ACCUEIL > En groupe > Récit : Week-end crapuleux

Week-end crapuleux

+6

Lue : 2165 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/10/2013

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je réponds à un concours : « GAGNER UN WEEK-END LIBERTIN FABULEUX ». Vous savez, ces concours à la con qu’on reçoit par mail. J’oublie ce machin jusqu’au moment où je suis invitée, le 12 octobre, pas convoquée, à la capitale. Tous les frais sont payés : j’en profite pour passer deux jours entiers, avant, pour revisiter les lieux de mes anciennes aventures, de mes études d’ingénierie aux Arts et Métiers. Excitée comme une puce je passe une dernière nuit seule.

Enfin je vais me présenter après avoir pris une douche crapuleuse. Je suis propre de partout, même de l’intérieur du vagin et de cul. Neuve comme un sou neuf, prête à braver la terre entière des pisses froids.

Je suis à l’adresse indiquée à l’heure prévue : je ne veux manquer aucun moment de ce « FABULEUX » moment. Je suis un peu déçue : je suis seule, pour le moment. Une jeune et jolie femme m’accueille dans un appartement meublée grand siècle.
- Veuillez-vous mettre à votre aise, dans la pièce suivante.

Ce qui signifie ? Je passe une porte, entre dans une pièce avec un lit. Je me mets à l’aise en enlevant la veste et les chaussures. J’attends. Pas longtemps. Entre un homme nu. Nu sans rien me dire. Sa queue est placide. Une autre porte s’ouvre, un autre homme nu en sort. Puis encore une autre porte. Un troisième homme. Un peu affolée je regarde autour : il n’y a plus de porte. Le premier homme me demande poliment, très poliment si
- Voulez-vous que nous fassions l’amour à plusieurs ?
- Oui, je veux bien

Je me demande à qu’elle sauce je vais être dévorée. Ce contact est plutôt refroidissant. Et avoir trois bites rien que pour moi, un début ou le début. Est-ce que je dois me déshabiller seule ? Je reste en attente, ils sont deux près de moi. J’ai un peu mal au bas ventre. J’ai le pressentiment que je vais bien jouir. Ils sont presque contre moi. Leurs mains s’activent autour de ma petite personne. Je suis nue en quelques secondes. J’aurais préféré que ça dure longtemps.

Ils ne se retiennent plus : ils sont contre moi, je sens la chaleur de leur corps, de leur main. Un des trois me caresse, me pelote dans les règles. C’est agréable d’être le centre des câlins. Je sens contre moi se lever les queues. Ils sont donc trois. Je peux les avoir les uns après les autres ou les trois à la fois. Je choisis le trio. J’ai assez de place pour les accueillir. Avant je veux les toucher moi aussi. Je veux gouter les trois bites. La première a gout un peu à urine, l’autre à savonnette, le dernier à cyprine (il a du baiser il n’y a pas longtemps : il jouira moins vite.)

Je suis embarrassée, je n’ai jamais dirigé une baise à quatre. Je vais sur le lit, je m’y étends. Et comme une idiote j’attends. Pas longtemps. Le plus grand est contre moi, elle me fait écarter les jambes. Sans pudeur je le fait, en me disant qu’il va me baiser. Pas encore, il s’installe dans mes jambes, sur le ventre. Je vois sa pine s’écraser sur le drap. Sa tête vient sur moi doucement. Il me donne des bisous, entre les cuisses, bisous espacées de quelques centimètres. Il monte toujours très lentement. Mon Dieu que j’ai envie. Il arrive enfin presque sur la chatte. Si elle avait la parole, elle miaulerait de désespoir. Je veux sa bouche, ses lèvres, sa langue. Si je m’écoutais je me toucherais seule.

Il arrive vers moi, je sens maintenant sa langue qui farfouille la chatte. Ce n’est quand même pas difficile à trouver ce petit bout. Je remue comme s’il me baisait. A force de bouger il est sur moi, sans mon con, sur le clitoris. Il caresse bien, sa langue fait des miracles en me donnant de petits orgasmes. Il met deux doigts dans ma fosse aux plaisirs. La vache, c’est bon, je vais partir, je pars, je jouis.

Il se lève avec sa queue bien dure, bien bandée. Il aurait bien pu me la mettre. Il me laisse tomber. Je vais me lever quand un deuxième vient vers moi, dans la même position que le premier. Il lèche au moins aussi bien. Sauf qu’il entre sa langue dans le paradis. Il y fit des choses inconnues. Il doit lécher le point G pour me faire sursauter ainsi. Je reste les bras ouverts en croix sur le lit, les jambes grands ouvertes et sa langue qui transperce les traditions. Je suis sur un nuage bleu.

Le dernier s’occupe de moi en me tournant compétemment. Je suis le ventre, les seins écrasés. Il caresse mes fesses longuement savamment. Il ouvre la raie avec les mains. Il écarte tout, je sens même mes lèvres obéir à ses volontés. Et mon petit trou qui ne demande rien à personne a de la visite. Je pense qu’il met ses doigts : non c’est sa langue qui caresse. C’est nouveau pour moi, pour mon anus, mais c’est bon, jouissif : j’en jouis bien malgré moi.

Ce dernier amant me remet sur le dos, Il va enfin me baiser. Non, il monte sa queue, me la donne à manger. Ma bouche est de taille à le satisfaire. J’espère qu’il donnera sa semence : j’aime bien le gout mi salé, mi épicé. C’est la bite qui sentait la cyprine. Je goute les reliquats d’une une baise et un gland bien souple. Mes lèvres s’attardent sur le petit creux juste en bas, il y a longtemps que je laisse de cotés le méat. J’enfourne à moitié la queue. Les couilles font parties de mes caresses, même si en vérité je cherche son cul. J’adore faire naviguer un doigt dans le cul ouvert d’un homme quand je lui tire son jus.

Il me laisse, descend vers mon ventre. Il veut me baiser, je suis là pour ça. Je prends sa queue, je la dirige vers mon coffre à jouissance. Il est en moi. Nous faisons les gestes nécessaires. Je prends mon pied. Je suis bien ainsi emmanchée. Je jouis comme une reine. Ils me laissent à peine le temps d’une courte jouissance. Je suis retournée avec mon baiseur : il est sous moi. C’est à moi à baiser. C’est aussi bon.

Je sens un autre type tripoter mes fesses. Si c’est pour ma branler le cul : c’est déjà fait. Ce n’est pas un doigt qui vient, c’est une autre pine. Je vais connaitre enfin la double pénétration ; Ça fait mal, ça fait du bien ??? Trop tard pour réfléchir.

Je me suis fait enculer plusieurs fois avec plaisir. Je sens bien la bite contre mon anus. Je me décrispe. Il pose sa queue contre mon cul. Je le sens bien entrer. Il s’enfonce à fond. C’est bon, c’est bon de sentir les deux queux en moi. Elles se croisent, elles me font plaisir. Je suis pleine de bites. Je suis une pute de me donner ainsi. C’est délicieusement salace. J’ouvre la bouche sous ce plaisir ravageur. J’y reçois l’autre bite qui attendait.

Heureuse d’être totalement remplie de queue, de bites de pines. Je prends mon pied au sérieux : je jouis sans cesse un bon moment. Et ce sperme plein la bouche à déborder avant d’avaler…….

Je n’ai plus de sexe en moi, je fini de jouir. Je suis moulue, totalement vidée.

J’ai bien gagné mon week-end fabuleux. J’en ai eu plein les fesses. Souvenirs impérissables.
6 vote(s)


Histoire de fabrissa

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Week-end crapuleux


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :