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Vie et mort d'un concombre

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/11/2023

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VIE ET MORT D'UN CONCOMBRE

ANITA
Je suis rentrée sur le coup de dix heures à la maison. Je vis avec ma mère depuis vingt-trois ans, et on s'entend parfaitement. D'autant plus sans doute que mon père dont je n'ai pas le souvenir nous a abandonnées quand j'avais six mois et ma mère, elle, mon âge, 23 ans. Le malheur nous a soudées, et on est très proches.
On avait nos traditions. Comme je commençais ma journée à trois heures du matin et que je finissais à dix heures, je suis rippeuse, quand je rentrais je préparais le repas pour ma mère qui revenait entre midi et deux. Elle était assistante de direction dans une boite qui vendait des pièces auto de seconde main.
Je me suis examinée en posant mes affaires dans l'entrée, dans le grand miroir qui prenait un mur. Elle et moi on se ressemblait tellement que certains nous prenaient pour des sœurs. Brunes, pas très grandes, avec des formes très marquées qui nous valaient pas mal de regards concupiscents, et nous amenaient l'une comme l'autre dans des histoires qui duraient un soir, quelques jours, quelques mois, ce qui nous convenait parfaitement. Elle comme moi, pour différentes raisons, on ne désirait pas quelque chose qui puisse durer, tout simplement parce qu'on n'y croyait pas. Notre seul vœu, c'était sans doute d'être ensemble, dos à dos, pour faire face à l'adversité.
Aujourd'hui, caler le repas serait rapide. La veille, c'était dimanche et on avait préparé ensemble plusieurs plats à venir pour la semaine, dont le hachis parmentier que j'ai sorti du frigo, enlevant le film plastique qui le couvrait pour le glisser au four, que j'allumerais ou qu'elle allumerait le moment venu. J'avais fait un tiramisu dans la soirée, un dessert qu'on adorait.
J'allais pouvoir me reposer un peu. Je m'étais calée maintenant, mais se lever tôt, au début ça avait été difficile. Le bon côté, c'était qu'il me restait la journée, et je pouvais en profiter pendant que tout le monde travaillait.
J'allais quitter la cuisine quand j'ai remarqué le sac en papier sur le plan de travail.
Une voisine sympa avait les clefs. Elle avait un jardin immense et elle nous amenait régulièrement ses productions. Ma mère lui faisait énormément de couture, un de ses dons.
Il y avait des oignons, des tomates, et quatre superbes concombres.
Je me suis dit que j'allais en embarquer un dans ma chambre, j'avais encore une heure avant que ma mère ne soit là, pour me donner du plaisir. Ces derniers temps, je n'avais pas de petit copain en vue, un peu de lassitude à force de voir passer des gars qui pensaient à leur plaisir sans se soucier du mien. Au final, je me trouvais bien toute seule, prenant du plaisir toute seule. Je ne trouvais pas le plaisir que je me donnais de qualité inférieure à celui que je pouvais avoir avec un gars qui faisait trois aller et retour dans ma chatte, jouissait en braillant et en éjaculant dans un préservatif, puis me disait ensuite avec une expression béate: 'C'était bien, hein ?'
J'ai choisi celui qui me plaisait le plus. Long, plutôt charnu. J'en avais déjà essayé un il y avait quelques temps, et l'expérience m'avait laissé d'excellents souvenirs. Le plaisir c'était plus simple qu'on pouvait imaginer, au final. Il y avait de multiples manières de se donner du bonheur. Pendant un moment, et j'y avais encore recours, ce que j'adorais, c'était de me frotter contre des coins de table, de meuble, qu'ils soient ronds, carrés ou rectangulaires...Ca pouvait paraître simple, mais en fait il y avait une multiplicité de possibilités selon la manière dont on ajustait le morceau de meuble...Sur le pubis, les lèvres, le gland clitoridien, un mouvement de gauche à droite, de haut en bas, circulaire...Ca ouvrait un champ des possibles vraiment impressionnant. Et puis c'était une technique qui était relativement discrète. Il m'arrivait parfois de me donner du plaisir dans le living tout en discutant avec ma mère qui était dans la cuisine et qui faisait la vaisselle.
Le concombre c'était autre chose.
Avant de quitter le centre de traitement des déchets, je me changeais, laissant, contrairement à certains, ma tenue de travail là-bas. Là, j'étais en jogging et hoodie.
Je me suis laissée glisser sur le lit. Cela pouvait sembler bizarre, mais j'adorais ce que je faisais, alors même que cela pouvait sembler ingrat à beaucoup. Il y avait entre nous tous une réelle fraternité, une solidarité qu'on ne trouvait pas forcément ailleurs, et puis j'aimais cette autre facette du monde: la ville, silencieuse, la nuit, jusqu'à l'aube, si différente de celle du plein jour. Avec sa langueur, son mystère, ce sentiment que tout était possible...
Avant de me laisser glisser sur le lit, j'ai descendu mon jogging, et la grande culotte blanche qui enveloppait mes parties intimes. J'ai ramené plusieurs oreillers à moi, et je me suis laissée aller contre. J'ai porté le concombre à ma bouche, et j'ai commencé à faire aller et venir ma bouche dessus, comme si c'était une queue d'homme que je suçais. J'aimais les concombres, car ils me donnaient toujours le sentiment qu'on pouvait faire plein de choses avec, mais aussi et surtout qu'il y avait pas mal de possibilités accessibles. Ils étaient volumineux, mais pas trop. Je trouvais qu'ils s'ajustaient bien, quelle que soit la bouche, quelle que soit la chatte.
Ma bouche allait et venait dessus, et c'était très excitant. J'avais vite appris que l'imagination était la meilleure des armes dans la sexualité, et qu'elle pouvait être plus forte qu'une réalité moche.
Tout en continuant de sucer le concombre, j'ai amené ma main sur mon sexe. Sans surprise, je me suis trouvée déjà ouverte, lèvres dehors, un liquide visqueux coulant contre mes doigts. Je m'excitais très vite.
Je me suis mise à me caresser d'un mouvement circulaire...Mon sexe a rapidement évolué. Il fallait que je sois suffisamment ouverte pour pouvoir glisser le concombre en moi. Le prendre comme ça...C'était pas une bonne idée...
En fait, je me suis mise très vite à mouiller d'abondance. L'idée de ce concombre en moi, caressant mes chairs intimes..C'était plus qu'irrésistible...J'avais le souvenir de la manière dont j'avais pris du plaisir la dernière fois...J'étais en plein trip...
La pulpe de mes doigts m'a dit que mon sexe était suffisamment dilaté, et suffisamment lubrifié aussi, vu toute la mouille qui dégoulinait sur ma main et sur mes cuisses...Il était temps que j'introduise le concombre...
Comme ce n'était pas la première fois, j'avais bien compris comment il fallait faire. Dans un premier temps, j'ajustais le concombre à ma chatte, en glissant son bout en moi, et en le faisant tourner à l'entrée de mon sexe. Ca pouvait paraître une contrainte, c'était un plaisir, parce que tout le sexe d'une femme est ultra-sensible. C'était déjà très fort, et je ruisselais sur le légume, qui n'avait sans doute jamais imaginé pareil destin. Ensuite, il y avait un moment, je le sentais toujours, où le concombre glissait tout seul, et venait me remplir comme m'aurait rempli une queue. D'ailleurs, dans mon esprit c'était une queue pour ainsi dire.
Je me suis mis à faire aller et venir le concombre. Ma chatte l'enveloppait bien, il y avait une symbiose entre ma vulve et le légume, comme s'ils ne devaient jamais se séparer. Je serais restée là à me donner du plaisir pour l'éternité.
Et puis Virginie est rentrée dans la pièce.
Ca n'a pas changé grand chose à la situation à vrai dire.
Virginie, c'était tout mon contraire. Elle était blonde, très grande, avec des jambes interminables, même si elle avait des fesses et des seins volumineux. Il existait entre nous un lien qui avait évolué avec le temps, et qui surtout avait de multiples nuances. On pouvait passer deux heures à discuter sans que rien d'autre ne se passe, ou bien on se retrouvait et on plongeait l'une sur l'autre parce qu'on avait envie de sexe. Il existait entre nous un degré d'intimité intense, une complicité comme j'en avais rarement connue. C'est bien quand ca se passe comme ça.
Elle m'a trouvé avec le concombre dans le ventre. Elle a souri.
--Je vais te donner un coup de main. C'est toujours mieux à deux que tout seul.
J'ai vu à son regard que ce moment lui plaisait. Regard brillant, elle s'est approchée, et elle a posé sa main sur le concombre. Un geste simple mais fort. Je l'ai lâché, attendant qu'elle agisse. Avec un rien de timidité, d'hésitation, elle a attrapé le concombre, et elle s'est mise à le faire bouger en moi. Curieux comme un geste identique peut prendre une autre dimension. Parce que c'était elle qui le faisait, c'était tout de suite plus fort, plus intense, et j'ai fermé les yeux de plaisir. Elle s'est très vite calée, prenant son rythme, et je me suis totalement laissée aller. J'avais confiance en elle. On s'était déjà donné maintes fois du plaisir l'une l'autre de par le passé, et souvent de manière très forte. J'ai lâché:
--Mets-toi près de moi que je te caresse pendant que tu me caresses.
--Je crois que je sais comment je veux faire.
Elle s'est contorsionnée pour enlever le caleçon et qu'elle portait, et la simple culotte blanche qu'elle avait dessous, marquée par une large tâche d'humidité au niveau de son sexe. Sexe qui m'est apparu quelques secondes plus tard, me tordant le ventre. Je connaissais son corps par cœur, mais c'était toujours comme si c'était la première fois. J'aimais le dessin de sa chatte, ses lèvres qui semblaient toujours gonflées, sorties d'elle, quelle que soit l'occasion, et le triangle brun qui décorait son pubis, qu'elle taillait selon son humeur, aujourd'hui en forme de cœur. Ses chairs intimes étaient brillantes de mouille.
Elle s'est calée face à moi, ventre en avant, et elle a fait rentrer le concombre dans son sexe. Fascinée, je l'ai regardé glisser en elle. Il était long, et elle en a avalé un tiers, sa mouille coulant sur la peau verte et la faisant brillante. Il m'a semblé qu'il y avait une sorte d'équilibre, Un tiers du concombre en elle, un tiers en moi, un tiers entre nous deux.
On était novices sur l'utilisation du concombre, mais expérimentées dans celle d'objets semblables. Et en particulier nous nous étions donné du plaisir, un moment, avec une longue tige rouge de plastique, on aurait pu la qualifier de double gode, dans la mesure où nous pouvions la prendre dans nos deux sexes en même temps, remplies par le plastique, mais aussi avec l'illusion et la sensation que le sexe postiche de l'autre nous pénétrait, On avait très vite trouvé comment l'utiliser. On serrait alternativement nos muscles vaginaux autour du concombre, et on s'en servait comme on se serait servi d'un gode ceinture pour fouiller l'autre et lui donner du plaisir. On avait fait ça longtemps, prenant du plaisir, des orgasmes, et ruisselant.
Et on est parties pour faire la même chose avec le concombre. Ce n'était pas la même matière, là un légume, quelque chose de moins dur, avec une épaisseur autre, mais le plaisir à été très vite au rendez-vous. Ruisselant sur le concombre qui n'avait jamais du imaginer pouvoir vivre un moment pareil dans sa vie de concombre, on a enchaîné les orgasmes jusqu'à rester allongées l'une en face de l'autre, le concombre toujours en nous, épuisées d'avoir trop joui.
--Allez viens, on sort, elle a proposé, en faisant sortir le concombre de son ventre avec un bruit visqueux.
Ca a fait un bruit à peu près identique quand je l'ai enlevé de mon ventre.
--On va aller se balader ensemble, et on mangera à l'extérieur.
Ma mère mangerait seule. On se verrait le soir. J'appréciais ces moments avec ma copine.
J'ai ramené le concombre à la cuisine. Je l'ai essuyé avec de l'essuie-tout et reniflé. Il sentait un peu la cyprine. Je pouvais le remettre avec les autres. En attendant de finir dans un plat ou une assiette, il pourrait se souvenir d'avoir caressé des sexes de filles et d'avoir été trempé par leurs ruissellements.



BEATRICE
Ca faisait six mois que Béatrice et Yves se voyaient. Ils s'étaient rencontrés lors d'une soirée d'anniversaire, celle de Nadia, la meilleure amie de Béatrice, et il y avait eu entre eux quelque chose qui était passé quasi immédiatement. Ils avaient à peu près le même âge, Béatrice était assistante de direction pour AUTOCAR, une boite en pleine expansion qui vendait ds pièces d'auto en occasion mais vérifiées, un marché grandissant sur lequel ils s'étaient positionnés, Yves lui comptable de profession, était à son compte, et ils avaient à peu près le même âge. Béatrice avait été séduite par son corps, et son sens de l'humour. Suffisamment pour le rappeler, il lui avait laissé son numéro de portable, et lui proposer de se revoir. Ils avaient choisi un endroit neutre, ils avaient été voir une expo. Elle avait été bluffée par un autre aspect de sa personnalité, une culture immense, mais c'était sûrement le manque qui l'avait conduite à lui faire une fellation dans sa voiture, initiant un rapport amoureux agréable et simple à vivre, pour elle qui n'avait pas toujours eu des histoires faciles.
C'était la première fois qu'elle le ramenait chez lui,
Outre une grande complicité entre eux, Béatrice adorait les rapports sexuels qu'ils pouvaient avoir. Ils aimaient l'un et l'autre le sexe et appréciaient qu'il soit décalé, loin des normes les plus classiques et les plus lassantes.
Il y avait trois semaines maintenant que Yves avait déclaré à Béatrice :
--J'ai fait un drôle de rêve hier matin...Mais qui m'a sacrément excité, et donné des idées...Je m'étais réveillé au milieu de la nuit et je me suis rendormi. Et j'ai eu ce rêve.
--Bon raconte.
--C'est un rêve érotique.
--Je ne suis plus une oie blanche.
--Je ne sais pas pourquoi il est venu, et comment il est venu, étant donné que je n'avais pas pensé à cette possibilité avant, et que je n'avais pas vu de porno présentant une telle situation...J'ai rêvé que tu me sodomisais...Et que je prenais un plaisir intense...
--Te sodomiser...Compliqué...
--Pas vraiment quand on a un gode ceinture.
Béatrice avait frémi. Elle aimait tout ce qui était nouveau, et elle aimait aussi les inversions de rôle. Et là, il y avait des possibilités qui s'ouvraient.
--Je vais y penser. Si ça peut te plaire...Mais je sais que ça me plaira aussi.
Ils n'en avaient plus reparlé. Mais ça n'était pas totalement négatif. Ils se confiaient souvent, dans des échanges libres, leur fantasme, pour que l'un ou l'autre fasse la faveur à son partenaire de le matérialiser des jours après. C'était d'autant plus fort qu'il y avait de la surprise.
--Normalement c'est tout prêt, ma fille se charge de tout caler...Ah elle a fait un tiramisu, elle les réussit très bien, on va se régaler...
Elle lut le mot de sa fille...'Je sors avec Virginie. A plus tard, Maman, je t'aime.'
Béatrice mit le four en marche.
--On mange dans quelques minutes.
Son regard glissa sur le sac en papier. La voisine avait déposé des légumes. Elle était vraiment sympa. En retour, Béatrice lui faisait souvent de petits cadeaux. Alors même qu'elle n'attendait rien.
Dans le sac, il y avait des pommes, du fenouil...Et ces concombres, dressés.
Et qui firent naître une idée dans la tête de Béatrice.
--Viens avec moi, on a un peu de temps...On va en profiter.
Yves ne la vit pas attraper un concombre. Ils passèrent dans le living. Elle posa ses fesses sur le bord du canapé et entreprit de défaire son pantalon, baissa son caleçon pour mettre à nu une queue que ce simple mouvement de défaire des vêtements avait commencé à ériger. Elle le masturba, comme elle aimait faire et comme il aimait qu'elle fasse...Mais elle avait une autre idée en tête...Yves vit le concombre apparaître dans sa main, ça arma quelque chose en lui. Il se demanda ce qu'elle allait en faire...Mille scénarii s'inscrivaient dans sa tête. Comme pour confirmer l'un d'entre eux, elle se mit à faire aller et venir sa bouche dessus. C'était très excitant, et l'érection d'Yves gagna quelques degrés supplémentaires. Béatrice se mettait souvent en scène dans des postures, des positions érotiques, et il adorait ça.
Il ne fut pas déçu dans les secondes qui suivirent. Elle se laissa aller contre le dos du divan, retroussa sa robe. Dessous, elle avait un slip noir, en dentelle, sexy, contre lequel elle amena le concombre, le baladant sur elle. Les sensations, le concombre comme une caresse, le tissu qui frottait contre sa chair, s'enfonçait entre ses lèvres...Même quand c'était elle qui guidait ainsi, de tels moments lui faisaient perdre le contrôle...C'était trop bon...Pourtant, d'ici quelques secondes, il y allait y avoir un basculement, elle ne devait pas l'oublier, et c'était elle qui donnerait du plaisir à son partenaire...C'était important pour elle, car elle aimait recevoir, mais elle trouvait aussi important de donner...
Elle sentit qu'elle trempait le tissu. Béatrice mouillait beaucoup et vite. D'ailleurs le noir du tissu se marquait déjà de sombre autour du sexe. Elle fit glisser la culotte, exhibant un sexe entrouvert, lèvres gonflées, luisant de mouille, gland clitoridien décalotté en dessous d'une toison brune...Elle vint appuyer la tête du concombre contre ses lèvres, et frotta, tout en esquissant un mouvement vers le haut. Elle était déjà assez excitée et assez ouverte pour faire glisser le concombre en elle de quelques centimètres...Ca lui donna du plaisir. Béatrice adorait, dans ses moments solitaires, faire rentrer des objets plus ou moins profondément en elle, c'était sa manière à elle de se caresser. Elle avait une belle collection de godes, mais il lui arrivait aussi, elle adorait ça, d'utiliser des objets du quotidien, ça pouvait être un stylo, le manche d'une fourchette...Tout était bon, et elle se serait sans doute donné du plaisir sous les yeux d'Yves, en faisant rentrer le concombre un peu plus loin, puis en le faisant bouger en elle ensuite, si elle n'avait pas eu la volonté de lui donner du plaisir à lui.
Si elle avait fait cela, c'était pour l'émoustiller, mettre en place une fausse piste, se donner du plaisir, sans que ce soit son objectif premier, mais aussi pour que le concombre soit suffisamment lubrifié à la fois par sa salive et par sa mouille, pour mieux faciliter ce qui allait venir.
Elle se redressa, la robe roulée à la taille, la culotte aux chevilles, et elle fit basculer Yves sur le divan. Il se retrouva la tête en bas. Il comprit ce qui allait se produire quand il vit le concombre arriver vers lui. Et qu'elle n'allait pas s'en servir pour frotter sa queue. Il poussa un soupir:
--Enfin!
Il fut ravi que son fantasme se réalise enfin, même si dans son rêve, elle le prenait avec un gode-ceinture. Ce serait aussi bien comme ça. Il lui dit :
--Rentre aussi loin que tu peux. J'ai envie que tu me baises bien et que tu me fasses jouir.
Elle vint appuyer tout doucement le concombre contre sa muqueuse anale. Il était trempé, et c'était le gage d'une bonne pénétration. Elle hésita pourtant encore un instant, avant d'appuyer sur la muqueuse. Elle fut surprise de se rendre que le concombre glissait parfaitement en lui. Elle était soulagée et ravie.
Yves et elle regardaient le légume glisser en lui. Il ressentait des sensations fortes et gémit. Son plaisir augmenté par le fait que dans sa ligne de mire, il voyait le sexe de Béa réagir, excité par la situation, se dilater de manière visible, son gland clitoridien gonfler de manière tout aussi visible, et ses liquides intimes couler avec de plus en plus d'abondance, ruisseler sur ses chairs, et le long de ses cuisses.
La femme d'âge mur fit rentrer un peu plus du tiers du concombre dans le rectum de son partenaire, avant de s'arrêter. Elle avait peur d'aller trop loin et de le déchirer. A en juger par son expression, il aurait bien pris le concombre tout entier dans son fondement. Mais il ne formula aucun reproche, car la belle se mit à faire bouger le concombre en lui, et il perdit le contrôle. Les yeux révulsés, il se mit à gémir, alors que sa maîtresse le fouillait en espérant que la réalité rejoigne son rêve ou que sinon, plus simplement, sa jouissance soit forte. Ce qui se produisit dans les minutes qui suivirent pouvait laisser penser que c'était bien le cas. Sa queue avait pris des dimensions inusitées, elle n'avait jamais été aussi dilatée...Il poussa un cri plus fort que les autres, et cracha des jets de sperme qui partirent dans les airs, sans pour autant débander...Le sperme vint frapper la robe et les jambes de Béatrice, qui s'était rapprochée de lui et se caressait en même temps qu'elle fouillait, plus excitée qu'elle n'aurait pu le penser par cette situation dans laquelle elle s'était vue avoir plus de recul, de distance...Elle se sentait, au bout de sa main, dilatée et ruisselante...C'était bien finalement d'avoir accédé à son fantasme.
Il y eut un deuxième moment marquant. Elle se mit à le fouiller avec un rythme plus vif, et il fut saisi par une série d'orgasmes comme elle ne lui avait jamais vu en avoir, secoué par des spasmes, perdant totalement le contrôle. Il cracha des jets de sperme copieux, n'en finit pas d'éjaculer, l'arrosant de sperme. Elle n'imaginait pas qu'un homme puisse avoir de telles réserves dans le corps.
Ce fut la dernière partie qui fut sans doute la plus surprenante. Prise dans une transe, Béatrice lâcha le concombre et vint se frotter contre l'extrémité opposée à celle plantée dans l'anus de son partenaire. Elle avait juste voulu se donner du plaisir en se frottant, en frottant ses parties à vif contre le concombre, sans se rendre compte que ce simple mouvement donnait aussi du plaisir, encore, à Yves...Béatrice se mit à jouir, criant son plaisir, et éjaculant ses liquides intimes autour du concombre dont quelques centimètres étaient en elle, pendant que Yves, dans un dernier orgasme, crachait ses derniers jets de sperme.

ANITA ET BEATRICE
--C'est prêt !
--J'arrive.
En survêt et débardeur, Anita surgit dans le living. Le dîner était prêt, et les deux femmes, mère et fille, se retrouvaient. C'était toujours un moment important. Dans la journée, elles partaient à droite à gauche. Travail, courses, amies. Mais le moment du dîner, même si après elles pouvaient partir à nouveau vers amants et maîtresses.
--Tu as passé une bonne journée ?
--Oui, une bonne journée, sans aucun doute.
Dans leur relation il y avait le dit et le non-dit. Celui-ci était souvent bien plus fort que le dit. Dans la symbiose qui existait entre elles, non seulement parce qu'elles étaient mère et fille, mais aussi parce qu'elles avaient traversé bien des épreuves ensemble et qu'elles s'étaient rapprochées et soudées.
Le regard de la jeune femme glissa sur l'appétissante salade de concombres, mêlée de tranches de tomates et de feta, arrosée d'huile d'olive, qui attendait les jeunes femmes sur la table, comme plat principal.
--Quelque chose de léger et de frais. Je sais que tu aimes ça.
En se posant sur la salade, le regard des deux femmes se troubla. Elles pensèrent l'une et l'autre aux moments qu'elles avaient partagé, et dans lequel l'un des concombres, difficile de savoir lequel, ils étaient réduits à l'état de tranches et mélangés avait joué un rôle essentiel. Le même, un autre? Anita se revit avec Virginie, le concombre dans leurs sexes dégoulinants de mouille, se fouillant mutuellement, Béa elle avec le concombre dans l'anus de son amant, et elle par dessus, venant se frotter et finalement faisant rentrer le légume en elle pour jouir.
Il y eut un moment de flottement. Les deux femmes relevèrent la tête, leurs regards se rencontrèrent, et elles comprirent, l'une comme l'autre, qu'il y avait eu du plaisir dans la journée pour l'une comme pour l'autre.
Cela faisait des années qu'elles se racontaient tout, dans leur proximité, y compris les détails. Quelque chose que seules deux femmes pouvaient partager, avec des plongées dans l'intimité.
Anita se servit avant de tendre le plat à sa mère. Puis elle commença son récit. Béa prendrait la suite...
--Ce matin, je suis arrivée à dix heures...J'ai vu les concombres dans le sac et j'ai été tentée...




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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Vie et mort d'un concombre

Le 30/11/2023 - 09:51 par nana08000
moi aussi d'ailleurs j'adore les concombres
Le 28/11/2023 - 14:11 par valeriane
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