouvoir et de désir mêlés.
Alors que Valérie prenait de plus en plus d’assurance, ses gestes devenaient plus audacieux. Sa bouche experte alternait entre des sucions lents et profonds et des va-et-vient plus rapides, plus exigeants. De l’autre côté du mur, les hommes, invisibles mais omniprésents, répondaient par des soupirs rauques, certains tapant légèrement contre les cloisons sous l'effet de l’excitation.
Malik, qui avait discrètement réapparu dans la pièce, l’observait. Ses yeux brillaient d’admiration et de désir devant cette jeune femme, visiblement envoûtée par l’atmosphère sulfureuse du lieu. Il s’approcha doucement d’elle, glissa sa main sur sa nuque, puis dans ses cheveux, guidant ses mouvements avec une tendresse ferme.
— Tu es sublime… regarde ce que tu provoques, murmura-t-il.
Valérie sentit son propre corps s’enflammer sous l’effet de cette excitation collective. Son sexe ruisselait de désir, les battements de son cœur résonnaient dans ses tempes. Chaque membre qu’elle savourait semblait plus épais, plus dur que le précédent, et elle adorait cette sensation de pouvoir sur ces hommes anonymes.
Mais Malik n’en resta pas là. Tout en laissant Valérie jouer avec les hommes derrière les parois, il dégrafa lentement sa robe légère, dévoilant son corps offert, sa peau douce légèrement moite sous la chaleur de la pièce. Puis il glissa sa main entre ses cuisses et la caressa doucement.
— Laisse-toi aller encore davantage, ma belle...
Valérie hocha la tête, incapable de prononcer un mot tant l’excitation était à son comble. Ses gémissements se mêlèrent bientôt à ceux des hommes invisibles. Malik intensifia ses caresses, massant lentement son clitoris tout en l’encourageant à continuer ses fellations gourmandes.
Le mélange de sensations était presque irréel : les sexes tendus à travers les murs, la main experte de Malik qui titillait son intimité trempée, la moiteur ambiante, les râles de plaisir étouffés... Valérie n’avait jamais ressenti un tel feu en elle. Son premier orgasme la traversa comme une onde puissante, la faisant presque chanceler sous la force du plaisir.
Mais la soirée n’était qu’à son commencement.
Après ce moment intense dans la salle des glory holes, Malik prit Valérie par la main et l’invita à le suivre à l’étage supérieur. La maison des Pirates révélait peu à peu ses secrets, et chaque pièce semblait être un nouveau terrain de jeux sensuels.
En haut, le grand salon s’étendait sous un immense plafond décoré de voiles rouges. Sur plusieurs canapés, des couples et trios s’adonnaient déjà à leurs plaisirs. Les hommes noirs, athlétiques et puissants, faisaient corps avec ces femmes blanches au regard avide, à la peau frémissante sous les caresses viriles.
Valérie sentit de nouveau son ventre se nouer d’excitation. La scène était d’une intensité charnelle presque hypnotique.
Malik lui murmura à l’oreille :
— Ici, tu es reine. C’est à toi de choisir.
Lentement, elle retira sa robe complètement, ne gardant plus qu’une fine chaîne d’or à la taille. Tous les regards se tournèrent vers elle, admirant ses formes douces, ses seins fièrement dressés, son ventre légèrement tremblant sous l’émotion.
Un premier homme s’approcha : grand, musclé, la peau sombre et brillante. Ses épaules larges semblaient taillées dans l’ébène. Il s’appelait Demba. D’un geste respectueux, il effleura le bras de Valérie, attendant son accord.
— Tu es magnifique... Laisse-moi te montrer comment nous prenons soin de nos invitées…
Valérie, brûlante de désir, hocha la tête. En un instant, elle se retrouva allongée sur un large divan, entourée de plusieurs corps masculins, tous plus impressionnants les uns que les autres. Leurs membres épais se dressaient, tendus par le désir de cette jeune femme offerte.
Demba fut le premier à l’envahir de baisers, remontant de ses cuisses tremblantes jusqu’à ses seins. Ses grandes mains massaient ses hanches, pendant qu’un second homme, Malik, se plaça derrière elle pour embrasser la courbe délicate de son dos.
Valérie bascula peu à peu dans un abandon total. Les sensations se démultipliaient : les caresses des mains puissantes sur ses seins et son ventre, les langues chaudes sur sa peau sensible, les sexes dressés qui frôlaient son visage en attente de sa gourmandise.
— Laisse-toi faire… ici, on va t’adorer comme une déesse, glissa Malik d’une voix grave.
Elle sentit bientôt une pression douce au creux de ses reins. Demba, d’une lenteur maîtrisée, entra en elle, la remplissant complètement. Valérie gémit, la tête légèrement renversée, ivre de plaisir. Au même moment, un autre sexe vint à sa bouche, qu’elle accueillit goulûment.
Le va-et-vient synchronisé des deux hommes la fit exploser dans un orgasme puissant, son corps vibrant de plaisir sous cette domination multiple et respectueuse.
Alors que Valérie baignait dans cet océan de sensations, complètement enivrée par la puissance des corps masculins qui l'entouraient, une présence féminine s’approcha discrètement.
C’était Sophie, une sublime quadragénaire française, aux cheveux blonds légèrement ondulés, au corps galbé par les plaisirs assumés du libertinage. Sa poitrine naturelle et ferme, mise en valeur par un simple porte-jarretelles noir, dansait au rythme de ses pas sensuels. Son regard brillait d’une gourmandise complice.
Sophie se pencha doucement vers Valérie, caressant sa joue d’une main douce :
— Tu es magnifique ma belle… Laisse-moi participer à ton plaisir.
Valérie, surprise mais déjà complètement abandonnée à cette soirée, acquiesça dans un souffle court.
Tandis que Demba poursuivait lentement ses va-et-vient puissants en elle, et qu’un autre sexe glissait dans sa bouche offerte, Sophie vint se positionner tout contre elle, caressant ses seins, pinçant légèrement ses tétons tendus. Sa langue chaude trouva vite le chemin du cou de Valérie, descendant lentement jusqu'à sa poitrine.
Les baisers de Sophie étaient aussi tendres que brûlants, contrastant avec la vigueur virile des hommes autour d’elles. Cette double stimulation fit frémir Valérie de plus belle.
Sophie se montra rapidement plus audacieuse. Tout en léchant avec délice les mamelons dressés de Valérie, elle laissa glisser ses doigts entre les jambes du jeune homme qui la pénétrait, effleurant leurs deux sexes unis avec une sensualité raffinée. Le mélange des sensations fit basculer Valérie dans un second orgasme intense, presque convulsif.
Le spectacle devint hypnotique : entourée de ces hommes puissants, portée par la sensualité experte de Sophie, Valérie flottait dans un état de jouissance presque irréel.
— Ce n’est que le début… souffla Sophie à son oreille.
Autour d’eux, d’autres couples et trios s’étaient formés. Le grand salon des Pirates vibrait désormais sous les gémissements de plaisir, les halètements, les corps luisants qui s’enlaçaient sans retenue.
L’ambiance devenait presque irréelle. Les jeux de lumière tamisée, la musique sensuelle et les râles de plaisir formaient une symphonie charnelle. Dans cette maison où chaque recoin respirait le libertinage, les corps se mélangeaient dans une danse lascive et libre.
Autour de Valérie et Sophie, le cercle s’était élargi. Deux autres hommes, aux corps d’ébène sculptés comme des statues vivantes, s’étaient rapprochés. Kofi et Isaac, jeunes, puissants et joueurs, détaillaient Valérie avec un sourire complice.
Sophie, visiblement rompue à ces jeux, glissa à l’oreille de Valérie :
— Laisse-toi faire, tu es au cœur de la fête, ma belle. Ils vont te faire découvrir des plaisirs que tu n’as encore jamais touchés…
Valérie, le souffle court, hocha timidement la tête, déjà haletante sous l’effet de l’excitation.
Isaac se plaça derrière elle, ses mains grandes et chaudes effleurant ses hanches, tandis que Kofi s’agenouillait devant, embrassant l’intérieur de ses cuisses avec une douceur presque insolente. Bientôt, les caresses devinrent plus audacieuses, les langues exploratrices trouvèrent leurs chemins, et Valérie se cambra sous cette avalanche de sensations.
Sophie, toujours à ses côtés, se joignit à la danse. Elle embrassa passionnément Valérie, mélangeant leurs souffles, pendant que ses mains expertes guidaient les mouvements des deux hommes.
Puis le rythme monta.
Les sexes dressés des quatre hommes semblaient tous vouloir se partager Valérie. L’alternance des pénétrations, la chaleur des corps, les va-et-vient parfaitement synchronisés faisaient grimper la tension à un point de non-retour.
Sophie, de son côté, se laissa également offrir. Deux autres jeunes blacks s’étaient rapprochés d’elle, la prenant avec force et délicatesse à la fois. Les deux femmes, côte à côte, se tordaient de plaisir, se tenant parfois la main comme pour se soutenir dans cet abandon total.
C’était un ballet torride de corps entremêlés.
Le salon entier était désormais un vaste terrain de jeux où les cris de plaisir résonnaient, où les couples, trios, quatuors s’échangeaient, testaient toutes les combinaisons possibles.
Valérie, au cœur de cette orgie parfaitement orchestrée, laissait échapper des gémissements qu’elle n’aurait jamais imaginé pouvoir produire. Son corps était au bord de l’explosion, porté par la force et la vigueur de ces hommes dont l’endurance semblait inépuisable.
Plus la nuit avançait, plus les inhibitions disparaissaient.
L’atmosphère était devenue incandescente. Les corps ruisselants de sueur, les râles de plaisir, les regards brûlants de désir s'entremêlaient dans une chorégraphie sauvage et sensuelle.
Valérie était au centre de ce tourbillon charnel. Autour d’elle, quatre hommes d’une virilité impressionnante l’encerclaient, la touchant, la pénétrant tour à tour avec une synchronisation presque instinctive. Leurs membres épais et tendus glissaient dans ses orifices avides, la comblant à chaque va-et-vient plus profond.
Sophie, toujours près d’elle, lui caressait tendrement les cheveux pendant qu’elle-même jouissait entre les bras de deux jeunes blacks infatigables. Les deux femmes, liées par cette extase partagée, échangeaient des regards complices et des baisers humides, mêlant leurs gémissements.
Les corps s’entrechoquaient, les respirations haletantes rythmaient la pièce, et les cris de jouissance montaient crescendo, résonnant sous les plafonds de la grande maison.
Le moment d’apothéose arriva enfin.
Valérie sentit les corps des hommes se tendre autour d’elle, leurs souffles devenir plus courts, plus rauques. Puis, tour à tour, ils libérèrent leur plaisir en elle et sur elle, aspergeant son corps satinée de leurs giclées brûlantes. Les jets puissants ruisselaient sur sa peau moite, perlaient sur sa poitrine tremblante, coulaient le long de son ventre jusqu’à son pubis luisant.
L’orgie avait atteint son point culminant.
Épuisée, mais comblée d’une jouissance qu’elle n’aurait jamais osé imaginer quelques heures plus tôt, Valérie s’effondra sur un large canapé, haletante, les jambes encore tremblantes. Les hommes s’écartèrent peu à peu, laissant les deux femmes reprendre leur souffle. Sophie lui glissa tendrement :
— Bienvenue chez les Pirates, ma belle. Tu es des nôtres maintenant...
Un dernier baiser langoureux scella cette nuit magique.
Quelques heures plus tard, alors que l’aube pointait à l’horizon, Valérie quitta discrètement la maison. Son corps encore vibrant de plaisir, le sourire aux lèvres, elle regagna son appartement à Éropolis pour un repos bien mérité.
Mais dans sa tête, déjà, les souvenirs de cette nuit unique tournaient en boucle, et elle savait que l’aventure au Cap d’Agde ne faisait que commencer…
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