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Zoé

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Lue : 9491 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 11/12/2011

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Entre Zoé et moi, c’était un bonheur presque idyllique depuis deux ans. Nous étions amoureux fou l’un de l’autre, nous avions les mêmes amis, les mêmes passe-temps, et nous étions malheureux lorsque nous étions séparés quelques minutes.

Je dis « presque », car depuis plusieurs semaines, ce n’était plus cela entre nous sous la couette. Avant, nous faisions l’amour très souvent avec plaisir. Zoé aimait sentir mes lèvres courir partout sur son corps, même si les siennes en revanche ne s’étaient jamais approchées de mon intimité. Et il n’y avait qu’un côté où je pouvais la pénétrer, « par là, ce n’est pas bien » avait-elle coutume de dire, lorsque je voulais varier nos plaisirs. Bon gré, mal gré, je m’étais fait à cette situation, en pensant qu’avec le temps, je réussirais à la convaincre d’essayer.

Mais depuis quelques temps, nous n’avions plus fait l’amour. Chaque fois elle trouvait une nouvelle excuse pour y échapper. Comme j’en avais un peu marre de cette situation, je l’avais abordé franchement avec elle.

- Je crois que je préfère les filles. M’avait-elle avoué simplement.

Le ciel m’est tombé sur la tête d’un seul coup, je ne savais plus quoi répondre à cela. Nous avions tout pour être heureux, et je ne sais pas quel serait notre avenir ensemble.

- J’aimerais essayer une fois au moins pour voir si c’est vraiment cela. Me demanda-t-elle un peu confuse.

Amoureux comme je l’étais, je ne voulais que son bonheur. J’acceptai sans avoir trop le choix.

Nous avons décidé d’aller en discothèque pour cette aventure le samedi suivant.

Je dois préciser que parmi ses passions, la danse et la musique figuraient en bonne place. Dés qu’elle entendait de la musique, elle commençait à s’agiter doucement, que ce soit du rock, des slows, de la salsa ou encore du reggae. Elle adorait cela. Pour la musique, elle avait des centaines de CD de tous types de chanteurs: classique, actuel, en vogue ou même rétro.

Arrivé en boite, nous nous installâmes à une table un peu isolée des autres clients. Zoé n’alla pas immédiatement sur la piste, se contentant de scruter parmi les danseuses en piste, celle qui pourrait lui plaire.

Nous n’avions aucune idée comment se terminerait la soirée, si Zoé trouverait son bonheur ou si elle se ferait rabrouer ; Si elle partirait avec une conquête, et moi seul à la maison ; et si, c’est ce soir là que nous nous séparerions.

Après un moment, son regard était toujours tourné du même côté, en direction d’une fille qui dansait seule dans son coin. Il faut dire qu’elle était vêtue un peu particulièrement, pas très à la mode, et une tenue (jupe et chemisier) pas très classe. Malgré tout, elle avait l’air assez agréable à regarder, et assez bien faite.

Au bout d’un moment Zoé s’aperçut que je les observais toutes les deux, elle et la fille qu’elle ne cessait de fixer.

- Tu crois que je peux y aller. Me demanda-t-elle, comme si elle voulait mon assentiment.

Si nous étions ici, c’était uniquement pour qu’elle essaie d’y voir un peu plus clair sur son orientation sexuelle. Je lui fis alors un petit signe de tête pour lui signifier mon accord. Elle se leva immédiatement, et partit comme une fusée vers l’inconnue.

Au début, elle dansa vers elle, mais sans trop d’insistance. Elle allait et venait autour d’elle, mais sans avoir l’air d’y prêter attention. Peu à peu elle calqua ses pas sur la jeune fille, puis je les vis échanger quelques mots. Avec la distance, et le son assez fort de la sono, je ne pouvais naturellement rien entendre de leur conversation. Après de longues minutes, on aurait dit deux amies qui se connaissaient depuis longtemps : elles dansaient au même rythme, et échangeaient des fous rire ensemble. Peut-être plus d’une heure après, Zoé sembla remarquer ma présence, de même que l’inconnue qui regarda dans ma direction, et me fit un grand sourire. Guère de temps après, toutes deux vinrent dans ma direction.

- Je te présente Inès, Inès je te présente Joshua mon ami. Nous avons soif, est-ce-que tu nous offrirais une coupe de Champagne ? M’interrogea-t-elle.

Je partis, vers le bar et revins quelques minutes après, avec une bouteille et trois coupes.

Zoé m’expliqua que la tenue d’Inès était délibérée, qu’elle adorait danser, mais qu’elle n’aimait pas être importunée, et en particulier par des garçons. Inès confirma qu’en général cela marchait bien, mais que ce soir en voyant comme Zoé dansait bien, elle avait été contente de trouver une amie avec qui partager sa passion. Une fois leur coupe vidée, elles repartirent de plus belle sur la piste.

Une nouvelle fois, je me retrouvai tout seul à la table. Les deux filles n’avaient pas une minute d’arrêt, tant pour la danse que pour les fous rire. Elles avaient l’air de très bien s’entendre. Lorsque la série de slow arriva, c’est naturellement ensemble qu’elles la dansèrent. Au début, les mains de Zoé étaient posées sur les hanches d’Inès. A la fin, elles avaient disparues sous le chemisier, et caressaient doucement le bas du dos de sa cavalière. Cette dernière n’avait pas l’air d’être formalisée par cette attitude.

Elles revinrent vers moi juste à la fin de la série, le temps de boire de nouvelles coupes pour finir la bouteille.

Elles ne restèrent pas aussi longtemps à danser cette fois. De retour à notre table Zoé m’expliqua :

- J’ai proposé à Inès de finir la soirée à la maison, je voudrais lui faire écouter quelques bons CD de musiciens qu’elle ne connaît pas.

L’instant d’après, Zoé était dans la voiture d’Inès, et moi je les suivais avec la mienne.

A peine arrivé, Zoé proposa d’ouvrir une nouvelle bouteille de champagne. Inès refusa poliment, en expliquant qu’elle risquait de tomber sur un contrôle d’alcoolémie en rentrant chez elle. Zoé résolut rapidement le problème :

- Nous avons une chambre libre, tu pourras passer la nuit ici.

Comme personne ne l’attendait chez elle, Inès accepta la proposition. Zoé mit un premier CD, pendant que je faisais le service. Une première coupe fut bue par les filles, en écoutant silencieusement la musique. Après celles de la discothèque, cela faisait déjà 3 ou 4 verres pour chacune, elles avaient l’air déjà bien enjouées.

Zoé changea de CD pour mettre une musique plus douce, et invita Inès à danser. Cette dernière ne savait pas trop sur quel rythme l’attaquer, Zoé proposa de le faire comme un slow. Et c’est dans un grand fou-rire qu’elles allèrent sur la piste improvisée dans le living.

Sans perdre de temps, et comme lors du dernier slow à la discothèque, Zoé glissa ses mains sous le chemisier d’Inès, tandis que celle-ci passa ses bras autour de cou de Zoé. Des morceaux toujours aussi doux s’enchainèrent les uns après les autres, sans que les deux amies ne cessent leur slow. Je suis sûr que Zoé avait choisi celui-là sciemment.

Au fil du temps, une des mains de Zoé caressait tout le dos à présent, tandis que l’autre câlinait les cheveux, le visage et la nuque d’Inès. Un garçon ne s’y serait pas pris autrement pour « draguer » sa partenaire. Inès semblait tout à fait sereine.

Il me sembla ensuite que Zoé dégrafa le soutien gorge d’Inès. Un petit sourire s’afficha sur les deux visages. Encouragée par l’attitude passive d’Inès, Zoé commença à ouvrir un à un les boutons du chemisier d’Inès. Inès prit cela comme un jeu, et laissa Zoé poursuivre son petit manège.

Puis à son tour, celle-ci ouvrit ceux de la robe de Zoé. Lorsqu’il ne resta plus un seul bouton fermé sur sa robe, Zoé la retira. Puis elle ôta le chemisier d’Inès.

Après un nouveau fou-rire, Zoé déclara :

- Ce n’est pas normal que je sois en petite tenue, alors que tu as encore ta jupe.

- Ce n’est pas normal que je sois seins nus, devant un couple que je ne connaissais pas, il y a à peine trois heures. Répondit Inès en éclatant de rire.

Pour une fille qui n’aimait pas être importunée en dansant, Inès n’était guère farouche, ou alors le Champagne faisait son petit effet.

Et c’est d’elle-même qu’elle fit tomber sa jupe, et retira ensuite le soutien-gorge de Zoé. Toutes deux étaient à présent en train de danser en string devant moi.

Zoé lui posa tout de même cette question :

- Cela ne te gêne pas d’être en train de danser presque nue avec une fille ?

- Tu sais. Lui répliqua-t-elle. J’ai été à l’internat dans ma jeunesse, alors des filles nues, j’en ai déjà vue. On s’est même embrassée avec des amies, mais on n’a jamais été plus loin.

Saisissant la balle au bond, Zoé l’interrogea une nouvelle fois :

- Comme ça ?

Et elle colla ses lèvres sur celles d’Inès, qui répondit tout aussi chaleureusement à l’invitation.

Dès leurs bouches séparées, je vis les seins de Zoé qui pointaient déjà très fort, la situation l’excitait. Inès n’avait pas pu ne pas s’en apercevoir, elle changea de conversation :

- Je n’ai jamais été dans cette situation non plus devant un garçon. Mais là, ce n’est pas pareil, c’est ton mec, et tu n’as pas l’air d’être très jalouse.

Zoé comprit qu’Inès n’avait jamais dû sortir sérieusement avec un garçon. Ne voulant pas trop la brusquer pour ce qu’elle avait en tête, elle lui demanda :

- Et un garçon tout habillé, devant deux filles presque nues, tu trouves cela normal ?

Inès sembla reprendre un instant de lucidité :

-Ouh là, là. Où est-ce-que tu veux en venir ? Cà va un peu vite pour moi.

- On commence à s’amuser un peu, autant continuer. La rassura Zoé. Et puis ne t’inquiète pas, on n’a pas l’intention de te violer.

Inès prit le parti d’en rire, et déclara en chantonnant:

- Joshua, en slip. Joshua en slip.

Zoé tendit le bras dans ma direction en indiquant :

- A toi l’honneur, tu es notre invitée.

Inès me fit signe de m’approcher vers elle, puis me retira mon T-shirt. Elle se tourna ensuite vers Zoé pour qu’elle continue à son tour. Mon amie l’encouragea à poursuivre :

- Continue, tu es bien lancée.

Inès sembla hésiter un peu, mais finit enfin ce qu’elle avait commencé. Je me trouvais à égalité avec les filles à présent, avec une petite différence tout de même : une bosse, que les filles ne pouvaient pas avoir, déformait mon boxer.

Inès ne bougeait plus à présent, elle avait les yeux scotchés sur cette fameuse bosse. Zoé la questionna :

- Tu n’as jamais vu de garçon en forme ?

Inès bredouilla timidement.

- Sur des magazines, si, mais jamais en vrai.

- Alors Joshua va se faire un plaisir de te réserver cette primeur. Continua Zoé.

Voyant que je n’osais pas me dévêtir, Zoé s’avança derrière moi, et glissa ses pouces sur mes hanches, mais sous mon boxer. Elle les fit ensuite descendre doucement, entraînant mon dernier rempart avec eux. J’étais complètement nu devant Inès à présent.

Celle-ci n’osait toujours pas bouger, son regard ne quittant pas mon bas-ventre.

- Et bien, on dirait que le spectacle te plait. Annonça Zoé à Inès.

Notre nouvelle amie sembla sortir d’un rêve.

- Excusez-moi. Bafouilla-t-elle. Ne sachant plus où se mettre.

Zoé vint se mettre à genoux devant moi, entrainant notre nouvelle amie dans la même position. Puis elle lui indiqua :

- Profites-en pour mieux faire connaissance avec la morphologie d’un garçon.

En disant cela, elle prit une main d’Inès qu’elle posa sur mon sexe, tout en détaillant :

- Tu sens comme c’est doux et dur à la fois.

Inès semblait subjuguée, et se laissait guider. Zoé lui fit enserrer mon membre, et commencer quelques lents mouvements verticaux alternés. Cette dernière continuait à écouter les explications avec attention, et accomplissait les travaux pratiques avec autant de sérieux. Hormis cette situation assez ambiguë, on aurait pu se croire à un cours d’anatomie à la fac.

De mon côté, je croyais rêver : j’étais parti pour une soirée à me retrouver cocu par une autre fille, et voilà que celle-ci me masturbait calmement. Je n’étais pas au bout de mes surprises, Zoé enchaina :

- Ce que les garçons aiment par-dessus tout, ce sont les bisous qu’on peut leur faire. Comme ça.

Et alors que jamais elle ne me l’avait fait, Zoé appliqua ses lèvres le long de ma virilité, et me claqua un long bisou très tendre.

- A ton tour à présent. Intima-t-elle à Inès.

Celle-ci, la tête certainement ailleurs, continuait d’écouter son professeur, et approcha à son tour son visage de mon sexe.

Zoé l’encouragea à continuer :

- C’est très bien, fais-en d’autres un peu partout.

Inès, qui aurait pu être choquée, continua à faire plaisir à son éducatrice. Dans le même temps Zoé plaça une de ses mains sur le ventre d’Inès, et la faisait remonter lentement vers la poitrine.

Après plusieurs bisous intimes, Zoé me prit dans son autre main, et dirigea mon extrémité vers les lèvres d’Inès.

- C’est la partie la plus sensible, appliques-toi. Lui dit-elle, alors que sa première main était à présent en train de dorloter les seins d’Inès.

Notre invitée, stimulée par les caresses de Zoé, appliqua ses lèvres là où Zoé lui avait demandé.

Alors que les deux parties étaient en contact depuis quelques secondes, Zoé me délaissa pour aller placer sa main derrière la tête d’Inès, et l’inciter à aller plus loin.

- Laisses-le entrer un peu plus maintenant.

Au point où elle en était à présent, Inès commença à m’absorber centimètre par centimètre.

Si quelqu’un m’avait dit que cette soirée se passerait comme cela, je l’aurait traité de fou.

Alors qu’Inès m’avait presque englouti entièrement, Zoé lui donna une nouvelle directive :

- Maintenant, tu le gardes toujours en bouche, tu recules tout aussi doucement, et tu recommences.

Zoé ne m’avait jamais fait de fellation, mais savait donner les bonnes explications.

De son côté Inès se montrait bonne élève, et appliquait les instructions à la lettre. D’autant plus qu’elle était franchement bien incitée par Zoé. En effet, celle-ci continuait ses caresses sur les seins d’Inès, mais l’extrémité de sa deuxième main était à présent enfouie dans le string d’Inès.

Je constatais maintenant que la tête d’Inès évoluait au même rythme que l’agitation de la main de Zoé. Quand Zoé titillait tendrement la féminité d’Inès, la tête de cette dernière oscillait doucement. Lorsque les mouvements manuels de Zoé étaient plus cadencés, les lèvres d’Inès faisaient de même.

Je ne pus bien évidemment pas résister très longtemps à ce traitement, et sans chercher à me retenir, j’explosai totalement entre les lèvres d’Inès.

Surprise, cette dernière n’eut pas le temps de réagir, et de retirer sa tête. Zoé lui fit tourner le visage, et l’embrassa passionnément.

Je ne sais pas ce qu’il advint de ma liqueur, mais elle disparut subitement entre les deux paires de lèvres soudées.

Il fallait vraiment que Zoé veuille arriver à ses fins avec Inès, pour qu’elle fasse cela.

Elle ne lui laissa une nouvelle fois pas le temps de percuter, avant de lui dire :

- A ton tour d’être heureuse.

Et sans qu’elle n’ait eut le temps de dire ou de faire quelque chose, Inès se retrouva allongée entièrement nue, avec la tête de Zoé entre ses cuisses.

Au point où elle en était, elle se laissa faire.

Zoé s’appliqua de son mieux, malgré son inexpérience dans ce domaine, pour satisfaire Inès. Je ne sais pas si c’est la situation, où les caresses précédentes de Zoé qui l’avait excitée, mais Inès ne mit pas longtemps à s’abandonner comme moi.

De son côté, Zoé qui n’avait pas encore eut de plaisir ce soir, affichait un sourire radieux. D’avoir donné du plaisir à Inès, ou d’avoir pu constater qu’elle aimait les filles, ou peut-être même les deux.

Elle s’allongea à côté d’Inès, et la dorlota comme on peut le faire à un enfant. Cette dernière nous avoua que c’était sa véritable première expérience sexuelle, avec un garçon. Elle admit également qu’elle ne s’attendait pas à une telle issue de la soirée, mais que cela ne lui avait pas déplu, bien au contraire.

Zoé attaqua une nouvelle fois :

- Ce que tu as fais avec Joshua, ce n’est pas vraiment faire l’amour, tu lui as donné du plaisir, mais lui, ne t’en n’a pas donné. Il faut arranger cela.

Inès voyait bien où Zoé voulait en venir, et elle nous annonça ce que nous avions déjà deviné, qu’elle était vierge.

- Je réserve ce privilège à celui qui deviendra mon mari.

Nous respections son choix, et nous n’avons pas insisté. Par contre elle, nous déconcerta en annonçant.

- Par contre je veux bien essayer d’en donner à Zoé.

Mon amie ne s’attendait pas, elle non plus, à une telle proposition. Elle embrassa une nouvelle fois passionnément sa conquête, qui roula sur le côté pour se retrouver au dessus de Zoé.

Le baiser s’éternisa un petit moment, jusqu’à ce qu’Inès le continue en descendant lentement le long du corps de Zoé. Chacun des seins eut droit à une attention mémorable, en particulier les extrémités déjà gonflées de plaisir. Sa langue prit ensuite le relais jusqu’au nombril.

Zoé se tortilla alors, peut-être plus de chatouille que de plaisir. Elle n’eut pas besoin ensuite de guider Inès, celle-ci descendit à peine, et dirigea sa langue juste au centre des lèvres intimes de Zoé. Sa tête se balança calmement pour bien faire monter le plaisir, et lorsqu’elle sentit que Zoé était prête, Inès lui donna le coup de grâce.

Celle-ci se libéra dans un long spasme, avec un long « ouiiii » de reconnaissance.

Lorsque toutes deux eurent reprit un peu conscience, Inès nous avoua qu’elle nous avait un peu menti :

- En fait à l’internat, nous avons échangé plus que des baisers. Mais je n’avais jamais eut le loisir de recommencer.

C’est peut-être grâce aux pratiques de lycéenne d’Inès, que Zoé avait été si rapide à jouir.

La chambre libre est restée inoccupée toute la nuit, mais même si nous avons partagé la même couche, nous sommes restés très calme tous les trois.

Le lendemain matin à notre réveil, Inès était déjà partie en nous laissant un petit mot. Elle s’excusait d’être partie comme une sauvage, mais elle ne pouvait pas rester avec nous. Elle promit également de nous donner bientôt de ses nouvelles.

Nous avons immédiatement reparlé de ce qui s’était déroulé la veille. Zoé de son côté, avait bien eut la confirmation qu’elle aimait les filles, et concéda qu’elle avait passé une très agréable soirée. Elle était également satisfaite qu’Inès m’ait donné du plaisir.

Ce qu’elle souhaitait pour l’avenir, c’était que cette situation perdure : que nous nous retrouvions le plus souvent tous les trois ensembles. Elle m’aimait réellement et était heureuse avec moi, et ne voulait pas me quitter. D’un autre côté, elle avait trouvé un nouveau bonheur sexuel auquel elle ne voulait pas renoncer. Je suis sûr que l’espace d’une soirée, elle était tombée amoureuse d’Inès. De plus comme faire l’amour avec un garçon (moi entre autre) ne l’excitait plus, elle serait heureuse de me voir faire l’amour avec Inès.

De mon côté, j’avais un peu le même sentiment, j’aurais été désolé de ne plus être avec elle. Bien sûr j’aimais faire l’amour avec elle, et c’est ce qui me manquerait le plus. Par contre je pense que moi aussi, j’étais tombé un peu amoureux d’Inès, et que je serais très heureux de lui faire l’amour.

Le seul problème dans nos plans, était l’attitude d’Inès : Etait-elle franche sur son petit mot, et reviendrait-elle. Nous ne savions d’elle que son prénom, même pas son nom, ni où elle habitait, ni un numéro de téléphone, rien. Tout dépendait de son bon vouloir.

Nous avons désespéré pendant presque trois semaines, avant qu’elle ne passe en coup de vent à la maison, pour nous dire que si nous le désirions, elle passerait nous voir le samedi suivant. Nous n’avons pas mis « 3 heures » pour lui répondre, qu’elle serait la bienvenue.

Le samedi à peine arrivée, elle a tenu à mettre les choses au clair. Elle aussi de son côté nous avait apprécié, de même que la soirée passée tous les trois. Elle avait longtemps hésité avant de revenir, car elle avait vu que nous étions un couple heureux, et ne voulait pas jouer les briseuses de ménage.

Zoé la rassura et joua elle aussi la carte de la franchise, en lui répétant ce que nous nous étions dit le lendemain après son départ. Inès fut apaisée, et resta jusqu’au dimanche soir.

Les week-ends se succédèrent ainsi pendant plus de deux mois, jusqu’à ce qu’Inès nous annonce d’un air désolé :

- Je pars cette semaine en Australie pour un stage de six mois.

Elle avait attendu le dernier moment pour nous l’annoncer, pour ne pas nous faire trop de peine. Ce séjour était prévu dans sa formation, mais elle ne savait pas où et quand il se déroulerait.

Nous étions vraiment tristes Zoé et moi, d’autant que nous avions déjà pris quelques habitudes de « couple à trois ». Inès nous rassura en nous disant que six mois cela passerait vite, et que l’on pourrait se voir par webcam. De plus, ajouta-t-elle :

- Cela vous permettra de voir si vous tenez vraiment à moi.

La question n’était même pas à poser, depuis que nous avions fait la connaissance d’Inès, Zoé et moi étions encore plus amoureux l’un de l’autre. Nous passâmes la fin du week-end, à nous câliner et à faire « l’amour » tous les trois très tendrement.

Inès partit pour l’Australie aussi vierge que lors de notre rencontre, elle n’avait pas cédé dans ce domaine.

Comme elle nous l’avait annoncé, nous passions de nombreuses heures sur MSN, même si avec le décalage horaire, ce n’était pas évident.

Les semaines passèrent ainsi assez rapidement, jusqu’à ce qu’Inès nous annonce mi-figue, mi-raisin:

- J’ai une nouvelle importante à vous dire, mais je ne sais pas si elle est bonne ou mauvaise. Je vais vous envoyer un mail avec une pièce jointe. Quand vous l’aurez vue, vous me recontacterez.
La pièce jointe était une photo sous jpeg. Nous étions assez anxieux Zoé et moi à l’idée de l’ouvrir. 50 000 suppositions nous vinrent à l’esprit !

Une fois le document ouvert, nous sommes restés baba devant cette photo. En fait, c’était une échographie d’un bébé dans le ventre de sa mère. Qu’est-ce-que cela voulait dire ???

Inès avait-elle trouvé un copain là-bas qui l’avait mise enceinte ? C’était assez ahurissant. Après ce que nous avions vécu ces dernières semaines, nous voyions mal Inès se donner au premier venu.

Nous avait-elle menti sur son stage ??? Peut-être était-elle déjà enceinte lors de notre rencontre ??? Cela n’était pas possible, nous nous serions rendu compte qu’elle n’était plus vierge.

Ayant échafaudé de nombreuses hypothèses, et n’en voyant aucune de plausibles, nous nous décidâmes à l’appeler.

Elle nous avoua qu’elle était bien en Australie pour son stage, que c’était une échographie du bébé qu’elle portait, et qu’elle était toujours vierge. La seule explication vraisemblable qu’elle nous donna fut :

- Je ne vois qu’une seule fois où cela a pu se produire, c’est le soir de notre rencontre. Lorsque j’ai donné du plaisir à Joshua avec ma bouche, Inès, tu m’as embrassé, et tout de suite après, tu m’as donné à ton tour du plaisir avec ta bouche. Je suppose que tu avais encore un peu de semence de Joshua, et que c’est comme cela que je me suis retrouvé enceinte.

Une nouvelle fois, nous étions estomaqués, mais nous avions totalement confiance en Inès. Si elle nous avait avoué cela, c’est que c’était vrai, et que j’étais le père de son bébé.

Nous nous sommes regardés une seconde Zoé et moi, avant de dire ensemble à Inès :

- Garde le bébé.

A la webcam, nous avons pu constater qu’Inès était soulagée par notre décision. Elle pensait que nous ne la croirions pas, et que l’on ne voudrait plus la voir.

J’allais être papa, j’en étais fou de joie. Zoé l’était tout autant que moi, même si elle n’était pas la mère, elle avait une véritable part active dans cet enfantement.

Les semaines nous parurent encore bien plus longues, et nous avions hâte de revoir Inès, et notre bébé à tous les trois. Heureusement qu’il y avait la webcam.

Le stage d’Inès fut raccourci du fait de sa grossesse, et elle put revenir pour accoucher en France.

L’accouchement se passa bien, et le petit Max était vraiment mon portrait craché. Jamais nous n’avions douté une seule seconde de ma paternité.

A présent, Inès et Max vivent avec nous, et lorsque des amis qui ne connaissent pas notre histoire nous rendent visite, en sachant que nous vivons à trois, ils nous demandent toujours qui est la véritable mère :

- C’est nous. Répondent invariablement Zoé et Inès, en éclatant de rire.

Cela fait maintenant plusieurs années que nous vivons heureux tous les quatre. Inès n’est plus vierge à présent, et elle est de nouveau enceinte. De même que Zoé, et par la même opération miraculeuse que celle de la procréation de Max. Si jamais il a un petit frère et une petite sœur, nous les appelleront Jésus et Marie.
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Histoire de Azkinato

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Commentaires du récit : Zoé

Le 13/12/2011 - 17:20 par hcaen
belle histoire, mais si je trouve très bizarre cette fecondation involontaire.

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