Un fils amant 1

La journée est très chaude, Lise suffoque. Elle retire tous ses vêtements et enfile une nuisette très courte transparente, pour avoir moins chaud, elle s'etend sur son lit pour une petite sieste, son corps est moite, elle à beaucoup de mal à trouver le sommeil. Enfin, elle s'endort. Son fils, Noël, passe devant sa chambre, la porte est restée entrouverte. Curieux, le coquin pousse sur la porte qui s'ouvre entièrement. Ses yeux se posent sur le corps sublime de sa maman. Elle est couchée sur le côté, une jambe repliée sur l'autre. Sa nuisette, remontée involontairement, laisse voir une partie de la croupe. Noël s'avance sans faire de bruit, il fait le tour du lit pour admirer les formes de sa maman, il apercoit en se penchant légèrement, le minou soyeux de la dormeuse. Il écarquille les yeux, et approche sa tête le plus prêt possible de la vulve, qui semble humide, il hume avec force les effluves odorantes qui s'en échappent. Il deglutie bruyamment et décide de s'étendre à côté de sa maman, pour cela, il retire ses vêtements et ne garde que son boxer.

En s'étendant, sur le lit, les mouvements souples du lit, réveillent Lise. Elle se redresse et dit :

-Ah c'est toi mon chéri, toi aussi, tu es assommé par la chaleur, tu as raison, fais une petite sieste à côté de ta maman !

Lise reprend la position qu'elle avait. Noël se plaque contre elle, son bas-ventre et contre les fesses de sa maman. Il lui pose une main sur la cuisse, mais au fil des minutes, le bougre la caresse doucement. Lise frissonne sous cet attouchement hardi de son fils. La main très lentement monte sur le haut de la cuisse. Lise sent le souffle chaud de son fils sur son cou. La main moite, atteint l'aine. Lise se raidit, elle pose sa main sur celle de son fils et la bloque pour qu'il n'aille pas trop loin dans son exploration. Noël donne quelques petits baisers sur le cou, l'épaule et la nuque de sa maman qui pousse un long soupir. Le coquin passe sa main libre sous la taille de sa maman et tire fortement contre lui.

Lise ferme les yeux, elle respire mal. Noël, vicieusement, ondule tendrement du bassin contre le fessier de sa maman. L'effet recherché ne se fait pas attendre, le bougre attrape un début d'érection. Il appuie son bas-ventre contre les fesses rebondies de la maman, en faisant un petit va-et-vient. Lise sent bien le membre prendre du volume, elle se raidit et dit faiblement :

-Sois sage mon chéri, je suis ta maman !

Il n'entend pas, il se décolle du fessier, et extirpe sa bite du boxer. Il reprend la pose, Lise sent parfaitement la queue de son fils qui coulisse entre ses fesses. Elle se redresse, fait un demi de tour, et se retrouve face au fiston sans gêne. Leurs regards s'accrochent, Lise dit :

-Mais tu es incorrigible Noël, et si papa entrait ?

Il réplique en riant :

-Il se joindrait à nous !

Lise sursaute et réagit en rougissant légèrement :

-Mais tu es un petit monstre, tu ne penses pas vraiment ce que tu dis !

La queue hors du boxer de Noël et tendue, elle est secouée de petits soubresauts. Pendant un moment, sa maman ne la quitte pas des yeux, elle hoche la tête en signe de désapprobation, et se laisse tomber sur le dos en soupirant. Noël rapidement replace sa main sur la cuisse de sa maman et la caresse avec une douceur extrême. Lise frémit, elle ferme les yeux, la main de son fils, s'enhardit, elle glisse sous sa nuisette, et arrive sur son ventre plat, qui est secoué de frissons. Avec douceur, la main fait de petits cercles sur la peau satinée de la maman qui serre les dents pour ne pas hurler. Elle ne comprend pas pourquoi, qu'elle ne resiste pas plus à l'enfant audacieux. Elle dit faiblement :

-Non, non mon chéri, cesse ce petit jeu stupide, je t'en prie !

Le fils désobéissant, ne l'écoute pas. La main audacieuse, continue sa progression et enserre un sein, les doigts s'enfoncent profondément dans le sein souple, et le pétrit, comme pour en connaitre la texture, il faait subir à l'autre le même traitement. La maman se raidit, elle souffle comme un animal. Noël délaisse enfin les seins. Il remonte la nuisette au-dessus des seins. Et reprend les caresses, Lise a des larmes plein les yeux, elle ravale sa salive de nombreuses fois. Les caresses de son fils la perturbent, la rendent dingue. Petit à petit, la tension monte dans son corps. Les doigts agiles de fils sans scrupules tournent sur les aréoles grenelées, en taquinant les mamelons qui se dressent fièrement au centre de taches brunes.

Noël cesse de taquiner les tétons, il pose sa bouche brulante, sur le corps de sa maman et en embrasse chaque parcelle. Lise frémit, son corps fébrile se met à trembler. La bouche s'approche de ses mamelons et les gobe à tour de rôle. Lise défaille, elle pousse de nombreux soupirs. Le suçage venant de son enfant lui parait monstrueux. Elle marmone des mots inaudibles, en soufflant fortement. Ses seins sont durs et gonflés comme ceux d'une femme enceinte. Noël les tète avec gourmandise. Lise pâme sous les multiples aspirations de l'affamé. Sa vulve est en feu, elle mouille affreusement. Lise geint doucement, elle se retient pour ne pas hurler de plaisir.


Enfin, la bouche avide descend sur son corps, elle s'arrete sur son nombril et le fouille de la pointe de la langue. Lise serre les poings, elle voudrait repousser son fils, mais le courage et la force lui manquent. La bouche gourmande s'approche de son bas-ventre, et se pose dessus. Lise se cabre, en poussant un grognement de bête. La bouche insatiable lui dévore la vulve qui suinte comme un fruit trop mûr. Noël, enfonce sa langue das le puits intarissable et le fouille longuement. La langue habile fait couiner de plaisir la maman, qui agite son bassin comme un beau diable. Lise se Cambre en poussant un gémissement terrible, Noël vient de lui aspirer le clito, la boule de chair deja gonflée par l'excitation dévient encore plus grosse. Le jeune amant est comme un expert en la matière, le bougre fait gémir sa maman qui s'agite à chaque aspiration sur son clitoris. Soudain, elle se cambre, son corps fait le pont, Lise se mord la main pour ne pas ameuter le quartier de son cri de jouissance. Elle tremble de tous ses membres, elle grogne, sa jouissance est interminable. Noël se redresse, regarde sa maman jouir comme une folle, il est fier de lui, il dépose un baiser bruyant sur ses lèvres de sa maman jouisseuse. Les yeux de Lise lance des éclairs, sa respiration et rapide et parvint à dire entre deux souffles :

-Oh mon chéri, nous sommes fous, comment j'ai peu fait ça avec toi, je suis une maman indigne !

Noël la regarde en souriant et répond avec tendresse :

-Tu en avais envie autant que moi, donc, il ne faut pas culpabiliser, nous sommes tous les deux responsables de ce qui arrive, mais maman, il faut achever ce qui est commencé, il faut aller plus loin maintenant !

Lise regarde son fils, ses yeux sont remplis de larmes, elle dit :

-Mon chéri, j'ai honte de moi, tu te rends compte que nous sommes incestueux !

Noël hausse les épaules et se place, s'allonge sur le corps de sa maman et répond :

-Je m'en moque, je veux te faire jouir comme tu le mérites !