Un fils amant 2

Noël s'allonge sur sa maman, elle sent contre son intimité le membre dressé. Elle frémit, elle n'ose imaginer que son fils va lui enfoncer sa verge dans son ventre. Elle se raidit et dit faiblement :

-Non mon chéri pas ça, nous avons déjà était trop loin, non ne me torture pas arrête, je t'en prie !

Noël sait qu'il a le dessus sur sa maman, il la serre très fort, Lise se crispe, elle est sans forces, elle dit en baissant les yeux :

- Tu me rends folle, tu es un monstre !

Il place sa verge contre le fruit juteux, et pousse légèrement, un bruit de succion se fait entendre, sa verge aspirée par l'abricot trop mûr disparait entièrement dans le ventre brulant de la maman, qui ne peut résister à l'appel des sens. Lise pousse un râle qu'elle ettouffe en se mordant le poignet, elle s'accroche à son fils en grognant. Inconsciemment, elle agite son bassin, en donnant des coups de reins violents. La bite de son fils est totalement en elle, elle la sent bien. Sa chatte est en feu, elle enserre la queue en se contractant dessus. Sa chatte dégouline de cyprine comme un ru de compagne.
Le fils amant donne de violents coups de reins, ses couilles frappent avec violence la chatte de sa maman en la faisant couiner comme un animal. La bite voyage dans la gaine gorgée de cyprine en faisant un bruit étrange, l'assaut est terrible. Lise gémit, elle ne peut retenir ses râles, elle a honte de prendre du plaisir avec son fils. Elle serre les dents, sa jouissance est proche.

Noël ne la ménage pas, il la défonce en la regardant se tortiller sous ses coups de boutoir. Il se doute que sa maman est au bord de la jouissance, son corps perle de rosée, elle s'agite fortement. Noël retire sa verge du puits brulant, frustrée, sa maman s'accroche à lui pour le retenir, mais Le vicieux fiston, replonge sa verge avec une violence extrême dans le ventre de la maman soumise et la défonce férocement jusqu'à ce qu'elle manque de souffle.
Au bord de l'évanouissement, la maman se cabre en poussant un cri monstrueux, sa jouissance est phénoménale. Les yeux de la maman, jouisseuse, sont rougis par les larmes. Elle renifle bruyamment, honteuse, elle cache ses yeux avec son bras. Noël est très ému, il approche sa tête plus près de celle de sa maman, ses lèvres frôlent les siennes. Le coquin fait voyager la pointe de sa langue sur les lèvres tremblantes de sa maman, qui frémir, elle cache toujours ses yeux avec son bras. Les lèvres de son fils se posent sur les siennes, sa langue force le passage, Lise desserre les dents, la visiteuse, agile, s'engouffre dans la bouche entrouverte. Les langues se nouent, Lise prend son fils par le cou, son souffle est court, elle lui rend son baiser. Les lèvres restent soudées un long moment, avant de se séparer.




La verge de Noël est toujours plantée dans le ventre de sa maman. Les deux amants se regardent un bon moment, leurs yeux étincelants, pétillent de bonheur. Lise dit avec quelques tremolos dans la voix :

-Mon chéri, nous avons commis l'irréparable, je suis honteuse, comment ai-je pu faire une chose pareille !

Noël lui répond tendrement :

-Maman, nous avions envie l'un de l'autre, il ne faut pas le nier, maintenant, nous ne pouvons plus revenir en arrière !

Il reprend le ramonage, sa maman, elle c'est gémissements. La verge noueuse coulisse dans le vagin en ébullition, les contractions continuelles du vagin sur sa queue, donne à Noël l'impression que la chatte gonflée de désir lui fait une fellation. Il accélere, sa maman s'agite, elle sursaute à chaque enfoncement du glaive puissant dans sa chatte. La maman, fébrile, grogne comme une bête. Le va-et-vient incessant que pratique son fils la rend folle, elle se cabre, plante ses ongles dans la peau de son fils en jouissant fortement. Le bougre, en sueur, la démonte comme un sauvage, il se raidit, pousse un râle de fauve et remplit le ventre de sa maman soumise.

Les amants sont dérangés par l'intrusion du papa dans la chambre.