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Véhicule de courtoisie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/12/2024

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VEHICULE DE COURTOISIE

— On joue combien aujourd'hui?
— Cinquante euros comme d'habitude, j'ai répondu.
Il avait déjà préparé l'enveloppe, et y avait glissé un billet de cinquante. Quitte à en rajouter un autre au cas où j'aurais proposé de monter la mise. Mais on se cantonnait généralement à cette somme. Il perdait à chaque fois et je ne voulais pas lui pomper tout son salaire.
Max et moi on était tous les deux représentants pour une concession automobile. La marque Darnaud. On avait quasiment le même âge, la quarantaine, et on était potes. Une chance qu'on s'entende bien, quand on se voyait toute la semaine.
C'était à moi, je ne savais pas pourquoi, que le patron avait confié une mission nationale, dans son application locale. En effet, une gamme, dans sa production sur deux ans, avait un défaut majeur: ses airbags, s'ils étaient déployés, explosaient. Avec évidemment des dommages irréversibles sur le conducteur, allant jusqu'à la mort, mais aussi des risques pour le passager à la place du mort, qui méritait bien son nom.
Il s'agissait donc de recenser toutes les personnes qui avaient un modèle conçu sur ses deux années, et de leur proposer un véhicule de courtoisie, le temps qu'on remplace, une opération qui prenait une matinée ou une après-midi, leur air-bag.
Je contactais ces personnes, on prenait rendez-vous. Je leur amenais le véhicule de courtoisie, je prenais leur voiture, l'amenais au garage, ramenais leur véhicule et repartais avec le véhicule de courtoisie. Je désactivais l'air-bag avant de ramener la voiture au garage.
C'était en revenant, la toute première fois que j'avais dit à Max:
—La cliente a beaucoup apprécié la courtoisie, ma venue, mais aussi ma personne...
— Ne me dis pas que...
— Hé ben si...
— Je te crois pas...
— Ok, je ramènerai une preuve...
Le lendemain, il m'avait proposé, ayant accès au fichier, qu'on parie sur la prochaine cliente.
Je n'avais rien d'un séducteur, je n'étais pas entreprenant, mais je plaisais plutôt aux femmes. Et c'était elles qui venaient me chercher.
Je n'avais pas dit non, par jeu, sans même penser à séduire la fille.
J'étais revenu avec une petite culotte, et il m'avait cédé un billet de 50. Il aurait pu me dire que j'en avais acheté une au supermarché du coin, mais on voyait bien si une petite culotte avait été portée, et puis il y avait des tâches et des odeurs qui disaient l'excitation des filles. Alors il aurait pu rajouter que ça ne prouvait pas que quelque chose s'était passé entre nous...Mais il n'était pas tordu à ce point là.
Quand je n'étais pas prêt à parier, je ne pariais pas.
Mais en fait, à chaque fois, ou presque, il se passait quelque chose. Avec des nuances. Ca pouvait être plus ou moins élaboré, et aller plus ou moins loin.
J'en étais d'ailleurs surpris.
J'étais convaincu que le contexte jouait. Tout ce qui était associé à la voiture impliquait de la sensualité. C'était mettre les femmes dans un contexte qui favorisait la libération des fantasmes.
J'ai pris l'enveloppe et je l'ai posée dans l'armoire métallique contre le mur, près d'un carton qui renfermait mon trésor de guerre, qui était aussi mes preuves: une collection de petites culottes de toutes formes et de toutes couleurs. Les filles devaient rechercher partout leur slip, leur tanga, leur string, avant d'aller en chercher un autre, en se demandant comment elles l'avaient perdu.
— On verra bien...Allez, je suis parti.
J'avais eu au téléphone une certaine Clotilde C...La voiture était à son nom. Mariée? Célibataire? C'était tout sauf un problème. Elle avait une voix de gorge, rauque, sensuelle, et ma bite avait durci très rapidement, alors que je parlais avec elle. Mais pour moi, toutes les filles avaient des choses à offrir...J'avais toujours eu l'esprit ouvert. C'était peut-être ça qui les poussait vers moi.
Je suis arrivé chez elle en un quart d'heure. Un quartier résidentiel, des maisons qui se ressemblaient beaucoup, mais qui ne manquaient pas de charme, et, pour chez elle un jardin très arboré.
Une sonnette en bas de la propriété, mais pas de portail. J'ai sonné et je suis monté directement vers la maison. Il y avait une légère pente.
Elle est sortie m'accueillir.
J'ai été...Ebloui.
Elle était très grande, et même si elle avait des cuissardes rouges à talons aiguille qui la grandissaient encore, elle devait faire, pieds nus, un bon mètre quatre-vingt-dix.
Tout en rouge. Des collants rouges, une jupe en skai rouge, un corset rouge, qui soulignait sa taille et contenait tant bien que mal une poitrine très volumineuse, qui semblait devoir sortir dans les secondes qui suivaient. Elle avait un visage plutôt disharmonieux, mais paradoxalement ça lui allait bien, un gros nez, une bouche hyper sensuelle, des pommettes hautes et marquées et de magnifiques yeux bleus. Avec pour couronner le tout, une véritable crinière blonde, épaisse et très longue.
Elle m'a fait un immense sourire.
— Je vous amène votre véhicule de remplacement. Et je vais partir avec celui dont on doit changer les air-bags.
— Depuis que j'ai lu les risques sur le journal, je ne roulais plus avec mon véhicule. J'avais trop peur. Ma meilleure amie me prête sa voiture quand j'en ai besoin. Là, ça va aller mieux. Je pourrai être autonome à nouveau. Je suis très contente qu'il y ait une solution. Je ne pensais pas que cette solution viendrait si vite. Je vous dois une fière chandelle.
Elle avait marché jusqu'à moi, empruntant l'allée dallée sur les dernières marches de laquelle je me trouvais, ses talons tapant contre le dallage. Elle s'est arrêtée tout près de moi. Son parfum était délicat, il m'a enveloppé, il avait des nuances de violette.
Je lui ai tendu une enveloppe.
— Les clefs, les papiers. Vous pouvez partir tout de suite si vous le souhaitez. Et vous aurez votre véhicule réparé ce soir.
--C'est parfait. Vous avez tout bien préparé. Je n'ai qu'à me laisser faire.
A cette expression, se laisser faire, des images se sont inscrites dans ma tête. Elle était sensuelle, très désirable. Images dignes d'un film porno.
--Vous me montrez votre véhicule ?
Elle avait déjà débloqué la porte du garage, remontée.
— Il y a tous les papiers dedans, et je vais vous donner les clefs, elles sont à l'intérieur.
Elle marchait devant moi. Ses fesses dansaient sous la jupe.
— Vous avez le temps pour un café?
— Je ne suis pas surbooké. Ce sera avec plaisir.
Elle a fait coulisser une baie vitrée pour me faire pénétrer dans un living lumineux, à cause des baies justement. Un coin cuisine et le reste c'était le living. Une bonne odeur de café. Elle a attrapé la clef de la voiture, accrochée à un porte-clefs de la marque, elle est venue vers moi, l'a posée sur la table basse.
— J'amène le café.
Une pause, et puis elle a ajouté:
— Je vous plais? Votre regard, je le sens comme une caresse sur moi.
Nos regards se sont accrochés. Il y avait de la franchise en elle, et l'envie d'un homme. J'avais le sentiment, depuis que je répartissais les véhicules de courtoisie qu'il y avait des centaines de femmes qui vivaient, même mariées, la solitude, l'envie d'un compagnon, l'envie d'affection, de plaisir, de sexe...
— Vous êtes très attirante.
— Merci du compliment. Vous savez qu'il y a une grosse bosse qui déforme votre pantalon? C'est la preuve que vous ne me racontez pas des craques.
Oui, je bandais depuis les premières secondes, je n'y avais pas fait attention, mais ça se voyait.
Pourtant, je ne me suis même pas senti gêné.
Je l'ai suivie du regard pendant qu'elle allait à la cafetière. En me demandant ce qu'elle portait sous la jupe. Ses fesses dansaient sous le vinyle, elles ne semblaient pas contenues. Un string dessous? Elles avait des fesses pleines, charnues, en harmonie avec le reste de son corps. Elle était diablement excitante. J'aimais les filles grandes, avec des formes pleines.
Quand elle est revenue avec les deux tasses, j'ai su à son attitude, son regard, qu'il allait y avoir un basculement. Elle a posé les deux tasses, et puis elle a dit:
— J'ai envie de le voir!
Et j'ai bien compris qu'elle ne parlait pas du Père Noël. Elle s'est penchée sur moi, a descendu la fermeture-éclair de mon pantalon et a été chercher ma queue dans mon caleçon. J'ai eu un spasme de plaisir quand j'ai senti sa main, douce et chaude, contre moi. Elle m'a mis à nu, et a semblé ravie de ce qu'elle découvrait.
— Hmmm, tu as vraiment une belle queue. Longue, charnue, avec un gros gland. En tout cas je te fais de l'effet, dis donc.
Pliée en deux, penchée sur moi,elle s'est mise à donner de petits coups de langue sur ma chair. Pas de doute, elle savait caresser, elle aimait le sexe. Et j'étais sûr qu'elle était en manque. Elle me l'a d'ailleurs confirmé dans les minutes qui ont suivi.
L'angle de vue qu'elle m'offrait, penchée sur moi, me laissait voir la quasi-totalité de ses seins, ronds, bien pleins. Je n'ai pas pu résister, j'ai glissé mes mains dans l'espace entre sa chair et le vêtement, il y avait de la place, et je les ai sortis. Un ovale impeccable, et deux tétons, tout roses et tout tendus, qui ont encore plus durci à l'air libre. Elle m'a laissé les malaxer pendant qu'elle continuait à me donner des coups de langue sur la queue, buvant le ruissellement qui coulait de mon méat. Elle a finalement cassé le contact.
— Pfff, ça me remue. Je suis trop en manque. Pas vu une queue depuis trois mois.
Elle s'est posée face à moi, attrapant sa tasse de café.
— J'ai divorcé l'an dernier. J'ai découvert tout à fait par hasard que mon mari avait plein de petites copines, qu'il voyait entre midi et deux ou après son travail quand il avait de soi-disant réunions. Je pensais quitter la maison, mais il me l'a laissée, sans doute parce qu'il culpabilisait un peu. Avant de partir, il m'a dit: 'J'ai été trop con...Aucune d'entre elles ne t'arrivait à la cheville, mais j'avais envie de changement.'
Un discours que j'avais déjà entendu avec d'autres femmes, magnifiques, mais que leur mari avait trompé, parce qu'il s'était lassé.
Ma queue demeurait obstinément dressée dans une belle érection. Elle, elle m'offrait sa magnifique paire de seins, énormes mais fermes, avec des tétons qui semblaient se durcir encore plus de minute en minute. J'aimais les gros lolos. J'étais servi.
— Je suis plus heureuse sans lui. De toute façon, il ne me baisait plus. J'étais déjà en manque, je le suis encore plus. Je ne pense plus qu'à ça...Baiser...
Elle avait les jambes légèrement entrouvertes. L'occasion quand même de constater que, même si elles étaient pleines, elles étaient aussi bien galbées. Elle a fini sa tasse, l'a posée, et son regard dans le mien, elle s'est mise en devoir s'ouvrir ses jambes autant qu'elle le pouvait. Dessous, elle avait bien ce collant rouge, mais entièrement transparent, et pas de slip, de telle sorte qu'elle offrait à mon regard son sexe. Elle l'a ouvert encore plus en glissant ses mains sous le lycra, venant glisser ses deux index dans sa fente déjà bien ouverte d'excitation, et dont coulaient ses jus qui faisaient briller le collant, et elle s'est ouverte. Dans ses yeux, il y avait du plaisir, et puis aussi autre chose. Elle se sentait vivante ainsi.
J'ai bien regardé. Elle m'en a d'ailleurs vraiment laissé le temps, ajoutant:
— Quand tu te branleras, tu penseras à ma chatte. Regarde-la bien.
Et c'est vrai que j'ai enregistré tous les détails. Le rose de sa muqueuse, son gland clitoridien long et fin qui pointait, disant son envie, et la toison blonde qu'elle avait taillée et réduite à un triangle sur son pubis.
— Viens, je vais te donner du plaisir, et tu vas m'en donner aussi. Tu vas venir entre mes seins et dans ma chatte. Tu verras, ça sera très bon.
Je me suis levé, et j'ai avancé vers elle, avec ma queue en pleine érection. Ca faisait très longtemps qu'une fille ne m'avait pas fait une cravate de notaire. En souriant, elle m'a attrapé par les hanches d'une main, tandis que l'autre elle écartait un de ses seins pour me donner de l'espace. C'est en me poussant vers elle que ma queue s'est calée entre ses deux seins. Elle a ramené son sein vers l'autre et je me suis trouvé enveloppé dans un monde de douceur. Elle a attrapé ses seins, et elle s'est mise à me caresser tout doucement. Mon gland dépassait dans son décolleté et elle a baladé sa langue dessus. Je devais me retenir pour ne pas jouir.
— Je ne pensais pas que cette matinée serait aussi bonne, elle a dit, laissant un instant ma queue pour parler, avant d'avaler mon gland et de descendre un peu plus bas sur ma queue, tout en continuant de me frotter.
Cette double caresse m'a porté aux nues.
Elle s'est dégagée. Ma queue avait pris un volume que je connaissais rarement. Dilatée à l'extrême, sous l'effet d'une caresse ultra-excitante.
Elle s'est levée, à marché jusqu'à une table. Elle en a ramené un préservatif, tiré d'une boite. Elle a déchiré l'emballage, a posé le latex gras sur mon gland, et l'a fait glisser d'un mouvement souple et habile le long de ma queue. Elle m'a poussé sur le divan, s'est redressée. Debout devant moi, elle a défait sa jupe, ne gardant que le collant.
— Descends-le pour moi et je vais venir m'empaler sur ta queue.
J'ai obéi. J'avais vraiment très envie. Et elle aussi. Quand des clientes s'offraient à moi, j'avais toujours du désir pour elle, mais là, il y avait quelque chose de plus qui me troublait. Les autres femmes à qui j'avais amené un véhicule de courtoisie avaient quelqu'un et je représentais juste un supplément, un moment de plaisir qu'elles s'autorisaient dans une vie, certes monotone, mais où elles avaient du sexe. Elle, elle n'avait plus de partenaire depuis longtemps, et elle avait une flamboyance que les autres n'avaient pas. Celle de la frustration et de l'envie.
J'ai descendu le collant tout doucement. Quand je suis arrivé au niveau de son pubis, une odeur est montée à mes narines, très forte, celle de ses sécrétions vaginales. Une odeur intense et poivrée. Elle ruisselait de plus en plus, trempant sous mes yeux sa chair de ses jus qui coulaient d'une source intime. Elle a tiré le collant jusqu'à ses genoux, et puis elle est venue au-dessus de moi avec l'intention de s'empaler sur ma queue. Elle s'est laissée descendre sur moi et on a regardé avec fascination nos deux sexes se rapprocher. Elle a posé la pulpe de ses doigts sur ma queue et lui a donné une légère orientation avant que nos intimités fassent contact. Ça m'a fait une décharge d'électricité quand mon gland est venu cogner contre ses lèvres toutes gonflées. Elle a lâché un petit soupir.
— Mon Dieu, je ne peux pas croire que je suis entrain de baiser. J'étais tellement en manque.
On a regardé tous les deux son sexe avaler le mien jusqu'à ce qu'il soit totalement à l'intérieur. Elle s'est faite monter et descendre sur moi, dans un trip absolu, heureuse d'avoir cette queue pour la fouiller comme je pouvais l'être d'être entouré et caressé par cette gaine souple et délicate.
Me gardant en elle, s'accrochant à moi, souple comme une liane, elle m'a entraîné dans d'autres positions. Elle a basculé en venant coller son dos contre mon ventre. D'autres positions, d'autres sensations, d'autres plaisirs...Elle s'est redressée, mise à quatre pattes, là je suis sorti d'elle, mon sexe énorme d'avoir été frotté par ses muqueuses intimes. Je suis revenu en elle, mais pas dans les mêmes conditions. J'allais rentrer à nouveau dans cette vulve aussi dilatée que dégoulinante, mais elle m'a dit:
— Sodomise-moi. J'adore ça, et ça fait trop longtemps. Je crois même que je préfère me faire prendre par le cul que par la chatte.
Elle a tendu la main vers l'arrière, pensant peut-être que j'allais hésiter, et elle a amené ma queue contre sa muqueuse anale, dont j'ai senti les plissements contre mon gland. J'ai eu un moment d'hésitation, mais elle est venue appuyer sur une de mes hanches et m'a poussé à rentrer en elle. J'ai senti que je glissais dans son intérieur de quelques centimètres, et j'ai poursuivi le mouvement. Je me suis retrouvé aux trois-quarts dans son rectum, une sensation plaisante, que je retrouvais. Cela faisait des années que je n'avais pas sodomisé une fille.
Elle avait poussé un long gémissement pendant que je glissais en elle. Quand je me suis figé, son sexe a craché un jet de sécrétions qui est venu cogner contre le cuir du divan. Elle en serait quitte pour quelques coups d'éponge après.
Je l'ai fouillée. Elle avait glissé sa main entre ses cuisses et elle se masturbait fébrilement. Elle ruisselait sur sa main et elle éjaculait, crachant des jets de liquide qui nous mouillaient.
— Je vais jouir, elle a crié, avant de se tordre dans tous les sens, en éjaculant un liquide qui avait une autre densité, une autre texture, blanc et épais, un peu comme du sperme, mais différent.
Moi, je n'arrivais pas à jouir, bloqué dans ma volonté de garder une queue bien dure pour pouvoir la fouiller longtemps et lui donner du plaisir, ce qui m'importait plus que d'en avoir.
Elle m'a guidé vers une autre jouissance, m'expulsant d'elle. Elle a enlevé le préservatif qui m'enveloppait. Je crois bien que j'avais rarement été aussi dilaté. Je n'oublierais pas ce moment.
Elle a basculé de telle sorte que mon gland vienne frotter contre le cuir glacé de ses cuissardes. D'une main elle a baladé mon gland dilaté et suintant contre la cuissarde, de l'autre, elle a massé mes couilles.
Tous les hommes aimaient voir des filles porter talons aiguilles, bottes et cuissardes...Peu sans doute avaient l'occasion d'une telle caresse, si excitante. Je n'ai pas tenu très longtemps, et arrosé le cuir froid d'une semence qui n'en finissait pas de sortir.
Après...Elle s'est totalement déshabillée, faisant glisser les cuissardes, son collant.
— Je vais prendre une douche...Tu veux venir avec moi?
— Il faut que je retourne au garage.
— Quand tu reviendras ce soir, je serai là. Tu penses qu'on pourra avoir un moment de sexe? Si tu veux tu pourras rester pour dîner et pour la nuit.
Elle a jeté un coup d' oeil à ma queue qui demeurait quasiment aussi raide qu'avant, bien que j'aie joui.
— Tu vois, tu as encore envie...
Je l'ai regardé s'éloigner, hanches mouvantes, cul plein et rebondi qui dansait.
Il me fallait une preuve. J'ai ramassé le collant. C'était la première fois que je ramènerais autre chose qu'une petite culotte. Mais ça serait parfait. En partant vers le garage, j'ai étiré le lycra, et reniflé l'odeur forte de ses sécrétions qui avaient poissé le lycra avant qu'elle ne descende le sous-vêtement. Elle avait du mouiller dès les premières secondes.
J'aurais bien pris de passer la matinée avec elle, mais j'avais du travail. Je suis revenu au garage. Max était encore là. J'ai sorti la boule de lycra de ma poche.
— Je vois que tu ne relâches pas tes efforts.
— On parie sur la suivante?
— Un pari perdu par jour, ça me suffit.
J'ai récupéré l'enveloppe et glissé le collant dans le carton avec les petites culottes. Une autre mission m'attendait.
Il était dix heures vingt quand je suis arrivé devant la résidence. J'y ai pénétré. Appartement trois. J'ai sonné.
La porte s'est ouverte sur une petite brune, qui n'avait rien à voir avec ma précédente cliente. Elle était fine, menue, cheveux coupés courts, mais elle avait autant de charme. J'aimais différents types de femme. Elle portait une tenue d'intérieur en satin noir, un petit short et un top à bretelles, tendu par ses tétons.
— Claire m'a parlé de toi. C'est ma meilleure copine. Elle m'a dit que tu étais un bon coup. Tu as envie de me baiser?
Un moment de flottement, et puis je me suis souvenu. Claire. Brune, un peu plus grande qu'elle et avec des formes bien marquées. J'étais passé récupérer son véhicule il y avait deux semaines de cela. J'aurais pu prendre une carte de la ville, mettre des pions sur les endroits où je m'étais rendu pour récupérer des véhicules et avoir des moments de plaisir avec de jolies filles. Et aussi tisser des connexions entre elles si c'était le cas.
Au cas où je n'aurais pas eu envie, elle a fait glisser son haut, dévoilant des seins effectivement menus,mais j'aimais tous les types de seins, avec des tétons bien dressés, le froid, l'excitation? Ca pouvait aller très vite...Et au cas où je n'aurais pas encore été totalement décidé, elle a fait glisser son short à ses chevilles, dévoilant une belle toison brune et la fente de son sexe, dont sortaient deux lèvres fines et bien longues. Un petit tour sur elle-même pour me présenter des fesses bien rondes.
Elle m'a attrapé et tiré vers l'intérieur, poussant la porte derrière nous. Je lui ai tendu la clef du véhicule de courtoisie. Elle l'a posé sur une table basse, près de la clef du véhicule que je devais prendre, et elle a glissé à genoux pour venir chercher ma queue dans mon pantalon, et entamer une fellation. Elle m'a trouvé dur et ça a paru la ravir. C'était qu'elle était très attirante, et que mon premier rapport de la journée avait réveillé mon envie de sexe sans pour autant l'apaiser.
Cette fois, il n'y avait pas de pari, je n'aurais pas à ramener de preuve. Mais j'emporterais sans doute, discrètement, le short. De la manière dont il était tombé sur le sol, je voyais son fond, sombre des liquides qui, même en peu de temps, l'avaient trempé.
Max ne s'en était pas rendu compte, mais il y avait déjà un bon paquet de sous-vêtements très divers qui avaient quitté le carton de mon bureau pour arriver chez moi. Dans des moments de solitude, je les reniflais. Leurs parfums épicés duraient très longtemps. Ils se bonifiaient même avec le temps. Je me branlais en repensant à ces moments très forts, me faisant jouir jusqu'à l'épuisement.
Le plaisir a toujours plusieurs facettes.
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Histoire de JamesB

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