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Week-end de fou à trois

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Lue : 31767 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 01/07/2007

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Je l’ai connu début 1995, elle venait de se marier avec mon meilleur ami, un joli brin de femme de 1m76, brune avec de longues jambes laissant présager de folles chevauchées.

Curieusement, je ne l’ai jamais regardé comme une proie, ni vraiment.
Comme une partenaire potentielle, laissant les barrières de l’amitié m’aveugler délibérément.

Les circonstances de la vie m’ont emmenées à vivre avec eux pendant 6 mois, je connaissais maintenant leurs habitudes libertines, Eric me racontait leurs différentes expériences et leurs appréhensions. Malgré ça je ne m’imaginais pas avoir quelques ébats avec eux.

Nous poursuivîmes notre ménage à trois sans que rien nous perturbes de quelques façon,
Et puis vint ce fameux week-end ou nous décidâmes de camper à proximité du Loing, dans un endroit totalement désert, loin de toute civilisation.

Nous passâmes un excellent après-midi nous baignant dans une eau limpide, rigolant chahutant, une ambiance dilettante de week-ends pleins d’insouciance et loin du stress quotidien.

Puis arriva l’heure de se coucher dans cette tente que nous partagions tous les trois, je priais le ciel qu’il ne se passe rien et que tous deux me laisseront tranquille, je pense aujourd’hui avec du recul que je souhaitais de tout mon âme que cette situation dégénère par une bonne partie de jambes en l’air, mais l’appréhension était telle que j’espérais que nous nous couchions sans rien, ni tentation. A l’heure où j’écris je ne peux empêcher mon membre de grossir et d’être à l’étroit dans ce caleçon boxer, tant l’excitation demeure terriblement imprégnée dans mon esprit.

Nous n’avions qu’un duvet pour nous couvrir tous les trois, vu que son maillot de bain était mouillé et qu’elle n’avait pas pris de rechange, seul un tee-shirt lui couvrait le corps, laissant apparaître ses longues jambes superbement épilées, le tee-shirt laissait deviner son entre jambe tant il était court, Marie se glissa au milieu de nous. Je sentis à ce moment là ma bite devenir dure, voulant absolument voir plus, je bandais comme un fou !

A peine rentré dans notre lit de fortune, Eric commença à la caresser, et d’un geste brusque retira le duvet du corps de marie, la clarté de la lune rendait la visibilité dans notre tente parfaite. Je découvrais ses seins son ventre regardant d’un air de ne pas regarder tous les moindres mouvements de ces corps qui s’appelaient, je découvris sa chatte épilée laissant juste le ticket de métro pour poils pubiens, je retenais ma respiration de peur qu’ils n’arrêtent en voyant dans quel état j’étais. Sous les caresses tout le long de son corps que lui prodiguait Eric je voyais ses cuisses s’entrouvrirent accueillant la main de ce dernier dans un long soupir qui traduisait son désir brûlant, en écartant ses jambes, elle me toucha légèrement la jambe et demeura ainsi pendant quelques minutes abandonnant complètement son corps sous ses baisers et caresses, je me demandais si elle sentait ma jambe contre elle ou elle ne le faisait pas exprès, en tout cas j’assistais en direct à mon plus grand fantasme celle de voir une femme sexy comme elle faire l’amour devant moi, sentant ses râles, frôlant mes jambes , je pouvais presque sentir l’odeur de son minou avide de plaisirs.

Puis elle se tourna vers moi en demandant dans un soupir : ça ne te dérange pas si on fait des trucs à coté de toi ? je répondis froidement non, tellement l’excitation me laissait sans voix, j’avais tellement peur que tout s’arrête. Je m’installais discrètement en chien de fusil pour contempler ce spectacle si rare, Eric y rentrait d’abord un doigt puis deux et commença un long va-et-vient au creux de sa chatte, je pouvais voir à l’humidité de ses doigts que marie était réellement très excitée, elle mouillait comme une folle, ma bite commençait à me faire mal tellement je bandais dur, j’avais envie d’elle, je voulais la baiser et l’entendre gémir au bout de ma queue, elle était sur le dos et cala ses mains dans le creux de ses reins portant ainsi sa chatte à la bouche d’Eric tout en m’offrant ainsi un spectacle imprenable sur son corps, je croyais m’évanouir, elle commençait a pousser des cris de plus en plus prononcés, la langue d’Eric tournoyer sur son clitoris glissant par moment sur tous ses orifices lui donnant quelques soubresauts , la voix d’Eric se fit entendre, il s’adressa à moi :

- Tu veux t’amuser avec nous ?

Je répondis avant qu’il finisse sa question par un non ferme, tout de suite je me dis à moi-même pourquoi t’a dis ça ? il ne se laissa pas perturber par ma réponse et continuait à lui trifouillait la chatte encore plus, je n’en perdais pas une miette, ensuite elle se mit debout sur ses genoux, Eric derrière elle, dressé sur les siens également, tous deux me faisant face, je n’en pouvais plus…

Eric réitéra son invitation que je déclinais une fois de plus, ce fut alors au tour de Marie de parler :

- Allez viens demain on oublie tout, c’est juste pour la soirée

La main d’Eric parcourait son minou de long en large me faisant profiter du spectacle de son antre entrouvert affamé de bites, je déclinais cette offre toujours sans comprendre pourquoi,

Marie entrepris alors de se mettre à quatre pattes offrant sa croupe, sa chatte à mes yeux qui n’en demandaient pas tant, Eric commença à la pénétrer profondément , elle poussa un petit gémissement de plaisir inclinant légèrement la tête en arrière comme pour profiter pleinement de cette verge qui commençait tout juste à la soulager, son sein droit se trouvait à peine à dix centimètres de ma bouche, l’excitation et l’ambiance de libertinage se faisait oppressant et ma bite voulait connaître cette chatte, pénétrer cette chatte de luxe ; c’est le moment où mon corps pris le contrôle sur mon cerveau, je me redressai et attrapa le bout de son téton en bouche, faisant rouler ma langue sur ce téton tout dur d’excitation, marie avait les yeux fermés du au coups de boutoirs que lui assénait Eric, le fait de sentir une bouche sur son sein pendant qu’elle se faisait bourrer la propulsa sur son premier orgasme, qu’elle nous indiqua par ses cris de jouissance, j’avais une envie folle de la baiser . Marie dégagea sa croupe du membre d’Eric et dit :

- Maintenant que vous vous êtes bien occupés de moi a mon tour

Nous étions tous deux sur le dos et elle pris une bite dans chaque main, elle commença par branler Eric tout en dirigeant la bouche vers mon membre tendu comme une flèche le gland humide d’excitation promesse d’une baise torride, quand elle me prit en bouche je cru éjaculé mais je n’en fis rien, le piercing de sa langue titillait ma bite de bas en haut et se glissait sur le long de la rainure juste en dessous du gland, jamais une femme m’avait sucer de la sorte, une pipe qui vous fait tourner la tête, pourtant j’avais ce qu’on appelle de l’expérience dans le domaine sexuel avec plus de cent conquête depuis mes 15 ans, mais aucune ne pouvait rivaliser avec Marie. Une fois cette pipe achevait elle se mit à califourchon sur ma queue, bon dieu que cette chatte était bonne, elle s’enroulait avec perfection autour de ma bite, elle était humide, soyeuse, magnifique. Mes mains parcourait ses jambes fermes et ses petits seins dont les tétons avaient atteints le seuil erectibilité maximal, Eric se glissa derrière elle, lui badigeonna l’anus de crème, puis lui pénétra l’anus avec douceur, je sentais son chibre à travers la paroi vaginale, il bandait dur également, Marie jouis presque immédiatement sur cette double pénétration, on entendit son cris traverser la nuit silencieuse laissant une trique inexplicable à tous ceux qui pouvait l’entendre. Sentant son corps se casser sous l’ impulsion de nos queues je libérais ma semence dans un orgasme rarement atteint depuis, Eric fit de même. Nous nous allongeâmes sur le dos tous les trois fumant un joint pour se remettre de cette baise de folie.

Le pet à peine terminé, Marie jeta le duvet à l’autre bout de la tente tant la chaleur était étouffante, elle dit :

- Nn n’a plus besoin de ça maintenant

Elle écarta ses jambes puis commença à se masturber avec panache, de son index gauche aidé par son majeur gauche elle entrouvrit sa chatte et se caressait le clitoris de sa main droite, se pénétrant de régulièrement de ses doigts de la main droite. Ma bite se redressa, aussi dure que la première fois, je commençais à me branler tout en la regardant se masturber, je fouillais mon sac à dos à la recherche du dernier préservatif qu’il contenait, je mis la main dessus, arracha le papier, et l’enfila rapidement. Je surplombais marie et je la trouvais fort belle et excitante à souhait, quelle chance mon ami avait d’être mariée à une femme qui aurait corrompu n’importe quel séminariste, lui aurait fait oublier son vœux de chasteté.

Je la limais tout en regardant comment elle réagissait à mes coups de bite, il ne m’a pas fallu longtemps avant d’éjaculer à nouveau.

Pris de fatigue, et d’une rupture de préservatif, nous décidâmes de nous coucher, sourire aux lèvres tous satisfait de cette merveilleuse journée et de cette nuit plus que sympathique, promesse de moments chauds à venir, mais ça c’est une autre histoire de sexe…


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