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Vidéosurveillance

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Lue : 2164 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/01/2019

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Jean-Mac se présenta dans le local peu avant quatorze heures. Il prenait toujours grand soin d’arriver avant l’heure à laquelle il prenait son service, pour libérer son collègue un peu plus tôt, et lui laisser le temps de se retourner avant de rentrer chez lui. Le job qu’ils avaient accepté l’un est l’autre était particulier, et enchaîner ainsi huit heures de surveillance d’affilée était une expérience particulière. Avec le recul, il se demandait s’il avait eu raison d’accepter. Quand il était dans la pièce, face aux écrans, il se sentait totalement déconnecté du monde, même si les images de celui-ci défilaient sous ses yeux, sans aucun contact, enveloppé dans un univers particulier, où les images devenaient vite hypnotiques, obsessionnelles. Mais il n’imaginait pas une autre attitude que de faire son travail le mieux possible, et cela impliquait qu’il ait l’œil collé sur les écrans qui s’étalaient devant lui.
—Ca va, Georges ?
—Ca peut aller.
Georges et lui étaient deux des cinq policiers municipaux qui se répartissaient la ville.
George avait dix ans de plus que Jean-Marc, qui était à la mi quarantaine. Il se partageait entre son domaine agricole, il faisait du maraîchage avec sa femme et sa fonction.
—Rien de neuf ?
—Un petit con qui a volé un vélo sur le coup de neuf heures . J’ai prévenu la police nationale qui l’a chopé devant son collège…
Cela faisait un an maintenant que le conseil municipal, sur proposition du maire, avait décidé d’installer, à l’unanimité, des caméras de vidéo surveillance dans ce bourg de taille moyenne. Décision adoptée à l’unanimité. C’était ainsi que, dans les semaines qui avaient suivi, des techniciens avaient installé une trentaine de caméras dans le village. Celui-ci avait une configuration spéciale, en effet sa structure centrale datait du Moyen Age, et les artères centrales bénéficiaient de ce que l’on appelait ici ‘des couverts’. Ceux-ci, pour autant qu’en savait Jean-Marc avaient été construits au 15em siècle. Il s’agissait en fait d’une avancée des maisons à colombages qui entouraient la grande place. Les couverts étaient soutenus par des piliers en bois, masquant le passage en dessous et de nombreuses boutiques.
Trois ans plus tôt, avaient débuté de nombreux actes d’incivilité. Qui avaient d’ailleurs été résolus depuis. Une bande de jeunes qui s’était mise en tête de profiter sans rien payer des commerçants en volant de jour comme de nuit. Trois d’entre eux étaient passés devant un tribunal et avaient été condamnés, dont un à un sejour en EPL. Mais l’idée avait fait jour dans la communauté d’installer des caméras, en prévision des jours à venir. Le village était à trois-quarts d’heure d’autoroute de la capitale régionale, et on craignait, comme cela s’était produit pour d’autres départements, une invasion d’une criminalité qui fonctionnait à un autre niveau. On avait d’abord pensé poser des caméras en certains points élevés, en particulier de la cathédrale d’on on voyait tout le village, mais il n’était pas possible d’apercevoir ce qui se passait sous les couverts, les caméras avaient donc été réparties, une partie surplombait le village, l’autre était positionnée sous les couverts, la troisième elle sur des lieux publics, parcs, place…
—Je vais aller récolter des fruits. Ma femme m’attend. Demain, elle va au marché.
En accord avec le maire, deux périodes de surveillance 6 heures du matin /14 heures et 14 heures/22 heures, avaient été déterminées. Il restait bien sur une période pas couverte, mais lorsqu’ils arrivaient le matin, ils visionnaient, en même temps qu’ils surveillaient, les images de la nuit. Généralement les mauvaises comme les bonnes gens dormaient la nuit.
L’un comme l’autre, ils avaient vite appris à utiliser leurs yeux avec une efficacité maximale, allant d’un écran à l’autre, ils en avaient quatre, et à faire défiler les caméras. Ils faisaient tourner les images. Ils ne voyaient évidemment pas tout, mais les images étaient conservées trois semaines, comme le permettait la loi, avant d’être détruites, de la sorte, s’ils avaient loupé quelque chose, et qu’on leur signalait, ils pouvaient toujours se rattraper.
—Bon après-midi.
Les deux hommes se séparèrent et Jean-Marc se posa devant les écrans. Parmi les quatre écrans, l’un d’entre eux était plus grand que les autres, sur lequel ils basculaient s’ils voyaient quelque chose de suspect, pour mieux avoir les détails.
Ce fut ce qu’il fit à quatorze heures quinze. Il remarqua la silhouette d’une femme sous les couverts. Souvent, il suivait ainsi le trajet d’une jolie fille, fasciné par le dessin de sa silhouette, ses courbes, la manière dont elle était habillée. Ce pouvait être une fille qu’il connaissait, ou pas… Pas mal d’habitants avaient fait grossir le bourg ces dernières années, et il était loin le temps où tout le monde connaissait tout le monde.
Il la vit d’abord de dos. Et ce dos-là avait tout pour plaire à un homme. Une fille plutôt grande, avec une épaisse chevelure blonde qui coulait sur ses épaules. Elle portait une robe rouge en lainage, collante, qui mettait en valeur ses hanches et une croupe haut perchée et charnue, robe très courte qui s’arrêtait juste en dessous des fesses, laissant voir des jambes gainées d’un collant sombre. Elle avait une paire de bottes à talons aiguille, noires, luisantes, qui montaient jusqu’en dessous du genou. Sur ses épaules un blouson de cuir, et accroché à son épaule droite, un sac à main.
Il en faut peu pour susciter l’intérêt d’un homme, et il bascula sur la caméra suivante, celle qui enchaînait sur l’ouverture vers le grand parc, au débouché de l’artère.
Depuis le temps il connaissait le numéro des caméras par cœur et il faisait toutes les manipulations sans même réfléchir.
Il suivit la jolie blonde jusqu’au parc, où elle se rendait. Bien des personnes aimaient ce vaste parc, sans doute parce que, contrairement à d’autres, dans d’autres villes, il était chaleureux, et on s’y sentait bien. Il était entretenu avec amour par les jardiniers de la ville.
Elle se posa sur l’un des bancs et il eut enfin l’occasion de la voir en face, pour la première fois. Elle avait une quarantaine d’années. Certains disaient que c’était l’âge où une femme était au maximum de son pouvoir de séduction, et, à la regarder, on ne pouvait qu’aller dans ce sens. Elle avait un joli visage, auquel l’irrégularité donnait tout son charme, avec un nez sans doute trop gros, des pommettes très marquées, et des lèvres très charnues…
Les caméras qui avaient été installées permettaient une image en haute définition, ainsi on pouvait avoir une vision très nette de détails. Ca permettait de faire la différence quand une plainte était déposée. Jean-Marc avait déjà une belle vision sur ses jambes… La robe déjà très courte avait bien remonté quand elle s’était assise. Des jambes bien galbées… Et puis Jean-Marc, comme pas mal d’hommes, aimait les filles qui mettaient des bottes… Ca ajoutait une touche d’érotisme bienvenue…
Elle s’était posée, semblait vouloir souffler cinq minutes… Comme tout le monde, elle menait une vie trépidante, et appréciait les pauses…
Ses jambes n’étaient pas réunies, et avaient tendance à s’ouvrir…
La tentation était trop forte… Les caméras avaient une forte puissance de zoom… Il prit la manette et resserra pour la mater… Il commença par le bas de ses jambes, puis remonta. Le collant bien que sombre, n’était pas opaque.
Il remonta le long de ses jambes… .La position qu’elle avait adoptée permettait maintenant d’avoir une vue complète de son bas-ventre, même si celui-ci était masqué par le nylon du collant.
Enfin, pas vraiment…
Son sang se mit à bouillir, en même temps qu’il sentait sa queue se durcir. Sous son collant, la jolie blonde ne portait pas le moindre soupçon de petite culotte. Et le collant n’étaient pas de ceux qui ont un empiècement censé masquer les parties intimes. Non il y avait une simple couture, qui permettait de réunir les deux parties, et celle-ci n’empêchait en rien de voir le dessin de son sexe, et tous les détails qui le composaient. Il y avait, en haut de son pubis, une toison, qui disait que, contrairement à ce que Jean-Marc aurait pu penser, elle était vraiment blonde… C’était plutôt rare de nos jours… Une toison qui n’était pas laissée à l’abandon, mais soigneusement taillée, en triangle, et épilée sans doute là où elle aurait pu déborder. Et un sexe au repos, une fente, mais dont sortait un bout de lèvre, dans ce plissement qui était unique à chaque femme.
Comment ne pas être troublé ? Jean-Marc partageait avec tous les hommes ce secret qui n’en était pas vraiment un, ce non-dit plutôt, qui était que le spectacle d’un sexe de fille était fascinant à l’extrême, quelque chose de totalement envoûtant, qui vous prenait totalement. Jean-Marc le savait bien, il était un homme comme les autres.
Il avait dans un premier temps pensé que les caméras étaient une bonne chose pour la sécurité, mais une mauvaise pour l’intimité des gens, car elles volaient forcément des pans de leur vie la plus personnelle. Un couple qui se sépare au petit matin et qui va plus loin qu’un simple baiser… Il se souvenait encore de cette scène troublante, qu’il avait revisionnée plusieurs fois, ou dans les premières heures de l’aube, un amant empressé avait prodigué un cunnilingus à son aimée. Mais il ne l’avait pas fait chez elle. Ils sortaient dans la rue, elle était devant sa voiture. Ils s’étaient embrassés longuement, contre la voiture. Elle avait un tailleur/jupe… Il avait retroussé la jupe courte, descendu son slip et s’était accroupi pour lécher son sexe… Il faisait encore nuit, même si les lueurs des lumières accrochées sous les couverts donnaient quand même des précisions…Il fallait plus imaginer que réellement voir la manière dont sa langue et sa bouche travaillaient le sexe, même si, pour avoir déjà fait des cunnis, Jean-Marc n’avait pas vraiment de mal à imaginer la langue courant sur les lèvres, venant appuyer sur le clitoris… Ce qu’il avait parfaitement vu, par contre, ça avait été la manière dont la fille s’était laissée aller, pâmée, yeux clos, bouche ouverte, contre sa voiture, et, s’il n’y avait pas de son, il n’avait pas vraiment non plus eu du mal à imaginer ses gémissements.
C’avait été quand elle s’était tendue contre la voiture, jouissant sans aucun doute, qu’il avait éjaculé dans son pantalon d’excitation, lui aussi traversé par un orgasme. Il s’en était voulu, mais cette scène l’avait tellement troublé… La fille après, avait remonté sa culotte, baissée sa jupe et était partie. Il s’était demandé si son fiancé, qui l’avait regardée partir s’était lui aussi joui dessus.
Plus tard, il lui était apparu que d’autres au contraire, s’exhibaient volontairement, parce qu’ils savaient qu’il y avait des caméras, et surtout, ils les avaient repérées. A un moment, ils avaient eu à faire à un couple qui s’exhibait en ayant totalement conscience qu’elles étaient là, leurs regards les accrochaient. Ils avaient laissé faire, prenant l’un comme l’autre du plaisir à les voir faire l’amour, mais malheureusement il y avait aussi des témoins qui les voyaient, et il avait fallu agir. Interrogés par le maire adjoint, ils avaient l’un comme l’autre prétendu n’avoir rien vu. Le maire adjoint avait paru dubitatif. Mais il était vrai que comme il n’avait que deux policiers volontaires pour ce travail...
La vérité, c’était que, sans s’être le moins du monde concertés, les deux hommes avaient éprouvé une fascination trouble pour le même spectacle donné par ce couple jeune et beau. Un grand type brun, une belle fille brune… Sous les caméras ils avaient fait ce qu’un homme et une femme en bonne santé peuvent faire. Il revoyait encore la fille, assise sur le banc de l’arrêt de bus, la robe roulée à la taille, se faisant monter et descendre sur la queue en pleine érection de son amant. Ils s’étaient positionnés de manière à ce que la caméra voit tout et bien. Les interminables jambes de la fille, qu’elle avait gainées de bas noirs, son sexe qui se dilatait au fur et à mesure que la queue en pleine érection le fouillait, et le membre d’une longueur impressionnante.
Pas une seconde la fille n’avait cessé de fixer la caméra. C’était clair, son plaisir, celui qu’elle avait eu dans un orgasme qui l’avait secouée était autant dû au fait de s’exhiber qu’à celui d’être fouillée par ce sexe démesuré. Il avait adoré l’expression de son visage quand elle avait joui, et la manière qu’elle avait eu de sortir le sexe d’elle, de le plaquer contre son ventre. Le sperme avait giclé, marquant sa chair de coulées blanchâtres…
Il y avait donc eu toutes ces scènes…
Puis ça s’était un peu tassé.
Et voilà qu’il y avait maintenant cette belle blonde d’âge mûr sous ses yeux.
Les doutes quant à son innocence-après tout elle avait peut-être simplement envie de se détendre dans le parc, et il y avait bien pas mal de filles qui ne mettaient pas de culotte sous leur collant, estimant que cela suffisait comme sous-vêtement, même si on voyait leur chatte. Mais quand son regard accrocha l’objectif, bien que discret, de la caméra, pour ne plus le lâcher, et que sa main gauche, posée sur son genou, se fit caressante sur ses jambes, il comprit que non, ce n’était pas le cas.
Elle se mit à se caresser les jambes, remontant lentement le long de celles-ci. Jean-Marc se rendit compte qu’il avait le feu au ventre, et la queue toute dure. Il avait pensé que ce serait un samedi après-midi tranquille, comme le village… Ce ne devait pas être le cas.
La netteté de l’image lui laissait parfaitement voir l’évolution du sexe de la fille. Sous le collant, le sexe se métamorphosait, s’ouvrait, les lèvres se gonflant et sortant, le rose interne se laissant voir. Il y avait aussi du jus qui coulait, et qui faisait briller le nylon.
Elle arriva sur ses cuisses, glissa dans ses aines. Elle prenait tout son temps, et c’était bien ainsi.
Jean-Marc était bien loin de sa mission de surveillance, à présent uniquement concentré sur l’image qui remplissait le grand écran, image en HD qui lui permettait de voir tous les détails.
Dans un réflexe de précaution, il pivota sur sa chaise, et tourna la clef dans la serrure, pour éviter une arrivée intempestive. Le maire adjoint débarquait parfois, et se posait un moment, toujours curieux de surveiller ce qui se passait en ville.
Quand il reporta son regard sur l’écran, la blonde sexy avait posé sa main sur son sexe à travers le nylon, et elle se masturbait d’un geste lent et hypnotique. Elle avait commencé par faire simplement descendre son index et son majeur réunis le long de sa fente. Ce geste simple, mais répété, avait énormément d’effet sur elle… Ses lèvres gonflèrent encore plus, tendant le nylon du collant, des sécrétions coulèrent d’elle, trempant une plus grande surface, et sa fente devint plus béante.
Le plus fascinant sans doute, et Jean-Marc le voyait parfaitement dans le cadre resserré, c’était la manière dont son visage exprimait le plaisir qu’elle éprouvait. Le regard mi-clos, la bouche ouverte, les contractions de ses traits… Qu’est-ce qui lui plaisait le plus, se toucher ou s’exhiber ? Sans doute les deux, comme pour le couple qui l’avait fasciné l’année d’avant… Elle se caressait pour prendre du plaisir, mais aussi et surtout pour celui qui, derrière l’écran la regarderait.
C’était quand ses gestes devenaient hypnotiques qu’elle en changeait, comme pour casser la fascination qui s’était installée. Elle fit ensuite tourner ses doigts sur sa chatte de manière circulaire, puis elle partit pour une manœuvre plus audacieuse, poussant ses doigts dans sa chatte mais à travers le collant… Le résultat, c’était que le nylon rentrait dans son sexe avec ses doigts, et ressortait tout chiffonné et imprégné de ses sécrétions vaginales…
Tout aussi fascinant fut le fait qu’à un moment son sexe cracha plusieurs jets de liquide… On n’aurait pas dit que c’était du pipi, c’était un liquide tout clair, qui vint se perdre dans le collant, dont la surface de souillure s’élargissait.
Il devint clair qu’elle allait jouir comme ça, sans glisser sa main dessous. Elle se tendit, totalement cambrée et cracha un jet puissant de sécrétions qui partirent le long de ses jambes, dans le collant, définitivement souillé.
Jean-Marc avait une folle envie de se masturber, et de se donner du plaisir lui aussi, tellement ce spectacle lui plaisait. Lui avait-il plu, aurait-il dû dire, car l’espace d’un instant d’inattention, la jolie femme s’était éclipsée, disparaissant de l’écran.
Mais ça n’était pas grave, il savait où elle se rendait.
Elle fut là deux minutes après. Il était vrai que le village était petit, et de plus le parc n’était pas loin de la mairie. Il avait débloqué la porte, l’avait entrouverte. Le bâtiment bénéficiait d’un vieil escalier en bois en colimaçon qui tournait sur les huit étages de la mairie. Il entendit, dans le silence du samedi après-midi, ses talons frapper le sol alors qu’elle montait. Il avait sorti sa queue. Elle était gorgée de sang. Il la massait doucement pour se soulager. Il ne désirait plus qu’une chose, mais cette chose allait se produire d’ici quelques secondes. Il en frémissait d’impatience.
Enfin, elle fut là, devant lui. Aussi magnifique devant lui que sur l’écran. Il remarqua que le long de ses jambes, ses jaillissements sécrétifs avaient laissé des traces en dégoulinant.
Elle lui jeta un regard où passion et désir se mêlaient.
—J’en peux plus… Je veux ta queue dans ma chatte..., dit-elle dans un cri, avec franchise et crudité.
Ils n(étaient plus que deux corps animés par un désir intense, irrésistible, qui devait absolument trouver un apaisement, comme en témoignaient le sexe de la femme, dilaté pour recevoir une queue, dégoulinant de sécrétions, et le membre tout rouge à force d’avoir été gorgé de sang.
Elle se bascula contre le bord du bureau, masquant les écrans, mais c’était bien la dernière chose dont il se préoccupait à présent, il n’avait d’yeux que pour la femme devant lui, qui souleva sa robe, exhibant son ventre, et ce sexe à présent tellement ouvert qu’on pouvait voir largement les parois internes. Un sexe abondamment lubrifié par les jus qui coulaient d’elle, prêt à recevoir une queue.
Elle se pencha sur son ventre, et attrapa un point de jonction entre son anus et son vagin, là où la couture montrait clairement que le collant avait été soudé. Elle tira dessus. Le nylon,solide, résista d’abord, avant qu’une déchirure, minuscule, ne se dessine, qu’elle accentua en s’engouffrant dans cette brèche. Elle parvint à écarter largement les deux pans, dévoilant sa chair huilée par ses sécrétions.
—Un collant fichu… Tant pis, j’en rachèterai au supermarché…
Il l’attrapa par les hanches et l’amena vers lui. Il fallait qu’ils parviennent à s'emboîter, et c’était toujours moins aisé qu’on aurait pu le penser. Il s’efforça de la caler pile au dessus de sa queue tumescente, alors qu’elle attrapait la verge et s’efforçait de la guider vers son ouverture. Ca lui fit un long frisson quand la chaleur de sa main rentra en contact avec son membre. Il la fit descendre, jusqu’à ce que leurs chairs rentrent en contact, les faisant se tordre. Il y eut un moment où la queue, au lieu de rentrer, ripa, et partit sur le côté, mais elle la tenait fermement, et elle sut la ramener vers son intérieur, où elle finit par rentrer. Quand les premiers centimètres furent à l’intérieur, ils firent une pause, éprouvant déjà une satisfaction, parce qu’ils étaient emboités, et que, logiquement, tout irait maintenant de soi… C’était un autoroute qui s’ouvrait vers le plaisir…
La tenant toujours par les hanches, il la laissa glisser, la queue, longue, disparaissant centimètre par centimètre dans la vulve, et la remplissant. Elle glissa sur lui, jusqu’à ce qu’elle soit posée sur son bas-ventre, le sexe totalement avalé. Ils se sourirent. Ce moment était très bon pour l’un comme pour l’autre, et leur procurait quelque chose d’intense. C’était l’un de ces rares moments où la vie perd de sa grisaille quotidienne pour réellement se colorer.
Il laissa glisser ses mains de ses hanches à ses fesses. Elles étaient pleines et dures. Il s’y accrocha et se mit à la faire monter et descendre sur lui. A chaque mouvement, les parois de sa chatte frottaient contre sa queue et c’était délicieux, tout autant que de sentir ses jus intimes couler sur lui, et venir déborder sur son bas-ventre. Elle paraissait apparemment satisfaite de sentir le membre pénétrer en elle, fouiller ses chairs…
—J’ai l’impression que tu rentres de plus en plus profond en moi, c’est… Ca fait longtemps que je n’ai pas éprouvé quelque chose de pareil…
Ils restèrent un moment ainsi, alternant les rythmes, plus rapide ou plus lent… Ce fut quand la queue ripa et ressortit que, la prenant à nouveau dans sa main, elle lui dit :
—Ca te dit de venir entre mes fesses?… J’aime finir comme ça… Par la chatte c’est bon, par le cul, c’est un autre plaisir, que j’apprécie énormément.
Elle amena la tête du sexe plus bas, la faisant glisser contre sa chair. Quand elle le posa contre son anus, il eut la sensation immédiate des plissements.
—Ne te fais pas de souci, tu ne me feras pas mal !
Elle pesa de tout son poids, pour que la queue rentre. Un instant, il y eut un blocage, mais, comme elle l’avait laissé entendre, il rentra en elle avec une facilité déconcertante, sa queue glissant de plusieurs centimètres. Cela le laissa interdit. Ce fut elle qui força le mouvement, se laissa tomber sur lui. Dans le mouvement, elle engloutit totalement le sexe, qui fut gainé par le conduit étroit.
Ils le savaient l’un comme l’autre, c’était la partie finale du circuit. Prenant le commandement, elle se fit monter et descendre sur lui… Jean-Marc adorait la sensation, très différente de celle ressentie quand il était enfoncé dans son vagin, de la sentir aussi serrée autour de lui. Sa caresse exerçait une pression sur lui qui le faisait se rapprocher de la jouissance. Sans doute appréciait elle aussi de sentir le sexe la fouiller avec moins de flou que quand il était dans sa vulve.
Ce fut quand le premier jet de sperme jaillit, avec un instant de décalage, qu’il se rendit compte qu’il jouissait, et toute la violence de l’orgasme le submergea, orgasme dans lequel elle le rejoignit, sa jouissance à elle déclenchée par les jets de sperme qui venaient frapper contre ses chairs les plus intimes.
Elle s’effondra sur lui. Ils restèrent ainsi un moment avant qu’il ne dise :
—Il faut que je me remette à mon travail.
Elle se redressa. La queue sortit d’elle, encore dure. Ils auraient bien pris de continuer, mais il fallait être raisonnable. La semence ne jaillit pas de son anus. Elle attrapa son sac à main et en tira une culotte et un collant. Elle se changea sous ses yeux, enleva ses bottes, retira le collant déchiré avant de passer le slip, une simple culotte blanche, puis le nouveau collant, plus pâle que le précédent.
—Ton sperme va sortir lentement de mon cul, et chaque fois que je le sentirai couler dans ma culotte, je repenserai comme ce moment a été bon…
Elle disparut, le laissant à sa mission qu’il exécuta jusqu’à 22 heures, l’esprit ailleurs, et la queue encore dure.
Quand il rentra chez lui, le cahier à scénario était encore sur la toile cirée de la table de la salle à manger, il l’avait consulté avant de partir de chez lui à 13 heures, avec écrit en rouge les mots BIENTOT REALISE en gros.
Cela faisait deux ans maintenant qu’ils avaient eu l’idée, pour pimenter leur vie de couple de tenir ce cahier où ils écrivaient, sur une ou plusieurs pages, les scénarii, incluant du sexe, dont ils rêvaient. C’était elle qui avait écrit, trois semaines plus tôt, le déroulement de ce qui s’était passé aujourd’hui, inspirée par ce qu’il lui racontait souvent, sur les filles qui s’offraient à la caméra.
Il se glissa dans la chambre à coucher… Elle lisait, en pyjama, allongée sur le lit. Elle lui sourit :
—Ca t’a plu ?
—Merveilleux. J’ai passé un moment exceptionnel.
—Moi aussi, sourit-elle. J’ai l’impression de sentir encore ta queue en moi.
Ils s’étaient regardés. Ce qui était le plus précieux pour eux, c’était la complicité qui existait entre eux, cette complicité qui leur permettait de parler de leurs fantasmes et de les réaliser, mais aussi de se retrouver comme ce soir, et de comprendre que l’autre avait encore du désir.
Jean-Marc s’était deshabillé rapidement. Il n’avait pas vraiment débandé depuis l’après-midi, et son érection retrouva sa peine vigueur. Il était venu se glisser sous les draps, et elle s’était calée sur lui pour le chevaucher.
—Je me suis masturbée toute la fin de l’après-midi en sentant ton sperme couler de moi… J’avais encore envie de ta queue… Ah c’est bon d’être rempli par ta bite…
Elle s’est mise, comme elle aimait parfois le faire, un don rare, à contracter les muscles de son vagin autour de sa queue. L’enjeu, à chaque fois, c’était de ne pas jouir immédiatement tellement c’était bon.
Jean-Marc repensa au cahier. Il l’avait laissé ouvert en bas, et il savait que très bientôt, elle ou lui, ils allaient y ajouter un nouveau scénario. Puis il fut emporté par un orgasme, et il ne pensa plus à rien pour quelques secondes.
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Histoire de JamesB

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