Mathilde et son jeune amant 2

Jean regarde le couple encore emboité l'un dans l'autre, sa verge est secouée de violents soubresauts ? Il serre les dents et l'agite encore plus violemment. Enfin Loïc retire son membre du ventre de son amour, ce sont les yeux remplis de larmes, que Mathilde arrive à dire entre deux reniflements :

-Loïc, il ne faut plus nous voir, nous avions fait une grosse bêtise, que je regrette énormément, Jean ne mérite pas que je le trompe, c'est un homme formidable, oh comme j'ai honte !


Loïc la regarde et répond :

-Mais Mathilde, je ne peux plus vivre ans toi !


En disant cela, il replonge sa verge dans le temple débordant de sperme, et entreprend et va-et-vient brutal. L'appelle des sens et le plus fort. Mathilde s'accroche en geignant de plus en plus fort. Mais elle prend conscience de ce qu'elle fait et malsain. Elle appuie sur le torse de son amant en criant :

-Non, non Loïc, arrête, arrête, je t'en supplie, je ne peux pas continuer, c'est monstrueux !


Soudain Jean sort de sa cachette et dit :

-Baise-là, baise-là, oh putain que c'est bon de vous voir, vas-y, tape forte, défonce là bien, Mathilde, donne tout ce que tu as en toi ma chérie, ne te retiens pas !


Mathilde, n'en crois pas ses oreilles, ses yeux sont rouges, elle ne sait plus comment faire, mais ne lâche pas pour autant son amant. Loïc, lui, ne se pose pas de questions, il lui travaille la vulve avec force, ses coups de reins sont puissants. Il enfonce si profondément sa verge dans le vagin, que son gland bute contre le col de l'utérus de son amour. Cela produit chez elle de longs râles rauques.
Jean s'approche et commence à caresser les seins Mathilde, elle le regarde avec des yeux de chien battu, mais avec l'insistance de son mari, elle devient plus collaboratrice. Elle se met à donner des coups de reins. À chaque coup qu'elle donne, elle pousse un gémissement d'agonisante. Jean a les yeux presque hors de leur orbite, il dèglutie en martyrisant les mamelons de sa femme. Mathilde adore être malmenée, Jean sait comment la faire gicler. Tout en lui pinçant les mamelons, il fait glisser une main jusqu'à l'abricot juteux, et saisit le clito, il le triture avec un acharnement tel, que Mathilde se cabre en grognant de plaisir. Les bourses velues du jeune amant frappent avec forces le vagin en ébullition. Jean est au bord d'exploser, il offre son gland à sucer à sa femme qui, malgré l'excitation qui lui dévore les entrailles, gobe le champignon qu'elle adore téter. Mathilde se cambre comme un pont et jouit, en giclant comme un geyser, elle doit recracher le gland de Jean pour pouvoir crier son plaisir. Mais elle reprend en bouche le sucre d'orge, et reprend les succions fantastiques qui font couiner son mari. Loïc, qui a pris sur les couilles la giclée de cyprine de son amour, ne désarme pas. Il laboure le ventre de son amour avec une telle fougue, qu'elle ne cesse de s'agiter. Enfin, il envoie son sperme dans le ventre, en poussant un long râle.




Jean souffle comme un bœuf, il saisit la chevelure de Mathilde et tire dessus fortement, il enfonce son engin au fond de la gorge de sa femme, qui en a des hauts le cœur. Il lui baise la bouche en s'enfonçant jusqu'aux couilles dans la bouche de Mathilde. Bien qu'elle affectionne un tel traitement, elle grimace. Jean ne peut retenir son sperme plus longtemps, il envoie une puissante décharge de semence, suivit d'une moins puissante au fond de la gorge de Mathilde qui réussit à tout avaler. Enfin, les deux hommes libèrent Mathilde, elle est tremblante comme à chaque fois après de forte jouissance. Loïc ne dit pas un mot, Jean prend place entre les cuisses de sa femme, et plante dans le ventre de l'infidèle son glaive. Elle se cabre, car la pénétration a été brutale. Jean s'agite férocement entre les cuisses de Mathilde, qui ne cesse de couiner. Son manche de chair voyage dans le fourreau gorgé de sperme. Un bruit étrange se fait entendre à chaque enfoncement du pieu dans le ventre de la soumise. Jean emmène sa femme à une nouvelle jouissance, elle plante ses ongles dans les hanches de son mari qui au même moment envoie son sperme. Les deux amants restent soudés un bon moment avant de se séparer.


Jean prend la parole et dit :

- Je viens d'avoir une idée, en vous voyons baisé, soyons un couple moderne, faisons ménage à trois, vous en pensez quoi ?


Loïc et Mathilde regardent jean, Loïc dit :

-Moi, pourvu que je fasse l'amour à Mathilde, ça me va !


Mathilde reste un moment sans dire un mot puis, dit en fronçant les sourcils :

-C'est quoi pour toi, un couple moderne mon chéri !



Jean sourit et répond :

-j'adore vous voir baiser, cela pour moi ne sera que bénéfique, pour toi ma chérie, tu aurai deux mâles pour toi toute seule, nous allons te prendre en sandwich, tu vas délirer de bonheur, tu auras des sodomies mémorables, comme tu adores ça, tu seras gâtée, tu baiseras autant de fois avec Loïc que tu le désireras, quoi de mieux ?

Mathilde répond :

-Me prendre en sandwich, ouah, je n'ai jamais fait ça !


Jean éclate de rire et dit :

-Peu importe ma chérie, nous allons le faire immédiatement hein Loïc !


-Loïc souriant ne peut que répondre :

-Moi, je suis toujours prêt pour faire jouir ma chérie, viens t'empaler sur mon manche ma chérie, Jean fera le reste !

Loïc prend la pose, Mathilde, un peu hésitante, enjambe son jeune amant et saisit sa verge encore en érection, lentement, elle se baisse, le gland s'engage dans le conduit. Jean lui appuie avec force sur les épaules. Mathilde pousse un gémissement, la verge s'enfonce jusqu'aux couilles dans son ventre. Loïc la plaque contre son torse musclé et fait un signe de tête à jean. Jean enduit de salive l'anus de sa femme, enduit aussi la hampe de son mât, et place son mandrin contre l'anus, il pousse, Mathilde grimace, Jean pousse plus fort, sa femme serre les dents et se cambre le plus possible sans se désaccoupler de Loïc. Jean donne un coup de reins et voilà sa verge complétement dans le rectum de sa femme. Bien qu'elle soit souvent sodomisée, elle trouve un certain plaisir à être dilatée par les deux membres en même temps. Les deux hommes commencent un pilonnage bien réglé, rapidement Mathilde se met à geindre, les assauts deviennent de plus en plus violents, Mathilde s'accroche à son amant en gémissent. Les queues qui voyagent dans son corps la font délirer :

-Oh mon Dieu, comme c'est bon, d'être prise de la sorte, Jean, Jean mon chéri, c'est merveilleux d'avoir deux membres dans son corps, ouah, je vais jouir !

Elle se cabre comme un cheval qui rue et explose en poussant un cri inhumain. Les deux hommes la défoncent férocement, les coups de bélier sont redoutables. Enfin, après avoir fait jouir encore Mathilde, les deux amants lui remplissent le ventre et le cul de leur semence épaisse. Depuis ce jour, Mathilde vit un festival de jouissance, ses amants sont infatigables, elle devient de plus en plus dévergondée, elle exige pendant qu'elle suce une verge, et que l'autre la pénètre, c'est d'avoir un gode de bon diamètre dans l'orifice libre.