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Zone anale partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 06/06/2024

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ZONE ANALE
partie 2
Il s'est passé une semaine avant qu'elle ne me rende la pareille.
On était dans notre salle habituelle de début de soirée. Je relisais des notes, et puis elle était arrivée. Ce jour-là, elle était en tailleur, veste/jupe, tailleur noir avec sous la veste un débardeur...Du nylon sur les jambes, elle m'avait montré un peu plus tôt qu'elle avait des bas stay-up et une petite culotte blanche qui lui collait bien à la chatte, dessinant parfaitement sa moule et rentrant bien dans sa fente.
Et là elle venait d'arriver. Son expression, son sourire, me disaient qu'il y avait quelque chose.
— Moi aussi, je suis capable de passer des commandes.
— Tu penses à quoi ?
— A ça.
Elle s'était calée devant moi, elle avait roulé sa jupe à sa taille. Dessous, la petite culotte blanche ultra-serrée avait disparu, laissant la place à une ceinture qui enveloppait le bas de son ventre, une ceinture en cuir avec un espace au niveau du pubis pour caler ce qu'elle avait glissé entre ses cuisses et qu'elle a fait jaillir à l'air libre. Une belle queue de plastique, blanche, longue et épaisse.
— Tu vois, je suis plus classique, j'ai préféré un gode-ceinture. C'est bien qu'on n'ait pas les mêmes appareils, ça fera des plaisirs différents, pour toi comme pour moi. Et puis après, on pourra échanger.
J'ai été en feu en trois secondes. Je me suis tendue en avant et j'ai commencé à caresser la queue de plastique de la langue, comme si ça avait été une vraie queue. Il faut dire que dans mon esprit, c'était une vraie queue, qui avait poussé à Alison, tout comme quand j'avais la queue en moi, quelques jours plus tôt, c'était une vraie queue que j'avais quand je l'avais sodomisée.
J'ai pu constater, en tout cas, que ce qui s'était passé pour moi se produisait aussi pour elle, avec un appareillage différent. Le simple fait que ma langue se balade sur elle la mettait en transes, et, comme le harnachement reposait sur son sexe, tout en en laissant une partie à nu, j'ai vite vu qu'elle se trempait. Mais, sans cela, la manière qu'elle a eu de frémir, de se tordre, de gémir disaient clairement son plaisir.
J'ai fait une fellation à une queue de plastique, la léchant, la faisant aller et venir dans ma bouche.
— Putain, je suis entrain de jouir, elle a gémi.
Elle s'est cambrée et elle a éjaculé, crachant plusieurs jets de liquide qui ont maculé sa chair mais aussi les environs.
Je l'ai poussée vers puis sur la chaise derrière elle. Je savais exactement ce que je voulais.
Elle était irrésistible comme ça, avec cette queue de plastique dressée vers le ciel.
Et j'avais envie de venir m'empaler dessus. Qu'elle rentre bien au fond de moi, et que j'aie l'impression qu'elle me remonte jusqu'à la gorge. Que je me sente bien remplie.
Je suis venue me caler au-dessus d'elle. Elle m'a attrapé par les hanches. J'ai saisi le gode de plastique, et je l'ai guidé vers mes lèvres. Mon anus était encore occupé par le plug, et puis je voulais avoir la sensation, forcément différente, à la fois dans la chatte et dans le cul. Ca m'a envoyé de l'électricité dans le ventre quand la tête du gode a appuyé contre mes lèvres...Je l'ai tenu le temps que les premiers centimètres glissent en moi, puis lâché, et je me suis laissée descendre dessus. J'étais déjà au bord de la jouissance en sentant la queue glisser en moi. La situation me rendait à moitié folle. Des verges de garçons, j'en avais déjà pris pas mal, même si ces derniers temps je m'en éloignais, parce que je vouais quelque chose de passionnel à Alison et je n'avais plus envie que d'aller avec elle, Mais c'était autre chose. Et pas parce que la queue était artificielle, mais parce que c'était justement la queue d'Alison.
La tête de la queue a buté contre mon utérus. Impossible d'aller plus loin. Mais elle était bien rentrée en moi, elle me remplissait.
Ma partenaire préférée m'a attrapée par le cul et elle m'a fait bouger sur elle, me caressant avec ce membre artificiel qui était pourtant le sien, plus et mieux que certaines queues d'hommes qui m'avaient fouillé. Elle frottait contre mes parois intimes, me donnait un plaisir fort, et je l'arrosais de cyprine.
Ça a duré un moment, puis j'ai arraché le plug de mon anus, je me suis soulevée. J'ai jeté un coup d' oeil à la queue de plastique, elle ruisselait de mes liquides intimes. Je l'ai entraînée quelques centimètres plus en arrière. La queue est rentrée avec facilité. Je crois bien d'ailleurs que si je n'avais pas eu de plug inséré en moi toute la journée elle serait rentré aussi bien, tellement, à force de caresses, ma muqueuse anale était détendue et ouverte pour des pénétrations.
Elle est rentrée en moi. J'étais véritablement en transes. Quoi que je veuille en penser, c'était toujours meilleur par le cul, que par la chatte.
Cette fois, c'est moi qui me suis faite bouger sur la verge artificielle. Les yeux mi-clos ma partenaire prenait elle aussi son plaisir en retour. Elle a quand même tendu la main pour appuyer sur mon gland clitoridien et accompagner mon plaisir...Il a explosé en moi sous une salve d'orgasmes qui m'ont secouée et faite éjaculer. Elle m'a accompagnée dans la jouissance avec du décalage.
Je n'étais pourtant pas qu'avec elle. Le lendemain, en fin d'après-midi, j'ai rejoint Tatiana. C'était une grande fille brune, longiligne, avec un regard bleu immense, et qui adorait le sexe. On se trouve facilement quand on partage les mêmes passions, question d'instinct sans doute.
Il existait, sur le très vaste terrain du campus des métiers, une zone très vaste, qui mêlait des parcelles de nature entretenues, des hangars et une magnifique œuvre d'art fait de gigantesques blocs de bois sculptés. J'aimais bien m'y rendre parce que c'était un coin tranquille, et aussi parce que j'étais fascinée par des œuvres de bois qui avaient été laissées au temps, mais qui, cinquante ans après leur création, le défiaient. Des formes rondes, un titre équivoque Maternités.
C'était comme ça que j'avais connu Tatiana. Il y avait des blocs en ciment autour de l'oeuvre, sans doute pas d'époque, et elle était assise sur l'un d'entre eux, entourée d'une demi-douzaine de gars. Si elle était habillée, eux avaient leur queue à nu, des queues en pleine érection, et elle leur donnait du plaisir, des mains et de la bouche, mais elle en prenait aussi, à en juger par son expression ravie. Elle avait deux queues à la main, et elle en caressait une autre de la langue. Elle tournait sur le gland du gars. Comme elle me l'avait expliqué par la suite, le jeu c'était de repérer, parmi la demi-douzaine de queues offertes laquelle allait jouir, de se positionner devant et de profiter du sperme qui jaillissait. Elle, ce qu'elle aimait, c'était se remplir la bouche de sperme, et le laisser ensuite couler en elle. Elle devait me dire plus tard 'J'adore le goût du sperme...Pour moi c'est comme un nectar, je pourrais en boire des litres...'
Ca supposait en tout cas beaucoup de concentration et une vue périphérique. Mais elle était bonne là dessus, car elle a repéré que la queue dont elle léchait le gland n'était pas celle qui allait jouir, et elle s'est tournée vers elle. J'ai vu le sperme jaillir deux secondes après qu'elle ait ouvert la bouche devant, partir en elle.
Juste après elle s'est tournée vers moi, elle m'avait bien vue, et elle m'a jeté:
— Et si tu venais me rejoindre! Avec toutes les queues que j'ai a gérer, j'apprécierais un peu d'aide.
Elle avait apparemment avalé la semence, mais il en restait un peu dans sa bouche, et un filet crémeux a coulé à la commissure de ses lèvres.
Je me suis posé sur un plot. On était effectivement entourées de queues, d'autant que deux gars supplémentaires venaient d'arriver. J'ai regardé les queues. Toutes bien dilatées. J'ai plongé sur un gland énorme, tout suintant. Encerclant la queue de la main. Un mouvement de va-et-vient, le gars a joui quasi immédiatement, ce à quoi je ne m'attendais pas. Un jet de sperme m'a giflé, chaud, brûlant. J'ai ouvert la bouche et la semence a atterri sur mon palais, dont le goût, amer, est venu après.
Ça m'a donné envie de continuer. En quelques secondes seulement, j'étais toute excitée, moi qui avait juste pour projet de relire des notes allongée dans l'herbe. J'ai pris une queue dans la main pour la masturber...Elle ne semblait pas mure...Par contre sur ma droite, je voyais un type très dilaté...Mon autre main autour de lui, un aller-retour, et la semence a jailli à nouveau. Cette fois, j'étais prête, bouche ouverte, et je me suis délectée de semence.
Je pensais qu'à deux, ça serait vite bouclé, mais d'autres gars sont arrivés, pendant que les premiers partaient, un cycle qui s'est répété, plusieurs fois, jusqu'à ce qu'on se retrouve la bouche et le gosier pleins de sperme.
On s'est regardées et on a éclaté de rire. Le sexe permet ainsi de créer des liens. Je m'étais fait une copine.
On se retrouvait deux à trois fois par semaine pour des moments de plaisir. Il y avait deux fins d'après-midi où on venait ici et on partageait des queues, et un autre moment où elle m'avait entraîné au dernier étage d'un bâtiment dans des toilettes où avaient été amenagés des glory holes. Avant de la connaître, je ne savais même pas ce que c'était. Ca m'avait troublée et surexcitée la première fois...Et tout autant les fois suivantes...Des trous, on était accroupies ou penchées toutes les deux, et on attendait que les queues surgissent, mais des queues anonymes, sans corps...On pouvait aussi les branler, ou faire glisser une capote dessus et les rentrer en soi...Les gars derrière la cloison ne savaient jamais. Le résultat était le même, on finissait le ventre plein de sperme.
On se retrouvait toujours avant à présent. On prenait un café à la cafétéria, on parlait de tout et de rien. Je lui ai parlé de mon plan, demandé si elle voyait quelqu'un qui pourrait faire l'affaire.
--Max...Tu vois qui c'est? Il vient le mardi...Le gars baraqué. Je suis sûre qu'il sera d'accord.
Max n'était pas là ce soir-là. Elle m'a filé son numéro. Je l'ai appelé le mercredi matin. Il était d'accord, le contraire m'aurait surpris. Et pas besoin d'attendre. Il était dispo en début d'après-midi.
Le mercredi, il y avait une sorte d'apaisement. On terminait une partie de la semaine, on avait une pause, on savait que le reste de la semaine arrivait mais aussi et surtout le week-end, et puis on pouvait profiter de l'après-midi.
On prenait notre repas entre midi et deux, tranquillement, en sachant qu'après, une bonne partie de l'après-midi serait consacrée au sexe.
Max est arrivée sur le coup de 13 heures 30, tenant sa promesse. Ils nous a trouvé quasiment à poil, j'avais gardé un T-shirt, et Alison les bas qu'elle avait glissés sous sa jupe, tête-bêche, dévorant le sexe de l'autre, irriguées par les jus en sortant, en sachant que nous avions le temps, et que, plus tard, nous nous attaquerions à l'anus de l'autre, pour l'instant encore rempli par un plug qui l'ouvrait. Et puis Max avait été là. Alison n'avait pas été consciente de sa présence tout de suite. Moi, si. Mon œil a glissé vers lui. Il m'a souri. J'ai tendu le bras vers lui. Il était devant le lit, le regard accroché à nous, à nos corps, nos formes, nos seins, nos ventres, nos chattes dilatées et ruisselantes, à l'acier des anus plug, mais il devait savoir ce que c'était. J'ai posé ma main contre le tissu de son pantalon, et senti sa queue se développer à la vitesse de l'éclair. De la chaleur est montée de sa main pour venir me remplir son corps. J'éprouvais quelque chose de passionnel pour Alison et je n'avais pas envie d'aller voir ailleurs, sauf avec elle, mais les queues me manquaient, sans doute plus que je n'aurais bien voulu l'admettre, et celles qu'on partageait Alison et moi n'étaient sans doute pas suffisantes. J'étais trop dépendante du sexe, c'était une drogue pour moi, pour Alison aussi sans doute, mais à partir du jour où j'avais découvert le plaisir, si fort, j'avais voulu renouveler l'expérience, et puis comme j'avais réalisé que le plaisir était à chaque fois très fort, mais aussi différent, j'avais voulu continuer pour en découvrir toutes les nuances...
Je l'ai défait d'une main et j'ai fait jaillir sa queue, majestueuse, que je connaissais déjà pour l'avoir caressée de la main, de la bouche, et avoir recueilli la semence qui sortait de ses couilles...Je l'ai masturbé, concrétisant une érection qui n'avait sans doute pas besoin de moi pour s'accomplir. Une queue bien longue, bien épaisse...Alison a du remarquer un jaillissement de mouille et se demander pourquoi...Le gland de Max s'est décalotté tout seul, et son méat a commencé à suppurer. Il s'est tendu vers moi, je me suis aussi tendue vers lui, et j'ai baladé ma langue sur son gland, me remplissant de sa saveur amère.
Alison n'a pas pu ne pas sentir que je me redressais. Tout en continuant de lécher sa chatte, j'ai pivoté, de manière à offrir mon cul à Max...J'étais surexcitée par la situation, autant par l'idée de me faire sodomiser que de voir une queue rentrer dans son ventre. Je ruisselais littéralement.
— Mais qu'est-ce que...
Elle avait les yeux clos, elle les a ouverts, et elle a vu, et compris. Décontenancée.
— Un gode c'est bien...Une bite bien chaude et bien dure, et qui crache du sperme, c'est encore mieux...
Sa réaction ne m'a pas vraiment surprise. Elle s'est redressée, curieuse, voyeuse, mais aussi complice, et elle a fait glisser le plug hors de ma muqueuse anale. Je me sentais bien ouverte, mais le contraire aurait été étonnant.
— Mets-lui une capote, j'ai proposé. S'il a envie de venir dans ma chatte d'abord...
— Ta cyprine le lubrifiera...
Un coup d' oeil en arrière à Max...La situation le motivait fortement. Sa queue était dilatée d'excitation, et son regard, comme son expression, disaient son envie. Il a glissé dans ma chatte, lentement, me remplissant. C'était vrai que le plaisir anal était une obsession pour moi, mais même se faire prendre classiquement, c'était aussi très bon pour moi. Il a glissé dans la gaine de mon sexe, et il est rentré aussi loin que possible, la tête de sa queue venant cogner contre mon utérus. Puis il s'est mis à me fouiller, pendant que je continuais de bouffer le trou de balle de ma chérie. C'était sur, ce n'était pas par le cul, mais cette queue qui allait et venait en moi, me caressait bien, c'était très bon. Il avait adopté un rythme régulier, certes classique, mais ça nous donnait du plaisir à tous les deux. Je sentais son corps, tendu par le plaisir. Moi je dégoulinais autour du membre énorme fiché en moi, et qui grossissait encore. Je me suis même dit que j'allais jouir comme ça, mais je l'ai senti glisser hors de moi, cassant le rythme. Je me suis dit: 'Mon Dieu, c'est maintenant.'
J'ai joui, le corps traversé par plusieurs orgasmes, quand il est venu simplement poser son gland contre ma muqueuse anale béante, et qu'il a commençé par glisser en moi, me rappelant encore que oui, c'était vraiment le cul mon centre de plaisir, et sans doute aussi que les doigts, la langue, et des godes, c'était bien, mais qu'une queue, chaude et dure, c'était vraiment bien aussi, et que j'aurais intérêt à poursuivre cette expérience à l'avenir, au-delà de cette première fois.
Il est rentré aussi loin qu'il le pouvait, avant de se mettre à bouger. J'arrivais de moins en moins à caresser Alison, prise par un plaisir très fort. Une poupée entièrement soumise au plaisir que me donnait cette queue qui me fouillait. J'aimais amené, pour compléter, mes doigts sur ma chatte.
Sans doute que je suis parvenue à mes fins sans l'avoir véritablement cherché, quand elle m'a dit :
— Moi aussi, j'ai envie d'une queue dans le cul, comme toi.
Et qu'elle est venue se placer à côté de moi. En contractant mes muscles, j'ai éjecté la queue de Max et je me suis retournée, considérant les deux éléments de l'équation. Une queue qui, dans ma chatte et dans mon cul, avait gagné encore un tiers de volume, que ce soit en longueur ou en épaisseur, impressionnante, et cet anus dilaté, béant sur un intérieur rose, dont la béance était un appel à la pénétration. Je voulais voir. Tout voir.
Ils avaient autant envie l'un que l'autre. Leur corps, leur expression, leur position...Tout le disait. J'ai posé ma main droite sur la verge encapotée de Max, et je l'ai masturbé doucement. Il a gémi et s'est tendu, contrôlant sa jouissance. Je savais de toute façon que, même s'il jouissait, sa queue resterait dure. L'expérience de nos pipes, où, même s'il me remplissait la bouche de sperme, il restait encore bien dur, pour d'autres caresses, et pour cracher encore du foutre dans ma bouche, sur mon visage, sur mes seins...
Mon autre main était elle sur la chatte d'Alison. Elle était béante dès qu'on lui touchait le cul, plus que si on lui avait simplement caressé le sexe, et là encore elle ne faisait pas exception. Coulant sur ses chairs, sur ma main. Je me suis dit que j'aurais pu enfoncer ma main en elle, et ça m'a donné une idée pour la suite. Je suis montés sur sa muqueuse anale. Je l'ai caressée. Max s'est approché. Il avait envie de la pénétrer. J'ai attrapé sa queue, mais ce n'était pas tant pour guider, il pouvait très bien se débrouiller sans moi, que pour accompagner.
Ça m'excitait terriblement, autant sinon plus que de m'être faite pénétrer. Je mouillais tellement que j'avais l'impression de me pisser dessus. Mais ça n'était pas nouveau.
J'ai regardé le membre dilaté s'enfoncer dans la muqueuse anale. Imaginant ce que ça aurait été AVANT. Avant qu'on joue avec nos anus, avec langue, doigts, et gode. Elle n'a rien ressenti, sinon un intense plaisir.
J'étais comme folle...J'avais tellement rêvé de ça. La voir se faire enculer. Plus que de me faire enculer moi. La queue glissant dans la muqueuse anale, la remplissant, bougeant en elle, et tous les stigmates sur son corps, sur son visage. Si j'avais pu en douter, elle aimait ça.
Dans un premier temps, tout en me caressant, je suis venue poser ma langue contre sa muqueuse, léchant tout ce que je pouvais, les plissements dilatés, mais aussi la queue quand elle sortait, descendant sur les couilles toutes gonflées et palpitantes.
C'est dans un deuxième temps, et il n'y avait absolument rien de calculé, sauf le point de départ, que je suis venue sur son sexe. D'abord sur ses lèvres, ultra-gonflées, puis sur son gland clitoridien, ultra-dilaté, que j'ai masturbé, avant de glisser ma main en elle. Pas difficile de rentrer dans un sexe aussi ouvert. Je me suis dit que je pourrais aussi, sans aucun doute, dans un temps proche, tenter la même expérience dans un anus. C'était bien d'aller de but en but, d'en trouver un autre, une fois que l'un d'entre eux était atteint.
Ma main a trouvé sa place naturellement dans sa chatte, qui était comme un gant qui aurait enveloppé ma main. Sensation de chaleur, d'humidité, de souplesse. Certitude aussi très vite que la moindre caresse contre ses parois internes allait lui donner du plaisir, et renforcer celui qu'elle éprouvait avec la verge dilatée dans le rectum.
Je me suis surtout très vite rendue compte que la paroi qui séparait le vagin de l'anus était très fine, et que je sentais la queue rentrer, sortir, bouger, mais aussi, qu'à travers cette fine peau, je pouvais l'attraper, la frotter, la masturber, de telle sorte qu'au bout d'un moment, il a moins bougé mais est rentré, et m'a laissé le caresser.
Je rêvais d'autre chose. D'un plaisir partagé.
Il s'est incarné quelques secondes plus tard quand je suis montée sur Alison. J'avais envie qu'il nous prenne alternativement. Il y avait un miroir en face de moi, et il me renvoyait notre image dans la vitre. Nos deux culs bien pleins et bien charnus, offerts, l'un superposé à l'autre, ouverts sur nos chattes dilatées et dégoulinantes et nos muqueuses anales tout autant dilatées.
Ca a été le moment ou sans doute le plaisir à été le plus fort. Max a été de l'une à l'autre. Il s'est développé sans aucun doute, en tout cas c'est ce que j'ai ressenti, une connexion entre nous trois, tissée dans le plaisir. Nous deux, nous nous sommes mises à jouir, tressautant de nos orgasmes, éjaculant. Lui se retenait, pour nous donner le maximum de plaisir, et en prendre aussi. Il a fini par exploser, arrachant le préservatif et éjaculant sur nos fesses.
Il s'est éclipsé sans demander son reste. A la porte, je lui ai dit:
--On pourra te revoir?
--J'ai adoré ce moment, alors oui. Je vous veux toutes les deux ensemble, et vous prendre par le cul.
--On est sur la même longueur d'ondes.
Je me suis retournée vers Alison. Nue, ses fesses maculées de sperme, elle partait vers la salle de bains. Sentant mon regard sur elle, elle s'est retournée, et elle m'a fait un clin d' oeil.
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Histoire de JamesB

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